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Libres commentaires => Politique française => Discussion démarrée par: JacquesL le 30 Septembre 2009, 01:28:24 PM

Titre: France-Soir vole au secours de l'escroquerie en bande organisée :
Posté par: JacquesL le 30 Septembre 2009, 01:28:24 PM
http://www.jeanmarcmorandini.com/article-31086-exclu-face-a-face-entre-paul-lefevre-et-france-soir-ecoutez.html

En clair :
Paul Lefèvre est exclu parce qu'il avait osé parler d'une organisation d'escroquerie en bande organisée : la scientologie.

Citer
EXCLU: Face à face entre Paul Lefèvre et France Soir.

Hier, Paul Lefevre, chroniqueur judiciaire, a annoncé son départ du quotidien France Soir, "victime" dit-il "de plusieurs censures dans ses chroniques".

Dans un communiqué, Paul Lefevre écrivait : "En raison de censures répétées sur des chroniques et du refus d'en obtenir des explications, Paul Lefevre a décidé de quitter l'équipe de chroniqueurs du journal."

Paul Lefèvre était ce matin l'invité de Jean-Marc Morandini sur Europe 1.

Dans Le Grand Direct de la télé, il est revenu sur cette "affaire", affirmant qu'aucune explication ne lui avait été donné, avant d'ajouter que "la direction n'a jamais voulu me rencontrer.", et ce, malgré les nombreuses demandes par mail et par téléphone qu'il aurait faites. Il a donc pris la décision de démissionner.

Pourtant ce matin dans "Le grandi direct de la télé", ce face à face a eu lieu....

Paul Lefèvre évoque notamment une enquête sur la scientologie qu'il avait réalisée, précisant: "Je sais bien que personne ne veut toucher à la scientologie par peur des procédures, [...] mais dans ce cas, on ouvre un nouveau journal, "Mickey" ou un autre truc comme ça..."

La directrice générale déléguée de France Soir, qui s'est également exprimée sur Europe 1, a expliqué: "Nous attendons Paul dans le secteur judiciaire, tout ce qui n'est pas chronique judiciaire, n'est pas de son ressort. Il est hors sujet."

Une discussion houleuse s'est installée entre le journaliste et la directrice générale déléguée de France Soir. Paul Lefèvre termine par "C'est fini"


D'où il ressort que les exclus, c'est tous des tarés : oser parler des escroqueries en bande organisée, non mais pas fou, non ?
Où allons-nous si les journalistes se mettent à parler de ce qui se passe réellement, au lieu d'obéir à leur chèfe ? Ce serait l'anarchie, l'information ouverte !