Pratiquer les vertus citoyennes

Libres commentaires => Ironistes => Discussion démarrée par: JacquesL le 25 Février 2007, 10:38:48 AM

Titre: Des québécois racontent cela :
Posté par: JacquesL le 25 Février 2007, 10:38:48 AM
Des québécois racontent cela :

CiterUn jour, Nicolas Sarkozy entreprend un vol en avion avec son pilote privé.
Le temps est beau fixe, soleil radieux, pas de nuage, pourtant...

En plein vol, l'avion tombe en panne.
"Excusez, monsieur Sarkozy, je ne peux rien faire, nous courons droit à la catastrophe."
"Comment, mais que se passe-t-il donc ?"
"Le moteur a foiré, je ne contrôle plus l'avion, nous allons devoir..."
"... sauter..."
"Exactement, vous n'avez pas peur avec le parachute ?"
"Moi, peur, non... non, pantoute ! hey donc !"

Et Sarkozy saute courageusement quand...

il s'aperçoit avoir oublié de prendre son parachute sur lui.

Tout effrayé, il crie instinctivement : "Au secours, aidez-moi !"

C'est alors que l'esprit de François Mitterand lui apparaît et dit calmement à Sarcozy :

- Dis "Vive le Parti Socialiste !" et tu seras sauvé."
- ça va pas, la tête, ou quoi ? JAMAIS !

Leur courte discussion durant, Sarkozy s'était déjà fort approché de la France, toujours plus effrayé. Mitterand reprend :

- Crie "Vive le Parti Socialiste !" et je te sauverais !"
- JAMAIS ! j'ai dit JAMAIS, tu comprends ? JAMAIS !

Sarkozy s'aperçoit alors qu'il est à moins de 10 secondes du point de "rupture" et crie de toutes ses forces ! :

"VIVE LE PARTI SOCIALISTE !"

C'est alors que Mitterand le prend au vol... à la chute... et le dépose tout doucement sur le sol.

Sarkozy, tout en sueur après ses émotions, s'évanouit, conscient d'être sauvé, mais marqué.

A son réveil, Chirac s'approche et lui dit :

"Non seulement, tu dors pendant mes discours, mais en plus tu racontes des conneries !".
Seulement voilà : on a retrouvé l'original :

CiterLe 1er ministre Raffarin est dans un avion.
Soudain, le moteur explose.

Une seule solution pour sauver sa peau, sauter en parachute !
Malheureusement, dans sa précipitation, Jean-Pierre oublie le parachute et le voilà, tombant comme un caillou vers le sol à 250 km/h.

Soudain, le défunt Président, François Mitterrand lui apparaît et lui dit :
"Jean Pierre, crie Vive le PS et tu seras sauvé".

Raffarin refuse, "ca va pas, non ??"

Mitterrand revient encore et dit
"Raffarin , regarde le sol, comme il se rapproche vite ; crie Vive le PS et tu seras sauvé".

Raffarin refuse toujours, mais à 100 mètres du point d'impact fatal, il hurle de toutes ses forces "VIVE LE PS".

Mitterrand le prend alors par dessous les aisselles et le dépose délicatement sur le sol.
L'émotion est telle que Raffarin tombe dans les pommes.

Quand il se réveille enfin, Mitterand a disparu, mais Chirac est là, qui le regarde méchamment et qui lui dit
"Non seulement tu dors pendant les réunions, mais en plus tu gueules des conneries !!!"
Titre: Et puis ils racontent aussi le départ à la retraite du curé :
Posté par: JacquesL le 09 Juillet 2007, 12:02:44 PM
Départ en retraite du Curé

On fêtait le départ en retraite du curé de la paroisse par un souper d'adieu.
Un politicien local était invité pour donner un bref discours. Comme il tardait à arriver, le prêtre décide d'énoncer quelques paroles pour passer le temps.

" Ma première impression de ma paroisse je l'ai eue avec la première confession que j'ai eu à écouter. J'ai tout de suite pensé que l'évèque m'avait envoyé dans un lieu terrible  : la première personne me confessa qu'elle avait volé un téléviseur, qu'elle avait volé de l'argent à son père, qu'elle avait aussi volé l'entreprise pour laquelle elle travaillait en plus de tenir des relations sexuelles avec l'épouse de son supérieur. Aussi, à l'occasion, il s'adonnait au trafic de stupéfiants.
Et pour terminer, il me confessa qu'il avait transmis une maladie vénérienne à sa propre soeur.
J'étais atterré, apeuré, mais avec le temps, je connus plus de gens et je m'aperçus que tous n'étaient pas des trous de cul... J'ai vu une paroisse remplie de gens responsables, avec de bonnes valeurs, croyant en la foi. Et c'est pourquoi j'ai vécu les 25 années les plus merveilleuses de mon sacerdoce.
"

