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Racaille le Rouge et ses exhibitions...

Démarré par JacquesL, 19 Octobre 2007, 12:13:38 AM

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JacquesL

Le divorce du couple Sarkozy "s'est très bien passé", selon leur avocate commune

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-968525@51-823374,0.html
http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-823448,50-968525,0.html

LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 18.10.07 | 14h00  •  Mis à jour le 18.10.07 | 17h27

La "séparation par consentement mutuel" de Cécilia et Nicolas Sarkozy, annoncée jeudi 18 octobre dans un communiqué de l'Elysée, est bel et bien un divorce, selon l'avocate commune du couple, Me Michèle Cahen.

Interrogée sur Europe 1, Me Cahen a déclaré que "tout a été réglé dans les termes d'une convention de divorce qui a été homologuée par le magistrat". "Ils ont réglé à l'amiable toutes les conséquences de leur séparation. Cela s'est très bien passé, sans la moindre difficulté", a-t-elle ajouté, sans évoquer un quelconque point de discorde.


Dans un premier temps, la présidence avait transmis aux journalistes des agences de presse accréditées un communiqué dans lequel le mot "divorce" n'apparaissait pas. Par la suite, plusieurs sources proches du chef de l'Etat ont annoncé, auprès des agences Reuters et AFP, qu'il s'agissait bel et bien d'un divorce. "Par séparation, il faut entendre divorce", affirmait-on à l'Elysée. Dans un troisième temps, David Martinon a précisé que les époux Sarkozy avaient "divorcé par consentement mutuel".

"JE NE ME VOIS PAS EN FIRST LADY, ÇA ME RASE"

Cécilia et Nicolas Sarkozy étaient mariés depuis 1996. Des rumeurs persistantes faisaient état depuis plusieurs jours de la séparation du couple présidentiel, alimentées par les absences répétées de la première dame aux côtés de son mari. Le chef de l'Etat est attendu jeudi à Lisbonne pour un sommet européen. Cécilia Sarkozy aura connu un passage à éclipses de cinq mois à l'Elysée, marqué autant par ses apparitions officielles que par ses absences.

"Mon seul problème, au fond, c'est Cécilia", avait confié le président français peu après son élection, dans des entretiens avec des journalistes. L'inquiétude du chef de l'Etat semblait fondée. "Je ne me vois pas en First Lady, ça me rase", avait déclaré Cécilia Sarkozy en 2005 dans un magazine de télévision.


Nicolas Sarkozy s'envole pour Lisbonne

A peine deux heures après l'officialisation de son divorce, Nicolas Sarkozy a quitté le palais de l'Elysée pour se rendre au sommet européen de Lisbonne. Les dirigeants européens se retrouveront, jeudi soir, pour tenter de se mettre d'accord sur un traité européen simplifié permettant de moderniser les institutions de l'UE. – (Avec AFP.)


http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3224,50-967764,0.html

Nouvelles rumeurs sur la séparation du couple Sarkozy dans les médias
LEMONDE.FR | 17.10.07 | 10h44  •  Mis à jour le 17.10.07 | 21h13

Les Sarkozy ont matérialisé leur séparation", affirmait, mercredi 17 octobre, le site Internet du Nouvel Observateur. "Nicolas et Cécilia Sarkozy se sont rendus ensemble devant un juge, lundi 15 octobre en fin de journée, pour matérialiser la procédure de séparation du couple", poursuivait l'article, qui précise que l'hebdomadaire y consacrera un dossier dans son numéro du jeudi 18 octobre. Joint par Le Monde.fr, le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, a indiqué qu'il n'avait "aucun commentaire" à faire à propos de cette information.


Par la suite, le site de LCI donnait une version sensiblement différente sur les circonstances de la procédure. "Cécilia Sarkozy s'est rendue, sans son époux, lundi [15 octobre] au tribunal de Nanterre. Accompagnée d'une avocate, la première dame [de France] a déposé une requête en divorce auprès du juge aux affaires familiales." D'après LCI, le président de la République ne se serait pas rendu au tribunal avec Cécilia Sarkozy, "mais aurait reçu la visite de la juge le soir même à l'Elysée [et non le lendemain comme indiqué dans un premier temps] qui lui a fait signer, à son tour, le document".

Le site de la chaîne précise enfin que les époux se seraient ensuite retrouvés à l'Elysée, pour valider la procédure en présence du juge et de leur avocate commune. "La séparation de corps a été prononcée", annonce ainsi LCI. Citant une source judiciaire anonyme, le quotidien Libération précise pour sa part que le divorce présidentiel n'est toutefois pas un fait acquis. "Cécilia Sarkozy est vraiment déterminée à divorcer, mais Nicolas Sarkozy freine. Mais au vu de son statut de chef d'Etat, cela ne peut être que par consentement mutuel", explique cette source sur le site Web de Libération.

Les rumeurs sur l'annonce imminente d'une séparation se sont multipliées ces dernières semaines, alimentées par la quasi-absence d'apparitions publiques de Mme Sarkozy depuis cet été.

Le Monde.fr


http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-823448,50-968183,0.html

Le couple Sarkozy a un mois et demi pour homologuer sa convention de divorce
LE MONDE | 18.10.07 | 10h57  •  Mis à jour le 18.10.07 | 10h57

La convention de divorce était prête depuis plusieurs mois déjà. Depuis qu'à la demande répétée de Cécilia Sarkozy pendant la campagne électorale, maître Georges Kiejman avait rédigé un projet de divorce mettant fin aux onze ans de mariage de Nicolas Sarkozy et de son épouse. Selon nos informations, l'avocate Michèle Cahen, inscrite au barreau de Paris et spécialisée dans les divorces, n'a eu qu'à reprendre les termes du projet réglant un divorce à l'amiable entre les deux époux.

Lundi 15 octobre, comme l'ont révélé mercredi le Nouvel Observateur et LCI, Cécilia Sarkozy s'est donc rendue au tribunal de Nanterre afin de signer la première étape de la séparation. Malgré le démenti officiel du parquet de Nanterre et l'absence de dossier au nom des Sarkozy dans le système informatisé du tribunal, c'est bien, selon nos informations, la présidente des juges aux affaires familiales, Nicole Choubrac, qui aurait d'abord fait signer la convention à l'épouse du président avant de retrouver le chef de l'Etat, en fin de journée pour qu'il la signe à son tour. Le couple aurait fixé avec le juge un délai d'un mois et demi avant de devoir revoir le juge afin que la convention de divorce soit définitivement homologuée et le jugement de divorce prononcé.

La suite restera comme un cas de communication politique. Car alors que depuis plusieurs jours la rumeur d'un divorce du couple présidentiel enflait et malgré les révélations recoupées de plusieurs journaux, l'Elysée s'est refusé jusqu'au bout à confirmer l'information. Jeudi matin, le porte-parole du chef de l'Etat, David Martinon, expliquait, laconique, qu'il y aurait "peut-être" un communiqué officiel dans la journée. Sans pour autant qu'aucun membre du cabinet présidentiel ne soit en mesure de dire le moindre mot sur le divorce du couple Sarkozy. "Ici, c'est un non sujet", glisse l'un d'entre eux. Certains proches du chef de l'Etat expliquent cependant ce mutisme volontaire d'un président pourtant jusqu'ici rompu aux médias, par sa volonté de tenter encore d'empêcher un divorce définitif.

