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JFK, Oklahoma, le 11/9/01 et le 7/10/23, le gabarit de la terreur

Démarré par JacquesL, 20 Août 2024, 10:01:46 PM

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JacquesL

JFK, Oklahoma, le 11/9/01 et le 7/10/23, le gabarit de la terreur



par Pierre Simon

«La terreur est un théâtre... L'escroquerie du théâtre.

Vous savez ce que ça veut dire ! Un tour de passe-passe ? Vous avez été trompé».

– John Le Carré «La petite fille au tambour», 1983

Il n'est pas absurde de penser que tous les attentats (Charlie Hebdo, Bataclan, Nice, Merah, Boston, etc.) ayant servi à diaboliser les musulmans afin d'enflammer les chrétiens blancs contre eux étaient des attentats sous fausses bannière.

La première chose à retenir dès le départ est que les juifs et leurs vassaux non juifs ne reculeront devant rien pour atteindre leurs objectifs hégémoniques. Et plus ils pensent être proches de leur objectif final, plus ils deviennent audacieux.

Deuxièmement, ces attentats font partie des mensonges et des stratégies du «choc et de l'effroi» utilisés par le peuple élu pour asservir l'humanité dans le jardin d'Eden qu'ils veulent créer pour eux-mêmes : pandémies, catastrophisme climatique, terrorisme, néolibéralisme, promotion LGBT, antisémitisme, racisme, marxisme culturel, etc., tout est bon pour servir leur cause.
Troisièmement, ces crimes sont des «attentats sous fausses bannières», soit un attentat ou une autre action hostile qui dissimule l'identité de ses auteurs tout en impliquant ou en accusant une autre personne, un autre groupe ou une autre nation comme étant l'auteur de l'action.

En ce qui concerne les attentats en Amérique, par exemple, écrit le journaliste d'investigation Michael Collins Piper dans son livre False Flags (fausses bannières), «les opérations israéliennes ont été menées en se greffant à des opérations du renseignement américain déjà existantes et impliquant les individus qui étaient depuis le début lié à ces crimes».1

Dans le cas de l'attentat à la bombe d'Oklahoma du 19 avril 1995, le plan initial a été lancé par la CIA afin de discréditer le nationalisme et renforcer la sécurité intérieure. Il n'y avait aucune intention de tuer qui que ce soit. Pour ce faire, la CIA a incité Timothy McVeigh, le prête-nom des nationalistes blancs, à fabriquer et à placer une bombe dans l'immeuble Alfred P. Murrah situé à Oklahoma City, mais sans la faire exploser. L'opération d'infiltration a mal tourné lorsqu'une véritable bombe, voire plusieurs, a explosé. «Par la suite, souligne M. C. Piper, les Israéliens ont déployé des efforts considérables pour rejeter la responsabilité sur les Arabes et les musulmans qu'ils ont essayé en plus de relier à McVeigh»2. C'est ce que M. C. Piper définit comme le «gabarit de la terreur» du Mossad : ils s'appuient sur une opération sous fausse bannière planifiée par quelqu'un d'autre, comme la CIA, et la détournent à leurs fins. Pour ce faire, ils doivent évidemment être de mèche avec les agences de renseignement impliquées ou avec la CIA.

Quatrièmement, comme l'a souligné entre autres M. C. Piper dans son livre cité ci-dessus, en général, les enquêteurs sur ces événements se concentrent, sciemment dans la plupart des cas, sur la manière dont ces crimes ont été commis au lieu de découvrir qui les a commis et pourquoi. Par conséquent, même si quelques mots seront consacrés aux méthodes utilisées, les questions de savoir qui a planifié ces crimes et pourquoi seront au centre des explications ci-dessous.

L'assassinat de John F. Kennedy

Où et quand : L'assassinat de John F. Kennedy, trente-cinquième président des États-Unis, a lieu le vendredi 22 novembre 1963 à Dallas (Texas) à 12 h 30. Le cortège présidentiel traverse à vitesse réduite le centre de la ville. Lorsque la voiture présidentielle, décapotée, passe sur Dealey Plaza, John F. Kennedy est mortellement blessé par des tirs d'armes à feu.

