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«Bolus» de Marc Girardot, le livre qui va vous empêcher de dormir

Démarré par JacquesL, 10 Février 2025, 03:30:10 PM

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JacquesL

«Bolus» de Marc Girardot, le livre qui va vous empêcher de dormir



par La rédaction de l'AIMSIB

Voici un ouvrage qui dans un monde normal doté d'une science vigilante et indépendante ferait dangereusement chanceler les certitudes selon lesquelles tous les actes vaccinaux seraient sûrs et sans danger : il y est supposé que c'est surtout le mode d'administration actuel de ces produits, cette voie injectable en intra-musculaire qui les rendrait tous possiblement dévastateurs pour la santé des enfants comme des adultes, avec des probabilités absolument vertigineuses. L'auteur de cette imputation catastrophique, c'est Marc Girardot qui avait déjà fait un malheur sur Substack avec l'exposition de ces données1, voici enfin l'entièreté de ses conclusion au format livre. Edité à compte d'auteur il faut acheter cet ouvrage en grand nombre et le distribuer à tous vos amis, car il y pourrait y avoir plus que le feu au lac. Polémique ce livre ? Certainement, mais de l'incertitude naissent au final tous les progrès scientifiques. L'AIMSIB ne reprend pas à son compte toutes les hypothèses de cet ouvrage : la toxicité des vaccins ne peut se limiter à leur seule injection intra-vasculaire, mais nous sommes ravis de discuter des suppositions de tous les chercheurs... Excellente lecture. 

*

1- Cher Marc, tu démontres au début de ton livre ta très grande maîtrise des mathématiques et des statistiques en étudiant les données new-yorkaises publiées régulièrement pendant le début de l'épidémie. Tu as ainsi pu démontrer que le taux de mortalité par Covid présenté par les autorités était gonflé d'un facteur 10, voir 20, mais dans quel but ?

Mon travail sur New York visait essentiellement à valider une convergence que j'avais établie à partir des données de mortalité disponibles fin avril 2020. En effet, mes analyses suggéraient que le SARS-CoV-2 présentait un taux de létalité de 0,1%, soit celui d'une grippe saisonnière classique.

Pour confirmer ce résultat, je me suis tourné vers la modélisation de l'épidémie à New York, qui était alors la seule ville à publier des données de mortalité en temps réel. En examinant les données issues des thermomètres connectés, il était évident que l'épidémie avait atteint son pic à la mi-mars 2020, avec près de 6 % des habitants de New York présentant de la fièvre cette semaine-là.

Fort de mon étude sur l'épidémie à bord du porte-avions Charles de Gaulle, j'étais conscient de l'importance des cas asymptomatiques, et il m'était crucial d'intégrer cette dimension dans mon modèle. Plusieurs études indiquaient que le taux d'asymptomatiques à New York atteignait environ 85%. Grâce à ces données, j'ai pu reconstituer une modélisation précise à 99 % du nombre total de décès observés au 10 mai 2020.

Cette modélisation a confirmé que le taux de létalité du SARS-CoV-2 était extrêmement faible et ne justifiait aucune des mesures drastiques qui ont été mises en place : ni les confinements, ni les masques, ni les restrictions des libertés individuelles, et encore moins les campagnes vaccinales, dont l'inefficacité, l'inutilité et les dangers sont aujourd'hui évidents.

2- Ton chapitre 6 est passionnant car il préfigure les conclusions tirées dans les suites de ton livre : on retrouve les  nanoparticules lipidiques (NPL) des produits de thérapie génique injectés dans tous les organes au bout de quelques minutes, annihilant totalement le récit officiel d'un maintien de celles-ci dans le deltoïde et confirmant pleinement tes dires. Ces produits se retrouvent bien dans les vaisseaux en concentrations variables : sur le plan de la science fondamentale officielle, il y aurait comme un défaut...



Lorsque le Professeur Byram Bridle a obtenu des autorités japonaises les résultats de l'étude sur la distribution des nanoparticules, j'ai eu l'occasion de participer à une réunion avec lui et plusieurs autres scientifiques de renom. Ayant moi-même travaillé sur un vaccin thérapeutique à ADN contre le cancer, je savais que ces types de vaccins sont conçus pour déclencher une réponse immunitaire des cellules T, ciblant spécifiquement les tumeurs.

