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Implants mammaires à 17 ans

Démarré par JacquesL, 06 Novembre 2006, 09:51:19 AM

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JacquesL

Citation de: Béni Oui OuiTrouvez-vous cela intelligent ?
Moi pas.

http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2006/10/20061029-101001.html

CiterDe 34a à 36dd
Des implants pour ses 17 ans

Pascal Bernier-Robidas
Le Journal de Québec
29/10/2006 10h10   

À 17 ans seulement, Sabrina Drolet n'a eu qu'à payer 4 900 $ à une clinique de chirurgie plastique du centre-ville de Québec pour recevoir une mammoplastie faisant passer son soutien-gorge de la taille 34A à 34D.

Pendant que huit cliniques de chirurgie plastique contactées cette semaine ont toutes dit refuser systématiquement les clientes d'âge mineur (même avec consentement écrit des parents), il semble bien que la jeune femme n'ait eu aucune difficulté à se faire fabriquer de nouveaux seins.

Pourtant encore mineure au moment de la première de ses trois opérations, Sabrina n'aura eu qu'à payer le prix de la chirurgie pour convaincre un médecin spécialiste de la passer sous le bistouri.

«À 16 ans, je n'avais même pas besoin de porter un soutien-gorge. Aller à la plage avec mes amies était devenu insupportable. Je pleurais souvent en cachette. Un an plus tard, mes seins n'avaient toujours pas poussé. Je savais qu'aucune femme de ma famille n'avait de grosse poitrine. Alors, je me suis dit que je devais agir avant d'avoir 18 ans», raconte Sabrina.

Transformation extrême

Durant les 12 mois qui ont suivi la première opération, la jeune femme est rapidement passée sous le bistouri à deux autres reprises. Après avoir payé consécutivement 4 900 $, 5 200 $ et 5 500 $ pour trois opérations, la taille de sa poitrine a connu une transformation extrême, passant de 34A à 34D, puis de 34D à 36DD.

Pour sa carrière

«Je suis fière d'avoir vaincu mon seul et unique complexe de femme aussitôt que j'ai pu le faire. J'ai toujours pensé que mon charme passait en grande partie par la grosseur de mes seins. Aujourd'hui, je fais carrière dans l'industrie de l'érotisme. J'ai des commanditaires de sous-vêtements, je fais des contrats de photo ou pour la mode et je travaille au bar de danseuses nues Lady Mary-Ann. Avoir une petite poitrine aurait sûrement nui à mes ambitions», dit Sabrina.

«Toutes les adolescentes qui songent à se faire augmenter le volume des seins devraient le faire. Moi, cela m'a amené du bien-être et de l'estime de soi», ajoute-elle.
Jusqu'à plus ample informé, cela s'appelle l'hystérie, ce schéma de vie fondé sur ce "Je saurai bien t'obliger à n'être QUE ton sexe !", et à utiliser ainsi à fond à fond à fond à fond à fond à fond à fond ses signaux sociaux sexuels à cette fin.

Il arrive parfois que la nosographie psychiatrique fasse des progrès, et cette forme d'hystérie est désormais rangée dans la catégorie plus vaste de l'histrionisme : ceux qui répètent indéfiniment les trucs pour séduire leurs parents, et n'ont d'autre personnalité que séduire encore et toujours. Ce n'est pas toujours la sexualité. Les pervers histrioniques communient et séduisent par le sadisme partagé dans la persécution commune de boucs émissaires. Tel est le dressage éducatif qu'ils ont connu enfants. On en a vu passer un exemple récemment.

En tant que parent, je ne vois pas de quoi se réjouir, que des ados puis jeunes gens, se figent pour le restant de leurs jours dans l'obsession de la séduction à tout prix, dans un schéma de vie d'hystérique.

Il n'est pas indispensable, pour avoir une vie et une sexualité réussies, d'être constamment super-victorieux/se de la compétition sexuelle, supérieur(e) à tous les autres, et foyer de tous les regards. De toutes les manières, dans une vie de couple et dans une vie de famille, il y a des quantités de ressources à mobiliser, que justement l'hystérique a négligées, au profit de son unique obsession.

Il m'est arrivé d'avoir dans mes bras une hystérique-narcissique très pittoresque. Je ne renie rien de ce que j'ai vécu avec elle, mais il était évident que rien ne pourrait durer. J'ai assisté à ses démêlés avec ses enfants (adultes) : la maturité manquait gravement, et le résultat laissait gros à désirer.

En tant que parent, il vaut cent fois mieux prouver à ses enfants qu'on sait être heureux/se avec le corps qu'on a, et rendre heureux/se, plutôt que de s'être précipités sur toutes les tricheries, juste pour la super-compétition sexuelle.

En vertu de quels principes j'affirme cela ? En vertu du principe universel de la vie familiale : les besoins en loyauté.

Notes de lecture à
http://forum.aceboard.net/11070-246-7421-0-Loyautes-famille-deloyautes-fourberies-perversions.htm

De plus, comme je l'ai résumé à http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_separation_d_un_enfant.html , les hystériques fournissent le plus gros du contingent des répudiations et divorces pathologiques et crapuleux, avec verrouillage d'un syndrôme d'aliénation parentale carabinée sur les enfants. "Haha ! Je ne peux plus te tenir par les couilles ! Alors je te tiendrai par l'argent, et par les enfants ! Tu n'échapperas plus à mon pouvoir !".