Nouvelles:

Notre mission est de former les citoyens de référence de l'avenir, les aider à coévoluer et créer.

Main Menu
Welcome to Pratiquer les vertus citoyennes. Please login or sign up.

14 Novembre 2024, 07:57:11 AM

Login with username, password and session length

Crier !

jacquesloyal

2007-11-12, 17:03:07
Etre loyal et ne pas mentir

Récents

Membres
Stats
  • Total des messages: 6,797
  • Total des sujets: 3,998
  • En ligne aujourd'hui: 13
  • Record de connexion total: 448
  • (18 Mai 2024, 04:24:13 AM)
Membres en ligne
Membres: 0
Invités: 96
Total: 96

L’avion magique du Pentagone : épisode 2, par Pierre-Henri Bunel

Démarré par JacquesL, 14 Décembre 2006, 10:08:58 PM

« précédent - suivant »

JacquesL

http://www.voltairenet.org/article139125.html

CiterLa requête de l'association néo-conservatrice Judicial Watch, le département de la Défense des États-Unis a rendu publique la vidéo complète de l'attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone. La presse néo-conservatrice se réjouit de cette publication qui contredirait définitivement nos analyses. En réalité, la vidéo ne contient pas d'élément supplémentaire par rapport aux images déjà rendues publiques en 2002, et il reste absolument impossible d'y observer un Boeing 757-200. Cette séquence confirme au contraire l'analyse du commandant Pierre-Henri Bunel publiée par Thierry Meyssan dans son livre Le Pentagate et que nous reproduisons ici.

« L'effet d'une charge creuse »,
quatrième chapitre du livre Le Pentagate

Quelle est la nature de l'explosion qui a eu lieu au Pentagone le 11 septembre 2001 ? Une analyse des images vidéo de l'impact et des photographies des dégâts permet de savoir par quel type d'engin l'attentat a été causé. L'explosion correspond-elle à celle qui peut être produite par le kérosène d'un avion ou à celle d'un véritable explosif ? L'incendie correspond-il à un incendie d'hydrocarbures ou à un feu classique ?
Déflagration ou détonation ?

En préambule, il paraît indispensable d'éclairer le lecteur sur un distinguo essentiel : la différence entre une déflagration et une détonation. ...

JacquesL


JacquesL

Bizarre, comment Scott P. Cook est compté au nombre de ceux qui ont vu un Boeing 757, alors qu'il écrit exactement le contraire :
http://mouv4x8.club.fr/11Sept01/A0082_b_They%20saw%20the%20aircraft.htm
CiterScott P. Cook  was at work on the fifth floor of the Portals building, at 1280 Maryland Avenue SW, Washington DC. immediately opposite to the Pentagon across the River.
  We didn't know what kind of plane had hit the Pentagon, or where it had hit. Later, we were told that it was a 757 out of Dulles, which had come up the river in back of our building, turned sharply over the Capitol, ran past the White House and the Washington Monument, up the river to Rosslyn, then dropped to treetop level and ran down Washington Boulevard to the Pentagon
  I cannot fathom why neither myself nor Ray, a former Air Force officer, missed a big 757, going 400 miles an hour, as it crossed in front of our window in its last 10 seconds of flight.
http://www.clothmonkey.com/91101.htm
Citation plus détaillée du document original http://www.clothmonkey.com/91101.htm :
Citer

The Pentagon from my office at exactly 9:38AM, September 11, 2002, one year after the attack.  The plane hit the far side of the building, about where the crane arm sticks up in this picture.

I had just scanned the sky and the scene one more time, and turned to Ray. We were talking about the need for a swift response to this attack (we were already talking about bin Laden) when Ray leapt to one side, his face instantly animated beyond anything I had ever seen.

"They just hit the Pentagon!"

I turned. Rising up from the right center of the Pentagon's mass was a gigantic spherical orange mass, the flames oddly bright and vivid in the clear direct sunlight. I stepped to the window, and instinctively put my hand to the glass. Verle and Ray were quickly on either side of me. A few seconds after the explosion, the glass rattled and a dull boom shook the room.

I yelled, "Jesus Fucking Christ!" and the others yelled other things. The room seemed full of sound suddenly. Some people rushed in in response to the sound, then oddly left again.

Within seconds, the orange fireball had dissipated, replaced with an angry black plume, instantly bending to the southeast in the prevailing wind. I simply could not believe what I was looking at. To expect a bizarre, outrageous event like this, and then to see it happen, is literally the stuff of nightmares. The only similar experience I could compare it to was the Challenger explosion, when I actually believed that if I looked at the tape enough times and really concentrated, it wouldn't blow up this time.

We didn't know what kind of plane had hit the Pentagon, or where it had hit. Later, we were told that it was a 757 out of Dulles, which had come up the river in back of our building, turned sharply over the Capitol, ran past the White House and the Washington Monument, up the river to Rosslyn, then dropped to treetop level and ran down Washington Boulevard to the Pentagon. I cannot fathom why neither myself nor Ray, a former Air Force officer, missed a big 757, going 400 miles an hour, as it crossed in front of our window in its last 10 seconds of flight.

(The more I've thought about it since, the odder the choice of the Pentagon as a target appeared. The Pentagon is a huge pile of concrete, the walls over a foot thick, and no plane is big enough to do more than superficial damage to it. Had the hijackers chosen to dive into the Capitol or the White House, much smaller sandstone buildings with little internal framework, the damage and the death toll would have been infinitely higher. Both houses of Congress were in session, and in addition Laura Bush was in the building, preparing to testify to some committee about school reading programs. I guess the symbolism of the Pentagon was more important to the terrorists, who blamed the US military for everything, much like Chomskyites blame everything on the CIA. As horrible as it sounds, the hit on the Pentagon may have been a blessing.)

