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Au nom du peuple français

Démarré par JacquesL, 15 Décembre 2024, 11:58:55 AM

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JacquesL

Au nom du peuple français




par Gilbert Guingant

Pas de Justice sans ce nom du peuple français. Ce «nom» seul qui permet de rendre à tous la Justice. Admirable, non ? Avec l'aide de laquelle qu'avons-nous, tous, à affronter ? Sinon la marque hyper sectaire de l'inacceptable ? Sectaire ? Tout y est, depuis l'installation d'un discours d'apartheid d'extrême racisme contre les populations qui se savent libres : ceci se fait toujours (sournoisement) en traçant un «bloc» pas plus central que cela, ou bien un «arc de pur caprice». D'où vous vous voyez violemment exclus si vous ne vous trouvez pas à l'intérieur. Et aucun droit pour nous le marteler (ainsi, aucune possibilité de répondre, ni la moindre présence de démocratie réelle). Ce qui rappelle trop les oppressions passées où des arbitraires décisions administratives accusent frauduleusement des humains libres. Libres d'avoir une opinion et des valeurs. Le niveau de nausée est extrême. Personne n'a le droit de se comporter ainsi avec les autres. Personne. Puisque le en même temps juxtapose aucune responsabilité des... responsables (au point dément où tout ce qu'ils font est «de la faute des autres». Au point de folie où ce qu'ils décident serait de notre seule et unique... culpabilité (au sens trop religieux hein !). Soit «l'obligation (sic)» de subir les dénaturations de vous-mêmes où vous seriez décrits (sans votre consentement) comme exactement l'inverse de ce que vous êtes en vrai. Trahisons partout, nauséabonds collaborationnismes ailleurs. L'ambiance collective se voit gavée de dégoûts. Et de diffamations de faussaires violents pour qui se «trouveraient au prétendu extérieur», inexistant évidemment. Ceci ne repose sur aucune nécessité politique, etc. que des comportements d'antisocialisés et de «séparatismes des responsabilités» des prétendus dirigeants mais véridiques faiseurs de troubles. Il y a un moment où se crie ça suffit...

Puisque tout, oui tout, vient de l'infamie de créer «su artificiellement» un cercle de résiliations, d'abrogations, d'annulations, de racismes, racismes «pour parias» inacceptables, destiné à nuire au pays entier. Quoiqu'il soit dit, la Constitution ne permet aucun de ces ostracismes qui souillent tant les personnes. Que les causateurs de ces souillures imméritées doivent voir se concrétiser le «rendez donc ces souillures à ces faux césars». Ces infâmes incapables d'assumer quoi que ce soit. Supprimer cet onirique cercle d'inhumanité hyper égoïste et ces pervers grimaçants sont vus tels qu'ils sont : des monstres. D'hideux monstres !

1. L'étrange terreur de se voir traités de... responsables !!!

Ce qui attire très fort les attentions. Et tombe très mal lorsqu'ils veulent endosser les plus grandes responsabilités (annuler les résultats d'une élection qui, par 3 fois (4 avec la motion de censure), éclaircissent que la vraie majorité d'un pays rejette ces conduites... irresponsables de ne pas conduire un pays (apparition des énormes déficits, dus aux faits «imputés» de donner tant d'argent «collectif» à des entités qui sont plus riches que l'état français – ce qui fait que les macronistes «impliqués jusqu'à l'os» fassent courir les fortes dettes «contre le pays», et pire encore. Au total, que les pires des pires actes... antirépublicains. Ce qui ne peut que les empêcher de faire partie du prétendu «arc républicain» (ou front républicain). Comment peut-on accepter tant de sommets «responsabilités» pour qui refusent nerveusement «d'être responsables» = au sens de juridiquement «imputables». Soit poursuivis en justice. Soit, dits autrement, que tant de faits flagrants leurs soient raccrochés. Tous ces proches reproches. Comme des casseroles de vacarmes, vous voyez :

Un peu de leurs tinta... marres, donc non crédibles du tout ?

