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jacquesloyal

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#61
L'actualité, les media / Alerte rouge : Le cauchemar d’...
Last post by JacquesL - 20 Avril 2024, 06:08:02 PM
Alerte rouge : Le cauchemar d'Orwell en passe de devenir réalité



par Guy de la Fortelle

Si nous ne faisons rien, toutes les opinions alternatives seront bannies en France.

Signez d'urgence la pétition !
• https://vimeo.com/917339057

Madame, Monsieur,

Notre pays est en train de rompre avec près de 80 ans de libertés d'expression en instaurant un véritable Ministère de la Censure.

Avec sa nouvelle agence VIGINUM, l'État est en train de développer à grande vitesse une effrayante machine de censure et de surveillance des citoyens.

Si nous ne faisons rien, les analystes et médias indépendants seront bientôt totalement empêchés de VOUS informer sur les sujets sensibles.

Et vous, en tant que citoyen curieux, vous serez systématiquement fichés pour les opinions «incorrectes» que vous exprimerez sur les réseaux, y compris sous pseudonyme et pire encore, vous serez associés aux opinions de vos proches, contacts ou simplement ceux avec qui vous discutez en ligne !

Vous doutez de l'innocuité d'un vaccin ? Fiché !
Vous vous interrogez sur la corruption des grands lobbies ? Fiché !
Vous avez un avis «différent» sur les Gilets jaunes, la révolte des agriculteurs ou la guerre ukrainienne ? Fiché !

Et votre vie pourra alors BASCULER.

Ceci n'est pas une exagération, et je vais vous le démontrer dans une seconde.

Je m'appelle Guy de la Fortelle, je suis analyste indépendant et cofondateur du média Tocsin, avec la journaliste Clémence Houdiakova.

Je lance aujourd'hui un appel urgent à tous ceux qui veulent défendre la liberté d'expression.

Je vous demande de signer notre grande pétition pour dire NON au Ministère de la Censure en France.

Car si vous jetez un œil à l'actualité de la liberté d'expression, vous voyez que tous les signaux sont au rouge écarlate :

• Le 14 février dernier, l'Assemblée nationale a rétabli l'article 4 liberticide de la «loi sur les dérives sectaires» (Olivier Véran lui-même l'a reconnu en traitant le Pr Raoult de «gourou qui porte la blouse comme Raël porte la tunique» : l'objectif est bien de punir les «opinions dissidentes en médecine») ;

• La veille, le 13 février, le Conseil d'État a sommé l'Arcom, l'Autorité qui régule radios et télévisions en France, de mieux contrôler l'orientation idéologique de CNews – comme si c'était le rôle de l'État de décider quelles idées sont dignes d'être «vues à la TV» !

• En ce moment, aussi, sont réunis les «états généraux de l'information» voulus par Emmanuel Macron. L'un de ses objectifs est de mettre au pas les réseaux sociaux contre les soi-disantes «fake news». Et savez-vous à qui E. Macron a confié la direction de ces états généraux ? Au secrétaire général de Reporter Sans Frontières, l'homme qui a cherché à censurer CNews !

• Et le 17 février dernier est entré en vigueur le DSA, le Digital Service Act, une loi européenne voulue par Thierry Breton pour mieux censurer sur les réseaux sociaux, et en particulier Twitter (X), qui persiste à promouvoir la liberté d'expression sur sa plateforme.

Mais il y a encore pire.

Le plus inquiétant, c'est ce que vient d'accomplir l'agence d'État Viginum, bras armé du nouveau Ministère de la Censure.

Le 12 février dernier, Viginum a publié un rapport qui a permis au gouvernement de fermer immédiatement une vingtaine de chaînes d'informations sur Telegram.

Ce qui était reproché à ces chaînes, c'était de de diffuser des informations pro-russes sur la guerre en Ukraine. 

Selon le rapport, ces chaînes Telegram posaient problème car elles «présentent positivement l'invasion russe aux populations occidentales» et «dénigrent l'Ukraine et ses dirigeants, régulièrement présentés comme «corrompus», «nazis» ou «incompétents»».

Officiellement, l'objectif est de lutter contre «l'ingérence étrangère» sur l'information.

Mais cela fait penser aux méthodes du parti communiste chinois, qui empêche ses citoyens d'accéder aux informations occidentales sur Internet.

Dans une vraie démocratie, n'est-ce pas au citoyen libre de se faire sa propre opinion, à partir de toutes les sources d'information possible ?

D'ailleurs, sur le conflit en Ukraine, qui a désinformé qui ?
• N'est-ce pas plutôt le ministre qui disait que les sanctions allaient «mettre à genoux l'économie russe» ?
• Ou certains généraux de plateaux TV, qui nous assuraient que l'armée russe était tellement arriérée qu'elle était obligée de récupérer des puces électroniques sur des frigo ?
• Ou encore ceux qui garantissaient que la contre-offensive allait permettre à l'Ukraine de récupérer triomphalement la Crimée ?

Ce qui est visé par Viginum, ce n'est pas tant l'ingérence étrangère que notre accès à «un autre son de cloche» sur l'information !

La preuve : les chaînes Telegram pro-russes n'ont pas été fermées à cause du seul conflit en Ukraine. Ce qui est leur est reproché, c'est aussi de contester le «narratif officiel» sur tous les sujets.

C'est écrit noir sur blanc dans le rapport de Viginum :

«Ces chaînes publient également sur d'autres thématiques proches des sphères complotistes francophones qui tendent à remettre en cause la parole politique, les médias ou encore les différentes décisions prises au sein des organisations internationales comme l'OTAN, l'ONU ou l'UE par exemple».

Donc, que ces chaînes soient ou non financées par le Kremlin est accessoire pour Viginum et le système de censure gouvernemental.

Sous prétexte de supposée «ingérence étrangère», le pouvoir cherche manifestement à faire taire les opinions qui le dérangent.

Et pour cela, l'État français dispose désormais d'une arme redoutable à sa disposition, avec l'Agence Viginum.

Cette «arme de guerre» a été créée en 2021 par le gouvernement Emmanuel Macron, par simple décret, sans même passer par le Parlement.

La CNIL avait alors exprimé de lourdes craintes, car l'agence s'est vu octroyer le droit, via la surveillance des réseaux sociaux, d'obtenir une fiche précise de vos opinions en croisant tout ce que vous dites sur Facebook, Twitter (X), YouTube, etc. et de communiquer tout cela à d'autres services de l'État.

Vous avez «aimé» l'opinion d'un opposant au président Macron ? Viginum le sait.

Un petit pouce bleu pour soutenir le professeur Raoult ? Viginum le sait.

L'agence peut faire le compte de vos «mauvaises opinions».

Et conduire à vous faire censurer.

Ce sera pire encore si elle vous considère comme quelqu'un de trop «influent». Qui sait, dans ce cas-là, si vous n'aurez pas le droit à la «totale» ? (contrôle fiscal, fermeture de votre compte bancaire, poursuites judiciaires, etc..)

Viginum est un véritable cauchemar pour nos libertés.

Mais pourquoi cette agence n'a pas fait parler d'elle avant, alors qu'elle a été créée il y a deux ans ?

La raison est qu'elle était dirigée jusqu'à l'été dernier par un haut-fonctionnaire apparemment intègre, Gabriel Ferriol.

Problème : il n'était pas suffisamment agressif contre certains mouvements d'idées, alors il a été viré.

C'est écrit noir sur blanc dans la Lettre A, et cela fait froid dans le dos :

«Sa relecture en profondeur des notes d'analyse produites par le service et les modifications apportées jusqu'à en dénaturer le fond – notamment en minimisant l'influence de mouvances d'extrême droite complotiste – ont progressivement créé un malaise» (Lettre A)

Maintenant qu'il est parti, nous pouvons craindre le pire, et c'est pourquoi je vous demande de signer d'urgence notre grande pétition :

JE SIGNE LA PETITION CONTRE LA SURVEILLANCE GENERALISEE :
 NON AU MINISTERE DE LA CENSURE


La censure d'une vingtaine de chaînes Telegram n'est que le début.

Avec les pouvoirs dont dispose Viginum, tout est désormais possible contre les opinions divergentes de l'idéologie dominante.

