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Afrique / Les États-Unis et la Russie s’...
Last post by JacquesL - 08 Mai 2024, 11:24:27 PM
Les États-Unis et la Russie s'affrontent au Niger

Par M.K. Bhadrakumar – Le 7 mai 2024 – Source Indian Punchline



Une telle chose ne s'est jamais produite au cours des cent dernières années, depuis que les États-Unis ont quitté l'hémisphère occidental en tant que puissance impériale : l'irruption d'un adversaire dans l'une de leurs bases militaires à l'étranger.

Une base militaire est considérée comme un territoire souverain et une entrée non autorisée constitue un affront, en particulier de la part de la Russie, une superpuissance rivale. Pourtant, Washington et Moscou minimisent la cohabitation de leur personnel militaire dans la base aérienne américaine située près de Niamey, capitale du Niger, connue sous le nom de base aérienne 101.

Dans la cacophonie de la guerre par procuration en Ukraine, on a peut-être oublié que le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a insisté sur le fait qu'il n'y avait pas de "problème significatif" dans cette cohabitation au Niger. Austin a expliqué : « Les Russes se trouvent dans une enceinte séparée et n'ont pas accès aux forces américaines ni à notre équipement. Je me concentre toujours sur la sécurité et la protection de nos troupes. Mais pour l'instant, je ne vois pas de problème significatif en termes de protection de nos forces. »

Cette retenue inhabituelle du chef du Pentagone s'explique probablement par le fait que Washington n'est pas en mesure d'expulser les Russes maintenant que les autorités nigériennes ont annulé les accords sur le statut des forces conclus avec les États-Unis.

D'autre part, le personnel militaire russe – qui proviendrait du nouveau Corps africain comprenant l'ancien Groupe Wagner – est arrivé au Niger il y a environ trois semaines à l'invitation du gouvernement nigérien.

Washington a également dû tenir compte du fait que l'armée nigérienne, qui avait par le passé travaillé en étroite collaboration avec les États-Unis, tout en cherchant à coopérer avec la Russie, n'est pas allée aussi loin que les voisins militaires du Mali et du Burkina Faso, qui se sont tournés vers Moscou. On peut dire que c'est le signe du plan de "diversification des partenariats internationaux" du Niger qui maintient ouvertes les perspectives d'un retour des États-Unis.

Quoi qu'il en soit, Austin doit être conscient que l'impasse dans laquelle se trouvent les liens entre les États-Unis et le Niger est largement imputable à la mauvaise gestion du département d'État, qui a officiellement qualifié de "coup d'État" la prise de pouvoir par les militaires à Niamey en juillet dernier. Le Rubicon a été franchi en octobre lorsque Washington a déclenché des lois limitant le soutien et l'aide militaires qu'il peut fournir au Niger.

Cette mesure punitive ignorait que le Niger restait un partenaire et un allié clé dans une région balayée par des coups d'État ces dernières années, où les États-Unis avaient investi plus de 100 millions de dollars dans leur base d'Agadez, qui a joué un rôle essentiel dans les opérations de drones américains au Sahel, et versé des centaines de millions de dollars dans les programmes de formation de l'armée nigérienne depuis 2013.

Avec le recul, on constate que certains des putschistes ont été formés dans des académies militaires américaines. En bref, le département d'État a tout gâché. C'est après une réunion houleuse à Niamey à la mi-mars, lorsque de hauts fonctionnaires américains se sont opposés à l'arrivée attendue des forces russes, que les généraux nigériens ont décidé que c'en était assez et ont demandé le retrait des troupes américaines. Washington ne s'attendait pas à ce qu'une chose aussi extrême se produise.

Il ne fait aucun doute que les Russes (qui n'avaient même pas d'ambassade à Niamey) sont venus préparés pour le long terme. Les "formateurs" militaires russes ont même apporté avec eux un système de défense aérienne. Interrogé sur ce déploiement, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a toutefois répondu : "Nous développons des liens avec différents pays africains dans tous les domaines, y compris dans le domaine militaire. Ils s'y intéressent, nous nous y intéressons aussi. Et nous continuerons à développer nos relations avec les États africains".

La Russie profite de l'alignement des opportunités suite à une conversation téléphonique entre le chef du régime militaire nigérien, le général Abdourahamane Tiani, et le président Vladimir Poutine, le 26 mars, sur le "renforcement de la coopération en matière de sécurité". Moscou avait déjà encouragé la formation de l'Alliance des États du Sahel, un pacte de défense mutuelle créé entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso en septembre de l'année dernière, neutralisant ainsi la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), qui est dans l'orbite de l'Occident, et avait à un moment donné caressé l'idée d'une intervention militaire au Niger (avec le soutien de la France) pour restaurer l'ancien régime du président déchu, Mohamed Bazoum, qui est en détention.

Il est évident que le Corps d'armée russe pour l'Afrique a du pain sur la planche – un grand défi l'attend alors que Moscou assume le rôle de pourvoyeur de sécurité. Plus les États-Unis deviennent paranoïaques à l'égard du commerce extérieur de la Russie dans les conditions prévues par les sanctions, plus l'Afrique devient un partenaire important dans le plan de Moscou. Il semblerait que la Russie coordonne une stratégie de sécurité régionale en Afrique de l'Ouest.

En aval, Washington semble avoir entrepris une évaluation honnête de ce qui a mal tourné avec le Niger. La semaine dernière, la chaîne PBS a organisé une interview passionnante sur ce sujet brûlant avec Peter Pham, ancien ambassadeur américain et envoyé spécial pour la région du Sahel. L'ambassadeur Pham a fait remarquer que l'expulsion des deux bases du Niger "constituera une perte et un revers très importants".
Il a admis avec une extraordinaire candeur que "nous [les États-Unis] aurions pu être plus attentifs au fait que des vents de changement balayaient l'Afrique".

"Les élites politiques sont largement discréditées dans les pays du Sahel. Ce n'est pas parce qu'il y a un renversement de gouvernement supplémentaire que ce qui a précédé était nécessairement une démocratie à la Jefferson. Et puis, très franchement, nos amis et alliés français sont des partenaires, mais ils ont un lourd passif dans cette région. Ils font l'objet d'un malaise généralisé. L'association [avec la France] a été quelque peu entachée. Nous aurions probablement pu mieux gérer la situation en étant attentifs à ce qui se passait, à la dynamique, et en nous engageant auprès des régimes qui ont émergé... La région connaissait une crise de légitimité de l'État. Les gouvernements ne fournissaient pas les biens, les services et la protection de base à leur population. Les gens veulent de la protection, de la sécurité".

Pham a souligné : "La grande erreur que nous commettons est d'essayer de les forcer à nous choisir ou à choisir l'autre... Mais ils [la Chine et la Russie] proposent des solutions plus rapides. Nous leur disons [aux élites africaines] 'nous ou eux' très souvent. Parce qu'elles [la Russie et la Chine] peuvent fournir des solutions rapides et immédiates, la junte ou d'autres dirigeants optent facilement pour elles... À court terme, ce qu'elles fournissent à ces nouveaux régimes, aux régimes militaires, c'est une couverture de sécurité. Il s'agit de la survie du régime". (ici)

Les remarques de l'ambassadeur sont fondées. Par ailleurs, la China National Petroleum Corporation a investi près de 5 milliards de dollars dans l'industrie pétrolière du Niger et a construit un oléoduc de 2000 km de long entre le Niger, pays enclavé, et la côte atlantique du Bénin, tout en détenant deux tiers des parts dans les champs pétrolifères d'Agadem. Le mois dernier, la CNPC a signé un accord avec Niamey portant sur un prêt de 400 millions de dollars, considéré comme une "bouée de sauvetage" après que les généraux ont coupé les liens avec la France et les États-Unis. Ce prêt doit être remboursé par des livraisons de pétrole brut dans les douze mois, à un taux d'intérêt de 7 %.

Ce qui reste dans la zone grise, c'est la mesure dans laquelle la Russie et la Chine pourraient coordonner leurs actions. Mais cela relève du domaine de la géopolitique. Les intérêts de la Russie sur la côte ouest de l'Afrique semblent résider dans la conclusion de pactes militaires, diplomatiques et économiques avec les dirigeants de ces nations en échange d'un accès stratégique à l'océan Atlantique. Et, bien sûr, à l'est, le Niger et le Tchad bordent le Soudan, où la Russie cherche à établir une base sous-marine dans la mer Rouge. Cette situation a de profondes implications géopolitiques.

Il est significatif que, dans les meilleures traditions du grand jeu, l'ambassadeur Pham n'ait pas perdu son souffle pour vilipender la Russie. En revanche, le département d'État a fait savoir qu'il préparait déjà un réengagement avec le régime de Niamey. Le secrétaire d'État adjoint Kurt Campbell "se rendra à Niamey dans les prochains mois pour discuter de la collaboration en cours dans des domaines d'intérêt commun".

M.K. Bhadrakumar

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

https://lesakerfrancophone.fr/les-etats-unis-et-la-russie-saffrontent-au-niger
#2
Europe / Ukraine SitRep. Manger les sem...
Last post by JacquesL - 08 Mai 2024, 11:14:09 PM
Ukraine SitRep. Manger les semences – Menaces d'intervention et réponses

Par Moon of Alabama − Le 7 mai 2024

Dima de Military Summary Channel et d'autres ont mentionné que l'armée ukrainienne a déployé sa police et ses cadets militaires sur la ligne de front.

C'est comme un agriculteur qui, lors d'une famine hivernale, mange son maïs de semence pour l'année suivante. Cela ne fera que prolonger la crise et garantira une famine encore plus grande l'hiver suivant.