De son côté, Cécilia Sarkozy n'a cessé, ces derniers jours, de se montrer dans tous les lieux en vue de Paris. Elle a posé tout spécialement pour Paris Match, qui en a fait sa couverture, cette semaine, comme deux autres hebdomadaires. On l'a vue déjeuner dans des restaurants à la mode, assister aux essayages de la robe de fiançailles de sa fille, Jeanne-Marie. Jouer les femmes libres. Mais sans dire un mot, elle non plus, d'une séparation qui est pourtant à son initiative.

Isabelle Balkany, l'épouse du maire de Levallois, grande amie du couple, qui a déjeuné mercredi, avec Mme Sarkozy, se déclare elle aussi "sous embargo". Une manière de suggérer qu'elle est informée. "Je ne dirai rien tant qu'il n'y aura pas quelque chose d'officiel", confie-t-elle.

Nicolas et Cécilia Sarkozy sont mariés depuis 1996, mais traversaient une crise depuis 2005. Le couple présidentiel n'avait pas été vu ensemble en public en France depuis le 14 juillet.

Mercredi, devant le Conseil économique et social, le président discourait sur la pauvreté. Il a seulement eu cette phrase sur "la solitude poisseuse, celle qui oppresse, celle qui naît de la privation de l'écoute, du soutien, du regard de l'autre, celle qui fait oublier le sentiment d'aimer et d'être aimé".


Service France



JacquesL

http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-823448,50-968668,0.html
CiterNicolas Sarkozy, à l'Elysée sans Cécilia
LE MONDE | 19.10.07 | 10h02  •  Mis à jour le 19.10.07 | 10h22

Ils se séparent, donc. Nicolas Sarkozy sera le premier président de la République divorcé, dans cet Elysée où son épouse ne s'était jamais installée. Elle a quitté ce mari qu'elle ne reconnaissait plus, après l'avoir pourtant accompagné de défaites en succès politiques pendant près de vingt ans.

C'est par un simple communiqué, "sans aucun commentaire", que Nicolas et Cécilia Sarkozy ont annoncé leur séparation par consentement mutuel, jeudi 18 octobre. Moins de six mois après avoir atteint le but que lui s'était fixé. La nouvelle n'a surpris personne, sauf ceux qui voulaient encore croire à un ultime rebondissement dans une histoire qui en était pleine. Mais le président ne s'est résolu qu'avec difficulté à annoncer publiquement la fin d'un duo qu'il n'avait cessé jusque-là de mettre en scène, comme la part la plus glamour de sa propre légende.

Les indices, pourtant, n'avaient pas manqué. Au point de transformer le suivi de l'activité de cette drôle de première dame en chronique de ses absences. Elle n'avait pas participé au dîner avec les conjoints des huit dirigeants les plus puissants du monde, en juin, à Heiligendamm. N'était pas parue au déjeuner donné par George Bush en août. Avait refusé en octobre d'accompagner son mari en Bulgarie. Chaque fois, Nicolas Sarkozy trouvait les excuses à fournir aux médias.

Cette séparation officielle met cependant fin à plus de deux années pendant lesquelles le couple Sarkozy a cherché vainement à reconstruire une relation, autant pour lui-même que pour ne pas entraver la marche du candidat de l'UMP vers la présidence de la République.

C'est en mai 2005, une semaine avant le référendum sur la Constitution européenne, que Cécilia Sarkozy claque une première fois la porte. Jusque-là, les Sarkozy ont formé un couple fusionnel. Presque toujours ensemble, dans les meetings ou dans les différents ministères qu'il occupe. A l'UMP, dont il a pris la tête, elle est même pour la première fois officiellement rémunérée comme sa chef de cabinet. Mais, depuis quelques semaines, elle se heurte de plus en plus souvent aux apparatchiks du parti. Et voilà, que le 19mai 2005, elle annonce à son mari qu'elle le quitte et part pour Roissy. Il la suit dans une course folle jusqu'à l'aéroport, voiture officielle et sirène hurlante. En vain. Elle rejoint, à Pétra, en Jordanie, Richard Attias, un publicitaire qu'elle a rencontré pour la première fois en novembre 2004 pour préparer l'intronisation de M.Sarkozy à la tête de l'UMP.

Riche, séducteur et ami des puissants du monde entier qu'il côtoie à Londres, à New York ou à Davos, Richard Attias possède ce que Nicolas Sarkozy convoite : l'aisance et une sorte de tranquillité sur sa propre destinée. Il la rassure. Deux jours après le départ de son épouse, alors que déjà ses adversaires croient que ce coup et cette humiliation l'achèveront, Nicolas Sarkozy est sur le plateau de France3 pour faire l'aveu, inouï, des "difficultés" de son couple. "Comme des millions de Français", précise-t-il.

Cécilia, elle, organise peu à peu sa vie entre Paris et New York, où son fils Louis est inscrit à l'Ecole française. Commence alors pour son mari un siège long et obstiné. En campagne en France, il l'abreuve de SMS, de cadeaux, d'attentions. Chaque jour ou presque, il envoie un paquet pour Cécilia. Il multiple les allers et retours aux Etats-Unis pour tenter de la reconquérir. Mais Nicolas Sarkozy mène en parallèle une nouvelle liaison avec une journaliste du Figaro et commande des enquêtes d'opinion pour savoir si un président divorcé pourrait être élu. Dans le même temps, il menace de poursuites tous les journaux qui se feraient l'écho de ses nouvelles amours. Pas question d'imprimer le récit d'une nouvelle vie qui ruinerait ses espoirs de revenir à l'ancienne.

Cécilia Sarkozy paraît traverser les mêmes doutes. Elle confie à la journaliste Valérie Domain, qui rédige sa biographie, le récit de son amour pour Richard Attias, mais lui envoie avant la publication un SMS qui paraît en corriger le cours : "Tout peut encore changer." Nicolas Sarkozy est bien plus brutal :
sous la menace d'une enquête fiscale, il contraint l'éditeur à renoncer à la publication du manuscrit. Il se défend d'être "fragilisé", mais passe le plus clair de son temps son téléphone portable à la main dans l'attente d'un message de son épouse.

Le 24 août, Paris Match publie en couverture une photo d'elle et de Richard Attias, à New York, en train de consulter le plan d'un appartement. Nicolas Sarkozy avait jusque-là toujours affirmé ne pas connaître la frontière entre vie privée et vie publique. Jamais, cependant, un ministre n'a été ainsi humilié. A la veille du 1er janvier 2006, il croit à nouveau à sa victoire. Cécilia est de retour. Il va lui-même la chercher sur le tarmac de l'aéroport et la ramène au ministère de l'intérieur. Il triomphe, elle est effondrée.

Le temps de quelques clichés à la terrasse d'un restaurant parisien et elle est de nouveau repartie. Alors Nicolas Sarkozy, opiniâtre, recommence le siège : cadeaux, SMS, cadeaux, SMS. Les médias renoncent à tenir la chronique des allers et retours de l'épouse, mais notent, à chaque apparition télévisée, si le patron de l'UMP porte ou non son alliance... En juin 2006, "elle" est de retour. Quelques photos présentées comme volées, mais en réalité parfaitement organisées, témoignent de leur réconciliation à Londres. Nicolas Sarkozy organise dans la foulée un déplacement en Guyane. Le couple monte à bord d'une pirogue, la presse filme, photographie, note. Sarkozy sourit, ils se tiennent la main. On croirait un happy end à Venise. Mais le Grand Canal charrie les eaux boueuses du fleuve Maroni et le ciel est plombé.

