Jacques et sa fille, se sont retrouvés, plus de neuf ans après.
Les voici à Miribel, quand ils remballent les jumelles.
(http://deontologic.org/deonto-famille/ressources/turquoi7/Audrey_Jacques_Miribel3R.jpg)
Nous avions observé des guifettes moustac sternes Pierregarin nichant.
(http://deontologic.org/deonto-famille/ressources/turquoi7/Audrey_Jacques_Miribel_R.jpg)
Et à l'aéroport, un peu perplexes devant les mystères de l'enregistrement :
(http://deontologic.org/deonto-famille/ressources/turquoi7/perplexites_Satolas.jpg)
Audrey a vingt-quatre ans aujourd'hui.
Bon anniversaire !
Mon dernier baby a vingt-cinq ans aujourd'hui.
Quand je compare ce qu'elle fait avec ce que faisaient ses parents au même âge, ce n'est pas pire. Et comparé à ses deux aînés encore moins.
Si je me transpose au même âge, soit janvier 1969, bôf, pas terrible. Retour de notre première traversée du Vercors à skis, mal terminée. Un début d'une thèse infaisable, et pas d'intelligence de comment me sortir de là...
Pour Geneviève, ça la met en novembre 1973, en conflit permanent avec sa cheffe d'établissement, qui lui envoyait une enquêtrice de la sécu à chaque congé-maladie. Et au Chili, c'étaient les premiers mois de la dictature de Pinochet, si sanglante.
Au 1er janvier 2000, mon petit-fils avait deux ans et trois trimestre, et était lourdement instrumentalisé depuis toujours. Un instrument utile aux tactiques maternelles...
En octobre 2003, mon fils n'avait pas remis son rapport de stage à son établissement. Années perdues.
Toujours le verbe économe et précis, le dernier baby a une bonne autonomie, et toujours beaucoup d'initiatives.
Il se confirme que mon dernier baby est de maturité précoce, et de grande autonomie.
A son âge, je faisais moins bien. De toute évidence, j'étais handicapé et retardé.
18 juin 1918, ton grand-père aurait 97 ans...
Non, ce n'est pas lui qui a prononcé le fameux mot du 18 juin, ce fut le général Cambronne :
En version longue : "La garde meurt et ne se rend pas !".
La version brève est plus populaire.
Non Georges Lavau n'a poussé aucun cri déchirant le 18 juin : il était considéré comme mort, posé dans un haricot poussé sous le lit. Le personnel ne s'est plus occupé que de l'accouchée. Plus tard une aide soignante ou une femme de ménage s'aperçut que le bébé "mort" la regardait en suçotant. "Mais ? Il est vivant, ce bébé !". Voilà comment Georges Lavau fit une entrée silencieuse dans la vie aérienne, à Tananarive, où heureusement il ne faisait pas trop froid.