Sur ces mots arrive le politicien, qui alors prend la parole. Bien sûr, il s'excuse de son retard et commence son élocution :
" Jamais je n'oublierai le premier jour de l'arrivée du Père dans notre paroisse. En fait, j'ai eu l'honneur d'être le premier à me confesser à lui ! "
Titre: Les bines qui ne sentent pas bon, variante
Posté par: JacquesL le 30 Décembre 2008, 11:17:09 PM
Les bines qui ne sentent pas bon, variante

   Un jour j'ai rencontré un gentil Monsieur et nous sommes tombés amoureux.

   Nous devions nous marier, alors j'ai cessé de manger mon plat préféré... Les fèves au lard.

   Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne sur le retour pour la maison. J'ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard, car il me fallait marcher jusqu'à la maison.

   En marchant, je passe devant un petit resto d'où émane une odeur de fèves au lard à laquelle je ne peux résister. Vu les kilomètres qu'il me reste à marcher, je me dis que les 'effets' seraient sûrement passés avant d'arriver la maison. Alors je m'arrête et, sans m'en apercevoir, j'avais bouffé trois grandes portions de fèves au lard.

   A mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déjà rentré, tout excité de me voir et qui s'exclame: "Chérie, j'ai une surprise pour le souper ce soir".

   Alors il met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à table. En m'asseyant, le téléphone sonne juste comme il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher avant qu'il ne revienne et va répondre.

   Les fèves que j'avais avalées me faisaient toujours effet (du tonnerre) et la pression devient intenable; alors mon mari n'étant pas dans la pièce, j'en profitai. Je bougeai mon poids sur une jambe et en échappai un. Non seulement il était bruyant, mais l'odeur était comme celle d'un camion de rebuts passant sur une mouffette ! Je pris ma serviette de table pour faire circuler l'air autour de moi vigoureusement.

   Balançant mon poids sur l'autre jambe, j'en évacuai trois de plus. L'odeur était pire que le chou cuit. Attentive à la conversation de mon mari dans l'autre pièce, je continuai ainsi durant quelques minutes. Le plaisir était indescrïptible.

   Alors que les salutations au téléphone signalaient la fin de ma
   liberté, de nouveau j'aérai autour de moi avec ma serviette, la replaçai sur mes genoux et me croisai les mains, soulagée et fière de moi.

   Mon visage reflétait l'innocence au retour de mon mari qui s'excusa d'avoir été aussi long. Il me demanda si j'avais triché et regarda autour de lui; je lui assurai que non. C'est alors qu'il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table crièrent en choeur:

   '' Bon Anniversaire ! "

   Je me suis évanouie !!!!!!!!!

Titre: Mylord est dans son bain
Posté par: JacquesL le 11 Décembre 2011, 10:39:39 PM
Mylord est dans son bain.
Derrière la porte de la salle de bain, John, son valet de pied, est au garde à vous, attentif à ne laisser entrer personne, et aux moindres désirs de son maître.
Mylord est dans sa baignoire, et se frotte énergiquement le dos. Dans l'effort, il lâche gros et long pet dans l'eau.

Aussitôt John claque des talons, habitude d'ancien militaire, et part vers l'office, d'où il revient avec un verre et une bouteille de bière fraîche sur un plateau. Il toque à la porte de la salle de bains, et présente cérémonieusement le plateau à Mylord.

Etonnement de Mylord, qui demande des explications. Et John de s'expliquer :
"I am very confused, Mylord ! It seemed to me that you had just ordered 'Bljohnl ! Brling mle a bottle ofl Bleer !' "
Titre: Marquis et marquise
Posté par: JacquesL le 29 Mai 2012, 09:41:07 AM
Ce soir à table, le marquis est particulièrement remonté : ses ambitions politiques sont contrariées par la concurrence, il exhale ses rancoeurs du jour, et il échafaude des plans pour restaurer sa domination. Il est intarissable, et la marquise ne peut placer un mot. Quand même, un inconvénient stoppe le marquis, juste le temps de pousser un gros pet.
La marquise profite de la brève interruption pour placer un mot, narquoise :
- Quelle pétulance, marquis !
- Mais ? Mais ? Depuis quand, marquise, me tutoyez-vous ?