D'où viendra la prochaine génération d'officiers de l'armée ukrainienne lorsque les cadets seront tous morts ?

Ces derniers jours, le chef de la minorité Démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a laissé entendre que les troupes américaines devraient intervenir en Ukraine :

CiterDans une interview accordée à CBS News, M. Jeffries s'est dit préoccupé par le fait qu'en dépit des milliards de dollars d'aide militaire fournie par les États-Unis, si l'Ukraine ne parvient pas à remporter la victoire sur la Russie, les États-Unis pourraient être contraints d'intervenir directement dans le conflit.

Le ministre britannique des affaires étrangères, David Cameron, a invité l'Ukraine à utiliser les armes livrées par le Royaume-Uni contre le territoire russe :

CiterDavid Cameron a déclaré que l'Ukraine avait "absolument le droit" de mener des attaques à l'intérieur de la Russie avec des armes britanniques, lors de sa deuxième visite à Kiev depuis qu'il est devenu ministre des affaires étrangères.

Lord Cameron a déclaré que c'était à Kiev de décider comment utiliser les munitions fournies par la Grande-Bretagne.

"Ils défendent leur pays, ils ont été illégalement envahis par Vladimir Poutine et ils doivent prendre les mesures qui s'imposent", a-t-il déclaré.

La France aurait déployé des éléments de sa Légion étrangère en Ukraine. Le rapport fait suite aux réflexions du président français Macron sur l'envoi de troupes françaises sur le terrain en Ukraine.

Tout cela est un peu trop pour la Russie. Elle a invité l'ambassadeur britannique à se rendre à son ministère des affaires étrangères pour entendre des propos sérieux :

CiterLe ministère russe des affaires étrangères a déclaré que l'ambassadeur du Royaume-Uni à Moscou avait été "convoqué" pour le faire "réfléchir aux conséquences catastrophiques inévitables de telles mesures hostiles de la part de Londres".

La Russie a également annoncé un exercice immédiat de déploiement d'armes nucléaires tactiques :

CiterLa Russie a menacé de frapper les installations militaires britanniques et a déclaré qu'elle organiserait des exercices simulant l'utilisation d'armes nucléaires sur le champ de bataille en réponse à l'utilisation d'armes britanniques par l'Ukraine pour frapper son territoire.
...

C'est la première fois que la Russie annonce publiquement des exercices impliquant des armes nucléaires tactiques, bien que ses forces nucléaires stratégiques organisent régulièrement des exercices.

Les exercices seront organisés par le groupe sud des forces russes, qui participe également à l'opération militaire spéciale en Ukraine.

Cela devrait pour l'instant faire taire les grandes voix qui rêvent de vaincre la Russie en Ukraine.

Il n'y a aucun espoir d'y parvenir. L'armée ukrainienne comptait 600 à 700 000 soldats, peut-être même plus. Elle a été vaincue. Combien de soldats la France pourrait-elle déployer en Ukraine ? 5,000-10,000 ? Et l'ensemble de l'OTAN ? 100,000 ?

Aucune force occidentale n'est actuellement configurée et équipée pour vaincre une force concurrente proche. Vingt-cinq années de "guerre contre le terrorisme" ont laissé ces armées dans un état déplorable. Pendant la première année d'une grande guerre, leurs troupes n'auraient aucune chance de survivre. Les forces russes, qui constituent désormais une machine bien huilée dotée d'un grand nombre d'excellentes armes, les vaincraient en l'espace d'une ou deux semaines. Que se passera-t-il alors ?

Depuis février 2022, l'ancien et le nouveau président de la Russie, Vladimir Poutine, a mis en garde contre toute intervention :

CiterJe le répète : si quelqu'un a l'intention d'intervenir de l'extérieur et de créer une menace stratégique inacceptable pour la Russie, il doit savoir que nos représailles seront rapides comme l'éclair. Nous disposons pour cela d'outils dont personne d'autre ne peut se prévaloir à l'heure actuelle. Nous ne nous contenterons pas de nous vanter, nous les utiliserons si nécessaire. Et je tiens à ce que tout le monde le sache : nous avons pris toutes les décisions en la matière.

Pour ma part, je ne prends pas ces avertissements à la légère.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

https://lesakerfrancophone.fr/ukraine-sitrep-manger-les-semences-menaces-dintervention-et-reponses
#3
Politique française / Les élections françaises n’ont...
Last post by JacquesL - 08 Mai 2024, 07:24:59 PM
Les élections françaises n'ont pas été truquées...  MAIS...

Je voulais réagir à votre remarque sur le fait que les élections françaises n'ont pas été truquées, pas besoin avec la masse de blaireaux vaccinés 3 doses, selon votre opinion...
Je voulais quand même vous faire part d'une expérience personnelle à ce sujet.
Je fais partie des gens qui sont convaincus d'un truquage massif. D'ailleurs, le score réel de Macron, selon moi, est apparu deux mois après les présidentielles, quand LaRem a fait 4% aux européennes : 6% maxi, c'est le fond du panier pour Macron, en grattant à deux mains, Mais passons.

Avec ma conviction du truquage, je me suis inscrite dans une association fondée par un type appelé François qui a lancé un projet de contrôle citoyen des élections, trois mois avant l'échéance présidentielle. Assez bizarrement, je me suis retrouvée propulsée au secrétariat de l'asso, où j'ai pu apprendre deux ou trois choses du fonctionnement électoral, mais aussi sur les buts de cette association. J'ai également traité des dizaines de milliers de mails, jusqu'à 700 par jour, de gens qui manifestaient le désir d'en finir avec Macron et de reprendre les choses en main à leur niveau. Beaucoup de gens tout autant que moi convaincus d'un truquage massif. Un nombre non négligeable d'entre eux était rendu fou furieux par le sentiment de trahison et d'impuissance. Certains étaient des assesseurs politiques assermentés qui avaient été empêchés en 2017 d'accéder en Préfecture pour assumer le deuxième étage de contrôle que les élections normalement requièrent.
En plus de cet excellent poste d'observation de la société française, j'ai pu également vérifier le fonctionnement de l'association de l'intérieur.
Tout d'abord, il faut savoir que les élections sont contrôlées au niveau local par les citoyens, mais dès que les résultats sont sortis de la mairie, ils sont acheminés à la préfecture où, à ce niveau de contrôle, seuls les assesseurs des différents partis politiques sont habilités à venir vérifier le décompte des votes. Au-delà du niveau départemental, le contrôle est effectué par des juges électoraux, nommés... par le pouvoir politique (comme c'est pratique). Ensuite, au niveau national, le Conseil Constitutionnel est supposé n'annoncer le vainqueur des élections qu'une fois tous les litiges purgés. D'autres associations que la nôtre l'avaient saisi, c'est pourquoi le CC s'est EMPRESSE de désigner Macron vainqueur, avec une célérité qui, en soi, était déjà problématique, et cela sans même étudier le moindre litige porté légalement à sa connaissance (par voie d'huissier).
Une fois élu, le «président» devient inexpugnable, car les lois de la république n'ont pas, semble-t-il, prévu ce type de configuration. C'est ce qu'on a vu aux USA, où la fraude a été massive, prouvée, et pourtant sans effet sur le résultat final.
Maintenant, le plus intéressant : la remontée des votes, leur centralisation et sommation se fait à Beauvau, par un logiciel appelé EIREL. Ce n'est même pas un Intranet, c'est juste un site en ligne avec un contrôle d'accès minimal (identifiant – mot de passe), donc crackable par n'importe quel hacker un peu pointu. Le logiciel n'est, lui, contrôlé par aucune instance administrative ou indépendante, rien, walou, zéro : en ligne sur Internet, pas de contrôle. Si le moindre problème fuite, on pourra toujours accuser les « hackers russes », et évoquer l'ingérence étrangère, comme cela a été fait aux USA.
Ce qu'il faut bien comprendre ici, c'est qu'il est possible d'imposer n'importe quel résultat TOUT en garantissant la conformité avec ce qui a été relevé au niveau local : les chiffres sont ventilés pour être cohérents, mais le résultat final est hors d'atteinte. Vous pouvez trouver Macron à 16 % sur des milliers de villes et de villages, et l'avoir à 26% en décompte final. Il fait nulle part 26% sauf dans Paris 16ème, mais c'est ce que va donner son score final. Et puis, comme vous l'avez vu, on peut au besoin retirer 2.3 millions de voix à l'un des candidats, en direct au 20H, sans que ça dérange personne. Où sont-elles passées, ces voix ?
Pour l'asso, l'idée de départ était de vérifier la sommation des votes au niveau national, en gardant à l'esprit que si un écart apparaissait quelque part, il fallait pouvoir certifier les votes au niveau local afin de porter l'affaire en justice. Le contrôle des votes au niveau des mairies n'avait qu'un seul objectif : permettre d'ester en justice. C'était le principe de base de l'asso, et c'est comme ça que nous avions envisagé son activité : viser la ventilation des votes, sachant qu'il y a peu ou pas de fraudes locales, au niveau des mairies : on l'a vérifié en accédant à certains documents du Ministère de l'Intérieur (la fraude locale est totalement marginale et ne concerne que quelques milliers de voix, tout au plus).
Le problème, c'est qu'un groupe de deux bonhommes avec un profil atypique (ancien gestionnaire de fortune pour l'un) ont noyauté l'association et « repris les choses en main » avant l'échéance. A quelques semaines de l'élection, ils ont offert une solution « clef en main » pour remanier le système de comptage de l'asso. Quand notre premier système a été démantelé pour mettre en place le second, il m'apparut clairement que le nouveau système avait pour objet le comptage en local, dont on savait qu'il ne présentait pas de fraude possible, et qu'il n'était plus question de s'attaquer à la ventilation des votes au national, trop complexe. A mesure qu'apparaissait cette mouture, je recevais des messages de statisticiens professionnels (CNRS etc) qui proposaient leur aide. Je mettais leur candidature de côté pour le Bureau, mais toutes ces compétences étaient systématique écartées. C'est là que j'ai commencé à flairer un flan.
De mon côté, j'ai mis à contribution les moyens humains de l'asso et les compétences des juristes qui y adhéraient pour proposer une saisine de la justice afin d'imposer un contrôle citoyen du logiciel EIREL. J'ai trouvé les autorités compétentes que nous pouvions sommer de contrôler EIREL, et d'autres auxquelles nous pouvions faire appel (sécurité intérieure, militaires...). J'ai fait valoir au bureau de l'association que cela rentrait dans son objet, et que c'était un coup de pute que nous pouvions jouer à la dernière minute. Nous pouvions le faire, nous pouvions saisir une ou plusieurs autorités pour forcer l'accès à la sommation des votes. C'était au minimum une bonne idée, avec des dizaines de milliers d'inscrits, nous étions fondés à faire la demande. Cette idée aurait dû être examinée avec soin par le bureau de l'association, mais ce n'est pas ce qu'il s'est passé : ils m'ont foutue à la porte le jour même, et ont coupé tous mes codes d'accès aux mails de l'asso, les téléphones, groupes Telegram etc. J'ai été écartée comme une malpropre. Apparemment je suis arrivée sur un continent tabou, le genre d'endroit où personne n'est censé atterrir.
C'est pour ça que j'ai acquis une profonde conviction de truquage : on a volontairement sabordé l'association pour qu'elle ne fasse pas ce qu'elle aurait dû faire : contrôler la ventilation des votes, contrôler l'activité d'EIREL. Rien de cela n'a été fait, et Macron a été élu triomphalement. La bonne blague.
Au lendemain des élections, je me suis quand même amusée à recompter moi-même les résultats affichés par les mairies des 75 premières villes de France (selon l'ordre de l'INSEE), et j'ai trouvé : Mélenchon premier, Macron second, au coude à coude avec Le Pen. Seuls quelques arrondissements de Paris donnaient Macron vainqueur haut la main. Les 75 premières villes de France correspondaient je ne me souviens plus trop, à 10 ou 20% de la population générale, et les proportions données par Beauvau ne s'y reflétaient pas du tout,
Autre point intéressant à noter : les villes où il y avait des machines à voter ont TOUTES affiché des taux significatifs pour Macron, largement supérieurs au reste de la population générale, et ne correspondant jamais à la moyenne locale. En clair, les villes dotées de machines à voter sont des îlots de Macronisme, même dans des cités ouvrières ou des zones frappées par l'immigration de masse, ce qui est pour le moins bizarre.
C'est pourquoi être en colère contre les blaireaux n'est pas suffisant (NDLR : si vous limitez mes textes à ça...). Une analyse plus fine de la situation montre que les choses ne sont pas telles qu'elles sont supposées être, et certainement pas telles qu'elles paraissent.