Qui : David Ben-Gourion, premier ministre et ministre de la Défense d'Israël de 1948 à 1963, le vice-président Lyndon B. Johnson (LBJ) en contact étroit avec Tel-Aviv, le Mossad israélien, des agents de haut niveau de la CIA comme l'idiot utile Jim Angleton, des officiers hauts placés de la Marine inféodés à LBJ, la police de Dallas, de puissants hommes d'affaires juifs du Conseil des citoyens de Dallas qui ont préparé l'embuscade, Abraham Zapruder qui a filmé l'événement, la mafia juive ou sioniste dirigée par Meyer Lansky, et le juif Jack Ruby, né Rubenstein, l'homme de main de la mafia juive, celui qui a tué Harvey Oswald pour l'empêcher de parler.3

Pourquoi : L'objectif principal était de mettre au pouvoir l'impopulaire et inéligible Lyndon Johnson, le premier président juif des États-Unis4. Dès qu'il est devenu président, la nuit même où JFK a été assassiné, Johnson s'est assuré que personne ne découvrirait la vérité ; toutes les personnes clés de la commission d'enquête Warren qu'il a créé afin de faire la lumière sur le crime étaient soit des ennemis de Kennedy, soit des sionistes pur et dur ; il a également commencé à inverser toutes les politiques de JFK qui étaient préjudiciables aux intérêts israéliens et juifs.5

Comme son père Joseph, et tous les Kennedy d'ailleurs, JFK n'était pas un ami d'Israël et des juifs. En tant que pro-Arabe, il n'aimait pas la façon dont les juifs volaient les terres des Palestiniens ; il était pour le droit des réfugiés palestiniens à retourner sur leurs terres ancestrales ; il voulait réduire l'influence corruptrice du lobby juif sur la politique étrangère de son pays6, freiner la mafia juive, mettre fin à la guerre froide et à la guerre du Vietnam qui profitaient indirectement à Israël, et plus important encore, «Kennedy, qui avait fait du désarmement nucléaire sa mission historique, écrit Laurent Guyénot, était déterminé à empêcher Israël d'obtenir la bombe atomique»7. Selon M. C. Piper, qui fut l'un des premiers journalistes à accuser Israël et le Mossad dans son livre phare «Final Judgment» (Jugement final)8, JFK était convaincu que la possession par Israël d'un arsenal nucléaire constituait, selon les termes de Sandler, l'éditeur du livre, «The Letters of John F. Kennedy, «une menace sérieuse pour la paix mondiale»»9. Comme l'a révélé Seymour Hersh dans son livre «The Sampson Option» (L'option Sampson), il s'agit là du principal motif de l'assassinat de JFK10. Ben Gourion était convaincu qu'Israël ne pourrait survivre sans la bombe. Si les Arabes gagnaient la guerre, disait-il, «ils feraient aux juifs ce que Hitler a fait»11. En d'autres termes, «la présidence de Kennedy était une crise existentielle pour Israël à tous les niveaux imaginables. Pour qu'Israël survive et atteigne tous ses objectifs, JFK devait disparaitre».12

Comment : Harvey Oswald n'a jamais tiré un seul coup de feu. Il n'était pas censé tuer JFK. En tant que bouc émissaire, son rôle était d'imputer une tentative d'assassinat à Castro afin de justifier une guerre avec Cuba et un changement de régime. Mais le Mossad, suivant son «gabarit de la terreur» défini ci-dessus, a pris en charge cette opération sous fausse bannière pour assassiner JFK et faire avancer sa cause.

Selon un nouveau livre publié en 2024, un total de cinq coups de feu ont été tirés. Trois de ces coups, deux de face et un de dos, ont été fatals. Les radiographies ont été modifiées pour masquer les preuves des deux tirs frontaux afin de protéger la thèse du tireur solitaire ayant tiré de l'endroit où se trouvait Oswald. Les chirurgiens de Bethesda qui ont pratiqué la première autopsie de la tête de JFK ont supprimé les traces des balles frontales et ont «assaini la scène du crime» en enlevant les fragments de balle et les traces de balle dans le tissu cérébral. Le pare-brise de la voiture, qui présentait un impact de balle, a été changé. Le film tourné par Zapruder a été modifié afin d'effacer toute trace des tirs frontaux.13

La commission Warren a trompé le public en affirmant à tort qu'il n'y avait eu que trois coups de feu, tous tirés depuis la position d'Oswald au 6ème étage de la Texas School Board Depository (position 1 sur le schéma ci-dessous). En réalité, selon les auteurs du livre cité ci-dessus, «cinq coups de feu ont été tirés, deux par derrière à partir des étages inférieurs du bâtiment Dal-Tex (position 2 sur le schéma) et les trois autres par devant : un coup de feu tiré de la «butte herbeuse» (Grassy knoll en position 3 sur le schéma), un coup de feu à la gorge (tiré d'une bouche d'égout située sur le trottoir à l'intérieur du triple passage souterrain en position 4 sur le schéma) et un coup de feu à la tempe droite (tiré d'une bouche d'égout en surface à l'intersection du triple passage souterrain et de la clôture de piquets en position 5 sur le schéma)».14