Emmanuel Macron, Michel Barnier et la censure : l'impossible remise en question des macronistes au cœur de l'impasse

«Tous responsables, sauf nous»... En ce sens, la réaction et les discours des macronistes en marge du vote de la motion de censure au Palais Bourbon, sont éloquents. Mais contre eux seuls ! Les fidèles d'Emmanuel Macron, président qui a fait basculer le pays dans un certain collapse institutionnel après sa dissolution ratée, tellement irresponsable, fidèles qui rejettent la... responsabilité du blocage (blocage inventé par eux seuls !) sur à peu près tout le monde. Sauf eux-mêmes». Alors que pas de dissolution non nécessaire, pas de pays en crise. Alors que pas de refus irrationnel des résultats d'une élection provoquée par... une dissolution non nécessaire mais qui a provoqué des tels résultats, pas de pays en crise. Alors que de faire perdre du temps au pays à faire semblant de choisir un faux Premier Ministre dans des fausses règles d'un «arc républicain», arc qui n'est que sectaire, donc irrecevable en République, et qui aura créé tant de faillites, nuisant, tant à la France... ceci dû «uniquement» au refus irrationnel des résultats d'une élection provoquée par... une dissolution non nécessaire mais qui a provoqué de tels résultats, pas de pays en grave crise. Alors que si pas de fausse semblance de choisir un faux Premier ministre dans des fausses règles d'un «arc républicain» que sectaire donc irrecevable en République, d'où véridique motion de censure ... ceci dû «uniquement» au refus irrationnel des résultats d'une élection provoquée par... une dissolution non nécessaire mais qui a provoqué de tels résultats, pas de pays en très très grave crise.

Après ces avalanches de faits ils ne seraient pas Responsables de l'enclenchement de tout ce qui se passe ? Vrai, il faut vraiment se trouver (et volontairement) hors de toutes les réalités pour se voir confondus et inculpés... pour le motif de refuser de telles... flagrantes évidences. Il n'y a que les macronistes à être Entièrement Responsables de tout ce qui est arrivé... «La gauche et l'extrême droite sèmeraient seules «le chaos» et «le désordre !». Comme des miracles complets surgis de nulle part ? Impossible, puisque ces entités sont privées à... 100% d'agir !!! Donc ne peuvent rien «rendre concret». À peine répondre à tout ce que les pouvoirs sèment. En toute responsabilité !!!

Comment plus de détails sur le «si pas de fausse semblance de choisir un faux Premier ministre dans des fausses règles d'un «arc républicain» que sectaire donc irrecevable en République, d'où véridique motion de censure ... ceci dû «uniquement» au refus irrationnel des résultats d'une élection provoquée par... une dissolution non nécessaire mais qui a provoqué de tels résultats, pas de pays en très très grave crise» ???

Inconscience gravité de la situation

«Un Emmanuel Macron «dans le déni le plus absolutiste», en qualifiant ceux qui ont voté la motion de censure «d'extrême gauche et d'extrême droite unis dans un... front antirépublicain». Sauf que ? Le seul front antirépublicain visible = les macronistes, se chargent de l'être à eux tous seuls, toujours plus ennemis de la France...

2. Les dérives gravement sectaires du macronisme

Ces dérives hyper sectaires du macronisme rencontrent même une si étrange résonnance dans la «loi contre les Sectes». Le caractère même des activités si peu politiques des macronistes l'atteste ouvertement. Lisez et songez-y :

Qu'est-ce-qu'une dérive sectaire/que dit la loi/le dispositif juridique français

«À défaut de définir juridiquement ce qu'est une secte, la loi réprime tous les agissements qui sont attentatoires aux droits de l'homme ou aux libertés fondamentales, qui constituent une menace à l'ordre public, ou encore qui sont contraires aux lois et aux règlements, commis dans le cadre particulier de l'emprise mentale.

Pragmatique, car c'est sur la base de critères précisés par plusieurs commissions d'enquêtes parlementaires qu'a été élaboré un faisceau d'indices permettant de caractériser l'existence d'un risque de dérive sectaire :
  • la déstabilisation mentale
  • le caractère exorbitant des exigences financières,
  • la rupture avec l'environnement d'origine,
  • l'existence d'atteintes à l'intégrité physique,
  • l'embrigadement des enfants,
  • le discours antisocial,
  • les troubles à l'ordre public
  • l'importance des démêlés judiciaires,
  • l'éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
  • les tentatives d'infiltration des pouvoirs publics.

Dans son allocution Emmanuel Macron refuse toute autocritique et charge les oppositions tout en comptant sur elles

«Le président, qui s'est... invité ce 5 décembre, à la télévision à l'heure du dîner, n'a pas cherché à entamer le moindre mea culpa. Tout juste a-t-il reconnu que sa décision de dissoudre l'Assemblée nationale avait été «mal comprise». (Parce qu'il n'y avait «rien» à comprendre !).