Je vous donne quelques exemples :

• Si le mouvement des agriculteurs dégénère, on pourra dire que la déstabilisation vient de Russie ou de Chine pour mieux organiser une censure de masse ;

• Même chose avec des informations critiques sur l'état réel de nos banques ou les risques pesant sur nos assurances vie (saviez-vous qu'en 2023, les Français avaient retiré 27 milliards de ce placement ?). Pourquoi ne pas censurer les informations sur ces sujets, dès lors que «l'intérêt national supérieur» est en jeu ?

• Même problème avec le sujet très sensible de l'immigration : saviez-vous que l'ancien patron de Frontex, un haut fonctionnaire français passé par l'ENA, a déclaré, je cite, «La Commission européenne voit l'immigration illégale comme un projet et non pas comme un problème». À quand la censure de ce propos sur toutes les plateformes, au motif qu'il ferait «le jeu des mouvances complotistes ou d'extrême droite» ?

«Qui veut tuer son chien l'accuse d'avoir la rage» disait l'adage.

Aujourd'hui, si vous êtes critique vis à vis des vaccins Covid, si vous avez un doute sur le narratif climatique, ou si vous êtes contre le wokisme à l'école, vous êtes forcément d'extrême droite ou complotiste, et donc forcément coupable de désinformation.

Je n'exagère pas. Quand France Inter demande à un Prof de Sciences-Po de définir la désinformation, voici sa réponse : 

«Vous avez de la droite identitaire, de la droite nationale-populiste, de la 'réinformation'. Tout cela constitue un réseau : Papacito, TV Libertés, Réinformation TV, Thierry Casasnovas, Silvano Trotta, etc.».

Et puisque ces opinions sont qualifiées de «désinformation», l'État se donne le droit de les censurer, et s'est organisé pour le faire massivement avec Viginum.

Et vous pouvez être certain que la censure ne touchera pas seulement les opinions «politiquement incorrectes».

La censure sera utilisée, aussi, pour écarter les informations qui gênent le pouvoir en place.

Si vous ne me croyez pas, c'est écrit noir sur blanc sur le site de France Inter :

«En 2017, l'entre-deux-tours de la présidentielle est perturbé par ce qu'on appelle les «Macron Leaks». Il s'agit de la fuite de dizaines de milliers de courriers électroniques du mouvement En Marche ! d'Emmanuel Macron. C'est justement pour contrer ce genre d'attaques numériques venues de l'étranger que le gouvernement français a décidé de mettre en place Viginum»*

Problème : personne n'a pu prouver que ces Macron Leaks venaient de l'étranger.

Ce qui est certain, c'est que leur contenu était très gênant pour le pouvoir, qui a donc décidé de se doter des outils pour les censurer !

C'est chose faite avec Viginum, et c'est pour cela que je vous demande d'agir maintenant.

Signez notre grande pétition, Non au Ministère de la Censure en France, et transférez la à tous vos contacts.

Je compte sur vous : ce sont nos libertés les plus fondamentales qui sont en jeu.

Guy de la Fortelle
Co-fondateur de Tocsin

JE SIGNE LA PETITION CONTRE LA SURVEILLANCE GENERALISEE :
NON AU MINISTERE DE LA CENSURE

source : Tocsin via Crashdebug

https://reseauinternational.net/alerte-rouge-le-cauchemar-dorwell-en-passe-de-devenir-realite/
#62
Société / Génocide à Gaza : pourquoi les...
Last post by JacquesL - 20 Avril 2024, 02:17:36 PM
Génocide à Gaza : pourquoi les féministes se taisent



par Ashjan Sadique Adi

Malheureusement, les féministes occidentales ne se préoccupent pas des femmes de l'«Orient», de la Palestine, de l'Irak, de l'Iran, de l'Afghanistan, de l'Inde, tout comme elles ne se préoccupent pas des femmes noires ou indigènes ici au Brésil ; elles ne l'ont jamais fait, et la plus grande preuve en est le silence de nombre d'entre elles face à l'actuel génocide et féminicide palestinien.

Les femmes de «là-bas» que j'ai mentionnées sont les femmes «homo sacer» du philosophe Giorgio Agamben, des sous-femmes, des femmes inférieures, de valeur moindre. Leurs vies valent moins, leurs existences valent moins, leurs enfants valent moins, leurs familles valent moins, donc leur mort ne les touchent pas, elles ne mobilisent pas leurs consciences, leurs cœurs ou leurs vies quotidiennes. C'est un détail, cela ne changera rien. Ils peuvent mourir, car leur deuil est aussi de moindre valeur.

Cela me rappelle la discussion lancée par Lila Abu-Lughod en 2012, dans l'article «Les femmes musulmanes ont besoin de salut : réflexions anthropologiques sur le relativisme culturel et ses dérives», où l'anthropologue rappelle qu'il n'y a pas d'essence, de nature féminine, mais que nous sommes socialement construites, comme tout être humain, et avons d'autres désirs, d'autres manières d'être femme, de s'habiller, de croire, d'aimer, etc.

Et elle ajoute : «nous devons développer une appréciation sérieuse des différences entre les femmes dans le monde – en tant que produits d'histoires différentes, expressions de circonstances différentes et manifestations de désirs structurés de manière distincte».

Des femmes qui ne vivent pas comme nous, ne pensent pas comme nous, ne croient pas comme nous, et qui ont tout à fait le droit de le faire. Mais l'Occident veut toujours homogénéiser, standardiser et ignorer, inférioriser, tous ceux qui ne se conforment pas à ses moules et à ses cadres.

À son tour, la question de la classe sociale dans le mouvement féministe est une autre question controversée, qui a été réduite au silence.

De quoi les féministes occidentales se préoccupent-elles réellement ? Historiquement, ce sont les femmes de l'élite qui ont revendiqué le droit de vote, par exemple, et aujourd'hui elles discutent du droit de s'habiller à son goût, de montrer leur corps ou non.

Ce sont là quelques-unes de leurs préoccupations, alors que les femmes de la classe ouvrière n'ont même pas du tout le même choix dans les vêtements ! En d'autres termes, les besoins sont différents, plus basiques, matériels et non idéologiques.

Les féministes occidentales se préoccupent de retirer le voile aux femmes musulmanes, mais elles ne se préoccupent pas de leur santé, de leur éducation, de leur emploi, de leur logement et d'autres droits fondamentaux, qui sont élémentaires pour une vie raisonnablement digne et de qualité.

En fait, ces droits sont effacés par l'Occident lui-même, avec ses guerres et ses interventions militaires, de nature faussement salvatrice et civilisatrice, même prétendument humanitaires, et souvent, du moins dernièrement, même sous l'instigation de certaines femmes occidentales.

Toute cette situation est également traversée par la question de la couleur : le discours des femmes blanches au détriment du discours des femmes brunes, qui n'ont même pas droit à la parole, qui ne sont même pas entendues.

Ainsi que la dichotomie, la supposée opposition Ouest/Est et, dans cet Ouest, le Sud global. La dichotomie femmes chrétiennes versus femmes musulmanes, la dichotomie femmes libres et libérées versus femmes opprimées et subordonnées.

Bref, il y a beaucoup de dichotomies inventées pour nous séparer. Nous avons donc encore beaucoup de choses sur lesquelles réfléchir et de préjugés à surmonter pour combler ces fossés et aider nos sœurs qui souffrent tant dans différentes parties du monde.

source : Chronique de Palestine

https://reseauinternational.net/genocide-a-gaza-pourquoi-les-feministes-se-taisent/
#63
Médecine physique et hygiène / En avril 2024, comment oser en...
Last post by JacquesL - 20 Avril 2024, 10:53:29 AM
En avril 2024, comment oser encore promouvoir les injections expérimentales anti-covid inefficaces et dangereuses ?



par Dr. Gérard Delépine

Pourquoi promouvoir encore de pseudo-vaccins anti-Covid, inutiles, et démontrés inefficaces et dangereux ?

Le gouvernement, les ARS, la Haute Autorité de Santé, la Caisse d'assurance maladie et toutes les médias subventionnés font actuellement la promotion pour la nouvelle campagne d'injection anti-covid du 15 avril 2024 pour les personnes âgées ou fragiles.

En 2021, lors de la mise sur le marché, Ils pouvaient être dupes de l'utilité de ces injections du fait de la propagande mensongère prétendant qu'ils étaient efficaces à 95% et sans dangers.

Mais les données publiées par l'OMS ont depuis totalement démenti ces allégations, tandis que chacun constate que de plus en plus de vaccinés souffrent de complications diverses parfois graves voire mortelles.