Dessin tiré du livre de Davis Simkin,
«The Assassination of President Kennedy»

Conséquences : L'assassinat de JFK s'est poursuivi après sa mort physique. Il ne suffisait pas, en effet, de le tuer par balles. Israël devait aussi détruire sa mémoire, son caractère et «étouffer tout héritage qui pourrait subsister, car l'assassinat est futile si les idées de l'homme vivent à travers d'autres», écrit le chercheur James DiEugenio, dans son livre «The Posthumous Assassination of JFK» (L'assassinat posthume de JFK)15. De nombreux livres et articles ont été publiés pour salir et dénigrer JFK et sa famille. Il y a eu le livre salace de l'agent du Mossad C. David Heymann, «Bobby and Jacky. A love story» (Bobby et Jacky. Une histoire d'amour). Samuel Halpern, un agent juif de la CIA, a fait carrière salissant le nom des Kennedy. De fait, Il a été la principale source de Seymour pour son ouvrage de dénigrement des Kennedy «The Dark Side of the Camelot» (La face cachée du clan Kennedy), note l'auteur Laurent Guyénot dans son livre «The Unspoken Kennedy Truth».16

Le frère de JFK, Robert, a été assassiné lorsqu'il a décidé de se présenter à l'élection présidentielle. Les globosionistes craignaient qu'il ne rouvre l'enquête sur le meurtre de son frère John. Pour ce faire, ils ont utilisé un pigeon palestinien, Sirhan Bishara Sirhan, mais aucun de ses tirs n'a tué Robert. Robert a été assassiné par un autre tireur situé dans son dos. En jetant l'opprobre sur un arabe, le Mossad préparait déjà le terrain pour les faux drapeaux suivants, l'attentat d'Oklahoma et le 11 septembre 2001.17

Selon l'essayiste français Laurent Guyénot, il y a beaucoup de bonnes raisons de croire que John Jr, qui se préparait à briguer le même siège de sénateur que Hilary Clinton, a également été assassiné pour les mêmes raisons que son oncle Robert. Les assassins de son père craignaient qu'il ne se présente à l'élection présidentielle et ne rouvre les enquêtes sur les deux assassinats. C'est ainsi que lui, sa belle-sœur et sa femme enceinte, qui se rendaient à Martha's Vineyard, ont été victimes d'un étrange et mystérieux accident. Leur avion, piloté par John, un pilote expérimenté et sérieux, a soudainement piqué du nez dans la mer. Ils se sont tous noyés, aucune autopsie n'a été pratiquée, même si un témoin a affirmé avoir entendu une explosion avant l'écrasement Ils ont tous été incinérés par la Marine et leurs cendres dispersées en mer, une façon très inhabituelle d'enterrer un catholique irlandais comme John Jr. qui aurait dû être enterré avec son père18. Selon John Podhoretz, le rédacteur juif de la revue juive Commentary, note Laurent Guyénot, JFK Jr. est mort en représailles de ce que son grand-père a fait aux juifs, «lorsque vous étiez ambassadeur des États-Unis en Angleterre, écrit Podhoretz, en disant toutes ces choses gentilles sur Hitler, en faisant tout ce que vous pouviez pour empêcher l'émigration juive de l'Allemagne nazie. Des milliers de juifs sont morts à cause de vous».19

Le 11 septembre et la «guerre contre la terreur»

Où et quand : Les attentats du 11 septembre 2001 (communément appelés «attentat des tours jumelles» et «9/11» en anglais) sont quatre attentats exécutés avec des avions lancés sur les tours jumelles du World Trade Center de Manhattan à New York, le Pentagone (quartier général de la défense) à Arlington, Virginie et à Shanksville en Pennsylvanie (cet avion s'est écrasé dans un champ). Ils ont fait près de 3000 morts en moins de deux heures.

