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Musée des horreurs d'Islam

Démarré par JacquesL, 14 Août 2007, 04:54:35 PM

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JacquesL

Musée des horreurs d'Islam, il y en a pour tous les goûts, les plus sombres de préférence :
http://www.atheisme.org/listeislam.html

Ne prenons que l'extrait concernant les liens avec l'hitlérisme :

1936 : C.G. Jung à propos d'Hitler: " La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à gouter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée." (Entretiens et Interview, p. 94...)
1936 : le théologien indien Maulavi Zafar Ali Khan déclare à Lahore: " Si les musulmans, au cours de leurs périodes de gouvernement et de domination, ont levé l'épée pour étendre leurs territoires et pour réduire à l'esclavage les autres peuples, cela n'a rien à voir avec le jihad"
1938 : début des émissions en arabe dans les radios nazies
1940 : création à Berlin d'une commission pour la coopération des pays arabes
1940 : fondation de l'organisation Jeunes musulmanes par Izetbegovitch sur le modèle des islamistes égyptiens, qui collabore ensuite avec les nazis.
1941 : un marché aux esclaves fonctionne toujours à la Mecque
1941 : massacre de juifs à Bagdad, avec l'appui des autorités: env. 170 morts
1941 : mars: fondation en Yougoslavie du parti Mladi Musulmani, ""Jeunes Musulmans", toléré ensuite par les nazis
1941 : avril: les fascistes de l'Etat Croate tolèrent la minorité musulmane alliée aux nazis
1941 : constitution sous la protection du mufti de Jérusalem al Husseini d'une division SS musulmane Handjar ("le Poignard")
1941 : l'ancien mufti de Jérusalem al Husseini dirige l'Institut Islamique de Berlin
1941 : novembre: rencontre scellée par une poignée de main entre Hitler et le grand mufti de Jérusalem
1941 : massacre de la gorge de Koritska Jama en Bosnie par la division SS Hanjar
1943 : reprise du trafic d'esclaves en Arabie saoudite, après la levée de la surveillance de la marine britannique
1943 : déclaration d'Himmler: "Je n'ai rien contre l'islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat.
1943 : organisation par le mufti de Jérusalem Al Husseini de la division SS Hanjar (Sabre) de 20 000 hommes environ


Ou encore sur l'esclavagisme toujours actuel :
...
1951 : juin: la commission des fatwas égyptiennes n'accepte pas l'abandon de l'excision des filles, considérant qu'il est souhaitable de la pratiquer parce qu'elle modère la nature: "les théories médicales relatives aux maladies... ne sont pas constantes... De ce fait, il n'est pas possible de s'y fier pour dénigrer la circoncision féminine. Le Législateur sage, expert et savant a une sagesse et s'en sert pour redresser la création humaine. Les expériences nous ont appris avec le temps que les faits nous dévoilent ce qui a été caché concernant la sagesse du Législateur en ce qu'il a légiféré."
1951 : impression massive du Protocole des Sages de Sion en Egypte
1952 : destruction de l'église copte de Suez
1952 : pogroms anti juifs et chrétiens à Suez
...
1957 : avril: les Britanniques tentent d'interdire l'excision des filles à Aden; devant les risques de révolte, ils stoppent la réforme.
...
1958 : coup d'Etat du général Abboud au Soudan; début de l'islamisation forcée du Sud, sous le slogan "Un pays, une langue, une religion"
1958 : pogrom à Aden
...
1960 : vente en Arabie saoudite d'esclaves à des Touaregs, pour les rembourser du prix de leurs voyages
...
1960 : février: à Chichawatni, assassinat d'Esther John, une femme pakistanaise, par un de ses frères, parce qu'elle avait apostasié
1960 : un journal saoudien décrit Eichmann: "l'homme qui peut être fier d'avoir tué cinq millions de juifs."
...
1961 : selon un article d'un journal nigérian, des jeunes enfants sont retrouvés en Arabie comme esclaves
...
1962 : abolition officielle de l'esclavage en Arabie Saoudite; le phénomène devient plus discret
1962 : il y avait entre 100 et 250 000 esclaves en Arabie saoudite avant l'abolition officielle
...
1962 : révolte dans le Nadj saoudien contre la scolarisation des filles
1962 : création d'un ministère de la justice en Arabie Saoudite pour rationaliser les décapitations et moderniser les amputations
1963 : en Turquie laïque, mise en évidence de l'existence de la polygamie: 3,7 millions d'hommes mariés, et 4,2 millions de femmes mariées
...
1964 : déposition du roi Saoud pour alcoolisme avéré
1964 : la conférence des pays arabes de Mogadiscio condamne l'esclavage des hommes, mais ne mentionne pas les femmes dans le texte
1964 : massacre en Indonésie de 200 à 600 000 paysans chinois et communistes par des milices de jeunes musulmans soutenus par l'armée: "ils jetèrent tellement de corps à la mer que les gens avaient peur de manger du poisson"
...
1964 : fin réelle de la traite des esclaves à Zanzibar.
1964 : l'hebdomadaire de l'armée égyptienne note: "Par essence, le juif n'a aucune qualité pour porter les armes."
1964 : Nasser déclare à un journal néo-nazi allemand: "Personne ne prend au sérieux le mensonge des 6 millions de juifs assassinés."
...
1965 : fatwa de meurtre du premier ministre iranien Ali Mansour par l'ayatollah Alozma Milami
...
1965 : assassinat du premier ministre iranien Mansour par un étudiant en théologie
...
...
2000 : le mollah Omar émet une fatwa condamnant à mort tout musulmanse convertissant à une autre religion, et à 5 ans de prison pour possession de littérature anti-islamique
...
2000 : selon le ministère du travail saoudien, 19 000 domestiques ont fui leurs employeurs cette année: absence de salaires, mauvais traitements, manque de nourriture.
2000 : en Arabie Saoudite, le prix d'un travailleur philippin est de 533$
...