Commence une ère de règlement de comptes. Il obtient le limogeage, par son ami Arnaud Lagardère, propriétaire de Paris Match, d'Alain Genestar, le directeur de la rédaction qui a autorisé la publication du cliché des amants. Elle obtient la mise à l'écart de tous ceux dont elle juge qu'ils ont été, plus que des témoins, des complices de la relation de son mari avec la journaliste du Figaro. Les amis de toujours disparaissent. Rachida Dati, qui a subtilement su multiplier les petits mots d'affection au couple au plus fort de la crise, est soudain propulsée aux avant-postes du sarkozysme.

Au QG de campagne, Cécilia a un bureau où elle ne met jamais les pieds. Mais, dans la coulisse, avec Claude Guéant, alors directeur de campagne, elle organise et souvent défait ce que les conseillers ont imaginé et prend sa revanche sur les proches de son mari qui ne la jugeaient pas assez aguerrie en politique. Pourtant, la fêlure au sein du couple s'élargit. Lors du second tour, elle ne va pas voter, incapable physiquement d'affronter cette nouvelle vie, qui lui paraît un cauchemar. Mais c'est elle qui a dressé la liste des invités au Fouquet's, où se tiennent les agapes post-électorales. Elle qui en interdit l'accès à ceux à qui elle ne pardonne pas. Nicolas Sarkozy, qui avait promis de faire "retraite" avant d'entrer à l'Elysée, change ses plans et emmène femme et enfant sur le yacht de Vincent Bolloré au large de l'île de Malte. "Cécilia a beaucoup souffert, confie-t-il alors. Je devais bien ça à ma famille." Jusque-là, chacun avait cru voir en Cécilia Sarkozy une femme partageant l'ambition de son mari. Une femme de pouvoir, en un mot. En vérité, elle est déchirée à l'idée de devoir renoncer à un amour pour se plier aux devoirs d'une première dame. Plus proche, en somme, d'Emma Bovary que de Mme de Maintenon. Elle a pourtant longtemps donné d'elle-même l'image d'une de ces courtisanes modernes, traçant sa vie dans le sillage d'hommes très différents mais dont le point commun est d'être toujours riches et toujours sous la lumière.

Née dans une famille fantasque, les Ciganer, dont la figure glorieuse est son aïeul le célèbre compositeur espagnol Isaac Albéniz, Cécilia a tout connu des rites de la bourgeoisie. Ses parents possèdent une boutique de fourrure, place Beauvau, elle et ses frères passent leur enfance entre rallyes parisiens et week-ends au Touquet. Peu portée sur les études mais dotée d'une beauté magnétique, elle a d'abord jeté son dévolu sur un célèbre photographe de mode de vingt ans son aîné. Mais elle annule le mariage trois semaines avant la cérémonie : elle est tombée amoureuse, dit-elle, de "l'homme le plus célèbre de France", Jacques Martin. Lui aussi est bien plus âgé qu'elle. Mais il est protecteur et généreux, aide la famille Ciganer, dont les affaires sont plus difficiles, et épouse Cécilia, enceinte, en 1984.

La suite rejoint la légende de Nicolas Sarkozy. C'est lui qui, maire de Neuilly-sur-Seine, célèbre leur union, tombe amoureux de la jeune mariée et, comme toujours, organise son siège. Le bonheur bourgeois se fissure bientôt comme dans un film de Chabrol. En 1988, Cécilia quitte l'animateur de télévision avec ses deux filles. Commence alors une vie clandestine, qui s'achèvera avec deux divorces houleux. Cette année-là, pourtant, Nicolas Sarkozy est élu pour la première fois à l'Assemblée nationale. Leur passion sera désormais indexée sur sa carrière.

C'est aussi cela qui a si longtemps trompé les amis des Sarkozy. Car, très vite, le couple théorise ce compagnonnage de chaque instant : "La politique est si violente qu'il vaut mieux en faire ensemble", dit-elle. En 1993, il est ministre du budget d'Edouard Balladur et, n'ayant pas encore réglé leurs divorces respectifs, ils ne sont pas encore mariés. Mais elle se fait déjà appeler "Mme Sarkozy" et fait partie de son cabinet. En 1995, après l'échec de Balladur à la présidentielle, elle lui conseille de revenir à son métier d'avocat. Ils se marient, ont un enfant. Mais il préfère s'accrocher à la politique. Elle consent à ce nouveau sacrifice. En 2004, lorsque Jacques Chirac met Sarkozy en demeure de choisir entre l'UMP et le ministère des finances, elle plaide pour rester à Bercy. Une fois de plus, il passe outre ses conseils et s'empare de l'UMP. Elle le suit.

Elle voudrait, pourtant, sortir de l'ombre. Elle caresse le projet de lui succéder à la mairie de Neuilly, de se présenter sur la liste de Jean-François Copé aux élections régionales. Il douche à chaque fois ses espoirs. Il a besoin d'elle auprès de lui. Elle s'agace de ne pas avoir d'existence propre.

A l'Elysée, elle était restée, au fond, dans cette ambivalence. Alors même que le président, soucieux de lui trouver un rôle, avait tout organisé pour qu'elle soit l'héroïne de la libération des infirmières bulgares retenues en Libye et dont la libération venait d'être négociée par l'Europe, elle avait aimé être dans la lumière. Avant de refuser ensuite toute explication officielle. En 2005, elle avait reconnu qu'elle ne "se voyait pas en 'first lady' traditionnelle". Chacun en avait conclu qu'elle moderniserait probablement le rôle. En fait, c'est la première partie de la phrase qui comptait : Cécilia ne se voyait pas en première dame tout court. Elle était déjà ailleurs.



Raphaëlle Bacqué et Philippe Ridet


JacquesL

Depuis le temps que ma fille me réclamait des casseroles à la queue du petit Racaille le Rouge, en voici, de jolies :
http://pabolesarko.site.voila.fr/casserolles_femmes_bruni.htm :

 

 

 









Et il y en a d'autres sur le site original...

En fait, il faut voir tout le site, trop bon, si riche !
http://pabolesarko.site.voila.fr/A.Table_des_matieres.htm





Etc...

JacquesL

Sarkoky, le pape et Carla, par Vincent Présumey.

http://www.legrandsoir.info/spip.php?article5884
Citer
Lettre de liaison, n°8 du 30 décembre 2007.


Désolés, chers lecteurs. Ce titre pourrait vous promettre du croustillant, au moins qu'on se foute un peu de leur gueule à ces profiteurs peu reluisants. Mais il ne s'agit ici que de colère.

Car ce que Sarkozy est allé raconter sous le nez du pape est d'un niveau de gravité au moins égal à celui de ses déclarations de campagne électorale sur le caractère "génétique" de la pédophilie et du suicide des ados. Quelques extraits commentés seront utiles.