Alors pourquoi font-ils la promotion de faux vaccins, inefficaces, dangereux alors que l'épidémie est terminée ?

Rappelons-leur les faits établis.

Les injections anti-covid proposées en France ne sont pas des vaccins

Un vaccin contient des antigènes obtenus à partir de souches de virus ou de bactéries inactivées, d'antigènes purifiés ou d'analogues antigéniques, afin de susciter une réaction immunitaire pour aider à un patient de se débarrasser d'un agent infectieux déjà présent (vaccin thérapeutique), ou de rendre le vacciné résistant au germe ciblé (vaccin préventif).

Les injections anti-covid ne sont pas des vaccins car elles ne contiennent aucun antigène.

Ce sont des médicaments à ARN messager dont le but est de forcer nos cellules à fabriquer un antigène contre lequel notre système immunitaire réagira. Ce médicament préventif ne nécessite pas de cultiver, d'inactiver ou de fragmenter le germe à combattre et est donc beaucoup plus facile, plus rapide et moins couteux à fabriquer, qu'un vrai vaccin. Mais il ne créée un seul antigène en quantité et pour une durée imprévisibles alors qu'un vaccin classique contient souvent une association de plusieurs antigènes garants de son efficacité.

Ces injections expérimentales ont été affublées du nom de vaccin dans un but uniquement commercial pour les faire accepter par la population.

Les injections anti-covid ont été inefficaces

Un vrai vaccin empêche les vaccinés d'être malades, de transmettre la maladie et les protège de la mort. Une unique injection du vaccin contre la fièvre jaune protège le vacciné à vie contre la maladie. D'autres vaccins (comme le vaccin anti grippal) ne protègent que pour une faible durée et/ou qu'une partie des vaccinés.

Les données de l'OMS prouvent que les injections anti-covid ne protègent pas réellement les vaccinés de la maladie et sont incapables d'éviter les transmissions comme l'illustre l'évolution de l'épidémie en France et la comparaison dans les différents pays selon leur politique vaccinale.

En France, l'explosion des cas Omicron est survenue alors que le taux de vaccinés atteignait 80%.

Dans le monde, ce sont les pays vaccinés qui ont le plus souffert de l'épidémie après la vaccination.

La propagande officielle prétendant que les injections préviendraient les formes graves est démentie par les données de l'OMS montrant que ce sont les pays les plus vaccinés qui ont souffert des mortalités les plus élevées.

La comparaison France/Algérie est d'autant plus démonstrative que les deux pays ont le même taux de personnes âgées de plus de 65 ans.

Ceci est confirmé par la plus forte mortalité des double vaccinés en Grande-Bretagne.

Les faux vaccins ont été suivis de complications fréquentes et parfois graves

Toutes les classes d'âge vaccinées ont souffert de complications, des plus âgées aux plus jeunes.

Chez les sujets âgés, fragilisés par leurs pathologies préalables, la mortalité a été élevée dès des premières doses, mais le lien de causalité directe a été systématiquement nié, sauf en Norvège1, après la mort post vaccinales de pensionnaires d'une maison de retraite.

À la suite de son enquête l'agence sanitaire a recommandé de ne plus injecter les personnes de plus de 80 ans2 : «Pour les personnes les plus fragiles, même des effets secondaires relativement légers peuvent avoir des conséquences graves», «Pour ceux qui ont une durée de vie restante très courte de toute façon, les avantages du vaccin peuvent être marginaux ou non pertinents». Le docteur Steinar Madsen, directeur de l'Agence norvégienne des médicaments, a conclu : «Si vous êtes très fragile, vous ne devriez probablement pas être vacciné».

En France, ou au contraire les personnes âgées ont constitué une cible prioritaire des injections, de nombreux vieillards sont morts rapidement après leur première dose par AVC, embolie pulmonaire, infarctus ou «mort subite». Et plus de 10 000 personnes âgées ont été «euthanasiées» au Rivotril sans leur volonté.3,4,5

Chez les gens de tous âges fragiles du fait d'une maladie chronique, on a observé des aggravations de ces pathologies spécifiques : cancers y compris ceux en rémission avec évolution rapide, maladies neurologiques type SEP etc. et autres pathologies auto-immunes de tous genres.

Les atteintes cardiaques ont été les premières à inquiéter les Israéliens au début des campagnes d'injections massives6. Elles ont été depuis constatées dans tous les pays qui vaccinent7,8 et constituent un drame injustifié pour les jeunes dont les risques dus au covid étaient infimes. L'atteinte cardiaque est une lésion le plus souvent définitive qui va compromettre l'espérance de vie du sujet et, entre autres, le rendre incapable d'activités sportives intenses brisant les rêves de ceux qui voulaient devenir sportifs professionnels.

Chez les femmes, troubles des cycles menstruels9,10, augmentation des fausses couches, décès de nouveaux nés dans le mois qui suit la naissance, ont rapidement attiré l'attention. Elles auraient dû imposer au minimum un moratoire sur les injections chez les femmes enceintes.

Les complications neurologiques rapportées dans la littérature scientifique11,12 comportent des accidents vasculaires cérébraux, des syndrome de Guillain-Barré13, des myélites, des crises épileptiques et des poussée de sclérose en plaques d'origine auto immune vraisemblables.

Au 30 Septembre 2023, EudraVigilance rapportait 11 977 déclarations d'effets secondaires suivis de décès14 pour l'ensemble des injections anti-covid sans se prononcer définitivement sur un lien éventuel de causalité.

En 2022 l'institut de statistique a comptabilisé 675 000 décès, soit 53 800 de plus que prévu. C'est davantage qu'en 2020 (668 900 décès) et qu'en 2021 (661 600 morts). Cet excès de surmortalité en l'absence de covid a concerné aussi les moins de 34 ans (excès de 875 personnes sur un total de 53 000). C'est surprenant puisque c'est une classe d'âge où la mortalité est faible et cela pourrait évoquer l'effet des complications injections anti-covid.

Prétendre que les vaccins covid étaient sans risque constituait donc une contre vérité manifeste qui a mis en danger les populations.

L'épidémie covid est terminée depuis plus d'un an

L'évolution du nombre quotidien de contaminations rapportée par l'OMS montre que la poussée Omicron a conféré une immunité mondiale sonnant la fin de l'épidémie.

Même Santé Publique France dans son bilan du 13 mars 2024 a été obligée de constater que le covid n'était plus un problème : «Les indicateurs syndromiques et virologiques de la Covid-19 demeuraient à des niveaux faibles dans toutes les classes d'âge. Le taux de positivité diminuait encore en ville et à l'hôpital. Dans les eaux usées, la détection du SARS-CoV-2, déjà à un niveau très faible, poursuivait sa baisse».

À l'hôpital, le nombre de passages aux urgences pour suspicion de Covid a représenté 0,001 du total des passages. Dans les six derniers mois 77 décès avec covid ont été signalés dont la quasi-totalité chez des patients souffrant de comorbidité majeure soit 0,02% de la mortalité toutes causes confondues.

Depuis plus d'un an le covid ne représente donc plus une menace crédible et les populations, qui en sont conscientes, ont refusé les rappels que les autorités leur proposent tous les 6 mois.

Alors pourquoi promouvoir ces faux vaccins inutiles, inefficaces et dangereux ?

Pour ne pas officialiser la mise au rebut des milliards de doses commandées ?

Depuis le début de la crise l'UE a commandé ou «sécurisé» 4,6 milliards de doses15 pour ses 450 millions d'habitants (10 doses par habitant y compris les bébés !). En mars 2024, d'après les données des agences sanitaires nationales, moins d'un milliard de doses avaient été injectées.

En décembre 2023 plus de 200 millions de doses de vaccins jetées en Europe16,17 soit l'équivalent de 4 milliards d'euros mis à la poubelle18. L'Allemagne est en tête de liste : le pays s'est débarrassé de 83 millions de doses ces dernières années. En 2022, les autorités françaises avaient dû se débarrasser de quelque 3,8 millions de doses de vaccins commercialisées par AstraZeneca, mais elles refusent depuis de publier les données sur le sujet. La Roumanie a vendu des vaccins au Danemark et à d'autres pays de l'UE ces derniers mois parce que les citoyens roumains ne souhaitaient pas se faire vacciner.

La campagne de vaccination vise donc peut être à minimiser le nombre de doses qu'il faudra bientôt détruire.

