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Sous l’œil du delta

Démarré par JacquesL, 10 Mai 2025, 03:47:54 PM

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JacquesL

Sous l'œil du delta



par Le Bouc Émissaire


Pourquoi cette photo dérange ?

Trois personnes. Trois postures. Trois rôles bien huilés. On pourrait croire à une rencontre, une discussion, un échange. C'est tout sauf ça. Cette image ne parle pas, elle s'impose. Elle dicte. Comme un script déjà écrit dont on nous montrerait juste un extrait, histoire qu'on comprenne bien où est la caméra et qui a le dernier mot.

À gauche, la technocrate allemande. Tailleur neutre, regard opaque, posture contrôlée au millimètre. Pas de faux pas, pas d'hésitation. Elle sait pourquoi elle est là. Et surtout, elle sait que ce n'est pas elle qui décide. Son rôle est précis : donner l'illusion du dialogue, le vernis d'une décision prise à plusieurs. Mais dans l'histoire du monde, combien de figurants ont cru être dans le premier rôle ?

À droite, le «stratège» français. Crâne lisse, costume qui ne prend jamais un pli, posture verrouillée comme une porte blindée. Ce n'est pas un homme, c'est une serrure. Une serrure dont la clé se trouve ailleurs. Il n'écoute pas, il enregistre. Il ne parle pas, il confirme. Ce qu'il pense, on s'en fout. Ce qu'il veut, il le sait déjà : ne pas dévier d'un millimètre de la partition qui lui a été confiée. Ce même «stratège» qui, quelques mois plus tôt, s'est fait ridiculiser en Israël.

Petit retour en arrière. Deux policiers français arrêtés à Jérusalem. Traînés comme des malpropres, humiliés par les autorités locales sous les caméras du monde entier. Et lui, ce grand diplomate, ce représentant officiel, qu'a-t-il fait ? Rien. Rien d'autre que se tordre les mains et chialer avec ses yeux globuleux de Gollum.

Pourquoi ? Parce qu'il ne pouvait rien dire. Il n'en avait pas le droit. Il savait qu'il n'en avait pas le droit. On ne mord pas la main qui vous nourrit.

Et au centre ? L'homme à l'air imperturbable, sans âge, sans aspérité. Celui qu'on nous vend comme la nouvelle incarnation du pouvoir. Costume impeccable, colonne vertébrale aussi droite que les lignes de son discours à venir. Derrière lui, un drapeau. Rouge, frappé d'étoiles. Pas juste un décor, pas juste un emblème. Un rappel. Un sceau. Comme une marque gravée à chaud pour qu'on n'oublie pas d'où vient la marchandise.

Mais il y a autre chose. Un détail étrange. Une anomalie, une insulte à ciel ouvert.

Regardez bien les deux marionnettes de chaque côté. À gauche et à droite, les mains se meuvent d'une drôle de façon. Pas un tic nerveux, pas une simple gestuelle hasardeuse. Leurs doigts s'agencent avec une précision d'orfèvre, un calcul minutieux. Un triangle. Parfait. Synchro. Trop synchro. Un hasard ? Un problème de motricité collective ? Une mise en scène ? Un message ? Un signal ? Une signature ?

En maçonnerie, c'est le Delta lumineux, l'œil omniscient qui veille, symbole du savoir réservé aux initiés. Une marque de ceux qui ne gouvernent pas en apparence mais qui façonnent les événements en coulisses.



Dans le judaïsme ésotérique, il renvoie aux lettres du Nom sacré, à la construction d'un ordre supérieur, au pouvoir qui s'exerce par la structure, l'architecture invisible des nations.

Dans l'occultisme, c'est le triangle inversé, la trinité pervertie, le sceau du pouvoir caché qui impose sans jamais s'exposer.

Ici, aucun doute : ils ne parlent pas, ils montrent. Ils affichent leur allégeance. Ils désignent, sans l'ombre d'un scrupule, qui tient réellement les rênes.

Difficile de ne pas voir une immense farce s'étaler sur la tronche des péquenots français et allemands qui pensent encore que ces deux-là travaillent pour eux. Deux exécutants, deux pantins placés là pour rappeler qui tient réellement les ficelles. Et eux, en bons petits valets, désignent clairement, sans trembler. Ils se plantent là, bien droits, et balancent en pleine face à ceux qui savent lire que le spectacle est sous contrôle.