Cette expérience m'avait également appris que la transfection – c'est-à-dire la pénétration des nanoparticules vaccinales dans des cellules saines – est un processus généralement difficile à réaliser. Cependant, j'étais particulièrement inquiet pour le système vasculaire, où le flux sanguin et les contraintes mécaniques augmentent la probabilité et l'efficacité de la transfection.

Ainsi, je n'ai pas été pas surpris que les autopsies aient révélé des attaques des cellules T sur l'endothélium, confirmant mes craintes initiales. Effectivement, ces observations remettent en cause les hypothèses fondamentales de la science officielle sur la distribution et la sécurité de ces nanoparticules.

3- A l'appui de ta théorie, tu exposes les résultats de Jessica Rose 2 sur l'apparition fréquente d'un goût métallique en bouche chez les injectés au cours de l'inoculation, explique-nous...

Dés la mi-2021, l'hypothèse d'une injection intravascuaire accidentelle est apparu sur mon tableau d'hypothèses de la cause racine, notamment parce que bon nombre de personnes étaient surprises de l'interdiction de l'aspiration préalable à l'injection. Dès Mai 2021, Alexandra Henrion-Caude avait été une de ceux qui s'en étaient inquiétés. Le Dr John Campbell l'avait aussi évoqué, notamment lors d'une entretien avec Kyle Warner, un professionnel de Moutain Bike, blessé par une injection d'une dose de vaccin Pfizer. Ce dernier avait alors évoqué un goût immédiat dans la bouche lors de l'injection. Un reportage de CBS avait aussi parlé de ce phénomène que seule une injection directe dans le flux sanguin peut expliquer. J'ai par la suite découvert un article de 1936 qui montrait qu'un choc anaphylactique avec du pollen était le signe, non pas d'une réaction allergique mais d'une injection intraveineuse accidentelle.

Deux études paru à l'été 2021 ont ensuite testé sur des souris les injections intraveineuses, et montré systématiquement les mêmes effets indésirables, validant ainsi la théorie du bolus.

4- On en arrive en plein dans ta théorie du bolus, tu écris que quand les injections ne sont pas précédées d'une aspiration préalable afin de vérifier que l'aiguille ne se trouve pas en périphérie immédiate d'un vaisseau le risque d'injection intra-vasculaire se calcule à 2% mais qu'en cas d'injection sans aspiration ce taux monte à 5%. Et que pour les produits anti-Covid il était demandé aux personnels de ne pas aspirer avant d'injecter !

Ce calcul de 5% correspond à une estimation des effets secondaires graves, incluant les cas subcliniques et cliniques. Ces chiffres sont cohérents avec les résultats d'une étude menée à l'hôpital de Bâle, qui a mis en évidence des impacts cardiaques chez les personnes vaccinées.

Malheureusement, même en appliquant la méthode de l'aspiration aux injections de stéroïdes, les culturistes continuent de souffrir de la 'Toux de Tren' dans environ 2% des cas. Deux autres études sur les injections de stéroïdes – réalisées avec des infirmières expérimentées et incluant l'aspiration – ont confirmé des résultats similaires. En réalité, l'aspiration n'est utile que dans les rares cas où l'aiguille pénètre directement dans un vaisseau sanguin.

Cependant, une étude japonaise a révélé que 100% des personnes vaccinées contre le COVID présentaient des fuites au niveau des capillaires cardiaques après l'injection.

Cela démontre que toutes les injections passent partiellement par voie intravasculaire, causant des dommages corporels variables en fonction de la dose, de la localisation et des circonstances de l'injection.

Selon mon estimation, dans 5% des cas, les dégâts causés par ces injections sont irréparables, et dans 1% des cas, le pronostic vital peut être directement engagé, en particulier chez les personnes âgées ou fragiles.

5- Tes calculs effectués sur la base de ces chiffres sont proprement catastrophiques quand on les applique aux enfants, un risque de blessure vaccinale de 75% chez les moins de 5 ans ayant subi 27 doses sans aspiration préalable !

Ma découverte met en lumière un problème majeur : nous jouons à la roulette russe avec la population depuis des décennies. Plus on vaccine, en particulier les plus jeunes, plus la probabilité de causer des dommages irréversibles augmente. Bien que les enfants aient une capacité de guérison remarquable, la multiplication des vaccins amplifie significativement les risques.

Un enfant américain reçoit en moyenne 27 injections vaccinales (hors grippe) avant l'âge de 5 ans, ce qui correspond effectivement à un risque cumulé de 75% de subir une blessure vaccinale grave [1 – 0,95^27]. L'ajout de 3 doses de vaccin COVID porte ce risque à 79%.