Qui : le Mossad israélien, sous les ordres du parti d'extrême droite, le Likoud, dirigé par Benjamin Netanyahou et Ehud Barak, les globosionistes juifs et leurs vassaux non juifs dans les rangs supérieurs de l'appareil de sécurité nationale et de renseignement américain, la plupart juifs, comme Paul Wolfowitz, William Kristol, Richard Perle, Robert Kagan, Lewis Libby, Elliott Abrahams; leurs vassaux non juifs comme George Bush, Dick Cheney, Donald Rumsfeld, John Bolton, Lindsey Graham, John McCain, Barack Obama, Hilary Clinton, etc.20

Pourquoi : Selon le journaliste Christopher Bollyn :

Les preuves indiquent que le 11 septembre était une opération militaire sous faux drapeau extrêmement sophistiquée, une atrocité terroriste conçue pour infliger un choc et une stupeur au public afin d'instiller la peur et la rage dans leurs cœurs. L'objectif des attaques terroristes était de contraindre l'opinion publique américaine à soutenir un programme de guerre à durée indéterminée connu sous le nom de «guerre mondiale contre la terreur» ... Les cerveaux terroristes à l'origine de la guerre contre la terreur savaient qu'un acte terroriste massif et spectaculaire serait nécessaire pour amener les États-Unis à combattre leurs ennemis, et ils ont donc commencé, manifestement dans les années 1970, à planifier l'attaque qui a frappé les États-Unis le 11 septembre 2001.21

Cette guerre contre la terreur «et le plan d'assujettissement des peuples arabes est tout simplement une adaptation modifiée et modernisée du rêve sioniste historique du Grand Israël, ajusté pour répondre aux exigences des compagnies pétrolières internationales, qui sont, à leur tour, tout à fait prêtes à partager l'objectif de dominer les États producteurs de pétrole du monde arabe en partenariat avec l'État d'Israël», écrit Michael Collins Piper dans son livre «The High Priests of War» (Les grands prêtres de la guerre).22



Comme il a été dit dans le mensonge 7, le problème avec ce plan, aussi connu sous le nom de «plan Yidon», est que le glorieux royaume de David et Salomon, la fameuse terre promise s'étendant de l'Euphrate au Nil (1R 5:1), que les terroristes sionistes ont voulu recréer avec le 11 septembre et la guerre contre la terreur qui s'en est suivie, est une fabrication totale.23,24

Comment : L'État profond américain avait planifié des attaques sous faux drapeaux à une échelle limitée (faux attentats aériens contre le Pentagone et à Shanksville) dans le but de justifier une invasion de l'Afghanistan, mais leur plan a été repris par des agents infiltrés du Mossad qui, en suivant leur «gabarit de la terreur», tel que défini ci-dessus, avaient un objectif beaucoup plus ambitieux : la guerre contre la terreur et la destruction du Moyen-Orient.25

Il existe différentes théories pour expliquer comment les tours ont été détruites, mais celle-ci est la plus plausible : les avions (drones) ont été piratés par télécommande puis redirigés vers les tours à l'aide d'un dispositif de guidage situé dans chaque bâtiment, exactement à l'endroit où les avions se sont écrasés. Selon l'essayiste et éditeur suisse René-Louis Berclaz, «Cette technologie a été développée dans les années 1970 en vue de reprendre le contrôle d'avions de ligne qui auraient été détournés. Ce système de contrôle, entièrement cybernétisé, est exempt de toute intervention du pilote»26. Les tours se sont ensuite effondrées par démolition contrôlée. Les agents du Mossad ont fait exploser les bombes qu'ils avaient placées sur les poutres de soutien des bâtiments lorsque les avions se sont écrasés sur les tours.27,28

Les terroristes islamistes n'y sont pour rien. Oussama ben Laden, El Qaïda, ou tout autre groupe terroriste d'ailleurs, n'ont pas été impliqués dans le 11 septembre. Ils ont été militarisés dans le cadre d'une opération de propagande orchestrée par la CIA et les médias contrôlés par les globo-sionistes afin de justifier l'invasion américaine de l'Afghanistan, la guerre contre l'Irak et d'autres pays arabes autour d'Israël tels que la Syrie, le Liban, la Somalie, le Soudan, le Yémen et la Libye. Saddam Hussein n'avait pas d'armes de destruction massive, Bachar al-Assad n'a jamais gazé son propre peuple, Khadafi ne bombardait pas son peuple, lorsque leurs pays ont été attaqués prétendument pour défendre les innocents et leur offrir les merveilles de la démocratie. En ce qui concerne l'Iran, ce pays n'a jamais eu l'intention de fabriquer une bombe atomique. Les Iraniens essaient simplement de développer leur industrie de l'énergie atomique à des fins domestiques.