Pour ne pas perdre la face ?

Seule une minorité de dirigeants ont le courage de reconnaître leurs erreurs et les nôtres n'en font pas partie. Ils préfèrent persister dans le mensonge et le déni du monde réel. Reconnaître que la vaccination a été inutile et toxique serait pour eux un aveu et une blessure d'amour propre insupportables.

Pour ne pas reconnaître leurs responsabilités dans le scandale Covid ?

Reconnaître leurs erreurs ouvrirait la porte de la mise en cause de leurs responsabilités dans leur gestion désastreuse du Covid. Ce n'est pas pour rien que notre président a protégé les délibérations de son prétendu comité scientifique covid du secret défense. Ce n'est pas pour rien que la présidente de l'UE refuse de publier les détails des contrats qu'elle a signés avec Pfizer malgré les demandes réitérées de certains parlementaires européens.

En l'absence d'utilité sanitaire, l'obligation de se vacciner décrétée pour de nombreuses catégories professionnelles, comme les entraves aux libertés de circuler ou de travailler pour les non vaccinés constituent des motifs de plaintes judiciaires dont nos responsables veulent se protéger. Cela pourrait expliquer leur persistance dans le déni des réalités.

Mais la réalité est têtue et vaincra.

Ceux qui continuent de diffuser des messages mensongers incitant à la pseudo vaccination covid alors que son inutilité, son inefficacité et ses risques sont connus devraient être plus prudents, car ils risquent de devoir répondre un jour devant la justice pour mise en danger d'autrui.

source : Docteur Nicole Delépine



https://reseauinternational.net/en-avril-2024-comment-oser-encore-promouvoir-les-injections-experimentales-anti-covid-inefficaces-et-dangereuses/
#64
Politique française / Adnan Azzam : Arrêté pour ses ...
Last post by JacquesL - 20 Avril 2024, 10:29:14 AM
Adnan Azzam : Arrêté pour ses idées : lutter contre le génocide israélien à Gaza



par Dominique Delawarde

Il faut dénoncer et faire connaître l'inacceptable. Le gouvernement et ses nervis sayanim commencent à nous les gonfler sérieusement.

Dominique Delawarde
*
Mise à jour du 20 avril

Perte d'emploi et Mise en garde à vue pour délit d'opinion.

Aujourd'hui, il devient dangereux d'émettre des opinions qui s'opposent à la bien-pensance imposée par l'exécutif.  On se souvient du cas de Cyril Gaucher, 2ème maire adjoint (Les Républicains) de la ville de Talant près de Dijon. Unanimement apprécié et très impliqué dans son secteur de l'urbanisme, l'élu s'était rendu à Moscou pour suivre, en qualité d'expert indépendant, le déroulement de l'élection présidentielle russe.

La mission des personnalité présentes étaient d'évaluer localement la conformité du processus électoral. La mission n'avait pas pour but d'évaluer à grande échelle la tenue du scrutin lui-même. Le déplacement de ce spécialiste de la Russie a suscité une petite campagne de dénigrement médiatique qui a débouché sur la décision du maire LR de Talant, Fabien Ruinet, de retirer ses délégations et son poste de maire-adjoint à Cyril Gaucher. Emboîtant le pas au maire de Talant, le président LR de la Côte-d'Or, François-Xavier Dugourd, a parlé de démarche «inadmissible et hallucinante». Pour TVL, Cyril Gaucher est revenu sur tous les éléments de l'affaire et a contre-attaqué !


Je me réjouis à l'avance de la déroute prévisible des LR aux prochaines élections européennes, car ce parti est devenu bêtement russophobe depuis de départ de François Fillon.
Le 16 avril, mon ami Adnan Azzam, 67 ans, homme de paix, auteur de plusieurs livres a été arrêté et mis en garde à vue pour 24 heures sur un soupçon bidon d'«apologie du terrorisme».
Son tort ? Demander justice pour le peuple palestinien, objet d'une répression disproportionnée et aveugle qui ressemble bien à un début de génocide. Soyons clair, l'administration française (exécutif, police, justice), noyautée par des sayanim indéfectiblement liés à l'État d'Israël, est aujourd'hui prête à fabriquer de toute pièce un dossier et des accusations «bidon», simplement pour justifier une garde à vue visant à  impressionner et à faire taire celui qui s'écarte du politiquement correct. Évidemment, l'affaire a été classée sans suite parce qu'il ne pouvait en être autrement, mais le mal est fait.1

Notons qu'un projet de résolution présentée par l'Algérie qui "recommandait  à l'Assemblée générale que l'État de Palestine soit admis comme membre des Nations unies", a recueilli le 19 avril, 12 votes pour, 2 abstentions (Royaume uni et Suisse) et 1 contre (USA qui a mis son veto), une fois de plus. Comme d'habitude, seule contre tous, l'administration Biden s'est comporté en bon Toutou (proxy?) de Tel Aviv sous la pression de l'AIPAC. C'est à se demander QUI de Biden ou de l'AIPAC dirige la politique étrangère des USA ?

https://www.kairospresse.be/

https://reseauinternational.net/adnan-azzam-arrete-pour-ses-idees-lutter-contre-le-genocide-israelien-a-gaza/
#65
Un document déclassifié par la justice démontre que le vaccin Pfizer a été lancé en réalité en... mai 2019 sept mois avant l'apparition officielle de la covid



par Patrice Gibertie

Les documents déclassifiés par la justice révèlent des surprises.

Le juge Mark T. Pittman (Dallas, Cour d'appel du Texas) vient de récidiver le 9 mai 2023, en exigeant la remise de l'ensemble des données concernant le vaccin pédiatrique Pfizer et le vaccin adulte Moderna, incluant 4,8 millions de pages, sous 2 ans vs les 23,5 que réclamait la FDA. Les laboratoires ont en l'occurrence jusqu'au 31 juin 2025 pour s'exécuter.

La publication de ces données a par ailleurs été jalonnée d'une série d'informations concernant l'origine du virus dont les scientifiques ont acquis la conviction qu'il est issu de recherches de gain de fonction financées clandestinement par le Dr A. Fauci, ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et ancien conseiller médical de la Maison-Blanche durant la pandémie de COVID-19. On sait également aujourd'hui que la fabrication des vaccins a débuté avant la date officielle, communiquée au public, le PDG de Moderna ayant reconnu dans une interview que sa société avait déjà produit 100 000 doses de vaccin Covid-19 en 2019.

• https://twitter.com/odrobsed/status/1632315917286752266?s=20

La divulgation d'un accord de confidentialité montre en réalité que «des candidats vaccins potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l'Université de Caroline du Nord le 12 décembre 2019, soit dix-neuf jours avant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'ait eu connaissance de l'émergence des premiers cas de SARS-CoV-2 à Wuhan». (The Expose)

• https://strategika.fr/2024/04/11/un-document-declassifie-prouve-que-la-production-du-vaccin-pfizer-a-commence-en-mai-2019

Un lanceur d'alerte pointe aujourd'hui une information inédite, contenue dans un autre document, également déclassifié suite à une requête FOIA, qui permet de répondre à cette question, en tout cas techniquement. Le document en question est le rapport d'évaluation non clinique produit par le régulateur australien (Therapeutic Goods Administration – TGA). La page 40 du rapport montre que la société Acuitas a formulé l'ARNm codant pour la luciférase transmis par BioNTech et référencé (ARN-EH190611-01c) dans le rapport R-20-0072, en trois types de nanoparticules : LNP12 (formulation DODMA:DOPE), LNP5 et LNP8.