As we watched the black plume gather strength, less than a minute after the explosion, we saw an odd sight that no one else has yet commented on. Directly in back of the plume, which would place it almost due west from our office, a four-engine propeller plane, which Ray later said resembled a C-130, started a steep decent towards the Pentagon. It was coming from an odd direction (planes don't go east-west in the area), and it was descending at a much steeper angle than most aircraft. Trailing a thin, diffuse black trail from its engines, the plane reached the Pentagon at a low altitude and made a sharp left turn, passing just north of the plume, and headed straight for the White House.

All the while, I was sort of talking at it: "Who the hell are you? Where are you going? You're not headed for downtown!" Ray and Verle watched it with me, and I was convinced it was another attack. But right over the tidal basin, at an altitude of less than 1000 feet, it made another sharp left turn to the north and climbed rapidly. Soon it was gone, leaving only the thin black trail.


JacquesL

#3
http://www.voltairenet.org/article150064.html

Lecteur de la première heure des ouvrages de Thierry Meyssan, le réalisateur états-unien Michael Moore s'était longtemps abstenu de parler publiquement des incohérences de la version officielle du 11 septembre. Son avant-dernier film, Fahrenheit 911, qui évoquait cependant les relations étroites qu'entretenaient les familles Bush et Ben Laden par le Carlyle Group, se concentrait principalement sur les États-Unis de l'après 11 septembre et des dérives autoritaires de l'administration Bush, de la promulgation de l'USA Patrioct Act aux horreurs de la guerre en Irak. Tout cela servait de base à l'argumentaire démocrate avant les élections de novembre 2004. Depuis, sa réflexion sur le sujet semble avoir évolué :
« Depuis Fahrenheit 911, j'ai discuté avec pas mal de pompiers qui m'ont confirmé qu'ils avaient entendu des explosions avant l'effondrement des tours et qui pensent qu'il y a beaucoup plus de choses à creuser dans cette histoire », explique-il.

Désormais convaincu qu'au delà de l'instrumentalisation du 11 septembre pour envahir l'Afghanistan et l'Irak, l'administration Bush laisse délibérément planer de nombreuses zones d'ombres sur ce qui s'est réellement passé le 11 septembre, il appelle à une réouverture de l'enquête :
« Je ne crois pas que l'enquête officielle ait dit l'entière vérité. C'est pourquoi j'espère qu'il y aura une nouvelle administration, avec quelqu'un qui fera en sorte de lancer de nouvelles investigations avant que nous ne nous soyons trop éloignés de ces évènements. Afin de connaître toute la vérité. »

En tant que réalisateur, il est particulièrement sensible au manque d'images de l'attentat au Pentagone. Ce, malgré les centaines de caméras de sécurité filmant en permanence l'une des institutions les plus surveillées au monde :
« Laissez moi juste vous dire quelque chose que je me demande depuis longtemps. J'ai filmé le Pentagone avant le 11 septembre. Il y a des centaines de caméras installées sur les bâtiments, les arbres. Ils avaient la possibilité de filmer l'arrivée de cet avion sous cent angles différents. Comment cela se fait-il qu'on ne peut pas voir ce crash du début à la fin ? Je veux voir ces centaines de vidéos qui existent de cet événement. Pourquoi ne peut-on pas voir cet avion arriver sur les bâtiments du Pentagone ? »

Vivement critiqué pour ces propos, Michael Moore vient de sortir son nouveau film « Sicko », traitant des problèmes du système de santé états-unien.

Vidéo de Michael Moore évoquant les attaques du 11 septembre 2001 :

http://www.youtube.com/v/MfA3L_Z58Ao

JacquesL

Tsss tsss !
Des centaines de caméras, et pas une seule image de l'"avion", dont il est prétendu qu'il s'agit du Boeing 757...
Ah oui bien sûr, mais c'est un miracle que dyeu a fait en faveur des fondamentalistes...

De la même manière que
Citer
Certains soulèvent également la difficulté de rassembler deux spécimens de chaque espèce et de les faire entrer dans l'arche. Toutefois, le récit de la Genèse nous dit que c'est Dieu qui rassembla les animaux et qui les fit entrer vers Noé deux par deux dans l'arche. (Genèse 6: 20)

Certains pensent que les problèmes n'ont vraiment surgi qu'une fois que tous se sont trouvés à bord, puisqu'il n'y avait que huit personnes pour nourrir, aérer, abreuver et nettoyer cette immense ménagerie pendant 371 jours. Toutefois, bien des savants pensent que les animaux ont pu tomber dans un état de léthargie, qui est une faculté latente d'hibernation qui existe dans presque toutes les espèces animales. Peut être cette faculté s'est-elle surnaturellement intensifiée pendant ce voyage.

Avec leurs fonctions physiques réduites au minimum, les animaux auraient nécessité beaucoup moins d'attention. En conclusion, lorsqu'on considère tous les faits, il devient évident que la science ne prouve pas du tout que le récit de l'arche de Noé soit un mythe ou une invention.

Les faits prouvent que l'arche de Noé décrite dans la Bible était assez grande pour transporter le nombre d'espèces animales qu'il fallait pour repeupler la terre après le déluge, et que Noé et les membres de sa famille étaient parfaitement capables de s'occuper de ces animaux pendant le temps qu'ils ont passé dans l'arche. Le déluge que Dieu a envoyé au temps de Noé était un jugement du péché sur la terre entière.

http://www.bibliorama.fr/archeo/arche_archeo.htm


JacquesL

#5
Le jeu des sept erreurs :
http://www.asile.org/citoyens/numero13/pentagone/erreurs.htm

50 photographies de l'attentat :
http://www.asile.org/citoyens/numero13/images-pentagone/index.htm

Les témoins : avion militaire, missile ou avion de ligne ?
http://www.asile.org/citoyens/numero14/missile/temoins_fr.htm

Un trou de 2,30 m de diamètre :
http://www.asile.org/citoyens/numero14/missile/trou_fr.htm

Nez d'avion ou tête de missile ?
http://www.asile.org/citoyens/numero14/missile/missile_fr.htm

Voici de combien c'est fort et perce-muraille, un nez d'avion, un vrai, ici un Iliouchine Il-62M :


Et voilà le nez perce-bunker d'un Boeing 737 :


Juste une cigogne dans ce nez-perce-bunker d'un Boeing 737-4 :


l'Airbus A320-211 de Philippine Airlines en mars 1998 :


Ou encore un Boeing 757-204, 14f Septembre 1999,

JacquesL

Il s'agit du Global Hawk, selon Aymeric Chauprade.