Paul  
https://echelledejacob.blogspot.com/2023/10/les-elections-francaises-nont-pas-ete.html?m=1
#4
«Nous sommes payés pour vacciner vos enfants»: le pédiatre révèle les détails du système de Big Pharma Payola


 Dans une interview au bus « Vax-Unvax » de la défense de la santé des enfants, le Dr. Paul Thomas a exposé les incitations financières que les pédiatres reçoivent pour l'administration de vaccins, y compris des pots-de-vin allant jusqu'à 240 dollars par visite.


Par
John-Michael Dumais


Les pédiatres peuvent-ils se permettre de gérer leurs pratiques médicales sans les généreux pots-de-vin qu'ils reçoivent pour vacciner chaque enfant? 


Dr. Paul Thomas, un pédiatre formé par Dartmouth, a discuté de ce dilemme lors d'un entretien du 16 avril avec Polly Tommey sur la tournée en bus « Vax-Unvax: The People's Study » de la défense de l'enfance. 
« Vous ne pouvez pas rester en affaires si vous ne collez pas assez près au programme de vaccination des enfants (Centers for Disease Control and Prevention) » a déclaré Thomas, qui a mené une pratique générale de pédiatrie avec 15 000 patients et 33 membres du personnel. 
Thomas s'est également penché sur les risques et les inconvénients des vaccins – y compris les vaccins à ARNm COVID-19 – et l'importance de stimuler naturellement notre système immunitaire. 


«Nous perdions ... plus d'un million de dollars» 
Thomas, auteur de « The Vaccin-Friendly Plan: Dr. L'approche sûre et efficace de Paul à l'égard de l'immunité et de la santé contre la grossesse à travers l'année des adolescents de votre enfant », a donné aux parents, dans sa pratique, un choix : vacciner leurs enfants selon le calendrier du CDC, vacciner plus lentement en attendant que le système immunitaire de l'enfant se développe ou ne se vaccine pas du tout. 
Comme de plus en plus de patients refusent les vaccins, Thomas commence à remarquer l'impact financier sur sa pratique. 
Lui et son personnel ont effectué une analyse approfondie de leurs dossiers de facturation, en examinant les revenus générés par les frais d'administration des vaccins, les majorations et les primes de qualité liées aux taux de vaccination. 


A child and adult holding hands
Million Dollar Match The Battle For The Truth 


Les résultats l'ont choqué. « Nous perdions... plus d'un million de dollars de vaccins qui ont été refusés. 
Il a expliqué que les pratiques pédiatriques dépendent fortement du revenu du vaccin pour rester à flot, les frais généraux atteignant 80 %. 


« Il est très coûteux de gérer un bureau pédiatrique », a-t-il déclaré à Tommey. « Vous avez besoin de plusieurs infirmières, de plusieurs réceptionnistes, de plusieurs factureurs et de dossiers médicaux – c'est une énorme opération. » 


Trois incitations financières à l'octroi de vaccins 


Les pédiatres reçoivent plusieurs types d'incitations financières pour l'administration des vaccins. 
Le premier est les frais d'administration, que Thomas a décrits comme un « Merci d'avoir donné le coup de feu ». Il a estimé que les pédiatres reçoivent généralement environ 40 dollars pour le premier antigène et 20 pour chaque antigène suivant. 
« Disons simplement une visite de deux mois, il y a trois DPTinjections de CD, trois antigènes, il y a trois injections, trois antigènes », a-t-il dit à Tommey, plus « Hib [Haemophilus influenzae type b, Prevnar [pneumococcal, Hep B [hépatite B, polio, rota [rotavirus) » 


La deuxième façon pour les pédiatres de bénéficier des vaccins est une petite marge sur le coût des vaccins eux-mêmes, bien que Thomas ait noté que ce n'est pas une source significative de revenus. 
La troisième et la plus forte incitation financière est celle des primes de qualité liées aux taux de vaccination. Les compagnies d'assurance offrent des primes aux pédiatres pour satisfaire à certains critères de référence, généralement environ 80 % des patients qui sont complètement vaccinés avant l'âge de 2 ans. 
« J'ai un rabais de 10 à 15 % sur ces unités de valeur relative – qui sont attribuées », a-t-il déclaré, décrivant le système de points utilisé pour calculer les remboursements aux médecins. 
Avec le taux de vaccination de sa pratique à peine 1%, Thomas risquait de perdre jusqu'à 15 % de ses revenus globaux. 
« Vraiment, cela signifie effectivement qu'une pratique pédiatrique ne peut pas survivre en utilisant l'assurance sans faire la plupart des vaccins, sinon tous », a-t-il déclaré. « Et je pense que cela explique que les aveugles – [pourquoi les médecins) n'oseront pas et ne diront pas le fait que ces vaccins causent beaucoup de mal. » 


Problèmes neurodéveloppementaux «clairement liés aux vaccins»
https://childrenshealthdefense.org/defender/pediatricians-paid-vaccinate-children-pharma-payment-scheme-dr-paul-thomas/


Tommey asked about sudden infant death syndrome (SIDS).
"When you hear the word syndrome, it means we don't know what it is ... [or] what causes it," Thomas said. "But we actually have a pretty good clue."
Thomas said six studies examined the correlation between SIDS cases and vaccines. "In one data set, 97% were in the first 10 days after the vaccine. Only 3% were in the subsequent 10 days," he said.
Other studies showed similar patterns, with 75-90% of SIDS deaths occurring within the first week after vaccination, he said.
Thomas also highlighted the increased risk of neurodevelopmental disorders, allergies and autoimmune diseases in vaccinated children.
"We know without a doubt that things like neurodevelopmental concerns, learning disabilities, ADD, ADHD [attention-deficit/hyperactivity disorder], autism [are] clearly linked to vaccines," he stated. "The more you vaccinate, the more likely you are to have these problems."
Vaccinated children are more prone to infections and illness compared to their unvaccinated peers, according to Thomas, who published a study comparing the health outcomes of each group.
"It's the vaccinated who get more ear infections, more sinus infections, more lung infections," he said. "Any kind of infection you look at, the vaccinated get more."