Notons d'abord, mais on le savait déjà, que Nicolas Sarkozy est un ignorant : « C'est par le baptême de Clovis que la France est devenue Fille aînée de l'Eglise. Les faits sont là (sic !!!). En faisant de Clovis le premier souverain chrétien, cet événement a eu des conséquences importantes sur le destin de la France et sur la christianisation de l'Europe. A de multiples reprises, ensuite tout au long de son histoire, les souverains français ont eu l'occasion de manifester la profondeur de l'attachement qui les liait à l'Eglise et aux successeurs de Pierre. Ce fut le cas de la conquête par Pépin le Bref des premiers Etats pontificaux ou de la création auprès du Pape de notre plus ancienne représentation diplomatique. »

Tout professeur ou étudiant d'histoire médiévale sursautera devant ce condensé de sottises. La France n'est pas née avec Clovis, chef flamand qui, pour prendre l'Aquitaine aux Wisigoths, s'est allié aux évêques catholiques et à la vieille noblesse foncière gallo-romaine également devenue catholique. Le mythe de la France "fille aînée de l'église", auquel Clovis n'avait pas pensé, s'est formé bien plus tard sous les monarques capétiens, surtout sous Louis XIV qui voulait faire du catholicisme la religion obligatoire et expulsa pour cela, tortura, envoya aux galères les protestants. Pépin le Bref, à propos duquel il circule que Sarkozy le court aurait commis le lapsus Pétain le Bref, n'était pas plus un roi "français" que Clovis, la France n'existant toujours pas au VIII° siècle. Il mena à bien une opération de brigandage par laquelle il attribua au pape la bande de territoires qui devait être ensuite le malheur de l'Italie sous le nom d' "Etats pontificaux", jusqu'en 1870, composés des derniers morceaux de l'empire byzantin que n'avaient pas pris les Lombards, et dont le pape avait pris le contrôle : comme l'empereur d'Orient ne pouvait plus le protéger il a fait appel aux Francs en inventant l'idée de reconstruire un empire d'Occident, une invention chrétienne aux conséquences elles aussi très graves dans l'histoire de l'Europe. Quant à cette histoire de représentation diplomatique, c'est tout simplement n'importe quoi. Il n'y connaît rien, il raconte n'importe quoi (ce qui n'est pas le cas, notons-le, du vieux renard Ratzinger, qui s'y connaît, lui, en histoire canonique).

Un peu plus loin Sarkozy cite soudain le philosophe grec Héraclite : Si l'on n'espère pas l'inespérable, on le reconnaîtra pas. (Il s'agit en fait d'une mauvaise traduction d'un fragment d'Héraclite rapporté par Clément d'Alexandrie). Outre que ceci en dehors de tout contexte ne veut strictement rien dire -et les mouvements de mentons ne changent rien à la nullité de la pensée-, les bonnes âmes pourront se dire "mais où va-t-il chercher tout ça ? ". Tout ça, c'est du toc ; Héraclite pour ce que l'on en connaît est un penseur dialectique, qui met en valeur les oppositions, le choc des contraires et le combat. Rien à voir avec cette eau de sacristie insipide et inculte.

Ceci établi, passons au plat de résistance : « Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes. (...) Tout autant que le baptême de Clovis, la laïcité est également un fait incontournable dans notre pays. Je sais les souffrances que sa mise en oeuvre a provoquées en France chez les catholiques, chez les prêtres, dans les congrégations, avant [la mise en oeuvre de la loi avant son adoption ? Sarkozy croit que cela se passait comme avec lui ! Passons ...] comme après 1905. Je sais que l'interprétation de la loi de 1905 comme un texte de liberté, de tolérance, de neutralité est en partie une reconstruction rétrospective du passé. C'est surtout par leur sacrifice dans les tranchées de la Grande guerre, par le partage des souffrances de leurs concitoyens, que les prêtres et les religieux de France ont désarmé l'anticléricalisme ; et c'est leur intelligence commune qui a permis à la France et au Saint-Siège de dépasser leurs querelles et de rétablir leurs relations. » En clair, cela veut dire que la loi de 1905, séparant les églises et l'Etat, garantissant le caractère privé de la religion -une notion totalement absente du discours de Sarkozy, et pour cause- n'était pas une loi de liberté, ne garantissait pas la paix civile, agressait injustement les malheureux catholiques ; et que les choses ont finalement bien tourné parce qu'il y a eu l'union sacrée dans le carnage patriotique de 1914-1918, vrai acte fondateur, à l'encontre de la loi de 1905, de la "laïcité positive" à la sauce Sarko, et que les prêtres ont fait preuve d'intelligence contre le satanique et liberticide anticléricalisme. La laïcité, explique donc Sarkozy, est "devenue une condition de la paix civile", ce qu'elle n'était donc pas au départ. Pas faux : elle a été dévoyée dans l'union sacrée pour la défense de l'ordre établi. Car en effet la laïcité de 1905 (la seule laïcité véritable, qui ne privilégie pas les religions), est pour Sarkozy fondamentalement mauvaise, car elle veut nier le "baptême de Clovis" : « Elle n'a pas le pouvoir de couper la France de ses racines chrétiennes. Elle a voulu le faire. Elle n'aurait pas dû ». C'est le même reproche que Franco faisait à la République espagnole. Soulignons ce passage :

« Arracher la racine, c'est perdre la signification, c'est affaiblir le ciment de l'identité nationale, et dessécher davantage encore les rapports sociaux qui ont tant besoin de symboles de mémoire. »

Par la métaphore de la "racine", l'imagerie saint-sulpicienne qui se veut "spirituelle" tend la main à une autre imagerie, celle de la "terre et les morts" de Maurice Barrès, penseur nationaliste des années 1900, en allemand le Blut und Boden (le sang et le sol) de sinistre mémoire. Sans qu'il y ait équivalence entre les deux systèmes de représentations, il y a des passerelles. On remarquera que le thème de l' "identité nationale", appellation d'un ministère et d'un ministres désormais célèbres, se situe bien à la charnière de ces deux sphères idéologiques -celle de l'intégrisme chrétien et celle du racisme ethnique. N. Sarkozy était d'ailleurs accompagné devant Ratzinger du polygraphe français Max Gallo, que l'on peut de plus en plus considérer comme un sous-produit de Maurice Barrés.

Les militants laïques doivent méditer particulièrement cette interprétation sarkozyste des évènements récents : « le peuple français a été aussi ardent pour défendre la liberté scolaire que pour souhaiter l'interdiction des signes ostentatoires à l'école ». Sont ici mis sur le même plan la défense de la soi-disant "liberté de l'enseignement", c'est à dire le détournement de nos impôts pour payer des écoles contrôlées par l'Eglise catholique essentiellement, et la loi sur les signes religieux à l'école, interdisant de fait avant tout le voile musulman, et accessoirement les kippas et les trop grandes croix. Sarkozy a ici raison, non en ce qui concerne l' "ardeur" du peuple, mais le contenu de la loi chiraquienne : la loi de 1905 par elle-même suffisait à proscrire les signes ostentatoires et permettait un combat éclairé et non discriminatoire contre le voile, alors que la loi de 2003 et le rapport Stasi sur laquelle elle se fonde ont pour base la volonté de faire cohabiter les différentes "communautés" dans une école conçue comme celle de "toutes les religions" (voir la Lettre de Liaisons de janvier 2004, consultable sur le site des archives de Liaisons).