JacquesL

http://pagesperso-orange.fr/jpdesm/pentagon/francais.html

Jean-Pierre Desmoulins fait là l'analyse de loin la plus détaillée et documentée que j'aie lue.

CiterDans les versions successives de ce site, j'essaye de formuler plusieurs hypothèses sur le crash du pentagone le 11 septembre 2001, en présentant un certain nombre de matériaux disponibles et leur analyse. La couverture de l'événement et la désinformation est évidente. La thèse officielle du suicide du pirate Hani Hanjour aux commandes d'un Boeing 757 qui aurait frappé la façade du Pentagone dans un vol horizontal parfait ne tient pas. Alors, que s'est il passé réellement ? Ce site tente de mettre en évidence quelques portes cadenassées et d'imaginer ce qui peut se cacher derrière.

Arrière plan de cette recherche
   
Pentagone le 11 / 9 / 2001 : la fraude !         [Comment naviguer dans ce site]    [Comment naviguer dans ce site]
   Historique de ce site    [Comment naviguer dans ce site]    [Comment naviguer dans ce site]
[Menu déroulant]       Vous êtes ici    
[Menu déroulant]    [Menu déroulant]         

L'attaque du Pentagone le 11 septembre 2001 a eu moins d'impact sur les esprits que les attaques des deux tours du World Trade Center à New York. Les raisons sont multiples :

    * Il y a eu quinze fois moins de victimes à Washington qu'à New York.
    * La couverture de l'événement par les medias a été beaucoup moins spectaculaire. En particulier il n'y a quasiment pas d'image de l'avion s'écrasant sur le pentagone, alors qu'il y en a profusion pour les deux tours du WTC.
    * Le pentagone est une cible militaire. Son attaque s'apparente plus à un acte de guerre que l'attaque de bâtiments civils qui relève du concept de "terrorisme".
    * Les officiels américains ainsi que les medias ont été plus portés à médiatiser les attaques de New York, plus payantes en termes idéologiques, que l'attaque contre un bâtiment militaire dans la capitale du pays, qui fait poser beaucoup de questions sur l'efficacité du dispositif de défense protégeant ce centre vital des Etats Unis.

La manière dont les attaques ont été menées à leur terme à New York, et notamment l'impossibilité pour l'US air force d'intercepter les deux avions attaquants, peut s'expliquer de manière rationnelle, sans faire appel à l'idée de conspiration ou de couverture de l'événement. Par contre les deux crash des vols 93 (près de Pittsburg) et 77 (sur le pentagone), si on les analyse dans les détails, laissent entrevoir de nombreuses questions sans réponse et appellent, naturellement, à la réflexion sur l'éventualité d'une conspiration et/ou d'une couverture de ces événements. Si une telle hypothèse était vraie, il serait donc logique que l'on assiste à un verrouillage des informations sur ces sujets, aussi bien de la part des officiels américains que des médias qui s'autocensurent sur des problèmes sensibles de ce type. On a vu ce phénomène pour l'enquête sur le vol TWA 800, mais cela n'est pas nouveau : il y a trente ans, le vol Paris-Nice d'Air Inter avait été abattu par un missile tiré depuis le centre d'essai de l'île du Levant, et l'affaire avait bel et bien été étouffée.

Ce qui m'a motivé à m'intéresser à l'attaque du Pentagone relève d'un enchaînement de circonstances.