Conséquences : Bien que les globo-sionistes et leurs vassaux non juifs aient pu détruire l'Irak et la Libye, et déstabiliser la Syrie, leur ennemi juré, l'Iran, est hors d'atteinte et se renforce chaque jour avec la naissance d'un monde multipolaire et son alliance avec la Chine, la Russie, et maintenant, l'Arabie saoudite. L'Afghanistan et les talibans sont également remis sur les rails et la Syrie, avec l'aide de son allié russe, est sur le point de reprendre le contrôle de l'ensemble de son territoire.

Personne, cependant, n'oubliera jamais la misère et la douleur infligées aux peuples du Moyen-Orient à la suite de ce nouveau «Pearl Harbor» qui leur a été imposé par la ruse, tout comme le premier Pearl Harbor qui a donné à Roosevelt l'excuse dont il avait besoin pour s'engager dans la guerre contre l'Allemagne. Trois mille personnes sont mortes dans les tours en tant que telles, mais des millions d'autres sont mortes dans la guerre contre la terreur, des millions ont été déplacées et forcées de fuir leurs pays appauvris par la destruction de leurs industries et de leurs infrastructures ainsi que les sanctions qui leur furent imposées, et qui sont encore en vigueur aujourd'hui. Nombre d'entre eux croupissent encore dans de sordides camps de réfugiés. Des centaines de milliers d'enfants sont morts de faim et d'infections à cause des sanctions.

Personne, cependant, n'oubliera jamais l'interview de la journaliste Leslie Stall avec la secrétaire d'État d'Israël à Washington, l'exécrable Madeleine Albright, lorsqu'elle a affirmé que la mort de 500 000 enfants irakiens en valait la peine. Pour qui cela en valait-il la peine, madame Albright ? Cette guerre contre la terreur a coûté aux contribuables américains des milliers de milliards de dollars et des milliers de soldats courageux qui sont morts en combattant pour un pays étranger, alors que l'entité sioniste n'a pas fourni un seul soldat pour cette guerre sans fin, pas un seul avion, pas un seul shekel, tout en recevant des montants toujours plus importants d'aide et de soutien de la part de leur golem29 américain et de ses vassaux européens.30

Comment cela est-il possible ? Il n'y a qu'une seule réponse : ces crimes n'ont été possibles que parce que le gouvernement américain et ses vassaux occidentaux sont entièrement entre les mains des auteurs de ces crimes et du réseau étroitement liés aux familles ploutocratique juives qui dominent les systèmes bancaires et financiers ainsi que le complexe militaro-industriel médiatique occidental.31,32,33

Le 7 octobre 2023

QUI : le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, le parti Likoud et 85% à 90% de la population juive d'Israël et de la diaspora.

POURQUOI : mise à part Yitzhak Rabin (1922-1995) qui fut assassiné parce qu'il était pour la solution des deux États où la région est divisée entre un pays palestinien et un pays israélien, tous les Premiers ministres israéliens comme Benjamin Netanyahou se sont toujours opposé à la solution des deux États. La caste juive veut en effet toute la terre de Palestine, y compris la Cisjordanie et Jérusalem. Une fois cet objectif atteint, la caste juive a l'intention de voler autant de terres qu'elle le peut aux pays voisins, à savoir la Syrie, le Liban, la Jordanie, l'Arabie saoudite et l'Égypte.
Cela se fait sous le masque de la religion, mais ne vous y trompez pas ; bien que la religion ait un rôle dans ce scénario, il s'agit aussi d'une entreprise commerciale et raciale, Israël étant idéalement situé pour le commerce à la jonction de trois continents, en plein milieu des sources d'énergie les plus riches du monde. Idéalement, les juifs veulent faire de ce morceau de terre le centre spirituel et commercial de la caste juive, avec Jérusalem pour capitale. C'était l'intention des Rothschild dès le début.

COMMENT : le plan consistait à se débarrasser des Palestiniens en les exterminant ou en les chassant de leur terre par des bombardements, le manque de nourriture, d'eau, de fournitures médicales et de soins de santé. Les responsables sionistes les plus fanatiques ont même appelé à la destruction totale de Gaza avec des bombes atomiques, car, selon eux, il n'y a pas d'innocents à Gaza, ce sont tous des terroristes, femmes et enfants y compris.

Il s'agissait d'un plan en quatre étapes qui comprenait premièrement la destruction du nord de Gaza afin de déplacer sa population dans la partie sud de Gaza ; deuxièmement, les pousser vers des tentes dans le Sinaï ; troisièmement, organiser leur passage «humanitaire» vers les pays occidentaux et tout autre pays disposé à les accueillir et quatrièmement, empêcher leur retour à Gaza.