"The Wuhan Cover-Up" by Robert F. Kennedy Jr.
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'Healthy adults just "Boom!" — dropping dead'
The risks associated with vaccines extend beyond childhood. Thomas drew attention to the recent phenomenon of "Sudden Adult Death Syndrome" (SADS) following the COVID-19 vaccine rollout.
"We see it on the news, we see it on the ball fields: healthy adults just 'Boom!' — dropping dead," he said. "And that's all happened since the COVID jabs."
Thomas expressed particular concern about the mRNA technology used in COVID-19 vaccine development. He pointed out that despite decades of research, mRNA vaccines have never been proven safe or effective.
He cited previous attempts to develop mRNA vaccines for respiratory syncytial virus (RSV), which consistently failed in animal trials.
"When they got to the animal trials, they would vaccinate the rats," he said. "When they re-exposed those rats, in one study, 100% of them died."
The COVID-19 mRNA vaccines' narrow focus on the spike protein is also problematic because it causes the immune system to become "focused on just one thing," Thomas said.
"When the [viral] organism mutates, those who are vaccinated can't recognize this new mutation," he said, recalling how at a family gathering during the pandemic, it was mostly the vaccinated who contracted COVID-19.
Thomas shared a personal story about his mother's experience with pulmonary fibrosis after receiving three COVID-19 vaccines.
"After her third COVID shot, she started really running out of energy and then getting short of breath," he said. "Within a month, her lungs [had a] ground-glass appearance."
Tommey asked about the risks of vaccine shedding.
"Shedding seems to be happening, and it's been documented in studies," he said, explaining that vaccinated individuals can expose others to spike proteins through body fluids and secretions.
'We can no longer go to our doctors and say, "Fix me"'
Thomas discussed the likelihood of new pandemics being declared in the future, driven by the immense financial gains pharmaceutical companies reaped from the COVID-19 vaccines.
"They made too much money — Pfizer alone made over $100 billion," he said. "So the power that the public health machinery got to themselves with COVID has to be intoxicating to them."
In light of this, Thomas stressed the importance of personal health and natural immunity.
"We can no longer go to our doctors and say, 'Fix me,' after we've trashed our own health," he said. "So we've got to take responsibility for eating right, avoiding stress, getting adequate sleep ... [and] boosting our immune system naturally with organic produce."
Thomas also encouraged people to question public health authorities and make informed decisions about their health.
"I can no longer trust the CDC, the FDA [U.S. Food and Drug Administration], the NIH [National Institutes of Health]," he said. "Some good people work in these institutions, but the institutions themselves are captured."
Thomas said that when it comes to vaccines or a new pandemic illness, "They're the last people you want to trust."

RFK Jr. and Brian Hooker's New Book: "Vax-Unvax"
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'Vax Facts' book coming soon
Thomas shared information about his upcoming book, "Vax Facts," co-authored with his partner DeeDee Hoover. He said the book provides an easy-to-read, comprehensive guide to understanding the vaccine issue, regardless of one's current stance.
"This is going to ... allow you to really understand it in an organized, reasonable way why it makes sense now to pause" taking vaccines, Thomas said.
Tommey reminded viewers of Thomas' weekly show on CHD.TV, "Pediatric Perspectives," where he interviews pediatricians and doctors who focus on children's health.
Thomas encouraged viewers to visit his website, Kids First 4 Ever, to learn more about his work and to access coaching services for childhood vaccines and wellness.


https://childrenshealthdefense.org/defender/pediatricians-paid-vaccinate-children-pharma-payment-scheme-dr-paul-thomas/
#5
Maintenance décisive pour l'étanche : siliconer.


En toutes sorties de plein air, en raids, et à présent en jardinages, les seuls tissus qui ont tenu le coup sous fortes pluies (ou neiges mouillées), étaient siliconés.
Soit, pour les plus récents, étaient déjà siliconés à cœur en usine, après tissage, et il ne restait plus à traiter que les coutures ;
Soit furent siliconés par mes soins, sur leur face externe.


L'alternative du passé a été la graisse à coton, gendre Barbour. C'est devenu quasi introuvable, et très cher. Inenvisageable en dehors des vestes de chasse lourdes.


Siliconer un vêtement, une pélerine, un sac à dos, une bâche ou une tente, ce n'est jamais cher en valeur achetée, mais c'est du travail, et cela requiert de la place pour faire, et de la place abritée et aérée pour laisser sécher plusieurs jours.


Le sirop de silicone :
Il s'agit de la dissolution d'un mastic silicone transparent pour sanitaires, dans un solvant.
Le meilleur solvant, le moins cher mais le plus dangereux car fort inflammable, c'est le SP 95 que vous achetez à la pompe. Si vous êtes plus prudent ou craintif, prenez le white-spirit, que vous pouvez allonger à l'essence F, encore plus chère. Mais ce solvant plus rassurant sera bien plus long à s'évaporer.
Le mastic silicone s'achète en cartouches de 310 g dans toutes les GSB. Il vous faut un pistolet pour l'extruder en poussant le fond de la cartouche. Le meilleur modèle, en tube aluminium, est chez Lidl, certains jours par an.


Dans quel récipient touiller ?
Je prenais le bac en polyéthylène qui surmonte une boîte de paella et contenait le riz, ou qui surmontait une boîte de couscous et contenait la semoule. Environ 350 ml.


Avec quoi touiller ?
L'idéal a été une très forte petite cuiller en inox, à bout carré.


Combien de temps touiller ?
Verser d'abord le solvant, puis ajouter trois ou quatre voire cinq coups de gâchette du pistolet à cartouche. Pour moi cela faisait quelques 50 g par coup de gâchette. Minimum un quart d'heure de touillage. S'il y a trop de silicone pour la quantité de solvant, commencer quand même, avec ce qui est déjà sirop bien chargé. Vous rajouterez du solvant plus tard pour diluer le reste.


Quel pinceau utiliser ?
Les poils les plus raides possible, en grosses soies de nylon.

Sur quel support appliquer ?
Si vous avez l'espace et la protection contre les voleurs et vandales : érigez la tente, bien tendue, et badigeonnez avec un pinceau au manche assez long pour atteindre le sommet le plus plat. La laisser ensuite ainsi pendant 5 jours avant de remballer pour partir.


Dans tous les autres cas, il vous une ou plusieurs tables de travail, aussi grandes que possible. Et il vous faut vous abriter des friponneries du vent. Vous devrez protéger votre table par un carton aussi grand qu'elle.


Quand vous siliconez un vêtement, par exemple un anorak, ou un pantalon, vous ne pourrez achever qu'une seule face à la fois, puis la laisser sécher et réticuler avant de replier, sinon deux faces traitées vont se coller entre elles. Une bonne organisation est qu'en une session vous siliconez une seule face de plusieurs vêtements, et vous terminerez chacun dans une deuxième voire une troisième session. Les manches et les capuchons exigent...


Caveat : évitez les surépaisseurs, brossez et étalez jusqu'à ce qu'il ne reste plus de sirop en surface, seulement le tissu imprégné, qui a changé de couleur, qui est devenu plus sombre et coloré. Eventuellement frottez la surépaisseur avec une manche ou un capuchon pas encore traités.
Quelle serait la sanction d'une surépaisseur oubliée ? Le sirop dont le solvant s'évapore donne une mousse, blanche, ou si vous préférez, un gel désolvanté. Cette tache blanche est disgracieuse ; on la rend invisible en réappliquant du sirop silicone, qui rebouchera les pores.


Dans quoi mettre le pinceau entre deux travaux ?
Dans un petit pot de kérosène (pétrole lampant) : il est bien moins volatil que le white. Et vous recouvrez avec un sachet plastique, ou autre moyen. A placer là où vous ne le renverserez pas accidentellement...


Quand faut-il plusieurs couches de siliconage ?
Pour des vêtements épais, coton-polyester, le plus souvent militaires.
Exemple :
Parkas de la Bundeswehr, très longues, très costaudes, et perméables,
smock coupe-vent de l'armée britannique (SAS),
combat-jacket britannique...
Sur la housse de pulka, sur la toile supérieure de mon kayak : deux couches.


Dans l'immense majorité des cas, avec des tissus minces pour grand public, une seule couche suffit à transfigurer le vêtement. En gros vous obtenez le service d'un item cinq fois plus cher, certifié haute montagne. C'est applicable aussi à des colaminés Gore-Tex : ils cessent de décevoir.


Assurément le poids du vêtement ou du sac a augmenté, quand vous le pesez au sec chez vous avant le départ. Mais il n'augmentera pas dans le maudit mauvais temps, quand tout est devenu difficile et glissant, et vos gestes mal assurés à cause du froid, car il ne prendra pas d'eau, or cette prise de poids d'eau évitée est sans commune mesure avec le poids du silicone protecteur. La sécurité globale a nettement progressé.


L'immense majorité des tentes légères vendues au grand public, à mince enduction polyuréthane, exigent un siliconage de la face externe, pour réellement remplir leur usage sous un vrai orage.


Pollution aérienne ?
Certes. Les forêts aussi évaporent des terpènes, qui jouent un rôle crucial pour nucléer les nuages et faciliter les pluies. Et l'oxydation photochimique dans l'atmosphère résout bien des faux problèmes.
#6
Le changement climatique est normal et naturel et ne peut être contrôlé

Publié le mai 3, 2024 par hervek
 

Par Frits Byron Soepyan − Le 30 mars 2024 −  Source Real Clear Markets



La NASA a affirmé que "la Terre se réchauffe à un rythme sans précédent" et que "l'activité humaine en est la cause principale". D'autres ont proposé de dépenser des milliards de dollars pour contrôler le climat. Mais sommes-nous responsables du changement climatique ? Et que pouvons-nous faire pour y remédier ?