    * Début mars 2002, peu après la publication d'un article dans le N� 127 de la "Lettre d'information" d'Emanuel Ratier, ainsi que la publication sur internet de la première version du site web d'Amigaphil, Thierry Meyssan, journaliste d'investigation, fondateur et animateur du "Réseau Voltaire", publie un livre titré "L'effroyable imposture". Les analyses contenues dans la lettre d'Emanuel Ratier et dans le livre de Meyssan, étant les premières publiées, manquent nettement de recul et sont plus basées sur des impressions que sur des faits objectifs. La critique se fait donc virulente, aussi bien de la part des anglo-saxons que de la part des médias français. J'assiste personnellement à une interview de l'auteur à la télévision et l'attitude des journalistes me déçoit fortement : j'attendais un débat sur un certain nombre de questions techniques et précises que le livre soulevait, et j'assiste à une curée médiatique contre un individu, sur des questions qui n'ont rien à voir avec le contenu du livre, ce qui me choque.
    * En février 2002, le site web "asile-citoyens.org", dont le webmaster est le fils de Thierry Meyssan, publie une série de photos sur une page titrée "Hunt the Boeing", reprenant certains des arguments du livre de son père, tendant à montrer qu'il n'y a pas eu de crash d'un Boeing sur le Pentagone. Cette page a un énorme impact sur les internautes américains. En effet, le livre de Meyssan n'est pas encore traduit en anglais, et ce petit site est la première publication en anglais d'un doute sur la version officielle.
    * Comme pour démentir les assertions de ce site et le livre de Meyssan, une série de photos est donnée en mars 2002 à Associated Press. Le Washington Post et la chaîne CBS, qui les publient, précisent qu'elles émanent du département de la défense, et ont été prises par la caméra de sécurité qui se trouve dans la guérite de contrôle à l'entrée du parking nord du Pentagone. On voit sur ces photos ce qu'on peut interpréter comme l'arrrivée d'un avion et son explosion sur la façade du Pentagone.
    * Thierry Meyssan publie en juillet 2002 un second livre sur le 11 septembre 2001, titré "Le Pentagate", se concentrant sur l'attaque du Pentagone. Le livre contient de nombreuses analyses, mais met en évidence deux faits :
         1. La scène de l'extérieur du Pentagone ne ressemble pas à la scène du crash d'un avion de ligne.
         2. L'explosion que l'on voit sur les photos de la caméra de surveillance a été provoquée par un explosif solide et non par l'impact de l'avion et de son carburant sur le bâtiment.
    * Les médias se déchainent à nouveau contre Thierry Meyssan et, comme lors de la publication de son premier livre, éludent les questions posées pour discréditer le personnage du journaliste lui-même.
    * Les rares hommes politiques français qui s'aventurent à prendre position, ne serait-ce que pour dire qu'il y a des bizarreries dans cette affaire et qu'il convient de faire une enquête sérieuse, tels Alain Lipietz du parti vert, reçoivent de la part de certains de leurs amis politiques une volée de bois vert. Je dois dire que, connaissant un peu les positions politiques d'Alain Lipietz, l'entendre traiter de faciste ou d'antisémite est pour moi quelque chose de totalement grotesque et, une fois de plus, complètement en dehors de la problématique. Je commence alors à penser que les medias et l'establishment politique tentent d'imposer au public, dont je fais partie, une "pensée unique".

La photo ci-dessous, une des premières prises après le crash, avec sa mise en situation (en jaune les bords de la photo, en violet la trajectoire de l'avion) est en couverture du livre "Le Pentagate". Meyssan argumente que l'on devrait avoir beaucoup plus de dégâts sur la façade, que la pelouse aurait dû être endommagée de manière spectaculaire par le crash et qu'elle devrait être jonchée de gros débris.

La photo ci-dessous, la troisième de la série publiée par Associated Press, montre l'explosion de l'avion contre le mur du Pentagone. Pierre-Henri BUNEL, un expert militaire français, qui a rédigé un chapitre du livre de Thierry Meyssan en commentaire de cette photo, explique pourquoi cette explosion est due à une bombe et non au kérozène contenu dans les réservoirs d'un avion de ligne.

Le travail de Thierry Meyssan et surtout les réactions que la publication de ses livres a suscitées m'ont poussé à mener mes propres investigations.

Résumé au galop :
Les images de la caméra de surveillance ont été trafiquées. Suppression de la plupart des images, notamment toutes celles qui ont enregistré l'avion. Un infographiste a ajouté la fumée attribuée à un réacteur, et ajouté la tache prétendue être la dérive.
Les dégâts en façade sont compatibles avec un Boeing 737, et avec un 757.
Mais pas du tout les dégâts à l'intérieur, ni le coup de chalumeau qui a percé le 6e mur extérieur. La caméra de surveillance a bien enregistré l'explosion d'une bombe, les sismographes aussi, et les nombreux témoins militaires ailleurs dans le bâtiment.
Jean-Pierre Desmoulins conclut à une charge militaire dans la soute de l'avion. Lui insiste sur un perforateur perce-bunker en uranium appauvri, et donne de nombreux indices. Eric Bart préfère une charge creuse, une grosse...

La trajectoire, reconstituée par compilation détaillée de tous les témoignages, est étonnamment basse et difficile, par exemple avec évitement acrobatique de l'hôtel Sheraton. Une trajectoire bien plus simple, droite et un peu plus haute, peut-être à la portée de Hani Hanjour, aboutit directement dans le bureau de Donald Rumsfeld, ce qui n'aurait pas fait les affaire du dit Donald Rumsfeld. Tandis que la trajectoire choisie est à la portée d'un pilotage électronique, et présentait quelques avantages :
- Suppression de la tête du renseignement de la Navy, convoquée justement dans une salle du rez-de-chaussée à l'endroit percuté.
- Suppression du pilote du Boeing, témoin et expert gênant s'il eût été en vie, Charles Burlingame.

Citer
DEBUT :
Beaucoup de faits, hors des circonstances de l'attaque du pentagone elle-même laissent penser que les attaques du 11/9 étaient prévues et qu'une énorme opération de verrouillage a eu lieu, incluant le vote par le parlement américain du "patriot act". Le scenario construit à partir des faits décrits ci-dessus, de mes réflexions, incluant la manière dont j'ai personnellement vécu cette journée du 11 septembre, est basé sur les prémisses suivants (voir détails des horaires).

   1. Ben Laden a préparé une attaque dans laquelle quatre avions seront détournés.
   2. Les officiels américains sont prévenus de cette attaque, par plusieurs sources, la plus sérieuse étant le ministre des affaires étrangères des talibans, qui voulait ainsi ouvrir une négociation avec les Etats Unis.
   3. Il est décidé de laisser cette attaque se dérouler, tout en essayant de limiter les pertes en vies humaines, afin de créer un choc psychologique sur la population américaine et de créer les conditions nécessaires à l'ouverture d'un conflit au moyen orient.
   4. Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé. Il est chargé avec une bombe à uranium appauvri, ou une bombe composite de type Broach, placée dans le compartiment à bagages.
   5. Le 11 septembre, quatre avions sont détournés en même temps. Ce détournement peut être réalisé réellement par des terroristes d'Al Quaida ou bien être fait de manière électronique en utilisant une technologie de contrôle à distance, ou encore une combinaison de ces deux hypothèses (voir plus bas).
   6. Conformément aux procedures, le NORAD reçoit l'information du FAA.
   7. Un avion détourné heurte la première tour du WTC. Dans le quart d'heure qui suit, tout le monde a l'information : je l'ai reçue en France sur mon lieu de travail, la femme d'un collègue ayant reçu un mail d'une personne qui regardait CNN aux USA, et ayant téléphoné à son mari.
   8. Un second avion détourné heurte la seconde tour du WTC. Tout le monde à ce moment là, y compris les français qui suivent les événements en direct sur internet, sait que cela n'est pas un accident mais une attaque.
   9. Le NORAD, qui évidemment avait au moins la même information que le public en France, est d'une certaine manière verrouillé par la conspiration.