Non, on ne peut pas tout trier, la liste est écrasante.

JacquesL

Citation de: Jean Roche16 avril 2002

Mahomet premier terroriste islamiste ?



Pendant une bonne dizaine d'années, au début de sa "mission prophétique", Mahomet (Muhammad ou Mohammed en arabe), en butte à une hostilité grandissante et souvent odieuse, a prêché un message sublime de tolérance, de justice sociale, de générosité, etc. Il en reste quelque chose dans le Coran. Mais il n'en est pas resté là. Un jour, poussé à bout par les sévices dont ses proches et ses partisans étaient la cible, il s'est exilé pour fonder le premier état musulman ailleurs, passant ainsi de l'Islam à l'Islamisme, si ce mot a un sens. Et il a assez vite, objectivement, que ça plaise ou non et quelque jugement qu'on porte là-dessus, recouru au terrorisme.

Ma première source est une adaptation française de l'Histoire du Prophète par Tabari ("Mohammed sceau des Prophètes", Sindbad, 1980). Cette adaptation a pour objectif déclaré et lourdement affiché de promouvoir l'Islam.

Abu Djafar Muhammad ibn Djarir al Tabari (839-923) est une des références essentielles pour l'histoire des débuts de l'Islam. Source fiable ? Quand il avait recueilli plusieurs versions d'un même événement, il le disait, et précisait le cas échéant laquelle lui paraissait la plus fiable. Pas une première, Hérodote le faisait déjà, mais enfin un bon point. Autre bon point, Tabari était sunnite mais éprouvait une telle sympathie pour le Chi'isme qu'il s'est attiré de sérieux ennuis. Mais il avait aussi un sens poussé de la rhétorique, aménageant les détails avec un art consommé pour faire passer avec élégance et ferveur, sans trop les déformer, les épisodes les plus potentiellement scandaleux. Ainsi l'affaire des "versets sataniques", que Rushdie n'a pas inventée. Ainsi les premiers conflits fratricides entre Musulmans (traités ailleurs sur ce site). Et ce qui suit.

Après l'Hégire, et avant la conquête de la Mecque, le Prophète de l'Islam se trouvait donc à la tête d'un petit état, mais aussi aux prises avec de nombreux adversaires. Parmi ces derniers, mais non des plus redoutables, un Juif du nom de Ka'b. La seule action malveillante alléguée de Ka'b est d'avoir écrit et diffusé des poèmes se moquant du Prophète et encourageant ses adversaires. En conséquence, Mahomet avait demandé à ses fidèles d'aller le mettre à mort, chez lui. Selon les critères d'aujourd'hui, le Prophète était donc objectivement un terroriste. Ce n'était déjà pas si édifiant au temps de Tabari. Comment va-t-il nous le faire passer ?