Mais le pire est un peu plus bas. Après avoir affirmé qu'il ne voulait pas abroger la loi de 1905, Sarkozy se livre à une attaque en règle contre son application :

«  Qu'il me soit également permis de rappeler les critiques virulentes dont j'ai été l'objet au moment de la création du Conseil français du culte musulman. Aujourd'hui encore, la République maintient les congrégations sous une forme de tutelle, refuse de reconnaître un caractère cultuel à l'action caritative ou aux moyens de communication des Eglises, répugne à reconnaître la valeur des diplômes délivrés dans les établissements d'enseignement supérieur catholique alors que la Convention de Bologne le prévoit, n'accorde aucune valeur aux diplômes de théologie. »

Il faut donc libérer les congrégations de tout contrôle, en leur permettant notamment, ajouterons-nous, de pomper encore plus de subventions publiques ; reconnaître le caractère cultuel des actions caritatives, ce qui mène très loin contre la santé publique et dans les quartiers, et faire des diplômes catholiques des diplômes d'Etat, permettant l'embauche de fonctionnaires agréés en tant que tels par les autorités cléricales. Voila la "laïcité positive" ! A part ça, on dit qu'on ne remet pas en cause la loi de 1905 ...

Le tout est complété par une attaque contre toutes les morales et éthiques non religieuses, républicaines, sociales, etc. -en fait contre tous les courants républicains et libéraux puis révolutionnaires et socialistes qui, depuis 1789, se sont affirmés contre la prééminence de la religion. Pompant cette fois ci sur la prose d'un Régis Debray, Sarkozy explique que la morale de l'incroyant est plus faible que celle du croyant. Oh certes, il le dit d'abord avec les subtilités jésuitiques et universitaires de ceux qui ont écrit son discours : « Même celui qui affirme ne pas croire ne peut soutenir en même temps qu'il ne s'interroge pas sur l'essentiel. Le fait spirituel, c'est la tendance naturelle de tous les hommes à rechercher une transcendance. Le fait religieux, c'est la réponse des religions à cette aspiration fondamentale. » Grossièreté et jésuitisme se conjuguent ici : évidemment l'incroyant s'interroge lui aussi (peut-être même, bien souvent, un peu plus !) sur "l'essentiel", et il peut revendiquer une "spiritualité" qui ne saurait toutefois équivaloir à cette "recherche de la transcendance" qui, dans la bouche de la médiocrité qui nous gouverne, ne veut rien dire du tout si ce n'est "agenouille toi devant ce qui te dépasse et reconnaît que cela t'échappera toujours". Si la "transcendance" c'est ça, non merci. Or, ajoute padre Sarko : « ... la morale laïque risque toujours de s'épuiser ou de se changer en fanatisme quand elle n'est pas adossée à une espérance qui comble l'aspiration à l'infini ». C'est la thèse de Ratzinger dans sa dernière encyclique contre le matérialisme athée : en clair, pas de morale sans religion. Finalement, puisqu'il ne peut pas s'empêcher d'être grossier, il fallait aussi que Sarkozy le dise grossièrement :

«  Dans la transmission des valeurs et dans l'apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l'instituteur ne pourra jamais remplacer le pasteur ou le curé, même s'il est important qu'il s'en approche, parce qu'il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d'un engagement porté par l'espérance.  »

L'instituteur ne vaut pas le curé, mais il doit s'en approcher le plus possible. Ite missa est. Nul doute que Sarkozy est ici à l'unisson de Ratzinger qui canonisait récemment les prêtres franquistes ayant mis en oeuvre le meurtre des institutrices et instituteurs laïques espagnols et catalans.

Reste la cerise finale : ne reculant devant rien, Sarkozy a expliqué aux ecclésiastiques présents que lui, président, comprenait les prêtres parce que leur vocation et les sacrifices qu'elle est censée impliquer sont au fond très proches. Il est permis de rire, naturellement, surtout quand on pense à l'ombre longiligne de Carla Bruni à laquelle tous ont du penser en matière de "sacrifices". Mais ces propos sont parfaitement en cohérence avec le contenu politique de tout le discours : l'institution présidentielle, comme son ancêtre directe l'institution monarchique, est un sacerdoce, une cléricature. A quand le sacre ? A quand la présidence de droit divin ?

En attendant, Sarkozy fixe une perspective de combat. Il a expliqué que sa République a lui a besoin de croyants, pas d'incroyants : « Bien sûr, ceux qui ne croient pas doivent être protégés de toute forme d'intolérance et de prosélytisme. Mais un homme qui croit, c'est un homme qui espère. Et l'intérêt de la République, c'est qu'il y ait beaucoup d'hommes et de femmes qui espèrent ». Vieille rengaine de l'Inquisition : qui ne croit pas n'espère pas, qui ne croit pas n'est pas un bon citoyen, espérez c'est-à-dire croyez ! D'ailleurs, « la France a besoin de catholiques convaincus qui ne craignent pas d'affirmer ce qu'ils sont et ce en quoi ils croient. La campagne électorale de 2007 a montré que les Français avaient envie de politique pour peu qu'on leur propose des idées, des projets, des ambitions. Ma conviction est qu'ils sont aussi en attente de spiritualité, de valeurs, d'espérance. »

Nous voila prévenus : la destruction du droit du travail ira de pair avec l'offensive contre-révolutionnaire catholique. Ce discours abominable a été tenu avec les trois invités du président venus voir le pape avec lui : un amuseur de beaufs, Bigard, représentant de l'idée qu'il se fait du "peuple" ("pipi ? hi hi hi ! Caca ? ha ha ha !" - Amen), Denis Gilbert, "curé des loubards", et Max Gallo, déjà cité. Le scatologue pour beaufs, le curé pour pauvres et l'allumé du bocal composaient ainsi une trinité résumant la "France de Sarko". Comme l'écrit La Croix : « Jamais un chef de l'Etat français n'avait si vigoureusement défendu l'héritage catholique de son pays ». La Croix est oublieuse de ses propres amours. Car le seul équivalent de tels discours, suivi d'actes, c'est le maréchal PETAIN.


Oui, mais, et Carla, dans tout ça ? On y vient. Qu'on le veuille ou non, l'affichage -à Disneyland- du président avec la dite Carla (Cécilia, Rachida, Carla, Fadela, Rama, Yasmina ... on va finir par le croire fétichiste des femmes en A) relève de la même politique. Quand la régression est en marche, elle doit concerner tous les domaines. Si le président, c'est le roi, alors les petites maîtresses du roi font partie du cirque présidentiel et ont une fonction politique. Au moins dans le registre du symbolique, il était triplement nécessaire que l'inconscient institutionnel de la V° République monarchique soit rassuré envers la virilité présidentielle, puisqu'il y avait eu :

- 1°) la peur sociale devant les cheminots et les jeunes,

- 2°) le sacrifice quasi sacerdotal du président devant son Altesse Khadafi comme rançon d'une politique afro-méditérranéenne de gangster,

- 3°) le divorce de la légitime.

Il était donc nécessaire, dans cette logique là, de faire savoir au bon peuple -celui que Bigard fait rire, d'une part, mais aussi celui des hauts fonctionnaires d'autorité dont la propre autorité est censée être une émanation de celle du chef suprême, comme l'aura des prêtres leur vient de leurs évêques qui le tiennent du pape- que la virilité du chef était encore en état de marche, compte tenu des batailles sociales qu'il lui falloir encore soutenir en 2008, car le plus dur reste à faire, ainsi qu'il le dit lui-même souventes fois ...