A partir de là, trois options sont possibles, développées séparément ci-dessous.
Option 1 (MIHOP 3) : Le scenario du détournement électronique pur
Ce scenario se déroule de la manière suivante :

   1. Le Boeing 757 du vol 77 a été préparé. On l'a équipé d'un système de pilotage à distance,
   2. Un C 130 vole dans les environs, avec le pilote de cet appareil télécommandé à son bord. Il suit de près cet avion, prenant en charge la dernière partie de la trajectoire sur un écran video.
   3. La video manquant un peu de résolution, alors que la vitesse de l'avion à plein gaz augmente, il ne voit pas les poteaux d'éclairage public dans la zone du carrefour entre les autoroutes 27 et 244, et les touche. Le choc n'est pas destructif pour l'avion mais tord les poteaux et en arrache certains de leur support, l'avion manquant probablement de peu de s'écraser dans la pelouse avant le pentagone. Le pilote parvient toutefois à stabiliser la trajectoire.
   4. Au moment de l'impact, le C 130 dégage et s'éloigne de l'explosion.

Option 2 (LIHOP) : Le scenario du détournement humain
Ce scenario se déroule de la manière suivante :

   1. L'avion est détourné par Hani Hanjour et ses complices, dirigé vers Washington DC.
   2. Hani Hanjour voudrait s'écraser sur la maison blanche, mais il est trop haut lorsqu'il arrive sur la ville pour reconnaître sa cible et piquer sur elle.
   3. Il fait un virage serré pour revenir sur le centre de la ville. Etant peu habile, il perd de l'altitude durant ce virage, et se trouve si près du sol vers la fin, peut être ébloui lorsqu'il se dirige face au soleil levant, qu'il manque de peu de s'écraser avant d'avoir vu sa cible.
   4. Il comprend qu'il ne sera pas capable de frapper la maison blanche, mais juste en face de lui se trouve le pentagone, bâtiment énorme avec une forme caractéristique.
   5. Il met les gaz à fond, criant "Allah ou akbar", et se concentre sur le pilotage de son avion pour le diriger droit sur le bas de la façade du pentagone.
   6. Il ne voit pas les lampadaires au carrefour des routes 27 et 244. Le 757, lancé presque à pleine vitesse, tord certains lampadaires et en arrache d'autres de leur support, le poids et la vitesse de l'appareil le maintenant sur sa trajectoire.

Option 3 (HIHOP) : Le scenario de "l'exercice anti-détournement"

   1. Les autorités US, averties du détournement multiple planifié par Al Qaeda, decident d'expérimenter une nouvelle technologie qui permet de prendre le contrôle à distance d'un avion détourné et de le ramener au sol en toute sécurité.
   2. Les pilotes des vols sont avertis de l'opération. Charles Burlingame, le pilote du vol 77, est choisi pour avoir participé à quelques opérations secrètes, et pour avoir participé en tant qu'expert à l'analyse du scénario du crash d'un avion de ligne sur un bâtiment cible.
   3. Quelques huiles et certains experts des des sociétés qui ont travaillé sur les technologies anti-détournement s'enregistrent sur les vols, probablement poussés à le faire pour montrer qu'ils croient dans leur technologie.
   4. Charles Burlingame, qui avait projeté d'assister à un match de baseball à Anaheim, en Californie, avec son épouse Sheri, lui dit de ne pas embarquer avec lui sur le vol 77. Son frère Brad, qui rapporte ce fait, dit qu'il a expliqué qu'il n'avait pas pu obtenir une bonne place pour le match.
   5. Hani Hanjour et son équipe détournent le vol 77. Peut être de manière soft, puisque le commandant de bord et quelques passagers savent que cela va se produire. Peut être de manière hard, si certains gros bras de l'équipe de pirates perdent leurs nerfs et veulent faire couler du sang pour contrôler les passagers par la terreur.
   6. Le scénario se continue, l'avion (comme les deux autres des vols 11 et 175) est mis sous contrôle électronique. Un C130 de la Navy, embarque les équipements de contrôle à distance et le "pilote". L'opération est supervisée par une équipe du renseignement de la Navy, depuis un local situé au rez de chaussée de l'aile Ouest du Pentagone.
   7. Le système de défense aérien est mis délibérément en stand-down, probablement en simulant un dysfonctionnement bureaucratique, à moins que cela ne fasse partie d'un exercice planifié à l'avance, et cela pour que l'expérience puisse se dérouler.
   8. A bord de l'avion, Hani Hanjour découvre que l'avion n'est plus sous son contrôle, et se voit probablement informer par le commandant que l'avion est maintenant sous contrôle à distance, et qu'ils n'ont plus qu'à attendre que l'avion soit au sol pour discuter, calmement, avec les autorités, qui seront indulgentes avec les pirates si aucun mal n'est fait aux passagers.
   9. Charles Burlingame et Hani Hanjour, peut être tous deux dans le cockpit, et ne comprenant ni l'un ni l'autre ce qui se passe, voient leur avion foncer sur le Pentagone pour s'y écraser.
  10. La bombe embarquée dans l'avion explose. L'équipe du renseignement de la Navy, dans le Pentagone, est détruite par l'explosion de la charge creuse, le pénétrateur à uranium apauvri, les débris de l'avion et l'incendie du bâtiment.
  11. Puisque l'opération est un plein succès pour les trois premières frappes, dans des scénarios identiques, il est décidé de stopper le vol 93 (qui devait s'écraser sur le Capitole), et il est descendu. Cela pourrait être par un missile tiré par avion (un jet d'affaires banalisé) qui le suivait, ou bien, ainsi que le rapporte le Col. Donn de Grand-Pre, par deux missiles "sidewinders" tiré par un chasseur des "Happy Hooligans", une patrouille de chasse sur F 16 de la "North Dakota Air Guard".
  12. Le crime est presque parfait, puisque les "acteurs innocents" (ceux qui ont développé la technologie et étaient engagés dans l'expérience, à bord de l'avion ou à l'intérieur du Pentagone) sont tués en même temps que les victimes des attaques, et ne viendront donc pas expliquer qu'il s'agissait d'une expérience détournée.