TGA. Nonclinical Evaluation Report BNT162b2 [mRNA] COVID-19 vaccine
(COMIRNATYTM). Jan 2021. p.40

Or la page 29 du rapport BioNTech montre que la formulation des nanoparticules destinées au vaccin (LNP8, comme mentionné à la page 12 du même rapport) a été réalisée le 9 décembre 2019, soit trois semaines avant la divulgation du cas zéro à Wuhan. Les indications de formulation étant strictement identique entre les deux documents, cette concordance ne permet pas de douter que le certificat d'analyse contenu dans le rapport BioNTech concerne les nanoparticules utilisées dans l'étude australienne :

  • Référence du produit : RNA-EH190611-01c ;
  • No de lot : FM-1074-D ;
  • Taux d'encapsulation : 90% ;
  • Concentration en ARN : 1.0 mg/ml ;
  • Diamètre : 71 nm ;
  • Rendement : 90% ;
  • Polydispersité : 0,053 :
  • Température de stockage : – 80 °C.

source : Patrice Gibertie



https://reseauinternational.net/un-document-declassifie-par-la-justice-demontre-que-le-vaccin-pfizer-a-ete-lance-en-realite-en-mai-2019-sept-mois-avant-lapparition-officielle-de-la-covid/
#66
Asie, Pacifique / Les États-Unis et l’Union euro...
Last post by JacquesL - 19 Avril 2024, 04:12:07 PM
Les États-Unis et l'Union européenne font pression contre une loi géorgienne qui révélerait leur influence secrète

Publié le avril 19, 2024 par Wayan




Par Moon of Alabama – Le 18 avril 2024

Le gouvernement géorgien tente depuis un certain temps de mettre en œuvre une loi sur la transparence de l'influence étrangère. Son objectif est d'identifier publiquement les organisations et les partis qui reçoivent une part importante de leur budget de l'étranger :

CiterLe projet de loi "Pour garantir la transparence", initié pour la deuxième fois par la faction du Rêve géorgien, envisage l'enregistrement de ces entités juridiques non entrepreneuriales (non commerciales) et de ces médias, dont les revenus – plus de 20 % – proviennent de l'étranger, en tant qu'organisation défendant les intérêts d'une puissance étrangère. Selon le projet, toute personne considérée comme une "organisation portant les intérêts d'une puissance étrangère" doit obligatoirement être inscrite au registre public sous le même nom. Au moment de l'enregistrement, il sera nécessaire d'indiquer les revenus perçus. Les organisations auront aussi l'obligation de remplir une déclaration financière chaque année.

Les organisations qui reçoivent actuellement de l'argent de diverses organisations gouvernementales ou non gouvernementales des États-Unis ou de l'Union européenne ne sont évidemment pas ravies de devoir révéler leur association avec de telles sources. Elles veulent faire du lobbying pour des intérêts étrangers sans être identifiées comme des influenceurs étrangers.

Elles ont donc lancé des manifestations contre le gouvernement et le parlement de leur pays, qui ont adopté la loi en première lecture. Deux autres lectures seront nécessaires pour finaliser la loi.

Les manifestants contre la loi affirment qu'il s'agit d'une "loi russe" contre les "agents étrangers".

Depuis 2012, la Russie dispose d'une loi quelque peu similaire à celle que la Géorgie tente de mettre en œuvre, mais ce type de loi n'est certainement pas une intervention russe :

CiterLes partisans de la loi [russe] l'ont comparée à une législation similaire aux États-Unis qui exige que les lobbyistes employés par des gouvernements étrangers révèlent leur financement.

L'équivalent américain des lois russe et géorgienne est bien sûr la loi sur l'enregistrement des agents étrangers (Foreign Agents Registration Act), beaucoup plus ancienne :

CiterLa loi sur l'enregistrement des agents étrangers (FARA) (22 U.S.C. § 611 et seq.) est une loi américaine qui impose des obligations de divulgation aux personnes représentant des intérêts étrangers. Elle exige que les "agents étrangers" – définis comme des individus ou des entités engagés dans des activités de lobbying ou de plaidoyer au niveau national pour le compte de gouvernements, d'organisations ou de personnes étrangers ("mandants étrangers") – s'enregistrent auprès du ministère de la justice (DOJ) et divulguent leurs relations, leurs activités et les compensations financières qui en découlent.
...


La FARA a été promulguée en 1938, principalement pour contrer la propagande nazie, en mettant initialement l'accent sur les poursuites pénales en cas d'activités subversives ; depuis 1966, l'application de la loi s'est principalement orientée vers les sanctions civiles et le respect volontaire de la loi.



Pendant la majeure partie de son existence, la FARA était relativement obscure et rarement invoquée ; depuis 2017, la loi a été appliquée avec beaucoup plus de régularité et d'intensité, en particulier contre les fonctionnaires liés à l'administration Trump. Les mises en accusation et les condamnations ultérieures très médiatisées en vertu de la FARA ont suscité un examen public, politique et juridique plus approfondi, y compris des appels à la réforme.



La FARA est administrée et appliquée par l'unité FARA de la section de contre-espionnage et de contrôle des exportations (CES) au sein de la division de la sécurité nationale (NSD) du ministère de la justice. Depuis 2016, le nombre d'enregistrements a augmenté de 30 % ; en novembre 2022, plus de 500 agents étrangers actifs étaient enregistrés auprès de l'unité FARA.

Le Washington Post, sans mentionner la loi FARA qui existe depuis longtemps et qui est au moins aussi stricte que la nouvelle loi géorgienne, insiste à tort sur le fait que l'idée originale de la nouvelle loi géorgienne est en fait russe :

CiterLa Géorgie propose une loi sur les "agents étrangers" de type russe, mettant en péril sa candidature à l'UE

Le Parlement géorgien a voté mercredi en faveur d'une loi très controversée visant à réprimer les "agents étrangers". Cette loi fait écho à une loi similaire en Russie qui a été utilisée pour écraser la dissidence politique.



En Géorgie, le projet de loi a déclenché d'immenses manifestations de rue et a été condamné, notamment par la présidente Salomé Zourabichvili, qui n'est pas membre du parti politique Rêve géorgien, qui contrôle le Parlement et le gouvernement.



Mme Zourabichvili et d'autres critiques affirment que le projet de loi est lui-même un instrument d'ingérence étrangère, soutenu par la Russie et destiné à saper la tentative de la Géorgie d'adhérer à l'Union européenne.



Mardi soir, alors que des manifestants affrontaient la police dans les rues de la capitale, Tbilissi, Mme Zourabichvili a déclaré que le projet de loi était la preuve de l'ingérence de la Russie.

Toutefois, la loi n'est pas "à la russe" – il s'agit d'une copie de la FARA – et ne contient pas non plus le mot "agent", qui est lourd de sens. Elle n'accuse personne d'être un agent, mais cherche à assurer la transparence publique sur les influences financières étrangères, ce qui inclut bien sûr les influences russes.

Les manifestations contre la loi ressemblent à une tentative de révolution colorée typique :

Citer17 avril 23:15 – "Exigeons que le Premier ministre nous parle" – les participants au rassemblement se sont dirigés vers l'administration gouvernementale.

Après que Levan Tsutskiridze, cofondateur du groupe "Plate-forme européenne de Géorgie", a annoncé le plan d'action, les manifestants se sont dirigés vers la chancellerie du gouvernement et ont demandé à rencontrer le Premier ministre. Tsutskiridze a proposé d'exiger que le gouvernement abroge la loi et libère les personnes détenues la veille. La police et les forces de sécurité renforcent leur cordon près du bâtiment de la chancellerie.



À 21h30, les participants au rassemblement lancent un ultimatum aux autorités, leur demandant d'abroger la loi et leur donnant une heure pour le faire.

Les tentatives de prise d'assaut ou de blocage des bâtiments gouvernementaux ont été repoussées. Le gouvernement tient bon. Il dispose d'une solide majorité au parlement et peut mettre en minorité un éventuel veto présidentiel.

Tous les décideurs géorgiens ont à l'esprit la "révolution du Maïdan" ukrainienne, au cours de laquelle l'opposition a fait appel à des tireurs d'élite (prétendument originaires de Géorgie !) qui ont tiré sur la police et sur les manifestants.

Nous pouvons être sûrs que le gouvernement géorgien est conscient et bien préparé à une telle escalade.

La loi est susceptible d'être adoptée. Peu après, la majorité des organisations qui organisent actuellement les manifestations de rue contre la loi devront admettre qu'elles sont les influenceurs étrangers rémunérés que la loi vise pour révéler leurs intérêts douteux.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

https://lesakerfrancophone.fr/les-etats-unis-et-lunion-europeenne-font-pression-contre-une-loi-georgienne-qui-revelerait-leur-influence-secrete

#67
Citoyenneté / Au moment où l’OMS veut impose...
Last post by JacquesL - 18 Avril 2024, 11:26:31 PM
Au moment où l'OMS veut imposer son traité, la responsable vaccins de l'OMS avoue l'inutilité des pass vaccinaux promus par... l'OMS et Big Pharma



par Patrice Gibertie

Témoignant dans un procès, la principale experte en vaccins de l'OMS a déclaré qu'elle déconseillait les passeports vaccinaux contre la COVID, car les vaccins n'arrêtaient pas la transmission et donnaient un faux sentiment de sécurité.
Au cours de la même période de 2021, l'OMS a déclaré qu'elle s'efforçait de «créer un cadre international de confiance» pour voyager en toute sécurité, tandis que les États membres de l'UE commençaient à déployer des passeports COVID. Le règlement de l'UE sur les certificats numériques COVID a été adopté en juillet 2021 et plus de 2,3 milliards de certificats ont ensuite été délivrés. Les visiteurs en France étaient interdits s'ils ne disposaient pas d'un passeport vaccinal valide que les citoyens devaient porter pour acheter de la nourriture dans les magasins ou pour utiliser les transports en commun.