Vincent Présumey

JacquesL

Les suisses s'en délectent, pas de raison de vous en priver...

http://www.lematin.ch/pages/home/actu/monde/actu_monde__1?contenu=356266

Citer EX-MADAME SARKOZY -  FRANCE
Cécilia veut censurer un livre

Des extraits de l'oeuvre d'Anna Bitton ont été reproduits dans des magazines: «Nicolas est un sauteur», aurait notamment dit Cécilia

    - 09 Janvier 2008
    Le Matin & les agences


    Keystone
    L'ex-épouse du chef de l'Etat Cécilia ne spécifie pas quelle action précise est envisagée par ses avocats.

L'ex-épouse du président français, Nicolas Sarkozy, Cécilia Ciganer-Albéniz, a indiqué hier avoir «mandaté ses avocats afin d'engager toute procédure nécessaire à la protection de ses droits» avant la sortie d'un livre qui lui prête des propos peu aimables à l'égard du chef de l'Etat.

Des extraits du livre de Mme Anna Bitton, à paraître aux Editions Flammarion, ont été reproduits dans différents magazines. L'ex-épouse du chef de l'Etat ne spécifie pas quelle action précise est envisagée par ses avocats.

Dans cet ouvrage intitulé «Cécilia», qui sera publié dans les prochains jours, et dont l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur publie des extraits dans son édition d'aujourd'hui, la journaliste de l'hebdomadaire Le Point Anna Bitton prête à Mme Sarkozy des propos fort peu aimables sur Nicolas Sarkozy, sa personnalité, son entourage et ses ministres. Le divorce du couple a été prononcé le 15 octobre.

«Le livre se nourrit d'une longue relation entretenue depuis des années dans le cadre de mon travail de journaliste politique», a de son côté affirmé Anna Bitton.

«Un ouvrage amical»
Selon le site du Nouvel Observateur, le livre est conçu «comme un ouvrage amical - que l'auteur a même dédié à son héroïne. Mais il se révèle être d'une cruauté implacable. Pour Sarkozy, évidemment. Mais également pour Cécilia, qui est décrite comme une personne froide, devenue pitoyable et déconcertante de naïveté.» Bref, une pauvre petite fille riche «addict au shopping, s'amusant à emprunter les couloirs de bus pour constater la surprise des flics, gémissant sur sa pension insuffisante avec l'inconscience des bien nantis: «Même en renégociant la pension alimentaire (après le divorce), j'obtiendrai quoi? Mille ou deux mille euros de plus? Ce n'est pas avec cela que je vais pouvoir vivre? Nicolas ne va pas laisser son fils sous les ponts quand même!»

    "

    «Nicolas, il ne fait pas président de la République, il a un réel problème de comportement»
    Cécilia (selon Anna Bitton)
    "

Entre deux plaintes, Cécilia décrit ce que fut sa vie dans un mélange de clichés et de lucidité venimeuse, rapporte encore Le Nouvel Observateur. «Nicolas est un sauteur», en d'autres termes, un homme à femmes. «Nicolas est pingre. Un homme qui n'aime personne, même pas ses enfants...» selon Cécilia. «Il a un côté ridicule. Il n'est pas digne. Nicolas, il ne fait pas président de la République, il a un réel problème de comportement», estime-t-elle. Ou encore: «La politique est un décor de western derrière lequel il n'y a rien.» Et: «L'entourage de Sarkozy est une bande malfaisante...»

Chez Kadhafi
Quant au récit des voyages chez le guide de la révolution libyenne, il est confondant de vaudeville et d'exaltation: Cécilia, «morte de trouille», dévore des Ferrero Rocher en attendant Kadhafi dans son bunker...

Deux autres livres

«Ruptures» Ecrit par le journaliste et éditeur Yves Derai - qui avait rencontré Cécilia par l'intermédiaire de Rachida Dati - et Michael Darmon, le livre raconte les débuts du quinquennat, dont Cécilia est l'héroïne.

«Cécilia, la face cachée de l'ex-première dame» Deux autres journalistes, Denis Demonpion et Laurent Léger, publient cette biographie de l'ex-première dame, passant au crible son mysticisme d'ex-tourneuse de table reconvertie dans l'adoration de la Vierge et des paillettes, nourrie depuis l'adolescence des préceptes d'un gourou yankee, adepte du pouvoir de la volonté, selon Le Nouvel Observateur...


http://www.lematin.ch/pages/home/depeches__1/people/depeche_people?contenu=358496
CiterL'auteur de "Cécilia" nie avoir trahi l'ex-première dame de France

Anna Bitton, journaliste et auteur du livre "Cécilia", que l'ex-première dame de France a tenté de faire interdire par la justice, "jure" que "ce qu'il y a dans (son) livre est vrai".

    PARIS (AFP) - 14 Janvier 2008


    © 2008 AFP
    Le livre "Cécilia" de la journaliste Anna Bitton est exposé dans les rayons d'une librairie à Marseille, le 11 janvier 2008

Interrogée par RTL, l'auteur nie avoir trahi son interlocutrice et affirme que "les propos qui sont rapportés dans le livre ont été tenus par elle devant (elle), soit de visu lors d'entretiens soit au téléphone, et consigné dans (ses) carnets, dans (ses) bloc-notes".

Selon la journaliste, qui dit "avoir gagné la confiance" de Cécilia Sarkozy, il était "évident" que l'ex-femme du Président de la République savait que leurs entretiens allaient faire l'objet d'un livre.

A la question d'une éventuelle trahison de son contact, la journaliste affirme: "J'aurais le sentiment de l'avoir trahie si l'objet livre que j'ai écrit était autre chose que ce qu'il est, c'est-à-dire un vrai portait de femme, de femme politique, de femme d'un homme politique, de l'ancienne femme de l'homme le plus puissant de France, un livre qui lui est dédié, et un vrai hommage à la femme politique qu'elle a été."

Anna Bitton raconte connaître Cécilia Sarkozy depuis 2002 et "l'avoir toujours vue en tant que journaliste". Elle précise avoir pris ses notes devant son interlocutrice et ajoute que "ces notes ont été versées au dossier" judiciaire.

La journaliste dit plus loin n'avoir "absolument pas" fait lire le livre à Cécilia avant sa parution, "parce qu'on a toujours travaillé en confiance". La dernière rencontre entre les deux femmes a eu lieu, selon Anna Bitton, "le 16 novembre 2007". "Nous avons déjeuné ensemble. (...) Je n'ai jamais passé des vacances avec Cécilia Sarkozy, ni fait du shopping avec, ou même dîné avec elle. On a déjeuné ensemble, on s'est eues au téléphone, on s'est vues dans son bureau à l'Elysée, ou Place Beauvau ou à l'UMP", précise encore la journaliste.

Cécilia Sarkozy a fait appel de la décision du tribunal de grande instance de Paris, qui a rejeté vendredi sa demande d'interdiction du livre d'Anna Bitton.

Dans cet ouvrage, la journaliste politique du Point rapporte des propos qu'aurait tenus Cécilia sur le chef de l'Etat, ses enfants ou encore sur le publicitaire Richard Attias, qui a été son compagnon après une séparation avec Nicolas Sarkozy en 2005.

Anna Bitton fait ainsi dire à Cécilia que Nicolas Sarkozy "ne fait pas président de la République" et "a un réel problème de comportement", qu'il est "pingre", sans précision, ou qu'il "n'aime personne, même pas ses enfants", sans étayer ces propos.