"Le climat de la planète Terre n'a jamais cessé de changer depuis la genèse de la Terre, parfois relativement rapidement, parfois très lentement, mais toujours sûrement", déclare Patrick Moore dans Fausses catastrophes invisibles et menaces de malheur. Espérer un "climat parfait et stable" est aussi futile que d'espérer que le temps sera toujours le même et agréable, tous les jours de l'année, pour toujours.

En d'autres termes, le changement climatique est normal et naturel, et vous pouvez oublier de le contrôler.

Par exemple, les cycles solaires, déterminés par le champ magnétique du Soleil sur des périodes de 8 à 14 ans, exercent une influence majeure sur le temps et le climat. Ils libèrent des quantités variables d'énergie et produisent des taches solaires sombres à la surface du Soleil. Les effets des cycles solaires sur la Terre varient, certaines régions se réchauffant de plus de 1°C et d'autres se refroidissant.

Les changements climatiques résultent des variations de l'interaction de l'énergie solaire avec la couche d'ozone de la Terre, ce qui influence les niveaux d'ozone et les températures stratosphériques. Celles-ci, à leur tour, influencent la vitesse des vents d'ouest en est et la stabilité du vortex polaire. Le fait que le vortex polaire reste stable et proche de l'Arctique ou qu'il plonge vers le sud détermine si les hivers aux latitudes moyennes de l'hémisphère nord sont rigoureux ou doux.

Outre les cycles solaires, il existe trois cycles de Milankovitch dont la durée varie de 26 000 à 100 000 ans. Ils comprennent l'excentricité, ou la forme, de l'orbite elliptique de la Terre autour du Soleil. De petites fluctuations dans la forme de l'orbite influencent la durée des saisons. Par exemple, lorsque l'orbite ressemble davantage à un ovale qu'à un cercle, les étés de l'hémisphère nord sont plus longs que les hivers et les printemps plus longs que les automnes.

Les cycles de Milankovitch impliquent également l'obliquité, c'est-à-dire l'angle d'inclinaison de l'axe de la Terre. Cette inclinaison explique l'existence de saisons, et plus l'inclinaison de la Terre est importante, plus les saisons sont extrêmes. Des angles d'inclinaison plus importants peuvent entraîner la fonte et le recul des glaciers et des calottes glaciaires, car chaque hémisphère reçoit plus de rayonnement solaire pendant l'été et moins pendant l'hiver.

Enfin, la Terre en rotation, telle une toupie, oscille légèrement sur son axe. Connu sous le nom de précession, ce troisième cycle de Milankovitch provoque des contrastes saisonniers plus marqués dans un hémisphère et moins marqués dans l'autre.

Les courants océaniques et éoliens, qui se déplacent de l'espace vers la Terre, influencent également le climat.

Par exemple, en temps normal, dans l'océan Pacifique, les alizés soufflent d'est en ouest le long de l'équateur, poussant les eaux de surface chaudes de l'Amérique du Sud vers l'Asie. Lors du phénomène El Niño, les alizés faiblissent et les eaux chaudes s'inversent, se déplaçant vers l'est et la côte ouest des États-Unis. D'autres fois, pendant La Niña, les alizés deviennent plus forts que d'habitude et davantage d'eau chaude est poussée vers l'Asie. Aux États-Unis et au Canada, ces phénomènes font que certaines régions deviennent plus chaudes, plus froides, plus humides ou plus sèches que d'habitude.

Outre El Niño et La Niña, il existe également l'oscillation nord-atlantique, qui est due à une faible pression atmosphérique dans l'océan Atlantique Nord, près du Groenland et de l'Islande (connue sous le nom de dépression subpolaire ou dépression islandaise), et à une forte pression atmosphérique dans le centre de l'océan Atlantique Nord (connue sous le nom d'anticyclone subtropical ou d'anticyclone des Açores). La force relative de ces régions de basses et hautes pressions atmosphériques influe sur le climat de l'est des États-Unis et du Canada, ainsi que sur celui de l'Europe, en influençant à la fois les températures et les précipitations.

De même, c'est grâce aux cellules de Hadley que la Terre possède des forêts pluviales équatoriales délimitées par des déserts au nord et au sud. Comme le soleil réchauffe le plus la Terre à l'équateur, l'air de part et d'autre de l'équateur est plus froid et plus dense. Par conséquent, l'air frais souffle vers l'équateur tandis que l'air équatorial chaud et moins dense s'élève et se refroidit, libérant de l'humidité sous forme de pluie et créant une végétation luxuriante. L'air ascendant et plus sec atteint la stratosphère en soufflant vers le nord et le sud pour s'installer dans les régions rendues arides par le manque d'humidité atmosphérique.

Ces phénomènes et d'autres qui influencent notre climat échappent largement au contrôle de l'homme.

Frits Byron Soepyan

Associé scientifique et de recherche à la CO2 Coalition, Arlington, VA, est titulaire d'un doctorat en génie chimique de l'université de Tulsa et a travaillé comme ingénieur en systèmes de traitement et chercheur dans des projets liés à l'énergie.

Traduction : Le Saker francophone.
https://lesakerfrancophone.fr/le-changement-climatique-est-normal-et-naturel-et-ne-peut-etre-controle

N.B. 
Soepyan oublie complètement le voisinage du Système Solaire : dans un bras galactique mineur en notre Plio-Quaternaire où il y a des glaciations.
Du coup il oublie la brièveté des interglaciaires - dont le nôtre, qui tire à sa fin - intercalés entre deux longues glaciations. Comme à présent. 
#7
Asie, Pacifique / L’Axe de la Résistance
Last post by JacquesL - 07 Mai 2024, 02:23:14 PM
L'Axe de la Résistance



par Observer R.

Les commentateurs de la guerre et de la paix se demandent souvent pourquoi la Russie et la Chine tolèrent que les États-Unis mènent autant d'activités terroristes, de guerres hybrides ou de changements de régime dans les pays du monde qui ne se soumettent pas aux règles occidentales. En ce qui concerne l'Ukraine, les critiques accusent la Russie de se battre avec la proverbiale «main dans le dos» au lieu de riposter durement contre les puissances occidentales qui sont réellement à l'origine des activités terroristes menées sur le sol russe par des agents ukrainiens mandatés.

Au Liban et en Syrie, l'armée israélienne a été autorisée à mener des bombardements, des attaques de missiles et des assassinats contre les forces alignées sur l'Iran sans trop de représailles, et ce jusqu'au 13 avril 2024. Quelles sont les approches différentes de la Chine, de la Russie et des États-Unis en matière de changement de régime ? Et quel est le rôle de l'«axe de la résistance» multinational ?

Le changement de régime (mise en place d'un nouveau gouvernement national) peut être réalisé de plusieurs manières : manœuvre parlementaire, élection, assassinat, coup d'État, révolution de couleur, défaite en temps de guerre, etc. Les États-Unis ont un avantage lors des élections en raison de leur «soft power» (puissance douce) dans les domaines du cinéma, de la presse, de la télévision, des médias sociaux, des smartphones et de l'internet.

Cette capacité se manifeste également dans ce que l'on appelle les «révolutions de couleur», où elle peut être combinée à l'influence des organisations non gouvernementales (ONG). Wikipédia propose un article intéressant sur les «révolutions de couleur», qui cite notamment la révolution des roses en Géorgie (2003) et la révolution orange en Ukraine (2004), qui ont toutes été encouragées par les États-Unis.

Une autre révolution de couleur bien connue des États-Unis, mais qui n'a pas abouti, a été l'effort «parapluie» à Hong Kong. Dans d'autres tactiques infructueuses, les États-Unis ont promu Alexei Navalny en Russie et Juan Guaido au Venezuela comme futurs dirigeants. Ces deux épisodes ressemblent à des tentatives d'amateurs d'opéra comique, plutôt qu'à une politique étrangère sérieuse.

Les États-Unis ont réussi à remporter les élections aux Philippines et en Argentine, où le premier est devenu plus anti-chinois et le second a fait marche arrière sur son adhésion à l'organisation des BRICS. Ce serait un travail à plein temps que d'essayer de suivre ce qui semble être les nombreuses opérations de changement de régime menées par les États-Unis dans le monde.

Les efforts de la Chine et de la Russie en matière de changement de régime ont été moins évoqués. La Chine est généralement décrite comme désireuse de travailler avec n'importe quel gouvernement sur une base commerciale et économique, et fait miroiter une augmentation du commerce et des investissements comme méthode pour influencer les gouvernements étrangers. Les exceptions semblent concerner principalement l'Asie du Sud-Est, où la Chine utiliserait des méthodes plus directes pour obtenir des gouvernements amicaux.

En Asie du Sud, les Maldives sont récemment devenues plus amicales envers la Chine et ont demandé à l'armée indienne de quitter le pays. Les Maldives avaient rejoint l'initiative chinoise Belt and Road plus tôt. La Chine est devenue le premier partenaire commercial de l'Afrique et le premier investisseur dans les infrastructures africaines. Il y a eu peu d'informations sur les tentatives chinoises de révolutions de couleur sur le continent africain.

Après la disparition de l'Union soviétique, la Russie a surtout fait parler d'elle dans des affaires concernant des pays limitrophes. Après le début de l'opération militaire spéciale en Ukraine, la Russie a ouvertement suggéré aux généraux ukrainiens de faire un coup d'État s'ils voulaient préserver l'armée ukrainienne et empêcher la destruction totale de leur pays. Les généraux n'ont pas pris l'avertissement suffisamment au sérieux.

Au Kazakhstan, la Russie a fait appel à l'Organisation du traité des États du Commonwealth (OTSC) pour mener une opération militaire éclair en janvier 2022, afin d'empêcher le régime en place d'être renversé dans ce qui ressemblait à une révolution de couleur. Toutefois, les commentateurs ont fait remarquer que les forces de l'OTSC n'étaient au Kazakhstan que depuis une semaine et qu'elles n'avaient même pas tiré un seul coup de feu.