Lorsqu'on applique ces chiffres à l'échelle d'une population entière, l'ampleur du désastre devient évidente. Le système vasculaire étant impliqué dans chaque injection, tout le corps est potentiellement exposé. Si le cœur et le cerveau sont souvent les plus touchés (comme en témoignent l'augmentation des souffles cardiaques et l'explosion des cas d'autisme), d'autres organes et systèmes subissent également des dommages, proportionnellement à leur exposition endothéliale.



Par ailleurs, les données témoignent de l'impact massif sur la santé publique. Par exemple, aux États-Unis, le nombre de personnes déclarées invalides a explosé, avec plus de 4 millions de nouveaux cas répertoriés dans les bases de données. Cela souligne à quel point cette pratique vaccinale, avec un défaut fondamental dans la méthode d'injection, expose la population à des risques majeurs.

6- Tout ton livre développe la pertinence de ta théorie du bolus dans l'explosion des maladies actuelles que tu rattaches à ces complications post-vaccinales, toutes les maladies neuro-dégénératives, toutes celles qui naissent d'une hyperperméabilité intestinale, évidemment le vaste groupe des myocardites, athérome, cancers, maladies auto-immunes et endocriniennes... Le propos n'est il pas un peu outrancier ?

Mon travail repose sur une approche scientifique rigoureuse, et mes découvertes ont été testées et confirmées à plusieurs reprises au cours des quatre dernières années, sans jamais être invalidées.

Initialement, je me suis concentré sur les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19, en particulier ceux utilisant la technologie à mRNA. Les autopsies ont révélé des attaques immunitaires localisées, consécutives à une transfection des cellules endothéliales. Une telle réaction immunitaire ne pouvait être déclenchée que par un bolus de particules vaccinales atteignant les parois vasculaires. Ces observations ont permis deux conclusions importantes : les accidents vaccinaux étaient indépendants de la cible, en l'occurrence le SARS-CoV-2, et3 ils n'étaient pas exclusifs à la technologie ARN messager.

Si la cause racine des complications post-vaccinales repose sur une combinaison entre une injection intraveineuse et une attaque immunitaire sur les parois vasculaires, il devenait logique de penser que d'autres vaccins pouvaient présenter la même faille.

En effet, l'apport d'un antigène concentré sur une zone des parois vasculaires pouvait provoquer des effets secondaires similaires.

Cette hypothèse s'est vérifiée facilement pour le vaccin ADN anti-SARS-CoV-2 d'AstraZeneca, mais qu'en était-il des vaccins à virus atténués, inactivés, ou des pseudo-virus ? Mon travail d'investigation a démontré qu'ils présentaient les mêmes risques. Même si l'industrie pharmaceutique et le monde médical tentent de minimiser ces informations, de nombreux cas d'accidents vaccinaux avec ces vaccins «traditionnels» ont été documentés, et les effets secondaires observés sont identiques à ceux des nouvelles technologies vaccinales.

La question suivante était donc inévitable :

Où sont passés les effets indésirables causés par la généralisation des vaccins au cours des quarante dernières années ? La réponse m'a rapidement sauté aux yeux : c'est l'explosion des maladies modernes qui en constitue la trace visible.

Autisme, intolérances alimentaires, asthme, maladies endocriniennes, neurodégénératives ou auto-immunes, cancers, et même les morts subites du nourrisson... Tout cela s'inscrit dans le contexte d'une exposition accrue et généralisée de la population à des vaccins dont les risques, bien que connus, n'ont pas été suffisamment pris en compte.

7- Tu expliques très clairement la vision que tu as des turbo-cancers post-vaccinaux, explique-nous ce phénomène qui je te le rappelle n'existe pas «selon les données actuelles de la science».

J'ai longtemps été sceptique quant à la possibilité que les vaccins puissent induire des cancers. Il est bien établi que les dommages à l'endothélium peuvent causer par une thromboses et des nécroses ou la permeabilité de la barrière hémato-tissulaire. Cela peut affaiblir le système immunitaire (cf. les crises de zona) et faciliter la progression incontrôlée d'un cancer déjà existant. Cependant, je n'avais initialement aucun mécanisme d'action pouvant expliquer l'induction de cancers directement par les vaccins.