Lors de l'audience, les avocats de Mme Sarkozy avaient jugé que ce livre "portait gravement atteinte à l'intimité de sa vie privée" et réclamé la sanction la plus sévère existant en matière de liberté d'expression: l'interdiction de l'ouvrage, sous peine d'une astreinte de 200.000 euros par livre publié.



http://www.lematin.ch/pages/home/people/people__1?contenu=357891
CiterCécilia Sarkozy ou le journal d'une cruche

«La face cachée de l'ex-première dame» révèle une quinquagénaire totalement immature, inculte et maniaco-dépressive. Nicolas Sarkozy la glorifiait en public, mais la ridiculisait en privé

    Ian Hamel - 12 Janvier 2008
    Le Matin Dimanche


    Keystone
    Cécilia Sarkozy ne s'intéresse à rien si ce n'est à dévaliser les boutiques de mode avec ses copines.

Les amateurs d'histoires de fesses seront déçus en feuilletant «Cécilia, la face cachée de l'ex-première dame». Contrairement à «Cécilia», l'un des deux autres ouvrages parus cette semaine sur l'ancienne Mme Sarkozy (lire encadré), il n'y a pas de révélations salaces sur le locataire de l'Elysée, incorrigible «sauteur». Le livre signé Denis Demonpion et Laurent Léger réussit le pari de consacrer près de 300 pages à une femme-enfant qui n'en mérite pas dix, sans être ennuyeux. Que dire de Cécilia? Elle n'a pas fait d'études, n'a jamais travaillé, change d'opinion plus souvent que de petite culotte, ne sait pas aligner trois mots. En fait, elle n'a qu'un talent très précieux: celui d'attirer des hommes riches et (ou) célèbres.

L'énumération des liaisons de Cécilia est éloquente. Dans l'ordre, l'avocat play-boy Jean-Luc Chartier, le financier Nicolas Barre, fils de Raymond Barre, le photographe de Jacques Chirac, Jean-Daniel Lorieux, l'animateur Jacques Martin (qu'elle a épousé et avec qui elle a eu ses deux filles), Nicolas Sarkozy (qui fut son deuxième mari et est le père de son fils), puis Richard Attias, organisateur de conférences internationales. Cécilia (qui se prénomme en fait Cécile) plaît aux hommes. A condition de ne pas ouvrir la bouche. «Elle adore être dans la lumière, mais elle est terrorisée. Elle n'a ni idée ni culture. Que voulez-vous qu'elle dise à ses interlocuteurs?» s'interroge Laurent Léger, coauteur du livre.

Les petits mensonges de Cécilia
Si Nicolas Sarkozy ne cesse de la magnifier devant les caméras, louant surtout sa beauté, il ne se fait guère d'illusions sur ses capacités intellectuelles. La traitant dans l'intimité de «conne» (du moins selon l'une des trois biographies), il s'oppose à ce que Cécilia figure aux élections régionales en Ile-de-France, ou accède au fauteuil de maire de Neuilly. En fait, «La face cachée» ne cache rien. L'ex-First Lady est vide. Elle ne s'intéresse à rien si ce n'est à dévaliser les boutiques de mode avec ses copines. En revanche, Bernadette Chirac avait fait l'Institut des sciences politiques de Paris, était conseiller général de Corrèze, et gérait ses oeuvres humanitaires.

Le livre fait toutefois la lumière sur les très nombreux petits mensonges de Cécilia. Son Prix de piano de la ville de Paris? On n'en retrouve pas la trace. Son passé de mannequin? En fait, elle était «portemanteau», comprenez un «mannequin boutique» qui essaie les modèles pour la clientèle fortunée. Son poste d'attachée parlementaire? Du bluff...

Coup de pouce à la scientologie
En revanche, Denis Demonpion et Laurent Léger révèlent une Cécilia adepte du gourou William Walker Atkinson, maître de la «Nouvelle Pensée», plongeant dans le spiritisme et apprenti médium. L'ex-première dame ne se contente pas de faire tourner les tables, elle aurait peut-être aussi influé pour que Nicolas Sarkozy modifie son approche des «mouvements spirituels nouveaux». Pour preuve, les Renseignements généraux (RG) reçoivent l'ordre d'assouplir leur surveillance sur les sectes, «au grand dam des associations de lutte contre les mouvements sectaires». Selon les auteurs du livre, un officier des RG, auteur d'une thèse sur l'Eglise de scientologie et ses dérives, aurait été carrément poussé à la démission. Enfin, cerise sur le gâteau, le 30 août 2004, Nicolas Sarkozy et Madame reçoivent au ministère l'acteur Tom Cruise, dont l'appartenance à la scientologie fait polémique en France.

À lire

«Cécilia - La face cachée de l'ex-première dame», Editions Pygmalion, 291 pages
   

Autres révélations sur Cécilia

Les deux autres livres consacrés à l'ex-première dame de France jouent sur un registre totalement différent. «Cécilia», d'Anna Bitton1, sent bon le règlement de comptes, même si la première intéressée dément à présent avoir voulu proférer des vilenies sur Nicolas. On est dans les ragots dont se délectent les lecteurs. Nicolas est un «sauteur», il est «pingre», il «n'aime personne, même pas ses enfants». Quoi encore? «Nicolas, il ne fait pas président de la République, il a un réel problème de comportement. Il faut que quelqu'un le lui dise.» A ce stade, on peut s'attendre à tout. Ira-t-elle jusqu'à révéler la taille de son zizi? Charles et Yvonne de Gaulle doivent tressauter dans leurs tombes à Colombey-les-Deux- Eglises.

Avec «Ruptures»2, de Michaël Darmon et Yves Derai, on flirte avec la bande dessinée ou la science-fiction. C'est carrément «Cécilia chez les méchants Arabes». En Libye, la James Bond girl de Neuilly lance aux policiers français qui l'accompagnent: «C'est le moment de prouver que vous en avez.» Aussitôt, ils font sauter les verrous des cellules avec leurs pistolets et libèrent les infirmières bulgares au nez et à la barbe des gardes libyens. Les infirmières ont déjà démenti.

A quand des livres sur Carla Bruni ?

1 Editions Flammarion

2 Editions du Moment


Discussion sur fr.soc.sectes :
Citation de: [email]annonciades@gmail.com[/email]On 13 jan, 07:33, "roger gonnet" <roger.gon...@chello.fr> wrote:
> > http://www.lematin.ch/pages/home/people/people__1?contenu=357891

Les journalistes français sont-ils devenus déloyal ?

Des journalistes manipule la vie de Cecilia pour se moquer du
président Nicolas Sarkozy

Denis Demonpion et Laurent Léger révèlent une Cécilia adepte du gourou
William Walker Atkinson, maître de la «Nouvelle Pensée», plongeant
dans le spiritisme et apprenti médium. L'ex-première dame ne se
contente pas de faire tourner les tables, elle aurait peut-être (IL
EST FACILE DE FAIRE CE GENRE DE PHRASE SANS LA MOINDRE PREUVE) aussi
influé pour que Nicolas Sarkozy modifie son approche des «mouvements
spirituels nouveaux». (ET POURQUOI PAS DE DEVENIR PRESIDENT DE LA
FRANCE)

Pour preuve, les Renseignements généraux (RG) reçoivent l'ordre
d'assouplir leur surveillance sur les sectes, «au grand dam des
associations de lutte contre les mouvements sectaires» (CE N'EST PAS
UNE PREUVE - NICOLAS SARKOZY A ETE MANIPULE PAR LA SECTE DE
SCIENTOLOGIE ET PAR TOM CRUISE) .