Pour y parvenir sans déclencher des réactions antisémites massives, les juifs ont essayé en vain de faire croire qu'ils étaient les victimes innocentes d'une cruelle attaque terroriste du Hamas, un groupe militant créé et financé par Israël dans le but de diviser et d'affaiblir les factions palestiniennes en lutte contre les abus sionistes. Autrement dit, Israël a lui-même financé le terrorisme contre lui-même.34

Il s'agit manifestement d'une opération sous fausse bannière. Les juifs ont en effet laissé le Hamas les attaquer afin de pouvoir justifier le génocide des Palestiniens qu'ils ont planifié depuis longtemps. De toute évidence, il ne s'agit pas d'une guerre contre le Hamas, mais d'une guerre contre les Palestiniens. Tsahal, qui fut prévenu de cette attaque longtemps en avance, a eu tout le temps du monde de l'atténuer, voire de l'empêcher35. Voici les faits :

En 2022, un an avant l'attaque, les plans de bataille du Hamas ont été obtenus par des fonctionnaires israéliens, a rapporté le New York Times. Le document intitulé «Mur de Jéricho» a été suivi à la lettre.36

Trois mois avant les attaques, une analyste de l'unité 8200 a averti que le Hamas menait un entraînement qui reflétait à la lettre le plan de bataille ci-dessus. Mais son supérieur n'en a pas tenu compte et l'a même menacée d'un procès militaire si elle continuait à en parler. Ces fonctionnaires israéliens ont reçu des renseignements sur l'achat par le Hamas de technologies sophistiquées telles que des drones et des brouilleurs de GPS. Le mémo rédigé par le ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman, indique également que le Hamas a porté sa force de combat à 27 000 hommes. Israël savait également que le Hamas fabriquait des roquettes et en possédait environ 15 000. Avant les attentats, des responsables israéliens avaient vu des vidéos montrant le Hamas en train de s'entraîner au vol en parapente, à la prise d'otages et même à la surveillance par drone de l'armée israélienne.37

Dix jours avant l'attaque, les services de renseignements égyptiens avaient prévenu Israël que le Hamas allait l'attaquer, mais ces avertissements ont été ignorés. Abbas Kamel, ministre égyptien du Renseignement, a déclaré avoir appelé Netanyahou pour l'informer, mais il a été choqué de constater que Netanyahou était indifférent à la nouvelle et lui a dit qu'il était «submergé par les problèmes en Cisjordanie».38

Neuf jours avant l'attaque, 27 Israéliens vivant à proximité de Gaza ont créé un groupe WhatsApp appelé Field Security Operational Monitor, qui leur a permis d'espionner les communications sans fil du Hamas. Ils ont ainsi pu savoir que le Hamas préparait l'attaque, et l'information a été transmise aux FDI, mais, comme on pouvait s'y attendre, leurs craintes ont également été écartées. Au lieu de renforcer la sécurité, les FDI ont empêché les citoyens israéliens d'écouter les communications du Hamas.39

Dès 5 heures du matin, le jour de l'attaque, les FDI ont été alertées d'une «interférence significative avec la barrière frontalière». Conformément au protocole, la patrouille se dirigeait vers la clôture, mais un commandant l'a arrêtée. De plus, les Israéliens vivant près de la frontière avaient été désarmés par leur gouvernement, ce qui en faisait des proies faciles pour le Hamas.40

Délit d'initiés

Enfin, selon une étude de la New York University School of Law et la Columbia Law School, il y a eu un pic important de ventes à découvert sur les Fonds négociés en bourse des sociétés israéliennes quelques jours avant l'attaque du 7 octobre. Les ventes à découvert effectuées ce jour-là ont largement dépassé celles qui ont eu lieu pendant de nombreuses autres périodes de crise, notamment la récession qui a suivi la crise financière, la guerre Israël-Gaza de 2014 et la pandémie COVID-19. Les résultats de cette étude suggèrent que les courtiers informés des attaques à venir ont profité de ces événements tragiques pour s'enrichir. Les dates de négociation montrent non seulement que l'on connaissait à l'avance la date de l'attaque, mais aussi que l'on savait quelles entreprises en souffriraient.41

Pour des raisons de propagande, les juifs ont exagéré ce qui s'est réellement passé en ce jour fatidique. Aucune des atrocités rapportées massivement par les médias occidentaux n'étaient réelles. Il n'y a pas eu de viols massifs, de décapitation de bébés, de bébés cuits au micro-ondes, d'éventrations de femmes enceintes, de tortures, etc. Le nombre réel de victimes juives était moitié moins grand que celui annoncé au début, soit 1200. La moitié des victimes juives furent tuées par le Tsahal, soit accidentellement dans des tirs croisés, soit volontairement afin d'empêcher la prise en otage non seulement de soldats, mais aussi de civils, selon les principes de la doctrine dite «Hannibal»42 (directive visant à utiliser la force pour empêcher l'enlèvement de soldats, voire de civils comme ce fut le cas le 7 octobre, et ce, même s'ils doivent être sacrifiés).