Mais le Dr Nohynek a déclaré hier que son institut avait informé le gouvernement finlandais fin 2021 que les passeports COVID n'avaient plus de sens, mais que des certificats continuaient d'être requis. Le journaliste finlandais Ike Novikoff a rapporté la nouvelle hier après avoir quitté la salle d'audience d'Helsinki où s'exprimait le Dr Nohynek.



Un haut responsable de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a admis lors d'un témoignage explosif que les passeports vaccinaux proposés par l'agence n'étaient qu'une arnaque visant à faire avancer le programme mondial de vaccination.

De plus, le Dr Hanna Nohynek a déclaré que l'OMS savait que les injections d'ARNm du Covid étaient inefficaces, mais qu'elle faisait néanmoins pression pour que le grand public subisse des pressions afin qu'il prenne les injections expérimentales.

Le Dr Nohynek affirme que l'OMS a utilisé les passeports vaccinaux pour forcer le public à se conformer au programme de vaccination alors qu'il savait que les injections étaient inefficaces contre le Covid.

Nohynek est président du Groupe stratégique d'experts sur la vaccination de l'OMS et est médecin-chef de l'Institut finlandais pour la santé et le bien-être.

Nohynek a déclaré devant le tribunal qu'elle avait informé l'OMS et son gouvernement que les passeports vaccinaux n'étaient pas nécessaires.

Cependant, Nohynek dit qu'elle a été ignorée, même si elle a expliqué que les vaccins Covid étaient essentiellement «faux» car ils n'arrêtaient pas la transmission du virus.

Médecin-chef, chef adjoint de l'unité Contrôle des maladies infectieuses et vaccins, Département de la sécurité sanitaire, Institut finlandais pour la santé et le bien-être social, FINLANDE

Elle a terminé ses études de médecine, son doctorat et ses compétences en santé internationale à Helsinki. Elle est secrétaire du NITAG finlandais et du sous-groupe du développement stratégique du programme de vaccination contre la grippe. Elle exerce également la médecine clinique à la clinique de santé-voyage Aava, à Helsinki. Elle a joué un rôle déterminant dans la conception de l'introduction du vaccin contre le VPH dans le programme national de vaccination. Ses intérêts de recherche portent sur les études d'impact des vaccins basées sur les registres, la prise de décision et de politiques fondées sur des données probantes, la sécurité des vaccins, l'hésitation, le VRS, la grippe et le pneumocoque. Elle coordonne le groupe de travail sur les communications dans IMI DRIVE (www.drive-eu.org). Elle est l'auteur de plus de 130 articles originaux (dont le premier rapport scientifique sur l'association entre la vaccination contre la grippe pandémique et la narcolepsie) et enseigne et guide des étudiants en option, diplômés et doctorants. Elle a siégé à des comités d'experts évaluant les vaccins contre le VHB, le PCV et le rotavirus en Finlande, et en tant que conseillère auprès de l'UE, de l'IMI, de l'IVI, de l'OMS, de GAVI, du SIDA/SRC et du MOFA finlandais. Elle a été présidente de l'évaluation externe SAGE de l'OMS (EAGSE), présidente de l'EPIET 1998-2001, EDCTP 2002-3. Elle est actuellement membre du sous-groupe SAGE de l'OMS sur les vaccins contre la grippe, membre du comité de coordination de l'ECDC NITAG et vice-présidente et membre du conseil d'administration de l'International Vaccine Institute. Elle appartient à la Faculté d'ADVAC depuis sa création en 2000 et a initié le module vaccin EPIET en 1997, ainsi que le diplôme finlandais en santé mondiale en 2000.




«Nous constatons que le COVID-19 n'est pas d'origine naturelle. Nous devrions imposer des sanctions et des restrictions claires à l'ensemble de l'industrie du gain de fonction. Le nouveau traité sur les pandémies va dans le sens contraire»



Professeur Masayasu Inoue Faculté de médecine de l'université d'Osaka. Un professeur japonais délivre un message époustouflant que tout le monde doit entendre. La pandémie a été utilisée comme un faux prétexte par l'OMS pour promouvoir la vaccination de tous les peuples du monde. Le message que j'aimerais transmettre au monde est le suivant : lorsque la maladie X apparaîtra à l'avenir, il ne faudra jamais faire confiance au vaccin fabriqué au Japon et mis au point en peu de temps. Afin de protéger les droits de l'homme dans les cas de contrôle qui dépassent les frontières nationales, je pense que le partage de la vérité entre les pays est très important et qu'il s'agit d'un pas vers l'unité et la solidarité. 
Traduction Audio Francophone




@ActuQc_com Merci à Myl Traductions pour la Transcription http://T.me/myl_traductions

Effectivement ces vaccins auto réplicants représentent un danger potentiel massif.

source : Patrice Gibertie

#68
Asie, Pacifique / L’armée israélienne ouvre le f...
Last post by JacquesL - 18 Avril 2024, 11:00:45 PM
L'armée israélienne ouvre le feu sur des milliers de personnes qui tentent de rentrer chez elles dans le nord de Gaza



par Tareq S. Hajjaj

Après avoir laissé un nombre limité de femmes, d'enfants et de personnes âgées rentrer dans le nord de Gaza, l'armée israélienne a ouvert le feu sur des milliers de réfugiés qui tentaient de faire de même.
Le dimanche 14 avril, à l'aube, des milliers de familles ont quitté le sud de Gaza et inondé le centre de la bande de Gaza, traversant les zones de Deir al-Balah et le camp de réfugiés de Nuseirat dans l'intention de se rendre plus au nord. Ils rentraient chez eux.

Ils portaient sur leur dos ce qui restait de leurs biens et se déplaçaient en plusieurs vagues le long de la route côtière de Gaza. Au milieu de la route, dans la foule, un jeune homme, Muhammad Sakher, 21 ans. Il hurle devant la caméra, expliquant qu'il a été étouffé psous les déplacements et la guerre, et que tout ce qu'il veut, c'est retourner chez lui, dans le nord de la bande de Gaza.

«Y a-t-il quelqu'un qui puisse nous comprendre ? Quelqu'un peut-il avoir pitié de nous et nous aider ?», dit-il à Mondoweiss avec indignation. «Nous voulons juste rentrer chez nous. Nous sommes des civils, nous n'avons rien à voir avec les combats».

La foule qui l'entoure se met en route, effectuant la lente marche avec un mélange d'inquiétude et d'espoir. Mais juste avant qu'ils ne commencent à s'approcher du point de contrôle israélien de la rue al-Rashid, dans l'ouest de Gaza, les balles commencent à fuser, suivies d'obus de chars et de bombes larguées par des drones.

«Les forces d'occupation israéliennes ont bombardé des Palestiniens déplacés qui tentaient de regagner le nord de la bande de Gaza par la rue Al Rasheed». Eye on Palestine (@EyeonPalestine) April 14, 2024

Plus tôt dans la journée, des dizaines de familles avaient confirmé par téléphone à leurs proches dans le sud qu'elles avaient pu retraverser le nord de la bande de Gaza et retourner dans leurs anciens quartiers.

La nouvelle de la réussite de la première vague de retours s'est rapidement répandue parmi les familles déplacées, qui ont immédiatement plié bagage et repris le chemin du nord.

Peu après, ces mêmes foules repartaient en courant dans la direction d'où elles venaient, les balles volant au-dessus de leurs têtes.



«Nous voulons rentrer, même si nos maisons ne sont plus que des tas de décombres»

L'armée israélienne avait déjà appelé certaines familles de la région centrale de Gaza et leur avait ordonné de retourner vers le nord dimanche matin. Il s'agissait de la première vague de rapatriés qui ont quitté leurs camps de déplacés et ont pu atteindre le nord avant de téléphoner à leurs proches pour leur raconter ce qui s'était passé.