Macron n'assumera, dit-il, «jamais l'irresponsabilité des autres (et ces autres devraient tous endosser ces irresponsabilités prises en flagrants délits !?), et notamment des parlementaires qui ont choisi en conscience de faire tomber le budget et le gouvernement de la France à quelques jours des fêtes de Noël (ne sont-ce pas, plutôt, les macronistes tordus qui gâchent les fêtes de Noël ?)». Une présentation des choses qui omet de rappeler l'essentiel : s'il y a eu censure, c'est... «parce que» le Premier ministre a utilisé le peu républicain article 49-3 sur le budget de la Sécu. Et que «le seul moyen» pour l'opposition de montrer sa désapprobation à ce projet est... précisément de voter la censure. Mais qu'importent ces considérations parlementaires et politiques, ceux qui ne partageaient pas les orientations budgétaires de Michel Barnier ne sont que des... «irresponsables» à ses yeux». Ces non responsables de toutes les manipulations qu'ils subissent, c'est trop sûr faux ! Vu, qu'en plus du déferlement des horreurs, il leur est interdit de répondre ou de réagir ?

Il nous serait interdit de répondre ou de réagir ?

Macron a tout dit en faisant croire qu'il n'a rien dit du tout

Macron n'a pas cherché à apaiser. Non. Il a juste dit publiquement et devant la France entière que les LFI et les RN c'était des... anti-républicains avec qui on (?) ne peut pas travailler. Problème mes amis, ces deux formations font... tomber n'importe quel gouvernement. Macron vient donc d'agiter le torchon rouge. L'objectif est simple. Rendre impossible la gouvernance avec ces deux formations. Si la gouvernance est impossible alors le blocage est total. Si le blocage est total et que notre petit père des peuples ne veut pas démissionner que peut-il faire ?

En ayant posé ce soir les bases d'un blocage total en créant un faux front anti-républicain qui est ... majoritaire (et très... républicain») à l'Assemblée, Macron vient d'officialiser avec le plus grand des cynismes (en accusant les autres) l'ingouvernabilité de la France (mais ingouvernabilité uniquement «avec» les macronistes, barbares ennemis de tout véridique Front républicain !).
Une fois qu'il aura réussi ou pas à faire un nouveau gouvernement, une fois que ce nouveau gouvernement chutera ou pas, Macron activera l'article 16 et prendrait les pleins pouvoirs.
Les choses deviendront alors passionnantes à observer... et la France risque de s'embraser.

Sinon côté perception, globalement les Français en ont ras la casquette de toute cette clique politique et que sa censure est plutôt populaire».

3. Dans l'enfer insupportable des pervers ?

Ultime déduction : Personne, alors, n'a plus le droit d'exister. D'exister du tout.

Parce que ? Une Anti- République des cercles d'exclusions sectaires, donc d'hyper racismes illégitimes, vous expulsent sans raison – défendable – du droit d'utiliser votre mandat légal.
C'est une escalade-cavalcade juste insensée.

S'ils prennent une décision c'est de ... notre faute – Escalade juste insensée : nous n'aurions aucune autre possibilité que de ne rien faire – sinon nous sommes «accusés» de ce qu'ils décident seuls. Et auquel nous ne sommes pour rien !

Dans ce genre de perversités extrémistes la moindre action, même un ben merde chuchoté, passe pour une rébellion contre une république absolutiste inventée de toute pièce... et qui n'a aucun droit d'exister !

Bref le mur de séquestration impérial absolutiste du pays va si haut que les seuls dangereux anti républicains extrémistes, les macronistes, restent visibles !

L'argument de l'arc républicain (ou de bloc central), d'une telle puérilité, va si loin que la voix non muée ose le délirant «je ne veux pas que les réformes soient supprimées». Il n'y a rien d'autre que cet infime enfantillage «derrière» toute la catastrophe. Atterrant non ? Seule solution = plus d'opposition au monologue ? Donc plus de République du tout... Partout que moi approuvant moi, moi approuvé de moi approuvant moi, moi et moimoi. Restait omis le babillage que «si les fausses réformes «étaient supprimées» c'est parce qu'elles ne sont pas bonnes ! Aussi radicalement simple que cela !