Une équipe de sept hommes s'était constituée, dont un frère de lait de Ka'b. Tabari insiste lourdement sur la richesse de Ka'b (sans lui donner d'autre origine que la culture et la vente du blé et des dattes... c'était donc ce qu'on appellerait aujourd'hui un riche paysan, sans plus). Il insiste tout autant sur la très impressionnante forteresse, formidablement gardée, que serait la résidence du méchant poète, si bien que la tâche du commando apparaît héroïque. Néanmoins, quand les sept se présentent, de nuit, devant cette "forteresse", ils peuvent directement interpeller leur victime, depuis la voie publique ou ce qui en tient lieu. Ka'b dormait sur la terrasse, avec sa nouvelle épouse, en raison de la chaleur. C'est Silkan qui les réveille, qui demande à parler au maître de maison. La femme se méfie et veut mettre en garde son époux (il n'est pas question de garde armée...). Ka'b dit : "C'est mon frère de lait, je suis plus sûr de lui que de moi-même, et je ne me suis jamais présenté en vain chez lui..." Il demande donc, de la terrasse, à Silkan ce qu'il veut. Silkan explique que la situation à Médine est devenue intenable, que Mahomet est un fléau, que c'est la famine (il a expressément demandé, et obtenu du Prophète, la permission de recourir à cette ruse). Ka'b triomphe : "Je l'avais bien dit !" L'autre ajoute qu'il est venu de nuit parce qu'il a honte de devoir mendier sa nourriture, ainsi que ses compagnons. Ka'b est d'accord pour leur en donner... à condition qu'ils laissent leurs enfants en gage ! Cette condition laisse pour le moins perplexe. Bien sûr nous connaissons mal les usages du temps, mais enfin elle tombe à point nommé pour faire oublier ou au moins atténuer le caractère particulièrement odieux de la ruse : demander assistance à un homme pour pouvoir le tuer. Silkan répond qu'ils ont amené des armes de grand prix comme gage. Ka'b descend pour les examiner... et tombe aussitôt percé de coups. Le commando peut se replier sans être poursuivi.

Touche finale : les tueurs ont par erreur fendu le crâne à l'un d'entre eux, et l'ont laissé pour mort. Mais l'homme parvient à son tour à regagner Médine... où le Prophète guérit miraculeusement sa blessure.

Si vous pensez que Tabari ne disait que la vérité, je vous renvoie à deux épisodes insignifiants par eux-mêmes où, en voulant par les moyens les plus subtils exalter un personnage, il s'emmêle et se contredit. Juste avant son martyre à Karbala, Hussayn, voyant son fils Ali se faire valeureusement tuer sous ses yeux, pleura, et "on ne l'avait jamais entendu pleurer jusqu'à ce jour". Sauf que le même Tabari nous montre le même Hussayn, quelques vingt ans plus tôt, versant "d'abondantes larmes" pour tenter de convaincre Ali (son père cette fois, alors calife) de montrer un peu plus de réalisme politique (cf "Les quatre premiers califes" et "Les Ommayades", également chez Sindbad, 1981 et 1983 respectivement).

Jean Roche

JacquesL

#2
http://www.webzinemaker.com/admi/m9/page.php3?num_web=18063&rubr=3&id=276797

Voir les assassinats des deux poètes de Yathrib, capables de faire concurrence en poésie à Muhammad.

CiterMahomet fit peu à peu assassiner, avec l'accord d'Allah, tous ceux qui lui étaient opposés ou qui l'avaient critiqué

Ainsi Abu Afak, un juif centenaire avait osé composer une satire lyrique du Prophète (Kitab al Tabaqat al Kabir, Volume 2, par Ibn Sa'd, page 32). Mahomet s'est exclamé: "Qui me vengera sur cette crapule?" et Salim ibn Umayr est parti le tuer dans son sommeil.

Puis la poétesse Asma bint Marwan, mère de 5 petits enfants, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mahomet assassiner un vieil homme. Apprenant ses dires, Mahomet questionna : «N'y aurait-il donc personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ?» Umayr ibn Adi, un musulman (aveugle ?) se porta volontaire et poignarda la malheureuse dans son lit, alors qu'elle donnait la tétée à son plus jeune enfant.(Sirat Rasul Allah). Lorsque, pris de remord, Umayr exprima ses craintes d'être puni de ce meurtre par Allah, Mahomet le rassura en lui disant que «Même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela». Il dit aussi : "Oh sois témoin, aucune revanche n'est payable pour son sang !" (Aba Dawud Livre 38, 4348)

http://en.wikipedia.org/wiki/Asma_bint_Marwan