Conséquences : Si les juifs ont réussi à exterminer, mutiler et déplacer plusieurs dizaines de milliers de Palestiniens, principalement des enfants, des femmes et des personnes âgées, c'est une catastrophe pour Israël et la caste juive en général. L'antisémitisme a atteint des proportions universelles. Les juifs sont désormais perçus pour ce qu'ils sont vraiment : immoraux, impitoyables, sadiques et particulièrement cruels et barbares. Jamais dans l'histoire de l'humanité une caste n'est passée aussi rapidement du statut de victime exceptionnelle à celui de tueur exceptionnel. En clair, les FDI sont en train de perdre la guerre, non seulement contre le Hamas, mais contre l'opinion publique. Avec l'avènement des médias sociaux, il est désormais impossible de cacher la vérité. L'ampleur de la souffrance des civils de même que les images et les vidéos en provenance de Gaza sont dévastatrices pour l'image des juifs en général. L'effondrement de cette entité est-il imminent ? Il y a bien des raisons de le penser surtout si ce conflit embrase toute la région.

Résumé

Ce conflit dure depuis le milieu du XIXe siècle lorsque les Rothschild ont commencé à acheter des terres en Palestine. C'est parti tranquillement, insidieusement, comme un cancer, avant d'éclater en 1947 en guerre d'attrition et en bain de sang lorsque l'ONU a voté la partition de la Palestine43. Ont suivi, soixante-quinze ans de colonisation, de grignotage de terre, d'accords jamais respectés et de résolutions impuissantes de l'ONU. Soixante-quinze ans de maisons rasés au bulldozer, d'oliviers coupés à la tronçonneuse et de cimetières éventrés. Soixante-quinze ans de bombes, de massacres, de tortures, de viols, de yeux arrachés, d'os broyés, de tirs dans le dos et de saloperies sans nom commises par le peuple prétendument le plus pacifique et moral du monde, lui-même prétendument victime de persécution, d'antisémitisme et de génocide inédits. Soixante-quinze ans, donc, d'attentats sanglants ainsi qu'au moins quatre attentats sous fausses bannières, JFK, Oklahoma, le 11 septembre et le 7 octobre, ayant contribué à faire avancer le projet de domination mondiale de la caste juive.

Dans cette optique, il n'est pas absurde de penser que tous les attentats (Charlie Hebdo, Bataclan, Nice, Merah, Boston, etc.) ayant servi à diaboliser les musulmans afin d'enflammer les chrétiens blancs contre eux étaient des attentats sous fausses bannière.

En définitive, la caste juive n'a jamais eu l'intention de faire de compromis ou de laisser tomber ses ambitions hégémoniques sur toute la région44. Elle a joué au chat et à la souris avec les Palestiniens naïfs et bonnes enfants qui étaient prêts, jusqu'à l'élection du Hamas en 2006, à partager leur terre avec les occupants, mais jamais les tyrans sadiques du peuple palestinien n'ont perdu de vue leur objectif ultime, la conquête de leur pays de cocagne, le centre de toutes leurs ambitions hégémoniques depuis au moins 2000 ans, et au bout du compte, la conquête du monde.45