Lorsque des milliers d'autres ont tenté de faire de même, l'armée israélienne leur a tiré dessus. Ils n'avaient pas reçu d'«invitation».

On ne dispose pas encore de détails sur le nombre de familles qui ont réussi à passer plus tôt, ni sur le nombre de personnes tuées ou blessées lors de la deuxième vague. Mais les rapports en provenance du nord confirment que la plupart des familles qui sont arrivées étaient des femmes, des enfants et des personnes âgées. Aucun homme n'a été autorisé à passer.

Intisar Madhoun, l'une des Palestiniennes déplacées qui ont quitté Deir al-Balah et se sont jointes aux vagues ultérieures de candidats au retour, a été forcée de retourner vers le sud alors qu'elle fuyait les tirs israéliens.

À bout de souffle, elle raconte à Mondoweiss qu'elle ne peut même pas se remettre sur ses pieds, la peur se lisant sur son visage. Alors qu'elle se tient debout et parle dans la rue al-Rashid, le bruit des tirs ne s'arrête pas.

«Je veux retourner chez moi, dans le nord, cela fait sept mois que nous sommes déplacés», dit-elle. «Nous ne pouvons plus continuer à vivre dans ces conditions. Chaque jour est pire que le précédent. Combien de temps cela va-t-il durer ? Nous mourons devant tout le monde, et personne ne peut nous aider».

Intisar est mère de six enfants. Sa famille vit sous une tente à Deir al-Balah, dans le centre de Gaza. En novembre dernier, elle a fui son quartier dans la zone d'al-Zaytoun, à l'est de la ville de Gaza. Elle a appris plus tard que sa maison avait été bombardée. Elle veut y retourner malgré tout.

«Ce qui nous attend au nord, dans mon ancien quartier, vaut mieux que de rester sans abri», a-t-elle déclaré à Mondoweiss. «Je veux y retourner. Même si ma maison n'est plus qu'un tas de décombres, je vivrai à côté d'elle jusqu'à ce que nous la reconstruisions. Nous devons rentrer chez nous».

source : Chronique Palestine

https://reseauinternational.net/larmee-israelienne-ouvre-le-feu-sur-des-milliers-de-personnes-qui-tentent-de-rentrer-chez-elles-dans-le-nord-de-gaza/
#69
Citoyenneté / Stopper le «traité pandémies» ...
Last post by JacquesL - 18 Avril 2024, 06:05:36 PM
Stopper le «traité pandémies» de l'OMS et la mise en place de la dictature nano-biotechnologique institutionnalisée dès mai 2024



par Résistance 71 

Rien n'est présentement plus important que ce que vous allez lire...

Nous l'avons précédemment dit, le 27 mai prochain, à Genève, va se jouer l'avenir de l'humanité, ni plus ni moins, avec l'adoption en assemblée générale de l'Organisation Mortelle de la Santé (OMS), de son texte sur le «Traité sur les pandémies» qui serait une vaste farce s'il n'était pas si tyrannique et dangereux pour la vie sur cette planète.

Aujourd'hui, à l'échelle planétaire, rien n'est plus important que ce passage en force pour une tyrannie sanitaire globale. Rien. Cela touche déjà depuis le déploiement global de l'arme nano-biotechnologique à ARNm COVID-19 en décembre 2020, sinon la quasi-totalité de la population mondiale, en tout cas, celle des pays dits «développés»... États-Unis et Europe en tête.

Ce texte est fait, construit, planifié pour totalement éradiquer la souveraineté des nations en matière de santé et de «pandémies» (plandémies), redéfinies au préalable et donner les pleins pouvoirs à une clique d'oligarques bureaucrates à la solde de Big Pharma, qui pourront décider de déclarer «pandémie» tout et n'importe quoi et surtout, de forcer les populations à accepter les mesures draconiennes qu'ils mettront une fois de plus en place mais à la puissance 10 comparé au COVID : confinements, restrictions de toutes sortes, injections renouvelées par armes nano-biotechnologiques à ARNm, etc. Ce «traité pandémies» de l'OMS veut dire :
  • plus de recherches sur le gain de fonction de pathogènes (alors qu'on s'attendrait à ce que ce soit purement interdit...) Open bar pour tout le monde, création des pires saloperies nanotech possibles
  • l'obligation de partager les informations sur les séquences génomiques de nouveaux pathogènes créés
  • payer les nations pour ce faire => porte ouverte au tout et n'importe quoi menant à des «accidents» / fuites, volontaires ou non
  • plus de confinements
  • plus de mesures liberticides au nom de «la santé publique», qui ne l'est plus mais une extension de très gros intérêts privés dictant leur agenda
  • plus d'injections et de médicaments «obligatoires» assujettis exclusivement au nouveau marché de la nano-biotechnologie, devenue fléau #1 pour l'humanité
  • plus de censure et d'ostracisme contre les remèdes, scientifiques et médecins hors système
  • et bien plus...

ONU + UE + OMS = Tyrannie mondiale

Après son adoption en assemblée plénière à Genève le mois prochain, les nations auront quelques mois pour «analyser et questionner» le traité et potentiellement le refuser, après quoi il sera entériné pour toutes les nations ne le refusant pas explicitement.

Comment le refuser alors que les «élus», «parlementaires», soit ne liront JAMAIS le document complet mais juste un «résumé préparé à leur intention», soit sont déjà corrompus par Big Pharma et les intérêts particuliers pilotant le projet totalitaire sous couvert sanitaire dont l'OMS, entité vendue aux intérêts privés des Bill Gates et consort depuis belle lurette, sera le bras armé.

Faisons-nous pour une (idiote) minute les avocats du système représentatif étatico-marchand et de son «processus démocratique». Ce «Traité pandémies» de l'OMS est l'exemple type de document qui va, si adopté, changer la vie des citoyens de la manière la plus profonde. Ainsi donc, il représente l'archétype même de proposition qui devrait être uniquement adoptée ou rejetée par voie de REFERENDUM, une fois que les citoyens aient eu accès au document complet et une traduction en termes communs édulcorés des termes juridiques champions de la langue de bois et de la confusion.

Ainsi donc, les citoyens devraient avoir accès au document, le lire, en discuter pour ensuite répondre, comme le veut tout REFERENDUM, à une question simple par «oui» ou «non».

La question de ce REFERENDUM serait quelque chose du style : Voulez-vous que le «traité pandémies» de l'OMS devienne de facto guide de la santé publique de notre nation ? OUI — NON (cocher la case).

Si les gens avaient accès au document (toujours en voie d'écriture et changeant en permanence afin d'enfumer toujours plus...) et en avaient pleinement connaissance, il est quasiment certain que le résultat d'un tel REFERENDUM sur cette question bien comprise serait un NON resplendissant à plus de 95%...

Cela n'arrivera évidemment pas. Les leçons du NON ! au Referendum de 2005 sur la «constitution européenne» ont été retenues par les politicards traîtres aux nations, surtout en France. Cette supercherie des plus criminelles passera donc par la «voie parlementaire», cette voie oligarchique sûre de la corruption et de la trahison systématique au profit des intérêts particuliers d'une clique financière toujours plus avide de pouvoir, eugéniste et transhumaniste.

Cessons donc de jouer l'avocat du diable pour dire ici que finalement, tout ceci ne se produirait pas, mieux même, ne pourrait pas se produire dans une société anarchiste, une société des sociétés des associations libres unifiées n'œuvrant que pour le bien commun de manière décentralisée, concernée et totalement désintéressée puisque fonctionnant hors État, hors rapport marchand, hors argent et hors salariat.


Il n'y a rien de plus ultime aujourd'hui que de stopper net cette initiative pseudo-sanitaire tyrannique. Il suffit de dire NON ! Informons-nous ! Regroupons-nous ! BOYCOTTONS toute décision et toute action tyrannique de ceux qui décident à notre place ! Tuons ce projet criminel avant sa mise en application, car une fois en place, tout sera bien plus compliqué...


