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L’Armée française savait probablement mais n’a rien fait pour protéger la popul

Démarré par JacquesL, 07 Mai 2020, 05:55:18 PM

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JacquesL

L'Armée française savait probablement mais n'a rien fait pour protéger la population du virus d'origine probablement française SARS-CoV-2

https://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=224138
Pseudo d'auteur : Abolab.

Alors que le premier cas mondial confirmé de COVID-19 a été découvert en France et date du 27 décembre 2019, faisant officiellement de la France le pays source ou l'origine probable de la pandémie mondiale de COVID-19, de nombreuses négligences de la part de l'Armée française semblent avoir aggravé la situation sanitaire locale et mondiale. En effet, l'Armée était déjà manifestement au courant depuis octobre de l'existence d'un virus circulant dans la population, notamment militaire, mais n'a rien fait pour informer ou pour protéger la population civile. De par ses négligences multiples, elle a de plus été à l'origine du premier foyer de COVID-19 dans l'Oise. Pire, en cette période de "transparence" souhaitée par le gouvernement, elle a refusé de délivrer des informations sur ses activités liées à l'épidémie, notamment ses "carnets de commande" médicaux, ou encore, de tester les militaires français présents à Wuhan en octobre 2019 via des organismes de santé indépendants.



Illustration : Carte partielle de propagation probable du SARS-CoV-2 dans le monde : le SARS-CoV-2, à l'origine de la pandémie de COVID-19, est officiellement détecté pour la première fois dans le monde à la date du 27 décembre 2019 en France, et a vraisemblablement pu être importé en Chine par des sportifs militaires français lors des Jeux Militaires Mondiaux d'Eté (JMME) de Wuhan entre le 18 et le 27 octobre 2019. Les sportifs français ont pu alors directement ou indirectement contaminer notamment cinq militaires américains, qui ont dû être hospitalisés en Chine, et potentiellement, de manière asymptomatique, des sportifs italiens qui ont eux-même alors propagé le virus dans leur pays dès la fin octobre. Le premier cas chinois officiellement authentifié à Wuhan le 31 décembre 2019 / 1ier janvier 2020, n'a en effet aucun lien épidémiologique avec le "marché humide" de Wuhan. D'autre part, le virus, en provenance probable de France, a ensuite manifestement été réimporté sur le territoire français par des ressortissants chinois en janvier 2020. Le 31 janvier, un avion militaire rapportait le virus dans l'Oise, à l'origine du premier foyer de COVID-19 en France, tandis que le 02 février, un avion français civil rapatriant des citoyens français, européens et internationaux et atteri à Istres semble être à l'origine du début de la contamination dans la région de Marseille et a également permis la propagation du virus en Europe et en Amérique du Sud.


Avec plus de "300 millions de tonnes" annuelles d'effluents animaux et de boue d'épuration épandues dans les champs (Dabert et al), et ce sans aucune obligation légale d'"hygiénisation", la France est depuis des décennies un véritable laboratoire à ciel ouvert de pandémies.

Pourtant, depuis le début de l'année, le gouvernement français et de nombreux médias diffusent des rumeurs non scientifiquement fondées de l'OMS d'un coronavirus en provenance du "marché humide" de Wuhan, sans aucun lien épidémiologique avec le premier cas authentifié en Chine en date du 31 décembre 2019 / 1ier janvier 2020.

Aussi, à la mi-mars, le chef des Armées et président de la République, M. Macron, partait en croisade guerrière contre le coronavirus, en déclarant notamment le confinement général de la population, tandis que dès le lendemain, les médias commençaient à présenter l'Armée comme une force médicale majeure au secours de la population.

Aujourd'hui, la vérité apparaît de plus en plus comme bien moins reluisante pour l'Armée, institution en fin de vie et en soin palliatif depuis de nombreuses années, dans un monde dans lequel la prise de conscience de l'unité humaine et de l'inutilité et de l'aberration des guerres grandit toujours de manière de plus en plus forte dans la population civile, et ce alors que l'OTAN était déjà déclaré par le "médecin en chef" Emmanuel Macron en "état de mort cérébrale" (il était temps).

Des "sauts de puce" médicaux de l'Armée, comme arme de diversion massive face à la gravité de la situation

En annonçant le début du confinement dans une tentative désespérée de montrer à la population qu'il maîtrisait la situation, le Président Emmanuel Macron a instrumentalisé l'Armée afin de cacher l'impréparation totale de l'Etat face à la pandémie, de par un discours volontairement guerrier et la mise en oeuvre de moyens militaires tout-à-fait dérisoires face à la pandémie et rapportés en boucle par les chaînes d'information.

Tout le monde se souvient en effet des "sauts de puce" de l'Armée française présentés à longueur de journée par les chaînes d'information :

... autant de moyens dérisoires face à l'ampleur de la pandémie, mais "bombardés" en boucle dans les médias sur une population déjà "groggy" et assommée par l'annonce du "grand confinement" et constituant une véritable opération de diversion militaire destinée à cacher l'impréparation et l'improvisation de l'Etat face à la situation qui se dégradait de jour en jour dans certains hôpitaux, notamment de l'Est de la France.