Fin

   1. Le 757 frappe le bâtiment presque à pleine vitesse, disons plus de 700 km/h, s'encastre dans la façade qu'il détruit partiellement, alors que certaines parties de l'avion rebondissent vers l'extérieur à grande distance du point d'impact.
   2. La charge creuse, la masse d'uranium appauvri et peut-être l'énergie de certaines pièces lourdes (réacteurs) pulvérisent certaines structures du bâtiment.
   3. La charge d'uranium continue sa course sur son inertie, explose lentement et s'enrobe d'un plasma qui lui permet de perforer les murs et les planchers, détruisant des piliers et faisant le trou de sortie "punch out" dans le mur de l'anneau C.
   4. A l'exception de certaines pièces lourdes (moteurs, trains d'atterrissage), l'avion est complètement pulvérisé, réduit à une pluie de confettis d'aluminium diront certains témoins pour les parties qui ont rebondi vers l'extérieur du bâtiment, transformé en poudre blanche (alumine) par l'effet du système sprinkler pour la partie de l'appareil qui a pénétré dans le bâtiment.
   5. Des bizarreries dans les témoignages, la couverture évidente des éléments du crash par les autorités, poussent le journaliste français Thierry Meyssan à publier ses livres "L'effroyable imposture" puis "Le Pentagate". Le site web "Hunt the Boeing" a un gros succès auprès des internautes, posant la question du crash d'un 757.
   6. Les autorités américaines (FBI, DOD, CIA, OSP ?) répondent de la pire des manières possibles aux questions soulevées par Meyssan : par des images falsifiées, d'abord de la caméra de sécurité du parking du Pentagone, ensuite de certains débris montrant des "lettres rouges" et supposées provenir du logo "American" du 757.
   7. Les infographistes qui ont falsifié ces images et les officiels qui leur ont commandé le travail ont des compétences limitées aux images 2D. La troisième dimension est inaccessible à leur cerveau. La fraude peut être prouvée en raisonnant sur la topographie, la perspective et l'analyse géométrique.
   8. Ceci ruine la thèse officielle du crash purement "civil" d'un Boeing 757. Vu qu'il est probable que l'avion est bien un 757, il reste comme hypothèse valide qu'il transportait une charge militaire.

Arguments pour ce scenario

    * Il correspond bien aux témoignages : certains témoins ont dit avoir vu un 757.
    * La position des moteurs par rapport à l'axe de l'avion correspond exactement aux dégâts constatés sur la clôture grillagée, le groupe électrogène, le muret de protection de la structure de ventilation.
    * Les dommages sur le bâtiment correspondent à la taille d'un 757 si les ailes se sont bien repliées pendant le crash, comme certains témoins le confirment.
    * L'explosion, comme on la voit sur la video, et ses effets sur le bâtiment ne peut résulter du crash lui même : une bombe dans la soute à bagages est l'explication la plus probable à ce qu'on voit sur la video de surveillance et aux dégâts que l'on constate.
    * L'explosion de la bombe aurait soufflé la queue de l'appareil, l'empéchant de frapper la façade au dessus de la zone d'impact du fuselage, laissant les fenêtres du deuxième étage intactes.
    * Certains dégâts à l'intérieur du bâtiment, limités dans leur emprise à une zone étroite parfaitement alignée entre le point d'impact et le trou de sortie "punch out", avec des effets dévastateurs, les bizarreries des rapports des ingénieurs en génie civil sur les dégâts dans le Pentagone, les photos prises de ces dégâts, la présence de déchets d'uranium dans l'atmosphère de Washington dans les jours qui ont suivi, témoignent de la présence d'un "pénétrateur" en uranium appauvri dans l'avion attaquant.
    * Il était nécessaire de traffiquer la video originale de la caméra de surveillance du Pentagone, laquelle montrait probablement plusieurs images de l'avion au moment du crash, avec des effets qui ne laissaient que peu de doute sur l'existence d'une explosion interne à l'appareil (queue et autres débris soufflés, ...).

Arguments contre ce scenario

En dehors de quelques arguments techniques (type de bombe utilisé, absence de témoignage précis sur la position de la queue de l'appareil), les principaux arguments contre un tel scenario sont :

    * Le fait que le gouvernement des Etats Unis d'Amérique puisse laisser tuer des milliers de citoyens de ce pays pour organiser une opération de propagande est incroyable.
    * Le fait que cette opération de propagande aurait inclus l'attaque du centre de commandement des armées du pays avec une bombe à uranium est incroyable.
    * Le fait qu'une bombe, probablement d'un type "anti-bunker" sophistiquée, ait pu être placée dans le compartiment à bagages d'un avion de ligne sur l'aeroport de Washington Dulles avant le décollage est incroyable.
    * Le fait que la première puissance militaire, économique et technologique du monde, confrontée à un problème de communication sur un thème sensible, décide de réaliser des faux et fasse appel pour cela à un ou des infographistes amateurs ne maîtrisant pas l'intégration de leur travail dans la topographie des lieux, commettant des fautes de géométrie dans l'espace, est incroyable.