Si nous les laissons faire, c'en sera fini de l'humanité. Les injections armes nano-biotechnologiques à ARNm COVID-19 ont déjà tué plus de 20 millions de personnes dans le monde depuis décembre 2020, ce chiffre est conservateur. De partout, les rapports d'analyses médicales tombent sur les «effets secondaires» néfastes des injections ARNm, armes biologiques par définition, déployées sur les populations du monde. Les statistiques de turbo-cancers crèvent les plafonds, partout. Les AVC et maladies auto-immunes, maladies cardiaques induites sont légions. Qui ne connaît pas dans son entourage, quelqu'un qui a été affecté de manière grave ou bénigne par ces injections mortifères, vrais faux vaccins mais vraies armes biologiques utilisées contre les populations, ainsi que toute la panoplie de la nanotechnologie dans notre nourriture, produits quotidiens, etc..

Et bien, le «traité pandémies» que l'OMS veut adopter le 27 mai prochain, leur fournira toute autorité tyrannique pour encore plus nous injecter de leurs poisons, armes biologiques : l'ARNm est une arme biologique, répertoriée comme telle dans les brevets et les rapports militaires yankees. Les «virus pandémiques» sont des parasites nano-biotechnologiques, créés pour infester les populations et générer des pertes massives et une transformation génétique de l'espèce humaine. Ceci n'est pas un projet futuriste... CECI SE PRODUIT DÉJÀ ICI ET MAINTENANT alors que nous écrivons ces lignes. C'est un danger courant et immédiat ! Nous devons les arrêter !


Il y a un «même» qui circule depuis un moment sur la toile et qui dit ceci : «J'ai besoin de nouvelles théories de la conspiration, parce que toutes les anciennes se sont avérées vraies !» On vous en redonne une ici en primeur : L'oligarchie sait pertinemment qu'il est vital de garder cette affaire secrète ou du moins des plus discrètes le plus longtemps possible. Ainsi donc, tout le tumulte récent : Ukraine, Gaza/Palestine, chaos économique accéléré, n'est qu'écran de fumée, distraction à grande échelle, masquant le véritable agenda, qui avance toujours sous couvert, même si le voile se lève peu à peu... Du grain à moudre, réfléchissez-y... tout concorde.

Divulguer cette info est la chose la plus importante à faire aujourd'hui ! Il en va de la survie de l'humanité, ni plus ni moins.

Qu'on se le dise !

envoyé par Amar Djerrad

https://reseauinternational.net/stopper-le-traite-pandemies-de-loms-et-la-mise-en-place-de-la-dictature-nano-biotechnologique-institutionnalisee-des-mai-2024/
#70
Citoyenneté économique / De nouvelles sanctions occiden...
Last post by JacquesL - 18 Avril 2024, 05:58:55 PM
De nouvelles sanctions occidentales contre les métaux russes vont frapper l'Europe



par Philippe Rosenthal

Les États-Unis et le Royaume-Uni ont annoncé une interdiction sur l'importation de nickel, de cuivre et d'aluminium russes. Le désir de l'Occident de priver la Russie de ses profits est compréhensible, mais les restrictions peuvent poser de gros problèmes aux initiateurs de ces sanctions. 

Le 12 avril, l'Office of Foreign Assets Control (OFAC) du département du Trésor américain a publié une ordonnance interdisant l'importation aux États-Unis d'aluminium, de cuivre et de nickel d'origine russe «sauf si la loi l'exige ou sous licence».

«Les restrictions s'appliquent aux produits fabriqués après le 13 avril 2024», précise l'OFAC. Il est interdit aux entreprises américaines de fournir des services pour l'acquisition de ces métaux, ainsi que de se livrer à leur exportation, réexportation, vente ou fourniture. En outre, leur négociation sur le Chicago Mercantile Exchange a été interrompue. La Bourse de Londres a immédiatement rejoint Washington. Le Royaume-Uni a interdit l'importation d'aluminium, de cuivre et de nickel en provenance de Russie en 2023. 

«Le 6 décembre 2023, le 19 mai 2023 et le 24 février 2024, les dirigeants du G7 ont publié des déclarations signalant leur intention de réduire les revenus russes provenant des énergies et des métaux. Le 12 avril 2024, en coordination avec le Royaume-Uni, les États-Unis ont émis deux nouvelles interdictions qui perturberont encore davantage les revenus que la Russie tire de ses exportations d'aluminium, de cuivre et de nickel originaires de la Fédération de Russie, notamment grâce à l'utilisation de produits américains, bourses mondiales de métaux», stipule l'OFAC. 

L'Occident ne cache pas sa volonté de couper les revenus de Moscou. «Les bourses de métaux jouent un rôle central en facilitant le commerce des métaux industriels à travers le monde. En prenant des mesures communes, les États-Unis et la Grande-Bretagne privent la Russie et ses producteurs de métaux d'une importante source de revenus», souligne le Trésor américain.

«Les États-Unis veulent prouver leur «leadership» dans l'endiguement de la Russie et tentent d'entraver les succès russes dans la conduite d'un système de défense militaire, mais avec leurs actions, ils ne font que s'exposer eux-mêmes et leurs alliés aux attaques», a écrit l'ambassadeur de Russie aux États-Unis, Anatoly Antonov, sur la chaîne Telegram de la mission diplomatique russe. 

«Il ne s'agit même pas d'une balle dans la jambe, mais d'un tir aveugle. La décision actuelle de Washington repose probablement sur des calculs selon lesquels les prix des ressources ne monteront pas en flèche aux États-Unis eux-mêmes», a déclaré le diplomate russe.

Effectivement, le jour où la nouvelle interdiction a été publiée, le prix de l'aluminium à la Bourse des métaux de Londres a augmenté de près de 10%, soit le niveau le plus élevé depuis 1987. Les prix du nickel et du cuivre ont également sensiblement augmenté et sont revenus aux niveaux de 2022. L'instabilité des marchés s'explique facilement: la Russie produit environ 9% de la production mondiale de nickel, 5% de l'aluminium et 4% du cuivre. 

Dans le même temps, avant l'introduction des sanctions, les États-Unis ont couvert leurs paris en se dotant d'impressionnantes réserves de métaux. Dans le même temps, le ministère américain des Finances précise : dans certains cas, l'importation de lots d'aluminium, de cuivre et de nickel peut être autorisée – à titre exceptionnel. 

La Russie va trouver d'autres routes. Les sanctions imposées, si elles réduisent les revenus des entreprises russes, seront insignifiantes, selon des experts. La Russie a réussi à réduire les risques économiques extérieurs en développant activement son potentiel interne et en se réorientant d'Ouest en Est. 

Il est probable que la Russie redirigera ses exportations «sanctionnées» vers d'autres pays qui vendront des métaux à Washington et à Londres. La «reconfiguration» des entreprises russes a déjà eu lieu, et la hausse des prix mondiaux du nickel, du cuivre et de l'aluminium ne fera qu'augmenter leurs revenus. 

Des restrictions contre les entreprises qui vendent des métaux se trouvant sous les sanctions en Europe et aux États-Unis ont été introduites il y a longtemps. Il est questions de la capacité à vendre du métal à des pays tiers. En fait, selon les experts, les entreprises russes vendront ces métaux par d'autres canaux, par l'intermédiaire de pays qui n'ont pas adhéré aux sanctions.

Les Européens souffriront. Le volume des livraisons de métaux non ferreux aux États-Unis et au Royaume-Uni l'année dernière était assez faible. Les producteurs de nickel ne ressentiront pas réellement l'impact des nouvelles sanctions puisque leur principal marché est désormais constitué des pays asiatiques, principalement de la Chine. Mais les volumes que les producteurs d'aluminium devront réorienter sont plus importants. 

Dans tout ça, les consommateurs occidentaux devront également chercher un substitut à leurs approvisionnements habituels. En Europe, le nickel n'est pratiquement pas produit, et comme pour l'aluminium et le cuivre, il existe des producteurs des deux métaux, mais leurs volumes de fusion ne couvrent pas la consommation. Ainsi, les prix vont augmenter, ce qui frappera durement les consommateurs européens.

Observateur Continental rapportait que la France de Emmanuel Macron menait un double jeu avec la Russie et aussi par rapport à sa communication officielle belliqueuse contre la Russie. «La France adopte une ligne dure sur la guerre en Ukraine en se rangeant du côté de l'Ukraine [pour la communication], mais tout en augmentant ses importations de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance de Russie», faisait savoir le Berliner Zeitung, montrant que ces sanctions annoncées dans des communiqués ne sont que des annonces qui se brisent sur le mur de la réalité. 

source : Observateur Continental

https://reseauinternational.net/de-nouvelles-sanctions-occidentales-contre-les-metaux-russes-vont-frapper-leurope/