La Russie a fourni une formation et une expertise à d'autres gouvernements sur les moyens de se défendre contre les révolutions de couleur. La Russie a été dénoncée par l'Occident pour ses efforts en Slovaquie, affirmant que la Russie s'était livrée à des manœuvres malhonnêtes.1

La Russie semble également avoir remporté un certain succès en Afrique, lorsqu'elle a invité tous les dirigeants africains à Moscou et que la quasi-totalité d'entre eux se sont présentés à une conférence. De nombreux coups d'État ont été perpétrés en Afrique, qui se traduisent souvent par le retour des militaires français dans leur pays, suivis éventuellement par les militaires américains. L'histoire est très actuelle au Niger, où les gros titres annoncent que les États-Unis viennent d'accepter de se retirer et de laisser derrière eux leur installation militaire de 100 millions de dollars. Toutefois, les petits caractères indiquent que les plans et les procédures de départ doivent encore être négociés et qu'aucun calendrier ni aucune date limite n'ont été fixés.

Les Russes semblent s'installer dans le pays, forts de leur expérience antérieure avec le groupe Wagner et maintenant avec une sorte de «corps africain» en gestation.

Axe de Résistance

Alors que la Chine et la Russie résistent à l'influence hégémonique des États-Unis dans le monde entier, un groupe plus particulier a acquis le nom d'«axe de la résistance» pour sa tentative organisée de contrer l'impérialisme américain et occidental et, en particulier, pour son travail d'obstruction des efforts sionistes en Asie occidentale.

«L'«axe de la résistance» est une alliance informelle et souple qui comprend des groupes et des gouvernements musulmans sunnites et chiites au Yémen, en Syrie, au Liban, à Gaza et en Irak, avec des différences et des niveaux variables de proximité les uns par rapport aux autres et par rapport à Téhéran»2. Il pourrait être utile d'examiner la situation vis-à-vis de la Résistance dans divers pays d'Asie occidentale.

Iran

Au fil du temps, l'Iran, membre éminent de l'axe de la résistance, a acquis une puissance politique et militaire considérable dans le voisinage de l'Asie occidentale, en partie grâce à l'utilisation intelligente de son héritage religieux chiite, de son héritage perse millénaire, de sa promotion de l'islam en général, dans une tentative de surmonter le clivage sunnite-chiite dans les affaires étrangères, de ses énormes réserves de pétrole et de gaz, et de sa situation géographique cruciale.

L'Iran se trouve au sommet des routes de la nouvelle soie entre la Chine et la Turquie/l'Europe/l'Afrique, ainsi que des routes de transport entre l'Inde et la Russie. L'Iran pourrait être considéré comme une tour sur le grand échiquier, capable de se déplacer dans toutes les directions. Il n'est pas étonnant que les États-Unis aient essayé, en vain, de provoquer un changement de régime depuis que la révolution iranienne a chassé le Shah et mis en place un gouvernement clérical hostile à l'Occident.

Ainsi, avec son influence croissante en tant que puissance moyenne en Asie occidentale, comment l'Iran joue-t-il, pour ainsi dire, le jeu du «changement de régime» ? Il ne semble pas que l'assassinat figure en tête de liste. Malgré les nombreux assassinats de généraux et de scientifiques nucléaires iraniens par Israël et les États-Unis, l'Iran n'a guère réagi. Cela peut surprendre, puisque l'ancienne organisation des Assassins était basée en Perse :

«Les Assassins (alias Nizari Ismailis) étaient un groupe hérétique de musulmans chiites qui étaient puissants en Perse et en Syrie du XIe siècle de notre ère jusqu'à leur défaite aux mains des Mongols au milieu du XIIIe siècle de notre ère. Bien à l'abri dans leurs châteaux fortifiés au sommet des collines, ils sont devenus tristement célèbres pour leur stratégie consistant à identifier les personnalités de l'opposition et à les assassiner, généralement par équipes armées de couteaux. Le groupe était connu sous le nom d'Assassins par leurs ennemis en référence à leur consommation de haschisch, «assassin» étant une corruption de l'arabe hasisi («mangeur de haschisch»), et le nom est depuis lors associé à leur principal modus operandi, l'acte d'assassinat à des fins politiques ou religieuses. Les Ismaéliens Nizari continuent d'exister en tant que branche de l'islam aujourd'hui».3

En fait, l'Iran a fait très peu, comparativement, pour utiliser l'une ou l'autre des méthodes de changement de régime. Au lieu de cela, l'Iran a suivi ce que les analystes ont appelé la «patience stratégique» pendant de nombreuses années. Cette stratégie est comparée à celle qui consiste à «faire bouillir la grenouille» en augmentant lentement la température.

On pourrait également parler de «persuasion amicale», la diplomatie et le «gant de velours» étant utilisés pour se faire connaître. L'Iran n'a cessé d'appeler toutes les nations musulmanes à cesser de se battre entre elles et à coopérer pour le plus grand bien de tous. L'Iran bénéficie également des efforts de la Chine et de la Russie, qui soutiennent largement des objectifs similaires.

L'Iran doit réfléchir à un certain nombre de choses : 1) la poursuite des tentatives américaines de promouvoir une révolution de couleur en Iran, 2) Poursuite des sanctions par l'Occident, 3) Popularité en Iran du maintien du pouvoir clérical et de ses règles, 4) Arrangements et activités avec l'OCS et les BRICS, 5) Interaction avec la Chine, l'Inde et la Russie, 6) Interactions et complications avec les pays musulmans et les pays arabes, 7) Que faire ensuite avec l'axe de la résistance, 8) Que faire ensuite après le bras de fer avec Israël, 9) Comment concilier le traitement de la Perse historique avec la république révolutionnaire moderne, 10) Etc.

L'Iran doit surmonter les divisions entre les musulmans chiites et sunnites, ainsi que le clivage historique entre les Arabes et les Perses. L'héritage de l'empire ottoman et de l'impérialisme occidental vient encore compliquer les relations internationales. Ce contexte complexe oblige l'Iran à s'engager dans une diplomatie complexe et à adapter ses actions militaires en conséquence.

Irak

Une partie au moins du gouvernement irakien avait demandé aux États-Unis de quitter le pays après l'assassinat du général iranien Soleimani et d'un haut responsable militaire irakien sur le sol irakien. Les États-Unis ont traîné les pieds sur la question. La Résistance a attaqué les bases américaines pour tenter d'inciter les États-Unis à se retirer rapidement. En février 2024, la Résistance a annoncé qu'elle suspendait ses attaques afin de donner aux responsables irakiens et américains le temps de négocier un retrait. Le Premier ministre irakien s'est rendu à Washington en avril 2024 pour de nouvelles discussions sur la question.

Manifestement, peu de progrès ont été réalisés, puisque la Résistance a repris ses attaques contre les bases américaines en Irak. Les États-Unis ont davantage intérêt à rester puisque les missiles et les drones lancés par l'Iran contre Israël passent au-dessus de leur tête et que les États-Unis peuvent contribuer à fournir une assistance en matière de ciblage ou de défense aérienne afin d'empêcher les armes d'atteindre Israël. De même, l'Iran souhaite vivement que les Yankees rentrent chez eux. On peut donc s'attendre à ce que la Résistance continue d'accroître la pression sur les bases américaines et que l'Iran augmente la pression sur le gouvernement irakien. Reste à savoir quel type de pression. Récemment, l'Irak a accueilli un visiteur important, le président de la Turquie. Les discussions auraient porté sur l'eau et les Kurdes.

Un article du News Desk du Cradle illustre la complexité de la situation pétrolière impliquant l'Irak, les Kurdes, ISIS, la Turquie et Israël : Il existe deux oléoducs entre l'Irak et la Turquie, l'un contrôlé par le gouvernement irakien et l'autre par les Kurdes. L'oléoduc gouvernemental a été endommagé et fermé il y a dix ans lorsque ISIS a pris le contrôle de la région. L'oléoduc kurde a été construit en 2013 le long d'un itinéraire différent, et la plupart du pétrole a été vendu à Israël, qui soutient les Kurdes.

La majeure partie du pétrole était vendue à Israël, qui soutient les Kurdes. L'oléoduc kurde a été fermé l'année dernière après une bataille judiciaire. Aujourd'hui, le gouvernement répare son oléoduc et prévoit d'expédier jusqu'à 350 000 barils par jour vers la Turquie.4

Syrie

La Syrie fait partie du réseau de la Résistance. Des portions du territoire syrien continuent d'être occupées par les États-Unis, la Turquie et Israël. La Syrie aimerait également que les Yankees rentrent chez eux et cessent de voler le blé et le pétrole syriens. La Syrie a admis avoir des discussions diplomatiques avec les États-Unis, mais il y a peu d'informations publiques sur des résultats substantiels.

Si les États-Unis quittent l'Irak, ils devront probablement quitter la Syrie, ce qui rendra difficile la poursuite de l'opération d'indépendance par les Kurdes, mettra le PKK dans une position plus difficile et permettra à la Syrie et à la Turquie de trouver plus facilement une solution à leurs problèmes.

Liban

Le Liban n'est pas membre de la Résistance, mais une fraction importante du pays, le Hezbollah chiite, est alignée sur la Résistance. Le Liban est divisé entre les chrétiens, les musulmans sunnites et les musulmans chiites, chaque groupe représentant environ un tiers de la population.