Ledit faux cercle républicain se montre plus que vicieux. Il n'y a même que des vices viciés !!! Plongeons-y :

Si tout était de notre faute = rien n'est de leur faute. Une perfection absolutiste = qui ne sème (pourtant) qu'échecs et désordres (la flagrante ruine économique du pays qui reste 100% de leur fait, etc.). Face à cette omniscience qui rate tout «nous ne pouvons rien dire»... «encore moins faire». Encore moins réagir ? Faut tout figer et se statufier dans l'attente de ce qui racle, l'oracle !
Puisque tout est «si bien», c'est pour notre bien que la dette a explosés en 2024 et... continue, que, depuis des années une vaste transvasement-transfert de l'argent public vers les trop milliardaires a visiblement lieu, qu'il y a pire que le CICE sans garantie c'est l'exemption suicidaire des cotisations patronales, au point que la «réPublique» ne peut plus fonctionner. Ne dysfonctionne que la réPrivée parasitaire sans issue, etc. surendetter le pays c'est pour notre «unique» bien – lorsque tout nous montre que tout ça va plus mal «avec» eux. Des décisions sans queues ni têtes qui n'ont plus le droit aux débats... démocratiques. Tout est caché. Il n'y a plus de droits de réponses, les «comptes» sincères n'existent plus, etc. Bref, tout ce qui constitue un «mandat représentatif (rendre des comptes précis, les expliquer, tout transmettre, etc.)» totalement trahi. Au point qu'aucun corrompu ne peut plus oser un «je suis élu», j'ai été élu. Non et NON, ils ont rompu unilatéralement le contrat social... ils se sont désélus tout seuls.

Bref, ils ne sont plus élus du tout. Les autres, oui !

On serait tenté de penser que qui sont massivement contre tous ces démasqués sectaires ont des tonnes d'arguments ? Avec elles et eux qu'il y bien la sortie réelle d'un aparté- apartheid interminable : qu'enfin, le mono-logue se tarira complètement devant l'abondance les faits démonstrateurs.

En conséquence bien fini le ils ne peuvent parler «parce que» tout est de leur faute (sens religieux à faute-péché ?).

Donc les faux fautifs sauvaient les vrais... fauteurs ?

4. Une très mauvaise interprétation, suivie de l'effacement des preuves ?!

Avant la compréhension, tous ensembles, de l'omniprésent du «Au nom du peuple français»...

... les faux fautifs sauvaient les vrais... fauteurs ?

Or ?

Pas de Justice, pas la moindre même, sans ce «nom du peuple français». Nom qui permet seul de... rendre à tous la Justice. De la remettre à l'endroit, à l'endroit du Droit aux yeux droits !
... et non de se l'approprier privativement sans aucun droit ! Sans aucun droit, puisque leur parole ne s'établit pas au nom du peuple français !!!

Elle dit limpidement :

Une voix irresponsable a déliré devant la phrase le président «nomme» le Premier ministre ... «Le Premier ministre est nommé par le président de la République» (art. 8 de la Constitution)... qu'il peut nommer (désigner) absolument qui il «veut». Faux. Absolument pas. Surdité ou mauvaise interprétation. Puisque : «Lors des cohabitations, le président de la République nomme un Premier ministre issu de la majorité parlementaire». Issu(e) de la majorité parlementaire. Majorité pas obligatoirement absolue mais «de la majorité parlementaire» au sens ayant le plus de députés après l'élection législative... législative pas présidentielle !!!

Tout autre définition est sectaire, tendancieuse, partisane, partiale, abusive, injuste, intolérante, doctrinaire. De parti... pris. Et tout ceci au faux nom du peuple français
Irrecevable !

Si un président peut absolument nommer qui il «veut», à quoi servent les élections législatives (du au nom du peuple français !) ? Oui pourquoi autant d'efforts pesants et onéreux si leurs résultats méticuleux peuvent être si facilement «ignorés», omis, effacés ; si, même la Loi, tête en l'air, bégaierait qu'un seul choix annulerait toutes les élections ? Ce qui est absolument... impossible. Sauf dans une mauvaise lecture.