Il y a trop de choses incroyables... comme dans le film "The Matrix", le mieux est de prendre la pilule bleue et tout cela va juste disparaître de la réalité. Ou alors, il faut avoir plus d'information pour lever ces doutes. Ces informations existent : les boites noires et les restes de l'avion, les videos, d'autres photos prises à l'intérieur du Pentagone, ... !

Nouveau. Decembre 2006. La fille du commandant Charles Burlingame, Wendy, meurt dans son appartement en feu, aprés avoir été enfermée à l'intérieur par son compagnon. Rapporté par Newsday (05/12/06) et le by NY Times (06/12/06). Un fait divers triste et bizarre. Rien à en dire de plus avant de connaître les conclusions de l'enquête.

JacquesL

#8
L'escamotage de l'aile du A3 Skywarrior ?

http://home.att.net/~carlson.jon/A3firetruck.htm

L'hypothèse que ce soit ce type d'appareil demeure à prouver.

JacquesL

Il est intéressant de comparer la taille des pièces de réacteur trouvées dans le Pentagon, avec celles d'un vrai 757 :
http://www.youtube.com/watch?v=hOfWBroV7oo&NR=1
à 1'20", et 1'25".
Etonnant, n'est-il pas ?

ffi

A noter aussi le problème de "l'effet de sol", effet que l'on peut constater sur la vidéo suivante
http://www.youtube.com/watch?v=fRThDxlqMVg

JacquesL

Citation de: ffi le 22 Octobre 2009, 02:58:36 PM
A noter aussi le problème de "l'effet de sol", effet que l'on peut constater sur la vidéo suivante
http://www.youtube.com/watch?v=fRThDxlqMVg

Prière de préciser clairement quelle conclusion tu préconises d'en tirer.

Merci d'avance !

ffi

Personnellement, j'ai bien peu de moyen d'arriver à la moindre conclusion qui ne semble pas ridicule, vu que je ne fus pas sur place et que je n'ai aucun moyen d'enquête sophistiqué.

Je remarque simplement que si l'effet de sol parvient à faire décoller un hovercraft allant à 40 km/h, un avion allant à 800 km/h doit être assez difficile à contrôler pour se maintenir à l'horizontal en rase motte.

A moins, bien-sûr, que l'effet de sol soit inversement proportionnel à la vitesse à partir d'un certain seuil, auquel cas je retire ce que j'ai dit.

Mais si effectivement l'effet de sol est très grand à cette vitesse je vois essentiellement deux solutions :

a) l'avion a fait un superbe looping pour arriver de manière parfaitement tangentielle au sol juste au moment de l'impact.

b) l'avion n'avait pas d'ailes et un seul réacteur à l'arrière, de manière à éviter ces soucis de portance.

JacquesL

#13
"Pas d'attaque en plein vol. La porte de la cabine de pilotage de l'avion qui a percuté le Pentagone le 11 septembre 2001 ne s'est jamais ouverte durant tout le vol ! C'est ce que révèle la boite noire qui à été retrouvée et qui a enregistré le vol 77. Ce point est important, car la version officielle explique les vilains terroriste, armés de lames, ont défoncé la cabine de pilotage pour prendre le contrôle de l'avion. Cependant, les données de la boite noire indiquent le contraire !"

A lire :

http://rockcreekfreepress.tumblr.com/post/285492999/flt77fdr

CiterFlight 77 Cockpit Door Never Opened During 9/11 "Hijack"

By Sheila Casey / Rock Creek Free Press

Pilots for 9/11 Truth has reported that the data stream from the flight data recorder (FDR) for American Airlines flight 77, which allegedly struck the Pentagon on 9/11, shows that the cockpit door never opened during the entire 90 minute flight. The data was provided by the National Transportation Safety Board (NTSB), which has refused to comment.

The FDR is one of two "black boxes" in every commercial airliner, which are used after accidents to help determine the cause of a crash. One black box records flight data, the other records voice data (everything said in the cockpit during the flight). With those two sets of data, NTSB investigators can usually piece together the events that led to a crash. The status of the door to the cockpit is checked every four seconds throughout a flight and relayed as a simple 0 or 1, where 0=closed and 1=open, with approximately 1,300 door status checks performed during AA77's 90 minute flight. Every one of those door status checks shows as a 0, indicating that the door to the cockpit never opened during the entire flight.

Accident investigators monitor the cockpit door with the FDR because it may yield clues to pilot error in a crash. The FDR begins recording once the pilots are in their seats and readying for takeoff, and the plane cannot take off unless the FDR is working.

The official story about flight 77 is that five Muslim terrorists brandishing box cutters forced their way into the cockpit and herded two pilots, four flight attendants and all the passengers to the back of the plane. This story came into being via Ted Olson, US Solicitor General, who told CNN — that he received two phone calls from his wife Barbara Olson, a passenger on the doomed flight. Ted Olson's story changed several times. Sometimes he claimed that the calls from his wife were made from seat back phones, other times that she used her cell phone.

According to American Airlines customer service, the American Airlines maintenance manual for that aircraft, and American Airlines Captain Ralph Kolstad, seatback phones on 757s had been deactivated prior to 9/11/01. (They were later removed entirely, as they never worked well.)

Barbara Olson couldn't have used a cell phone either: numerous 9/11 researchers, most notably David Ray Griffin, have pointed out that cell phones did not work on airplanes on 9/11. The speed and altitude of a commercial airliner both present overwhelming obstacles to a cell phone's need to lock onto a cell tower and then hand off to another tower in a new location.