La situation politique et économique est très instable, les gouvernements étrangers s'ingérant constamment au Liban. La Résistance a remporté un succès important il y a trois ans en organisant des livraisons de carburant de l'Iran vers le Liban pendant une crise énergétique extrême.

La population libanaise a fêté l'arrivée du carburant. La Résistance a commencé à attirer des musulmans sunnites à la suite de la guerre de Gaza.

Des combattants d'un parti sunnite libanais, Jama'a al-Islamiyya, ont attaqué les forces israéliennes en coordination avec le Hamas et le Hezbollah.5

Yémen

Selon Wikipedia, la répartition religieuse au Yémen est la suivante : 45% de chiites et 53% de sunnites. La même source indique qu'il y a trois gouvernements différents au Yémen : Le Conseil présidentiel dans la partie orientale, soutenu par l'Arabie saoudite ; le Conseil transitoire du Sud dans le Sud-Ouest, soutenu par les Émirats arabes unis (EAU) ; et le Conseil politique suprême (Houthi) dans le Nord-Ouest, soutenu par l'Iran. Le gouvernement oriental succède au précédent gouvernement unitaire du Yémen et était/est le gouvernement officiellement reconnu par la communauté internationale. Ce régime a perdu la guerre civile et est devenu un gouvernement de facto en exil en Arabie saoudite pendant un certain temps. La capitale historique du Yémen, Sanaa, est sous le contrôle des Houthis.

La longue guerre civile au Yémen s'est finalement calmée à la suite des frappes militaires réussies des Houthis contre des installations en Arabie saoudite et dans les Émirats arabes unis, ce qui a conduit à une médiation de la Chine entre l'Arabie saoudite et l'Iran. Ces deux derniers pays tentent de s'entendre pacifiquement, du moins en public. Des troubles ont éclaté entre l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis en raison de rivalités politiques et commerciales et de différends territoriaux. Ce manque d'unité a entravé les efforts déployés pour lutter contre les Houthis.

Les Houthis ont surpris les analystes en venant en aide aux Palestiniens de Gaza par des attaques contre des navires affiliés à Israël dans la mer Rouge. Ces attaques se sont étendues au golfe Arabo-Persique et d'autres initiatives sont attendues si Israël ne met pas en œuvre un cessez-le-feu à Gaza :

«Doha (Sputnik) – Les États-Unis et le Royaume-Uni ont réduit leur présence navale en mer Rouge malgré l'absence de diminution de l'intensité des attaques menées par les rebelles Houthis du Yémen contre des navires liés à Israël, a déclaré jeudi le chef du mouvement rebelle, Abdul Malik al-Houthi.

«Nos opérations n'ont pas diminué, comme le prétendent les Américains en présentant cela comme leur réussite, mais c'est plutôt le mouvement de leurs navires de guerre qui a diminué. Il y a eu une réduction de 80% des mouvements des navires de la marine américaine, pas de nos opérations», a déclaré M. al-Houthi, cité par le radiodiffuseur iranien Almasirah, à l'occasion des 200 jours d'hostilités dans la bande de Gaza...

En outre, le chef du mouvement également connu sous le nom d'Ansar Allah a déclaré qu'il y avait un effort permanent pour étendre et renforcer les opérations dans l'océan Indien d'une manière que «les Américains, les Britanniques, les Israéliens et peut-être le reste du monde ne peuvent pas envisager».

... Ses déclarations sont intervenues un jour après que le mouvement a annoncé des attaques contre un navire et un destroyer américains dans le golfe d'Aden et un navire israélien MSC Veracruz dans l'océan Indien, après une semaine d'affrontements.

Depuis des mois, les Houthis lancent des attaques contre des navires commerciaux et militaires dans la région, en réponse à l'opération militaire israélienne dans la bande de Gaza. Ces attaques ont incité les États-Unis à former une coalition multinationale pour protéger la navigation dans la région et pour frapper les cibles houthies au sol».6

Au-delà de l'Axe

Le 2 mai 2024, la Turquie a annoncé qu'elle cesserait la plupart de ses échanges commerciaux avec Israël, ce qui constitue un changement de politique historique. La Turquie avait continué à faire des affaires avec Israël malgré la guerre de Gaza, et ce soutien économique à Israël contrecarrait les efforts de la Résistance pour imposer des sanctions économiques à Israël. L'une des raisons avancées pour ce changement est la défaite électorale du parti au pouvoir en Turquie, imputée au mécontentement de l'opinion publique face à la poursuite des échanges commerciaux de la Turquie avec Israël et à son manque de soutien à la résistance palestinienne.

Des manifestations populaires ont également lieu contre les politiques des gouvernements jordanien, égyptien et saoudien concernant la guerre de Gaza et la cause palestinienne. Alors que ces gouvernements ont manifesté une aversion certaine pour les Frères musulmans et offert un soutien minimal aux Palestiniens, les actions notoires d'Israël ont enflammé l'opinion publique dans ces pays. Cette divergence accroît donc la possibilité d'un changement de régime.

En outre, un groupe se réclamant de Bahreïn a annoncé des tirs de roquettes sur le port maritime israélien d'Eilat. Par ailleurs, il a été largement rapporté qu'un certain nombre de pays d'Asie occidentale abritant des bases militaires américaines avaient conseillé aux États-Unis de ne pas utiliser leurs pays pour lancer des attaques contre l'Iran si ce dernier ripostait au bombardement israélien du bâtiment diplomatique iranien à Damas.

Depuis plus de sept mois, l'Asie de l'Ouest se réchauffe. La température politique augmente en raison des actions menées à l'ONU, à la CIJ et à la CPI, ainsi que des manifestations, des élections et des rappels d'ambassadeurs. La température économique augmente en raison des pressions exercées en faveur des boycotts, des désinvestissements et des sanctions.

La Résistance a contribué au réchauffement local par des attaques de missiles sur les navires affiliés à Israël dans la mer Rouge, puis dans le golfe Arabo-Persique, et maintenant des menaces sur la Méditerranée. Le Yémen, puis l'Irak, puis le Bahreïn Les groupes de la Résistance ont attaqué le port d'Eilat, pratiquement en le fermant.

Aujourd'hui, la Résistance a intensifié ses attaques contre le port de Haïfa. Le prochain pourrait être Ashdod, l'un des trois ports maritimes les plus importants d'Israël. Les routes maritimes alternatives vers Israël ont été remises en question en raison de l'arraisonnement récent par l'Iran d'un navire dans le détroit d'Ormuz. Les bateaux de croisière ont annulé leurs visites en Israël.

La desserte de Tel-Aviv par les avions commerciaux a été interrompue à plusieurs reprises par des missiles volant au-dessus d'Israël. Le PIB d'Israël a chuté de 20% au quatrième trimestre 2023, alors que la situation était relativement plus calme. À moins que les États-Unis et Israël ne trouvent des mesures efficaces pour inverser la tendance, les deux pays sont confrontés à des temps difficiles.

Contrairement aux plans des sionistes, la guerre de Gaza a entraîné une augmentation de la pression publique dans le monde entier en faveur des Palestiniens et commence à créer des désaccords internes plus importants en Israël. Le vote à l'ONU continue d'isoler les États-Unis et de les mettre dans le même sac qu'Israël.

De même, la campagne du lobby israélien contre les critiques d'Israël met en évidence la question de savoir qui contrôle le régime américain. Au contraire, l'Axe de la Résistance a mieux réussi à rester uni et à avancer lentement dans ses efforts.

Questions relatives à l'Axe

Il est probable que l'Axe doive aborder un certain nombre de questions s'il veut continuer à rechercher des alternatives au statu quo. 1) Les membres de l'Axe ne sont généralement pas pleinement intégrés dans la structure gouvernementale officielle de plusieurs pays. Cette configuration en réseau est assez unique dans la situation mondiale actuelle et rend difficile l'interaction avec les organismes internationaux ou l'application des fonctions diplomatiques normales. 2) Pour réussir, l'Axe ne doit plus être considéré comme un groupe chiite ayant des intérêts particuliers, mais doit compter beaucoup plus de membres et de partisans sunnites et renforcer ses relations avec les centres d'enseignement islamique. 3) En outre, l'Axe pourrait devoir mettre l'accent sur la campagne contre l'impérialisme afin que la Résistance ne soit pas associée uniquement à la question palestinienne. 4) L'Axe pourrait également étendre ses efforts en travaillant avec les groupes d'autres pays qui s'opposent à l'impérialisme, au néocolonialisme, à l'apartheid et au génocide. Cela élargirait la coordination du mouvement de la Résistance au-delà des pays musulmans. Par exemple, il y a la Flottille de la Liberté qui tente de naviguer de la Turquie à Gaza, les manifestations d'étudiants pour la paix aux États-Unis et en Europe, les tentatives dans divers pays de limiter l'influence des ONG occidentales, et les pays africains qui demandent aux contingents militaires occidentaux de plier bagage et de rentrer chez eux.
Les puissances occidentales ne renonceront pas facilement à un demi-millénaire de contrôle, de sorte que la Résistance aura besoin d'une coopération maximale si elle veut l'emporter.

source : A Son of the New American Revolution

  • Russia Just Helped Swing a European Election ; Slovakia's new Russia friendly president won office with the aid of a barrage of pro-Kremlin disinformation» (par Paul Hockenos, journaliste basé à Berlin, foreignpolicy.com, 2024/04/17
  • »What is the «axis of resistance» of Iran-backed groups in the Middle East», par Fatima Al-Kassab, npr.org, 2023/10/26
  • »The Assassins» par Mark Cartright, 20 octobre 2019, worldhisory.org
  • »Baghdad to reopen oil pipeline to Turkiye, bypassing Kurds», thecradle.co, April 8, 2024
  • »Brothers in arms : the renewal of Shia-Sunni resistance against Israel», Bilal Nour Al-Deen, thecradle.co, 4 avril 2024
  • «US & UK Reduced Naval Presence in Red Sea-Houthi Leader», sputnikglobe.com, 2024/04/06

https://reseauinternational.net/laxe-de-la-resistance/
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Politique française / À propos des «démocraties» bri...
Last post by JacquesL - 07 Mai 2024, 02:04:15 PM
À propos des «démocraties» britannique, allemande, française sionisées



par Dominique Delawarde

Ghassan Abu Sitta est un chirurgien de guerre britanico-palestinien de 55 ans qui a été élu le 24 mars dernier avec 80% des suffrages exprimés par les étudiants, recteur de l'université de Glasgow, la 4ème plus ancienne du monde. En 2021, il est chargé de cours au Centre for Blast Injury Studies de l'Imperial College de Londres. Il est connu pour avoir apporté à plusieurs reprises une assistance médicale humanitaire en tant que chirurgien dans plusieurs zones de guerre : en Irak, au Liban, en Syrie, au Yémen et bien sûr dans les hôpitaux de la bande de Gaza après chaque bombardement meurtrier israélien consécutif aux révoltes palestiniennes de 1989 à nos jours.