Et comme toujours, faut-il le rappeler, ceux qui tiennent les fils ne prennent jamais la pose. Et ce n'est pas une coïncidence. Ces signes, ces triangles, ces postures, ces symboles ostensibles, on les retrouve partout.

Rien n'est accidentel. À chaque allocution, chaque sommet, chaque photo officielle, les marionnettes du Nouvel Ordre Mondial affichent leurs codes en pleine lumière. Ce n'est pas de l'improvisation. C'est voulu.

Pourquoi ? Pour faire parler, pour narguer, pour tester.

Macron, la biatch du NOM, nous l'a fait à de nombreuses reprises. Mais sa plus belle performance reste celle de 2017, le soir de son élection, posé devant la pyramide du Louvre, baigné dans une lumière rougeâtre comme un vampire prêt à s'abreuver.



Et il n'est pas le seul. Tous les «dirigeants», un par un, passent par la même case. Ils ont un ordre : mettre une pièce dans la machine à complotistes. Il faut occuper les esprits. Faire rager ceux qui voient, donner des os à ronger aux fouineurs, les enfermer dans l'idée qu'ils ont «démasqué le système». Leur faire croire qu'ils ont compris, alors qu'ils n'ont fait que confondre les pantins et leurs maîtres.

C'est pratique. Ça permet de banaliser ces signes et, mieux encore, de discréditer tous ceux qui les dénoncent. «Regardez ces dingos qui voient des Illuminati partout !» Pendant ce temps, les vrais décideurs poursuivent leur œuvre.

Mais le plus troublant, c'est que ce n'est pas une mise en scène anodine. Ce n'est pas juste un jeu destiné à provoquer ou semer le doute. C'est un véritable serment d'allégeance. Un rituel. Un pacte avec une force qui dépasse l'entendement humain.

Et si le monde comprenait réellement à quoi ces signes font référence, à quelles entités ils jurent fidélité, il virerait à la panique générale. Parce qu'à ce niveau-là, ce n'est plus du symbolisme. C'est de l'occulte. C'est monstrueux.

Et ça continue, à chaque sommet, à chaque signature, à chaque mise en scène. Parce que, comme toujours, ceux qui tiennent les fils ne sont jamais dans le cadre.

Baphomet, c'est le logo officieux du pouvoir occulte, une signature qui traverse les siècles et les régimes sans jamais disparaître. D'abord une figure floue, une invention sortie du procès des Templiers au XIVe siècle, utilisée comme prétexte pour les accuser d'hérésie et les envoyer au bûcher. Puis, au fil du temps, il mute, devient une icône ésotérique, récupérée par les occultistes, les sociétés secrètes, et surtout, les structures qui aiment jouer à cache-cache avec la vérité.

Sa représentation classique ? Une silhouette hybride, mi-homme, mi-bouc, bras tendus vers le ciel et la terre, symbolisant l'union des contraires. Mais ce n'est pas un simple symbole mystique. C'est une signature. Un sceau. Un marquage de territoire.



Aujourd'hui, il est partout, mais de manière détournée. Dans les logos, les postures, les mises en scène, les symboles cachés à peine dissimulés. Le triangle des mains jointes ? C'est lui. Les cornes stylisées sur des affiches officielles ? C'est encore lui. Chaque fois qu'une main invisible orchestre un jeu truqué, son empreinte est là, subtile ou arrogante, mais toujours présente.
Parce qu'au fond, Baphomet, c'est le clin d'œil qu'ils se font entre eux, le rappel que le spectacle est sous contrôle.

Baphomet, encore et toujours. Le même sceau, la même marque, la même trappe béante sous le tapis. Ça ne date pas d'hier. Depuis un siècle, il trône sur les empires, tamponne les nations, grave son sceau sur chaque étendard sous lequel on croit se battre pour une cause. Et là, en plein cadre, on nous le ressort, en triangle parfait, bien en évidence, comme une signature sur un contrat déjà signé d'avance.

Et comme d'habitude, les sales gosses de la mondialisation sont à la manœuvre. France et Allemagne, main dans la main, dans leur rôle favori : idiots utiles en chef.