En effet, si les cellules transfectées par des particules vaccinales sont systématiquement détruites par le système immunitaire, comment pourraient-elles muter et devenir cancéreuses ? La clé réside dans la transfection des cellules souches. Lors de mes travaux sur le cancer, j'avais lu que les cellules souches bénéficient d'une protection naturelle contre le système immunitaire. Mais que se passe-t-il si ces cellules souches sont atteintes par des particules vaccinales ?

Je ne vais pas dévoiler tout le contenu de mon livre, mais il est important de noter que de nombreux chercheurs considèrent aujourd'hui les cellules souches comme l'origine possible du cancer. Les cellules cancéreuses partagent en effet des caractéristiques propres aux cellules souches, comme l'inhibition du gène p53 et le recours à la glycolyse (métabolisme de type Warburg).

Bien que mes travaux sur l'oncogenèse nécessitent encore des validations, ma théorie propose pour la première fois une explication à la variance de l'agressivité des cancers, basée sur la hiérarchie des cellules souches transfectées. Les cellules souches situées au sommet de cette hiérarchie ont un effet exponentiellement plus puissant que des cellules progénitrices déjà partiellement différenciées. Cela concorde également avec l'expression des récepteurs observée dans les tumeurs des cancers les plus bénins, où des cellules progénitrices moins élevées sont probablement impliquées.

Ainsi, même si la science dominante reste réticente à reconnaître ce phénomène, mes recherches apportent un cadre explicatif nouveau et cohérent, reliant la transfection des cellules souches à l'apparition et à l'agressivité des «turbo-cancers».

8- Merci d'avoir bien voulu donner envie à nos lecteurs de prendre connaissance de ton travail, que souhaiterais-tu nous dire pour conclure ?

Tout comme les médecins du 19ᵉ siècle avaient refusé de croire pendant près de 50 ans à l'importance du lavage des mains prônée par le Dr Semmelweis, je suis pleinement conscient que beaucoup d'entre vous ne voudront pas, ou ne pourront pas, croire à mes conclusions.

Comment imaginer que la profession censée protéger la santé de nos sociétés ait, en réalité, contribué à la détériorer progressivement depuis plus d'un siècle ?

Pourtant, les démonstrations contenues dans mon livre «Bolus, le secret de l'aiguille» sont sans équivoque. Ce qui pourrait sembler être un simple défaut technique d'injection cache en réalité des conséquences bien plus graves : nous nous précipitons collectivement vers un abîme sanitaire. Mais ce n'est pas tout.

En multipliant les micro-dommages au sein de la population, nous avons altéré la nature même de notre humanité.

L'explosion de l'autisme et la baisse généralisée du QI ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Les implications vont bien au-delà, affectant la qualité de vie, les capacités cognitives et même notre avenir en tant qu'espèce.

Il est temps de remettre en question des pratiques que nous avons trop longtemps acceptées comme intouchables et de reconnaître l'urgence d'un changement profond.

source : AIMSIB

  • https://substack.com/@thebolustheory
  • https://substack.com/@thebolustheory
  • Dr Jessica Rose, chercheuse canadienne titulaire d'un doctorat en biologie numérique et de deux post-doctorats en biologie moléculaire et en biochimie. CSI n°123 ici https://www.conseil-scientifique-independant.org/csi-n122-du-02-11-23-jessica-rose-rapports-deffets-indesirables-associees-aux-vaccins-covid-dans-le-vaers-usa/–«Autopsy-based histopathological characterization of myocarditis after anti-SARS-CoV-2-vaccination » by Schwab et al.
    SARS-CoV-2 vaccination can elicit a CD8 T-cell dominant hepatitis  by Boettler et al.
    "Intravenous injection of COVID-19 mRNA vaccine can induce acute myopericarditis in mouse model" by Li et al
    "Thrombocytopenia and splenic platelet directed immune responses after intravenous ChAdOx1 nCov-19 administration" by Nicolai et al
    «SARS-CoV2 mRNA vaccine intravenous administration induces myocarditis in chronic inflammation » by Jeon et al.
    "Refining the role for adult stem cells as cancer cells of origin" by White et Lorry
    "Normal stem cells and cancer stem cells: similar and different" by Mark Shackelton
    "Tumor-associated hematopoietic stem and progenitor cells positively linked to glioblastoma progression" by Lu et al
    "Stem cell programs in cancer initiation, progression, and therapy resistance" by Tianzhi Huang et al