Le chirurgien Abu Sitta retourne donc à Gaza le 9 octobre 2023, au début de la guerre entre Israël et les Palestiniens. Il y fournit une assistance médicale à Médecin sans frontières à l'hôpital Al-Shifa et à l'hôpital Al-Ahli, en opérant les victimes du conflit. Il témoigne de la guerre à la presse et publie des mises à jour sur Twitter au sujet de l'hôpital et de certains patients pendant l'assaut de l'hôpital Al-Shifa. Il s'est également adressé aux enquêteurs de la Cour pénale internationale et a participé à des conférences de presse pour décrire les atrocités perpétrées par l'armée israélienne dans la bande de Gaza.

Ses prises de paroles sont évidemment insupportables pour les lobbies sionistes dont les sayanims noyautent les institutions britanniques, allemandes et françaises. Il faut donc pour ces lobbies parvenir à le faire taire.

Le 9 octobre 2023, le docteur Abu Sitta part à Gaza au tout début de la guerre et des premiers bombardements israéliens qui suivent. Il sait d'expérience ce qui va se produire. Il sait qu'il y aura des dizaines de milliers de blessés (78 000 à ce jour) et que les hôpitaux seront vite débordés.

Le 16 octobre, histoire de l'emmerder en rajoutant une préoccupation à celle d'un chirurgien de guerre en plein stress de suractivité, sa famille est harcelée par la police anti-terroriste de Londres qui s'interroge sur son activité à Gaza.1

Le lecteur verra dans ce harcèlement visant à lui nuire la main du lobby et des sayanims directement pilotés par l'ambassade d'Israël au Royaume-Uni qui noyautent les institutions britanniques avec des relais dans la politique, la justice et la police. Pour ceux qui en douteraient voir l'excellent documentaire de 4 épisodes filmé en caméra cachée et présenté en janvier 2017 sur la chaîne TV Al Jazeera : «The Lobby».   

Le pouvoir d'influence de ce lobby sur la gouvernance britannique et son pouvoir de nuisance contre tous ceux qui s'opposent, même en soignant des blessés, aux desseins d'Israël, en l'occurrence massacrer sans limite les civils palestiniens pour terroriser et faire fuir les familles hors de la bande de Gaza dans une opération de nettoyage ethnique ; ce pouvoir est très important.

Le 18 novembre 2023, après 43 jours, Abu Sitta retourne à Londres, faute de matériel médical pour poursuivre ses opérations. Il y donne une conférence de presse sur son expérience. Il témoigne avoir traité des patients souffrant de brûlures au phosphore blanc, que l'armée israélienne nie avoir utilisé. Il raconte les amputations sans anesthésie et les opérations à même le sol dans les hôpitaux saturés.

Il collabore avec Scotland Yard pour partager son témoignage sur la situation à Gaza, et en janvier 2024, avec les enquêteurs de la Cour pénale internationale à La Haye. Son témoignage à l'AFP fait grand bruit :

«La différence entre cette guerre et toutes les autres auxquelles j'ai assisté est la même qu'entre une inondation et un tsunami. Par son ampleur, son intensité, sa férocité, le nombre de patients accueillis chaque jour, et le fait que 50% des blessés soient des enfants, tout cela dépasse tout ce que j'ai pu voir. La moitié de mes opérations quotidiennes concernait des enfants. Il s'agissait de blessures graves et dévastatrices, de blessures qui changent la vie, soit des amputations avec perte de membre, soit des blessures au visage qui défigurent gravement».

Le 11 avril 2024, la très démocratique Allemagne de Scholtz arrête le chirurgien à l'aéroport de Berlin, le détient pendant 3 heures pour interrogatoire, pour finalement lui interdire l'entrée du territoire alors qu'il devait témoigner dans une assemblée pro-palestinienne sur son expérience de 43 jours à Gaza. La police lui interdit même de tourner une vidéo qui pourrait être publiée en Allemagne. L'article du Washington Post relatant l'événement est édifiant et mérite le détour.

Ce comportement de la police allemande rappelle les plus belles heures du 3ème Reich. Surtout pas de témoignage gênant sur les génocides ... surtout lorsque l'État génocidaire est Israël dont l'Allemagne est le 2ème fournisseur d'armes derrière les USA. Rappelons que l'Allemagne est poursuivie aujourd'hui par le Nicaragua pour complicité de génocide devant la CPI.

Mais ce n'est pas tout

Le 4 mai 2024 notre chirurgien se rend en France à l'invitation du Sénat pour un témoignage sur son expérience à Gaza. Il est arrêté à l'aéroport. Les sayanims de la police font du zèle et vont jusqu'à l'incarcérer en cellule. Notre police a donc fait pire que la police allemande. On lui explique que l'Allemagne l'a placé sur une liste d'interdiction d'entrée dans l'Espace Schengen pour une durée d'un an.2

Décidemment, les exécutifs européens se ressemblent tous. Aucun ne veut voir les réalités en face et entendre les témoignages gênants. Il sera tellement commode de pouvoir dire demain : «je ne savais pas» comme la population allemande l'a fait à la fin de la 2ème guerre mondiale.

Pour ceux qui avaient encore des doutes, on sait désormais qui tient la main des chefs d'État occidentaux et la collusion qu'il peut y avoir entre eux au sujet d'Israël.



À la recherche d'un commanditaire et d'un narratif pour expliquer la protestation des étudiants US et européens contre le génocide à Gaza, la mafia des gouvernances Israël-US-OTAN a trouvé une idée géniale dont un lecteur avisé aurait pu se douter : accuser la Russie, la Chine et l'Iran qui ont évidemment tous pignon sur rue aux USA et en UE. Ben voyons ! Après tout, on ne risque rien à lancer des accusations gratuites. Il y aura toujours quelques benêts pour les croire.3

Dominique Delawarde



https://reseauinternational.net/a-propos-des-democraties-britannique-allemande-francaise-sionisees/
#9
Asie, Pacifique / Un autre crime sioniste, la de...
Last post by JacquesL - 07 Mai 2024, 01:42:17 PM
Un autre crime sioniste, la destruction de Rafah par des psychopathes

Publié le mai 7, 2024 par Wayan



Par Moon of Alabama − Le 6 mai 2024

Ce matin, l'armée israélienne a ordonné à des centaines de milliers de réfugiés de quitter la partie orientale de Rafah pour se rendre dans une zone déjà détruite et également surpeuplée autour de Khan Younis. Quelques heures plus tard, elle a commencé à bombarder et à détruire la zone.



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La partie orientale de Rafah comprend le point de passage de Rafah vers l'Égypte, par lequel la nourriture et d'autres produits de première nécessité entrent à Gaza. Elle comprend également le plus grand centre de soins de santé encore existant.

Comme l'entité sioniste continuera probablement à suivre son schéma habituel, la partie orientale de Rafah sera complètement détruite. Elle fera ensuite de même avec la partie occidentale.
Il ne restera plus un seul bâtiment habitable à Gaza.

Je m'abstiens généralement d'écrire sur les crimes du régime colonial des colons. C'est tout simplement au-delà de mes capacités émotionnelles.

Ce poème de Caitlin Johnstone est probablement la meilleure façon d'exprimer mes sentiments :

CiterJe m'oppose aux atrocités commises par Israël à Gaza parce que je ne suis pas une psychopathe
Je ne m'oppose pas à la boucherie de Gaza parce que j'aime le Hamas ou que je déteste les Juifs ou que j'aime l'Islam ou que je déteste l'Amérique. Je ne m'oppose pas à la boucherie de Gaza parce que je suis une gauchiste, une communiste, une anarchiste ou une anti-impérialiste. Je m'oppose à la boucherie de Gaza parce que je ne suis pas une putain de psychopathe.

Tous ceux qui soutiennent ouvertement ou silencieusement les sionistes dans cette affaire devraient être en prison.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

https://lesakerfrancophone.fr/un-autre-crime-sioniste-la-destruction-de-rafah-par-des-psychopathes
#10
Rando, ski, bivouacs, montagne. / Re : Couteau du randonneur ?
Last post by JacquesL - 06 Mai 2024, 06:03:05 PM
Depuis, l'Opinel n° 10 et le poignard bâtonnable marqué Columbia ont été trouvés attirants et ont été volés.