Encore une fois, le schéma est le même. Comme en 14-18. Comme en 39-45. Deux puissances européennes se convainquant qu'elles jouent leur propre partition, alors qu'elles ne sont que les petits soldats d'une guerre qui n'est pas la leur. L'histoire bégaie, toujours au même endroit.

Le rôle est simple : frapper, diviser et laisser le champ libre. Comme toujours. Détruire tout ce qui pourrait faire obstacle à l'expansion de l'État imposteur d'Israël. Briser les voisins un par un, affaiblir, fragmenter, laisser le chaos faire le reste. Et ces deux abrutis réfractaires sont encore persuadés d'agir pour leur propre intérêt.

Et comme un spectacle ne serait pas complet sans un grand final ridicule, voilà que l'Occident nous vend son dernier tour de passe-passe.

Le nouveau «président» syrien. Ou plutôt, le jihadiste le plus recherché de la planète. Wanted partout, fiché dans tous les services de renseignement dignes de ce nom. On connaît son CV par cœur : massacres, attentats, alliances avec tout ce que la guerre a produit de plus abject. Et pourtant, aujourd'hui, comme si on venait tous de se faire flashouiller la tronche façon Men in Black, il devient un homme «fréquentable».



Les médias nous l'annoncent comme un «acteur clé de la transition», un «interlocuteur légitime». Transition vers quoi ? Vers plus de chaos ? Vers un démembrement complet de la région ?
Ce qu'on nous vend, ce n'est pas de la politique, c'est du foutage de gueule à l'état pur.

C'est comme si on nous tartinait leurs excréments sur la tronche en nous disant que c'est un masque de beauté. Et qu'au passage, ces soins nous coûtaient 100 €. Il paraît que pour 100 balles, t'as plus rien. Oui, c'est vrai. Sauf un masque de beauté du N.O.M.

Alors quoi ? Un sommet ? Une négociation de haut vol ? Une alliance secrète ? Rien de tout ça. C'est bien plus simple. C'est une reconnaissance de terrain. Une mise en place. Un marquage. Une photo pour dire : «C'est acté».

Ce qui se joue ne se décide pas là. Ces trois-là n'ont aucun pouvoir. Ils ne dirigent rien, ils valident, officialisent, signent à blanc. Les vraies décisions ne se prennent pas sous les projecteurs. Tout est ficelé bien avant, à huis clos, loin des regards. On ne gouverne pas, on exécute. Et pour que la farce fonctionne, il faut une mise en scène millimétrée.

Le vrai pouvoir, lui, ne s'amuse pas à faire des triangles avec ses doigts. Il veille. Il ajuste. Il orchestre.

Alors, pourquoi cette photo dérange ? Parce qu'elle ne masque même plus le jeu. On croit assister à une négociation ? Erreur. C'est une allégeance. Le scénario est écrit bien avant qu'on appuie sur le déclencheur.

Ces mises en scène diplomatiques ne sont que des annonces à ciel ouvert. Pas des débats, pas des confrontations, encore moins des décisions. Juste des étapes obligées pour acter la suite d'un plan qui, lui, ne change jamais.

Et la suite, c'est quoi ? Toujours la même. Un soutien inconditionnel, total, absolu, à tout ce qui sert Israël. Partout, tout le temps, sans la moindre hésitation. La seule règle éternelle, gravée dans la marche du monde, projetée vers l'infini et au-delà.

Le reste ? Un écran de fumée, un décor bien huilé pour endormir la galerie. Et devinez quoi ? Vous êtes dans la galerie.

Mais ne bougez surtout pas. Le spectacle continue. Et il paraît même que le prochain acte sera encore plus grandiose.



source : Le Bouc Émissaire

https://reseauinternational.net/sous-loeil-du-delta/

JacquesL

#1
A rapprocher du geste ostensible de Gloria Steinem :



http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles/feminazies/34-financement-du-feminazisme/155-2016-10-21-05-10-29

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gloria-steinem-le-feminisme-et-la-185655


Cet article est la traduction de Did the CIA Use Gloria Steinem to Subvert the Feminist Movement ? publié par Stuart Jeanne Bramhall, une féministe de la première heure, sur son site éponyme.
Gloria Steinem est la principale figure médiatique du féminisme américain. On pourrait dire que, pour ce qui est du féminisme, elle est à Gisèle Halimi ce qu'Elvis Presley est à Johnny Halliday pour le rock.