Nouvelles:

Notre mission est de former les citoyens de référence de l'avenir, les aider à coévoluer et créer.

Main Menu
Welcome to Pratiquer les vertus citoyennes. Please login or sign up.

05 Novembre 2024, 07:59:16 AM

Login with username, password and session length

Crier !

jacquesloyal

2007-11-12, 17:03:07
Etre loyal et ne pas mentir

Récents

Membres
Stats
  • Total des messages: 6,752
  • Total des sujets: 3,962
  • En ligne aujourd'hui: 6
  • Record de connexion total: 448
  • (18 Mai 2024, 04:24:13 AM)
Membres en ligne
Membres: 0
Invités: 11
Total: 11

Un générateur de langue de bois !

Démarré par JacquesL, 16 Février 2007, 11:31:50 AM

« précédent - suivant »

JacquesL

Un générateur de langue de bois ! Enfin disponible ! Parlez comme un vrai énarque :
http://www.presidentielle-2007.net/generateur-de-langue-de-bois.php
CiterMesdames, Messieurs, la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, oblige à la prise en compte encore plus effective d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Mesdames, Messieurs, l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité.
Autre essai :
CiterMesdames, Messieurs, la conjoncture actuelle a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un processus allant vers plus d'égalité. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la conjoncture actuelle a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Et c'est en toute conscience que je déclare avec conviction que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je reste fondamentalement persuadé que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice.

JacquesL

La politique, plus ça change, plus c'est la même chose...

LA POLITIQUE...

A lire d'abord de haut en bas...

Ensuite de bas en haut...

...

Dans notre parti politique, nous accomplissons ce que nous promettons.

Seuls les imbéciles peuvent croire que

nous ne lutterons pas contre la corruption.

Parce que, il y a quelque chose de certain pour nous:

L'honnêteté et la transparence sont fondamentales pour atteindre nos idéaux.

Nous démontrons que c'est une grande stupidité de croire que

les mafias continueront à faire partie du gouvernement comme par le passé.

Nous assurons, sans l'ombre d'un doute, que

la justice sociale sera le but principal de notre mandat.

Malgré cela, il y a encore des gens stupides qui s'imaginent que

l'on puisse continuer à gouverner avec les ruses de la vieille politique.

Quand nous assumerons le pouvoir, nous ferons tout pour que

soit mis fin aux situations privilégiées et au trafic d'influences

nous ne permettrons d'aucune façon que

nos enfants meurent de faim.

Nous accomplirons nos desseins même si

les réserves économiques se vident complètement.

Nous exercerons le pouvoir jusqu'à ce que

Vous aurez compris qu'à partir de maintenant

Nous sommes le grand parti pour la "nouvelle politique" de 2006.

JacquesL

#2
La guerre sexiste en deux pancartes :


JacquesL

#3
Feuille d'impôts simplifiée pour UMP



JacquesL

#4
"Fracture sociale", façon canadienne

En vacances sur un ranch, Paul Martin tombe accidentellement en bas de son cheval sur un serpent à sonnettes, se fait mordre par ce dernier et meurt dans la salle d'urgence de l'hôpital où il est amené, parce qu'il n'y a pas assez de personnel pour s'occuper de lui à temps.
Son âme arrive en haut où il est accueilli par saint Pierre aux portes du Ciel. « Bienvenue au Paradis », lui dit saint Pierre. « Cependant, avant que tu t'installes, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si peu souvent des Libéraux ici que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi ».

« Pas de problème, laissez-moi entrer; je suis un croyant », dit Martin. « Je voudrais bien, mais j'ai reçu des ordres du Grand Patron en personne. Il veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité».
« Oui, mais j'ai déjà décidé, je veux demeurer au Paradis », répond Martin. « Je regrette, mais nous avons nos règlements ». Et saint Pierre d'escorter Martin vers un ascenseur d'où il descend, descend, descend jusqu'en Enfer.

La porte de l'ascenseur s'ouvre et il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 72 degrés F. Au loin se profile un très superbe «club house». À l'avant de l'édifice se trouvent son papa ainsi que des centaines d'autres libéraux qui l'ont aidé au cours des années, Pierre Trudeau, Jean Marchand, Pelletier, St-Laurent, etc. Toute la « gauche » est là aussi; tous ces beaux personnages s'amusent, heureux et habillés de façon élégante mais décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.).

Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d'antan quand ils se sont enrichis aux dépends des « suckers et des ti-culs du peuple ». Ils jouent une petite partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar. Le Diable lui-même s'approche de Martin avec une consommation glacée : « Bois donc ce Margarita et relaxe un peu, Paul ! ». « Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment », dit Martin, déprimé. « Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que tu veux et ne pas t'inquiéter de quoi que ce soit. À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux ! ».

Martin boit donc le Margarita et commence à trouver le Diable de plus en plus sympathique, qui est un bien gentil gars qui raconte de bonnes blagues comme lui-même d'ailleurs, qui aime aussi jouer de vilains tours, un peu comme celui de la TPS ou des promesses du Libre Échange. Ils s'amusent tellement ensemble que le temps passe rapidement et soudainement c'est l'heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras, lui envoient la main et Martin prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel.

Quand la porte de l'ascenseur s'ouvre, il est revenu au Ciel où saint Pierre l'attend. « C'est maintenant le temps de visiter le Ciel », lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis. En conséquence, pendant 24 heures, Martin doit frayer avec une confrérie de gens honnêtes, bienveillants qui ont de l'agrément ensemble, qui conversent de sujets beaucoup plus  intéressants que l'argent et qui se traitent l'un l'autre avec courtoisie. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague plate ou cochonne parmi eux ; pas de « club house » mirobolant mais un resto ordinaire où cependant la nourriture y est excellente même s'il n'y a pas de homard ou de caviar. Étant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne découvre personne qu'il connaît
et il n'est même pas traité comme quelqu'un d'important ou de spécial !


Pire que ça, aux yeux de Martin, Jésus semble être une espèce d'hippie hurluberlu amical qui ne parle que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter son insipide rengaine « ne pas faire aux autres, bla, bla, bla ». « Wo ! les machines » se dit-il, plutôt mal à l'aise. « Pierre Trudeau ne m'a jamais prévenu de ceci ». La journée terminée, Saint Pierre revient et lui dit : « Alors, Paul, tu as passé une journée en Enfer et une autre au Paradis. Tu dois maintenant choisir où tu vivras pour l'éternité ».

Avec le thème de « L'union fait la force » jouant en musique de fond, Martin réfléchit pendant une minute et répond ensuite: « Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix ? Hum ? Bon, je trouve le Paradis « intéressant » et tout mais néanmoins je crois que je serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis ». Donc, saint Pierre escorte Martin jusqu'à l'ascenseur qui descend,  descend, descend jusqu'en Enfer.

Les portes de l'ascenseur s'ouvrent et il se retrouve au beau milieu d'une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels, un peu comme à Sudbury. Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté. Le Diable s'amène, mettant son bras autour des épaules de Martin. « Je ne comprends pas », balbutie Martin en état de choc. « Lorsque j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house »; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé la fraise. On s'est envoyés en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a l'air misérable ».
Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et susurre à l'oreille : « Hier nous étions en campagne électorale ; aujourd'hui, tu as voté pour nous ! ».

JacquesL

#5
Histoire pieuse de saison

Ca pourrait aussi s'intituler : « Pourquoi je voterais NON au traité
constitutionel européen »

François Hollande meurt accidentellement...
Il est accueilli au Paradis par Saint Pierre qui lui dit :
- Bienvenue. Cependant, nous devons régler un petit problème.

Nous voyons si rarement des chefs de parti, ici que nous ne sommes pas
certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu
passes un jour en Enfer et un jour au Paradis.

Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité.
- Mais j'ai déjà décidé, je veux rester au Paradis.
- Je regrette, mais nous avons nos règlements.


Saint-Pierre conduit François Hollande vers un ascenseur qui le conduit en
Enfer.
Quand la porte s'ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf
tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait
25 degrés.

Au loin se profile un superbe club house. A l'avant de l'édifice se trouvent
son papa ainsi que Guy Mollet, Charles Hernu et le promeneur du Champ de
mars.
Une grande partie de la droite est là aussi; tous ces beaux personnages
s'amusent, heureux et habillés de façon élégante mais décontractée (Dior,
Versace, Armani, etc.).

Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs
souvenirs d'antan et leurs débats homériques (ha! ha!).
Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar.


Le Diable offre même une consommation glacée.
- Bois donc ce Margarita et relaxe un peu, François !
- Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment.
- Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que
tu veux sans t'inquiéter

À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux!
François Hollande boit son cocktail et commence à trouver le Diable
sympathique.

Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours,
etc.

Ils s'amusent tellement qu'ils ne voient pas le temps passer.
Arrive pourtant l'heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras
et François Hollande prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel.
Saint-Pierre l'attend à la sortie.
- C'est maintenant le temps de visiter le Ciel », lui dit le vieil homme, en
ouvrant la porte du Paradis.
Pendant 24 heures, François Hollande doit frayer avec Jean Moulin, Jean
Jaurès, De Gaulle et toute une confrérie de gens bienveillants qui
conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l'argent et qui se
traitent l'un l'autre avec courtoisie.

Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne; pas de « club house »
mirobolant mais un resto ordinaire
Etant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune
connaissance, et il n'est pas reconnu comme quelqu'un d'important ou de
spécial ! Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle
que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines :

« Chasser les marchands du Temple, il sera plus
difficile à un riche d'entrer dans mon royaume qu'à un chameau de passer par
le chas d'une aiguille, etc.»


La journée terminée, Saint Pierre revient...
- Alors, François, tu dois maintenant choisir.


François Hollande réfléchit pendant une minute et répond :
- Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix. Hum?
Bon, je trouve le Paradis «intéressant», mais néanmoins je crois que je
serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis.
Saint-Pierre l'escorte alors jusqu'à l'ascenseur et françois Hollande
redescend jusqu'en Enfer.

Quand les portes s'ouvrent et il se retrouve au beau milieu d'une grande
plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques
industriels.

Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous
ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs
noirs.

Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et
leurs visages noirs de saleté.
Le Diable s'amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du
nouveau.
- Je ne comprends pas, balbutie François Hollande en état de choc, lorsque
j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house »; nous
avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlé. On s'est
envoyé en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés.
Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a
l'air misérable.

Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et lui susurre à l'oreille :
- Hier nous étions en campagne électorale;
aujourd'hui, tu as voté pour nous!

JacquesL

#6
Encore l'enfer...

J'avais connu une version québécoise plus détaillée et typée, mais je n'ai pas pu remettre la main dessus. Voici donc une version française :


Un mec se réveille en enfer et tire légèrement la gueule. Satan passe par là et l'interpelle :
– Salut toi ! Pourquoi tu fais la gueule ?
– Eh bien, premièrement je suis MORT et deuxièmement je suis en enfer... y a pas de quoi se réjouir ?
– Bof, tu sais, dit Satan, c'est pas mal ici-bas... tu fumes ?
– Quelle question, bien sûr !
– Alors tu vas aimer les lundis car pendant tout la journée on fume des cigares, des clopes, des stump... sans devoir se soucier du cancer... on est déjà morts !
– Ouais, pas mal.
– Tu bois ?
– Bien sûr ! Dis le damné.
– Alors tu vas aimer les mardis car pendant toute la journée on picole du pinard, de la goutte, de la bière... puis on vomit et on continue à boire sans se soucier de la cirrhose... on est déjà morts !
– Ah, pas mal le début de la semaine...
– Tu bouffes ?
– Comme un porc.
– Alors, dit Satan, tu va te régaler les mercredis car pendant toute la journée on s'empiffre de gras, de desserts, de viandes... sans se soucier du cholestérol... on est déjà morts !
– Aaah, de mieux en mieux...
– Tu te drogues ?
– Régulièrement...
– Alors les jeudis c'est pour toi, on a tout ici herbe, poudre, seringues... on se pique sans se soucier d'une overdose... on est déjà morts !
– Ouaiiis, super l'endroit, je ne croyais pas que c'était si cool en enfer...
– T'es pédé ?
– Non !
– Ouuuuuuhh, alors tu ne vas pas aimer les vendredis...