It was the FBI that revealed the evidence that decisively disproves Ted Olson's story. In the Zacarias Moussaoui trial in 2006, the FBI presented a report on the cell phone calls from all four 9/11 flights. Their report on AA77 shows that there was only one phone call from Barbara Olson, but that it was an unconnected call lasting zero seconds. So Ted Olson either lied about receiving calls from his wife or was deceived into believing he received calls from her.

According to the UK Telegraph, Barbara Olson delayed her flight on 9/11 so that she could have breakfast with her husband on his birthday. That delay put her on the doomed flight. Ted Olson remarried in 2006 to tax attorney Lady Booth, whom he reportedly met the year after Barbara died.

There are numerous oddities and contradictions about AA77's black boxes.

The government claims that the voice data recorder was damaged during the crash and that no usable data was retrieved from it. If true, this would be the first time in aviation history that a solid-state data recorder was destroyed during a crash.

While it was widely reported in the media that the FDR for AA77 was found at 4 am on September 14, 2001, the file containing the FDR data was dated over four hours earlier. In other words, we are asked to believe that the data from the FDR was downloaded prior to the FDR being found.

Researcher Aidan Monagahan has established that the NTSB does not have either serial or part numbers for the FDRs from AA77. The NTSB's own handbook indicates that the part number and serial number of the FDR are required for data readout of the FDR. The NTSB did not have this information, giving us another reason to question how the FDR data was created.

Structural engineer Allyn Kilsheimer claimed that he personally found AA77's black box on 9/11. But in the Popular Mechanics book Debunking 9/11 Myths, Kilsheimer is quoted as saying, "I stood on a pile of debris that we later found contained the black box ..."

Kilsheimer's story changes again in August 2007 in a piece done by the History Channel, "The 9/11 Conspiracies," where he claims "I tripped over something; it was the black box."

In earlier work, Pilots for 9/11 Truth (P4T) has determined that the same data set provided by the NTSB shows the plane too high to hit the Pentagon, based on an altimeter that uses air pressure to calibrate altitude.

As reported in the April 2009 Rock Creek Free Press, Citizen Investigation Team, citizen journalists from southern California, has collected evidence from 14 eyewitnesses that shows that the plane seen that morning near the Pentagon did not hit the building, but flew over it at the moment explosives detonated in the Pentagon, leading observers to conclude that the plane had crashed into the Pentagon.

Questions about what happened at the Pentagon have intrigued 9/11 researchers for years, beginning with photos from the alleged crash scene which do not show the wreckage of a plane.

This new evidence, showing that the cockpit door never opened during flight, is another nail in the coffin of the official story about flight 77. Clearly, if the cockpit door never opened, then hijackers did not storm the cockpit and herd the pilots to the back of the plane. The data, which originated from the government, does not support the government's story.

Why would the government release data which contradicts its own version of events? It is possible they were just sloppy, or that they never anticipated that anyone would parse the data as carefully as Pilots for 9/11 Truth have. They may have also felt secure, that regardless of what damning revelations were contained in the FDR data, no mainstream media outlet would give them ink or air time, keeping the official story intact for the vast majority of Americans who receive their news from mainstream sources.

Rob Balsamo, founder of Pilots for 9/11 Truth, stated: "We have not located any independently verified data which confirms the government's story. The FBI and NTSB refuse to comment." Founded in August 2006, Pilots For 9/11 Truth is an organization of aviation professionals from around the globe who are investigating the government's claims about the attacks of 9/11.

Sheila Casey is a DC based journalist. Her work has appeared in The Denver Post, Reuters, Chicago Sun-Times, Dissident Voice and Common Dreams.

Oups !
Le démenti :
CiterEn réalité, les boîtes noires du vol AA77 ont bien été retrouvées et
analysées par le Conseil national de la sécurité des transports
(National Transportation Safety Board, NTSB), agence indépendante du
gouvernement, chargée d'enquêter sur les accidents aériens.

La rapport du NTSB sur les enregistreurs de paramètres (Flight Data
Recorder, FDR) du vol AA77 peut être téléchargé ici :
http://www.ntsb.gov/info/AAL77_fdr.pdf
(fichier pdf, 5 mo)

Ce rapport révèle que le paramètre « FLT Deck Door », indiqué page i8,
fait partie des « paramètres non actifs ou non confirmés ». L'entrée
existe bien dans la boîte noire, mais elle n'est pas documentée, faute
de capteur sur ce type d'appareil.

En effet, ce B757-2 comportait le numéro de série N644AA, indiquant
qu'il a été construit à la fin de l'année 1991. Sur ce modèle, le FDR
n'enregistre pas ce paramètre qui ne sera implémenté que sur les
modèles B757-3. L'enregistrement des 42 dernières heures des données
du FDR ne montre aucune trace d'activation de ce paramètre qui reste à
0 (zéro), alors que ces données couvrent les derniers 12 vols de
l'appareil. On devrait donc en conclure, selon votre logique, que
personne n'est entré dans le cockpit au cours des 12 derniers vols,
pas même les pilotes !
Cf. http://journals.democraticunderground.com/rschop/64

Boeing indique d'ailleurs que la FAA a imposé en 1989 l'enregistrement
de 11 paramètres de vol contre 6 auparavant. Ces 11 paramètres sont :

1. Time.
2. Altitude.
3. Airspeed.
4. Vertical acceleration.
5. Heading.
6. Time of each radio transmission either to or from air traffic
control.
7. Pitch attitude.
8. Roll attitude.
9. Longitudinal acceleration.
10. Control column or pitch control surface position.
11. Thrust of each engine.
http://www.boeing.com/commercial/aeromagazine/aero_02/textonly/s01txt.html

L'état de la porte du cockpit ne faisait donc pas partie des
paramètres enregistrés par le FDR.

JacquesL