La certitude est que la Constitution de 1958 n'est que semi-présidentielle. Le Parlement aussi compte. Ce n'est pas une royauté : le législatif, mot proche de Loi, sur laquelle il légifère justement, vous voulez vérifier ? Parlement est ce qui Parle. Parle au nom du peuple français. «Dit» la loi naissante. Législatif législateur codificateur. «donc»... Législation. Législation qui contient, tout à la fois, Justice, Légalité, Droit, Code, Loi... impossible qu'il soit tout évincé, impossible que l'exécutif «sans donc de Législation» décide comme il veut, n'importe comment et sans rendre de comptes ? Un Constitution qui dirait cela serai bien une NON Constitution. Une absence de Constitution. Une coquille vide où des mafias (donc illégales) n'y mettraient que leurs arbitraires. Nul pouvoir présidentiel royal ne peut exister sans limites. Les Principes généraux du Droit disent ces limites. La plus forte limite (nous venons de mieux le découvrir) est bien le au nom du peuple français.

Ce pourquoi les élections «qui disent le Droit» (les législatives parlent le choix du peuple). Les résultats sont donc sacrés. La société avance pas à pas. Puisque dans tous les cas de figures, une majorité se dessine. Les interruptions hors sujet de l'exécutif qui ose «mais ce n'est pas gouvernable» omettent que cet avis «non autorisé» refuse la tête chercheuse du législatif. Tête chercheuse du législatif qui déniche les alliances afin de pouvoir gouverner justement. Et que ce n'est pas à l'exécutif, avec son non-savoir, de forcer les fonctions pour, au moins, 2 raisons. Déjà le «gouvernement ne peut intervenir dans l'organisation de l'Assemblée nationale». Ensuite l'article 8 de la Constitution, inclut, d'abord, tous les cas. Et, détaille, ensuite, tous les cas particuliers. «Lors des cohabitations» en est un. Puisque la majorité parlementaire n'est pas celle du président. La majorité parlementaire. L'article 8 prévoit justement ce cas de figure. Et afin qu'il ne soit pas possible de faire comme si la «minorité» parlementaire présidentielle soit la majorité parlementaire effective... l'article 8, en 3ème alinéa, prévoit un choix dit «contraint», contraint car limité. Uniquement dans les faits «des cohabitations», les présidents «doivent» nommer «un Premier ministre issu de la majorité parlementaire». Le 3ème alinéa de l'article 8 est là pour enlever toute ambiguïté. Sinon il n'existerait pas cet alinéa ! Il n'y a aucune autre manière de comprendre. «Lors des cohabitations» les présidents «doivent» nommer «un Premier ministre issu de la majorité parlementaire». Leur choix se limite uniquement à choisir qui serait préféré dans cette «majorité parlementaire». Uniquement. Et absolument nulle part ailleurs !

Pourquoi non, il y aurait-il eu un changement du concept de cohabitation ?

Sinon, c'est une très mauvaise interprétation. Dont sont fautifs-fauteurs uniquement qui se trompent ainsi !!

Et qui le prouvent en ayant transformé (sic) cet article de loi existant depuis 1958.

Où il est question de «l'Esquive» du «lors des cohabitations» de l'article 8 de la Constitution de 1958 ?

Historiquement certifié l'alinéa. Se trouvant bien dans les livres de juin 2024. Mais s'absentant le... 11 juillet 2024. Interruption temporaire de l'image, alinéa 3 ? Soit, «Lors des cohabitations, le président de la République a nommé un Premier ministre issu de la majorité parlementaire».

https://www.rajf.org/spip.php?article35

L'Article 8 de la Constitution de 1958

«L'irruption du phénomène de la cohabitation dans la vie politique a modifié notablement la perception du rôle du Premier Ministre (II), jusqu'alors caractérisé par son allégeance au Président de la République (I)».

... évolutions : lorsque l'on ne peut pas changer l'Histoire. Que vient faire cette «irruption du phénomène de la cohabitation» ?

https://www.vie-publique.fr/fiches/19459-qui-designe-le-premier-ministre

L'essentiel
  • Le Premier ministre est nommé par le président de la République.
  • Il s'agit d'un pouvoir propre du président.
  • Lors des cohabitations, le président de la République a nommé un Premier ministre issu de la majorité parlementaire.

17 juin 2024

Dernière modification : 11 juillet 2024

«Le Premier ministre est nommé par le président de la République (art. 8 de la Constitution). Sur proposition du Premier ministre, les autres membres du gouvernement sont également nommés par le président de la République».

Tant à déduire n'est-ce pas ?

source : Imagiter

https://reseauinternational.net/au-nom-du-peuple-francais-2/