Un premier foyer humain de contamination virale probable à Wuhan en octobre lors des Jeux Mondiaux Militaires et probablement importé de France

Après l'annonce de la découverte d'un patient positif au COVID-19, le 27 décembre à Paris, faisant de la France le pays d'origine officielle de l'épidémie, l'exécutif s'alignait avec la parole de l'Armée qui rapportait :

Citer "Le premier cas de Covid-19 n'a été rapporté par la Chine à l'OMS que le 31 décembre 2019, soit deux mois après la fin des JMME. "

Ministère des Armées, France Info

Cependant, de nombreuses indications laissent à penser que les Jeux Mondiaux Militaires d'Eté organisés à Wuhan du 18 au 27 octobre 2019 sont le premier foyer humain connu de contamination virale au SARS-CoV-2.

En effet, cinq militaires américains ayant participé à ces jeux ont été hospitalisés en Chine après avoir supposément contracté la "malaria", maladie non transmissible d'humain à humain et dont on sait que la Chine a éradiqué la présence sur son territoire avec "pas un seul cas endogène de malaria recensé depuis août 2016" et qui n'est pas non plus une maladie endémique aux Etats-Unis, lieu probable de la contamination, compte tenu de la durée d'incubation de la maladie.

Des militaires français ayant participé à ces jeux ont également déclaré avoir été malades, avec des symptômes inhabituels et aujourd'hui évocateurs du COVID-19.

Citer« Il y a beaucoup d'athlètes des Jeux mondiaux militaires notamment qui ont été très malades. On a eu un contact avec le médecin militaire récemment qui nous a dit "je pense que vous l'avez eu parce qu'il y a beaucoup de gens qui ont été malades de cette délégation" »

Participant aux Jeux Mondiaux Militaires, 20Minutes

Plusieurs membres de la délégation ont ainsi été malades, certains "cloués au lit pendant trois jours", mais aucun n'a été testé pour le COVID-19, tandis que l'Armée refuse même, assez étrangement, de faire ces tests :

"Contactée par BFMTV, l'armée a indiqué qu'aucun test n'a été et ne sera mené sur eux."

D'autre part, le ministère des Armées, apparemment en pleine omission face à l'existence de cas d'hospitalisations étranges pour "malaria" de militaires américains à Wuhan, affirme :

« A ce jour et à notre connaissance, aucun autre pays représenté au JMME de Wuhan n'a par ailleurs rapporté de tels cas »

Ministère de la Défense, 20Minutes

Ainsi, deux pays de l'OTAN, la France et les Etats-Unis, avaient des militaires et personnels malades lors des Jeux de Wuhan, avec des symptômes inhabituels ou contextuellement étranges, comme un foyer de malaria assez improbable aux Etats-Unis et à l'origine de la mauvaise performance sportive des militaires américains.

L'Armée française cache ses "carnets de commande" et n'a pas placé en quarantaine les militaires et personnels qui ont rapatrié des français et "étrangers" de Wuhan, vraisemblablement à l'origine du foyer épidémique de l'Oise et de la contamination dans le Sud de la France, en Europe et en Amérique du Sud

Non seulement l'Armée a refusé de tester les militaires qui étaient symptomatiques en octobre 2019, mais elle refuse également de dévoiler aux journalistes ses "carnets de commande" médicaux, notamment en ce qui concerne d'étranges stocks de chloroquine commandés "par précaution", médicament utilisé pour traiter la malaria, et ce, après avoir pris connaissance de l'étrange hospitalisation de cinq militaires américains pour "malaria" lors des Jeux de Wuhan.

Il semble ainsi très probable que la commande de ces produits pharmaceutiques, arrivée seulement le 21 avril en France du fait du confinement qui a limité et retardé le commerce international chinois, ait été faite par l'Armée française après connaissance des cas suspects de "malaria" aux Jeux Militaires de Wuhan, la Chine ayant même alors accusé les Etats-Unis d'avoir exporté la maladie, tandis que de nombreux autres militaires, notamment français, ont également connu, suite à ces rencontres, des troubles inhabituels de la santé.

L'alimentation américaine traditionnellement plus riche en graisses et en cholestérol pourrait alors expliquer la survenue plus rapide et intense du COVID-19 chez les sportifs américains que chez les autres sportifs.

D'autre part, les militaires français de la base de Creil, en charge du rapatriement de citoyens français de Wuhan le 31 janvier 2020, n'ont manifestement pas été mis en quarantaine et sont également vraisemblablement à l'origine du foyer de COVID-19 dans l'Oise, qui a également contaminé d'autres régions françaises du fait de nombreux déplacements inter-régionaux avant le confinement instauré par le chef de l'Etat mi-mars.

Le 02 février, le rapatriement par avion civil atterrissant à Istres de 64 citoyens français, 135 citoyens européens et 58 citoyens non européens a également pu contribuer à la propagation de la pandémie dans le Sud de la France, en Europe et en Amérique du Sud.

Il apparaît aujourd'hui plus que jamais nécessaire d'enterrer et l'OTAN et l'Armée, premier employeur de France, et de reconvertir les militaires vers des activités bénéfiques à la société, et non propagatrices d'épidémies, de guerres ou de terrorisme.

L'Armée, institution qui coûte si cher à la société, et qui est manifestement incapable de protéger la population, et pire, qui ne cesse de la mettre en danger, non seulement en favorisant ou en encourageant illégalement des guerres civiles à l'étranger, qui nourrissent l'insécurité mondiale et le terrorisme, mais également en omettant d'informer la population sur les questions de santé publique.

Si l'Armée a caché la réalité de la situation à la population, son chef ne doit-il pas rendre des comptes, non pas sur ce qu'il a fait, car il est, du fait de la Constitution déclaré "irresponsable" de ses actions, mais plutôt sur ce qu'il n'a pas fait, c'est-à-dire informer la population afin de la protéger ?