  • Michael Collins Piper, «False Flags. Template for Terror» (Faux drapeaux. Un gabarit pour la terreur), American Free Press, 2013, p.17.
  • Ibid., p.19.
  • Laurent Guyénot, «The Unspoken Kennedy Truth», 2021, p.67.
  • «Selon la loi juive, si la mère d'une personne est juive, cette personne est automatiquement juive, quelle que soit l'ethnie ou la religion du père. Or, les deux arrière-grands-parents maternels de Lyndon Johnson étaient juifs. Dans l'arbre généalogique de Lyndon Johnson, la lignée des mères juives remonte à trois générations. Il ne fait guère de doute qu'il était juif». Extrait de Moris Smith, «Our First Jewish President Lyndon Johnson ? Internet Archive», Wayback machine, 11 avril 2013.
  • Laurent Guyénot, ouvrage cité, p.35.
  • Grant F. Smith, America's Defense line, Inst for Research, 2008. Si JFK avait réussi, cela aurait été la fin de l'État d'Israël.
  • Ibid., p.26.
  • Michael C. Piper, «Final Judgement. The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy» (Jugement final. Le lien manquant dans le complot pour assassiner JFK), America First Books, 2005.
  • Michael Collins Piper, «False Flags» (Faux drapeaux), ouvrage cité, p.10.
  • Seymour M. Hersh, «The Sampson Option. Israel's Nuclear Arsenal and American Foreign Policy» (La solution Samson. L'arsenal nucléaire israélien et la politique étrangère américaine), Random House, 1991.
  • Laurent Guyénot, ouvrage cité, p.29.
  • Kim Iverson, Documentaire sur : Israel's Second 9/11, How Zionism Conquered JFK, America, and Palestine, Rumble.
  • David W. Mantik M.D., Ph.D and Jerome R. Corsi Ph.D. with an introduction by Douglas P. Horne, «The Assassination of President John F. Kennedy : The Final Analysis : Forensic Analysis of the JFK Autopsy X-Rays Proves Two Headshots from the Right Front and One from the Rear, Post Hill Press, March 8, 2024.
  • Ibid.
  • Cité à la page 137 du livre de Laurent Guyénot, ouvrage cité.
  • Ibid.
  • Ibid., chapitre 1.
  • Ibid., pp.105-109.
  • Laurent Guyénot, «JFK Jr. and the Jewish Curse on the Kennedys», The Unz Review, July 12, 2024.
  • Michael C. Piper, «Final Judgement. The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy», America First Books, 2005.
  • Christopher Bollyn, «The War on Terror. The Plot to Rule the Middle East (La guerre contre la terreur. Le complot pour diriger le Moyen-Orient), p.39.
  • Michael Collins Piper, «The High Priests of War» (Les grands prêtres de la guerre), American Free Press, 2004, p.19.
  • Israel Finkelstein et Neil Asher Silberman, «David and Solomon : In Search of the Bible's Sacred Kings and the Roots of the Western Tradition» (David et Salomon : à la recherche des rois sacrés de la Bible et des racines de la tradition occidentale), Free Press, 2007.
  • Laurent Guyénot, «Notre Dieu est aussi votre Dieu, mais il nous a choisis. Essais sur le pouvoir juif», 2020, p.21.
  • Ibid.
  • René-Louis Berclaz, «Écrits de combat 1999-2005», éditions de Cassandre, Sierre, Suisse, 2006, p.64.
  • «Architects and Engineers for 9/11 Truth» (Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre).
  • cigpapers, «911 Twin Towers Terrorist Attack : 20 Amazing Facts» Attaque terroriste sur les tours jumelles : 20 faits étonnants, 22 décembre 2013.
  • On se rappellera selon Wikipédia qu'un «golem (hébreu : גולם, «embryon», «informe» ou «inachevé») est, dans la mystique puis la mythologie juive, un être artificiel, généralement humanoïde, fait d'argile, incapable de paroles et dépourvu de libre arbitre, façonné afin d'assister ou défendre son créateur».
  • John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt, «Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine», Éditions La Découverte, 2007.
  • Michael C. Piper, «The New Babylon : Those Who Reign Supreme, a Panoramic Overview of the Historical, Religious, and Economic Origins of the New World Order» (La nouvelle Babylon. Ceux qui règnent en maîtres, un panorama des origines historiques, religieuses et économiques du Nouvel Ordre Mondial), American free Press, 2009.
  • Larry Romanoff, «The Richest Man in the World», The Unz Review, November 21, 2022.
  • Larry Romanoff, «The City of London», The Unz Review, November 25, 2033.
  • «Israeli military knew Hamas was planning attack», RT, 17 Jun, 2024.
  • «Was the October 7 Attack on Israel a False Flag ?» Counter Signal, Jan 10, 2024.
  • Ibid.
  • Ibid.
  • Ibid.
  • Ibid.
  • Ibid.
  • Ibid.
  • Lorsque les Romains ont assiégé la ville de Carthage, les habitants ont égorgé leurs propres enfants pour ne pas qu'ils tombent entre les mains des Romains.
  • Alison Weir, «Against Our Better Judgment: The Hidden History of How the U.S. Was Used to Create Israel», CreateSpace, 2014.
  • Youssef Hindi, «Comprendre le conflit israélo-palestinien», KontreKulture, 2024.
  • Michael C. Piper, ouvrage cité.