Selon les auteurs du livre, un officier des RG, auteur d'une thèse sur
l'Eglise de scientologie et ses dérives, aurait (ENCORE UN
CONDITIONNEL !) été carrément poussé à la démission (ET SI LA VERITE
ETAIT PLUTÔT QU'IL DOIT RENDRE MAINTENANT D'AUTRES SERVICES POUR LA
DEFENSE DE L'ETAT FRANCAIS - UN TRAVAIL BIEN PLUS PRIORITAIRE QUE
CELUI DE SURVEILLER LA SCIENTOLOGIE QUI, ELLE, NE POSE PAS DE BOMBES).

Ma conclusion : Je trouve que ce genre de livre fait honte aux métier
de journaliste. Un tel ramassis de suppositions et de mesquineries,
proche de la diffamation, permet aux sectes d'avoir encore de beaux-
jours devant elles. En effet ce sont pas de tels livres, sans preuves
et qui ne creusent aucun sujet, qui vont démontrer la dangerosité des
sectes et expliquer ce qu'est la manipulation écrasante au peuple de
France.

--
JLB

On attend le fin mot de la controverse, mais je ne l'ai pas. Pas encore.

JacquesL

La droite cassoulet : une petite saucisse avec tout plein de fayots autour...

http://www.dailymotion.com/video/x3zkyf_anne-roumanoff-sarkozy-carla-on-ne_fun
ou
http://www.tvmag.com/article/Divertissement/35296/Video_Anne_Roumanoff_se_paye_le_couple_Sarkozy_Bruni_.html
ou
http://jegpol.blogspot.com/2008/01/une-petite-saucisse-avec-plein-de.html
http://cabondavy.over-blog.com/article-7358577-6.html

Le texte :
Citer
Ça y est ! Notre Président s'est accouplé. Mitterrand avait eu je ne sais pas combien de maîtresses, nous n'étions pas au courant. Avec Sarko, on suit tout au jour le jour. C'est l'Élysée réalité. Mitterrand avait le culte du secret, lui n'a pas le secret du culte.
Elle est magnifique Carla Bruni. Il a pris la même avec 10 ans de moins et 10 cm de plus.
Lui pour sortir son poireau, il a besoin d'une asperge.
A mon avis, il va encore se faire assaisonner.
C'est une vraie séductrice Carla Bruni. Elle a un beau palmarès. La nuit pour s'endormir il peut compter ses ex.
Quand tu sors avec une fille comme ça, tu as intérêt à déballer le grand jeu. Et là Nicolas a fait très fort, car je suis sûre que c'est la première fois qu'un homme l'emmène passer la nuit à Eurodisney. On a quand même des châteaux en France, des auberges de charme, un patrimoine culturel ... non, Eurodisney ! 3 heures de queues pour 2 minutes de plaisir. Ils n'avaient jamais vu ça à Disneyland : Blanche-Neige qui épouse le nain !
Mais après ils sont partis, tous les deux, en tête à tête, en amoureux, en Égypte avec 600 photographes. Vous avez vu comme elle était belle Carla à la sortie de l'avion, avec son petit pantalon noir qui lui moulait tout l'hémisphère sud. Notre camembert Président les aime moulées à la louche.
C'est sûr que ça change de Bernadette. Bernadette tu l'emmènes en Égypte, ils la gardent pour la faire visiter.
Moi j'aimerais bien qu'elle devienne première dame de France.
Cela pourrait poser des petits problèmes.
Imaginez qu'Hilary Clinton soit élue présidente. Sarkozy va lui rendre visite.
Pendant les réunions officielles, les conjoints se tiennent compagnie.
Et connaissant le tempérament de Bill et de Carla, ça risque de provoquer des tensions dans les relations franco-américaines.
Mais c'est beau de les voir tellement amoureux. Je suis certaine qu'elle lui murmure des petits mots doux. : "oh mon petit Sarcophage, fais-moi voir ton obélisque".
Si ça se trouve, ça va même lui inspirer de nouvelles chansons
"On dirait que Sarkozy serait fou de mon corps, qu'il l'exhibe partout comme un joli trésor, pourtant quand vient la nuit il est tout picolant, ce n'est pas un engin c'est un bigorneau. Car Cécilia m'a dit, qu'il l'aimait encore, voilà pourquoi il dort."
Il ne faut pas m'applaudir. Je n'ai aucun mérite à imiter si bien Carla Bruni. C'est vrai que Carla et moi, on a un peu le même corps.
Avec Sarkozy il faut s'habituer au changement de style. Parce que de Gaulle on ne savait pas toujours ce qu'il allait faire. Mitterrand on ne savait pas toujours ce qu'il pensait. Chirac, on ne sait pas toujours ce qu'il faisait. Lui, il dit ce qu'il pense, il fait ce qu'il dit, il dit ce qu'il fait, parfois on aimerait juste qu'il se taise.
Sarkozy c'est vraiment le règne du style bling bling. Mitterrand était fasciné par l'Histoire de France, la littérature. Chirac était amoureux de l'Asie, des arts premiers. Sarkozy aime Eurodisney et les Rolex. On a le Président qu'on mérite.
Je le trouve un peu fatigué Nicolas en ce moment. Pour un mec qui revient de vacance. Avec sa Cléopâtre il est plus pompé que César.
Sinon il y a quand même eu des choses très importantes qui se sont passé dans l'actualité : Laure Manaudou nue sur Internet, je suis triste elle ne pourra pas postuler à Miss France. Je trouve ça dégoûtant tous ces blaireaux qui se sont précipités sur Internet pour taper "Laure Manaudou nu". Moi je l'ai fait, mais c'était juste pour voir.
Pour résumer, en France, avant on avait la gauche caviar, maintenant on a la droite cassoulet. Une petite saucisse avec plein de fayots autour.   

JacquesL


JacquesL


JacquesL


JacquesL


JacquesL



JacquesL

Président du conseil général des Hauts de Seine :
  Le Vrai Sarkozy, une âme de Dictateur.

http://www.youtube.com/watch?v=HkXsMd9F7pM

JacquesL


JacquesL

http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Per-per-per-tchu-tchu-tch%C3%A9

CiterPer-per-per-tchu-tchu-tché

« Si tu crois que c'est en insultant que tu vas régler le problème des pêcheurs, eh bien per-per moi d'te dire Per-per-per-tchu-tchu-tché! »
~ Napoléon IV à propos d'un breton (Juju).
« Attends, mais qu'est-ce que t'ouvres ta gueule là ?! »
~ Juju à propos de Nicolas Sarkozy
« Toutes les réponses aux grands mystères du monde se trouvent cachées dans cette phrase ! »
~ Dan Brown à propos de « Per-per-per-tchu-tchu-tché »


Per-per-per-tchu-tchu-tché a été prononcé pour la première fois par Napoléon IV le six novembre 2007 au Guilvinec, dans le Finistère. Per-per-per-tchu-tchu-tché ayant été inventé par l'Empereur de la République, c'est l'insulte suprême de la langue française.
...
Voir les vidéos :
http://www.youtube.com/watch?v=KLuBOqRpX-s
http://www.youtube.com/watch?v=ZAsFj608-IE