En vidant un vieux forum devenu pourri, je retrouve cette réflexion postée en 2005 :
Citation
CiterPhénomène intriguant, j'ai accumulé sur le site une quarantaine de photos animalières. A chacun sa mythologie envers les animaux, sauvages ou domestiques. A huit-dix ans, la mienne fut que ceux-là au moins sauraient être mes vrais amis, et me protéger contre la méchanceté et les persécutions. Chose dont mes vieux étaient volontairement incapables. Le sadisme les arrangeait bien s'il s'exerçait contre leur fils.
Mais aujourd'hui ? Quelle est ma mythologie active ?
Bonne question !
Il suffit sans doute de calquer la phrase écrite à propos de l'esprit scientifique :
"La motivation réelle pour devenir un obsessionnel de l'exactitude scientifique, ou linguistique, fut bien de fournir une démonstration : on peut respecter rigoureusement les faits. On PEUT ne pas tricher. On peut ne pas ensevelir autrui sous son territoire sonore, on peut ne pas procéder à un viol sonore permanent de son fils, comme le fit ma mère dans sa névrose. On peut respecter les faits en silence et avec humilité".
Si je peux respecter la vie sauvage - et je le prouve -, alors on pourrait respecter ma propre vie. Alors qu'elles sont à l'opposé, chez les matriarques absolues qui composent à elles seules la totalité du restant ma famille d'origine.
Mhoui... Ça se tient, ça tient la route...
Nous sommes fin 2011, et une des matriarques absolues mentionnées plus haut est décédée depuis.