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C’est le côté législatif donc parlementaire de la Constitution

Démarré par JacquesL, 19 Août 2024, 01:40:51 PM

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JacquesL

C'est le côté législatif donc parlementaire de la Constitution


par Gilbert Guingant

«Législatives» les élections ! Vos oreilles viennent ainsi de se déboucher. Ceux qui légifèrent, font les lois, sont bien les députés et pas les gouvernementaux... Ces gouvernementaux qui veulent supprimer illégalement tout pouvoir des députés. Et qui, de ce fait, se révèlent des ultra-antirépublicains ? Exact, des extrémistes totalement antidémocrates. Ne viennent-ils pas de supprimer toutes les élections futures rien qu'en se monopolisant et en mentant absurdement leurs flagrants résultats, en les triturant si indignement et en leur faisant dire exactement le contraire des évidences. Les Français ne veulent pas de marcroriens ! Et il est martelé que ou oui ils auraient gagné les élections. Nier les réalités à ce point aboutit à ces absurdités de mots qui ne veulent plus rien dire. Sinon qu'ils ne servent, et à fond, que le camp de l'abstention : puisque voter ne sert à rien tant que le souillent, le dénaturent, le saccagent les ennemis (encore au pouvoir) de la réPublique Publique. Soit ces trop flagrants antagonistes des institutions dont ils se prétendent frauduleusement défenseurs : empêcher toute élection future et ôter illégalement tout pouvoir aux députés n'est-ce pas le comble de se prouver trop antirépublicains ? Bien trop !

C'est avec ce contexte restitué que se trouve très inversée la cohabitation, vu de l'unique côté présidentiel. Ce qui parait rendre illisible la lecture de ces élections pourtant dites législatives. Le dur venant des quiproquos et équivoques provoquées volontairement. La cohabitation signifie le camp présidentiel a perdu, le législatif prend légalement sa place. Pour le législatif, en effet, le président n'a pas «la liberté de nommer qui il veut». La cohabitation, suite à des élections (perdues de son côté) aura désigné la coalition du plus grand nombre de députés. Desquels le Premier ministre doit absolument provenir. L'exécutif n'a pas à intervenir en cette étape : c'est le côté législatif donc parlementaire de la Constitution. Faire semblant de croire que le président «peut nommer» le Premier ministre comme s'il choisissait entièrement qui il veut en «ignorant» les résultats concrets des élections c'est de... l'antirépublicanisme primaire. De la fumeuse idéologie que le juridique ne permet pas du tout.

Nous allons éclaircir, pas à pas tout ceci !

1. S'effondre la fiction de la posture Défenseur de la République contre les non-républicains de gauche...

Puisque c'est même tout l'inverse qui se passe. Deux actes extrémistes comme de rendre impossibles toutes élections futures et (une fois de plus) empêcher illégalement de fonctionner l'Assemblée nationale (la vitrine de la vraie représentativité) – décrivent très clairement des mentalités extrêmes de destructeurs de la vraie République. Et de ses institutions ainsi démantelées : élections profanées à 100%. Ses résultats se montrent piétinées par des barbares mêmes. Et les députés se verraient traités comme des parias – ce qui nous dessinent clairement les limites à ne pas franchir. La Constitution se lève même contre ces profanateurs.

D'ailleurs, deux articles de la Constitution rappellent fermement sa partie législative (les députés) et non mono-présidentielle (ce qui serait trahir la Constitution et se prouver, alors, ultra antirépublicains.)

L'article 89 : «La forme républicaine du gouvernement ne peut faire l'objet d'une révision». Ce que le macronisme tente maladroitement de faire dans le dos d'élections légales qui, par 3 fois, les ont rejetés ces macronistes. Ils ont été battus, et le reconnaissent eux-mêmes. Alors que Empêcher désormais toutes élections et toutes fonctions de députés seraient bien une séditieuse révision. Ce qu'impliquerait de ne pas reconnaitre les concrets résultats 2024 de l'élection du Législatif ! Celui qui fait les lois.

L'article 34 : «La loi est votée par le Parlement» martèle la séparation des pouvoirs. L'exécutif ne peut violer le législatif... Ce que l'extrémisme (alors) présidentiel n'aurait pas arrêté de tenter faire ? Les violeurs permanents devraient, en conséquence, être arrêtés pour le bien public ? Le respect complet du Législatif reste un des piliers centraux de la République. Depuis 7 ans, nous aurions comme un peu-beaucoup perdu cette nette impression. N'y lisons-nous pas comme de efforts maintenus afin de bâillonner les députées ?! L'apothéose serait le ridicule simulacre de la si fausse loi contre les retraites ? Avant ce qui ressemblerait au pataugement lourdingue des après dernières... législatives. Où le message serait trop clair «les députés n'ont PLUS LE DROIT de parler». Espérons que nous avons mal compris. Ils seraient même, les députés, presque «convoqués (sic)» comme si nous étions à l'armée. Déjà ?

Tout comme avec les «trop ministres» pas assez «démissionnaires» et jamais députés – votant en faveur de la présidence de l'A.N. Ce qui annule bien les 17 votes pour la présidence de l'Assemblé nationale s'il s'avère que ces ministres n'auraient pas été assez «démissionnaires»... Ici, le faussaire alibi serait de prétendre défendre la République seuls ... contre les dangereux (sic) antirépublicains (resic) du NFP. Ce qui s'avère tellement trop indéfendable.

Surtout vu l'ampleur de conséquences induites ! Telles ? Saccager toute possibilité même d'élection future – dont nul n'aurait plus jamais confiance dans les résultats bien concrets. Et de mettre comme aux arrêts les députés «qui se prouveraient soi-disant non républicains juste par des mots et des préjugés non recevables». Puisque ne pouvant montrer aucun contenu juridique. N'est-ce pas tellement exagéré que tout dire au conditionnel hypothétique a du mal à finir sa phrase ? Il n'y aurait, alors, plus rien derrière quoi se cacher. Et les macronistes seraient si nus dans leurs clairs mais hypothétiques (hypothétiques puisque non concrétisés) antirépublicanismes... Vouloir les suivre sur ce terrain d'illégalités risquerait de vous entrainer dans leur proche chute.

Sinon, tout parait prêt pour la destitution réussie, non.

Avec la fin des JO 2024 la trêve politique s'achève et la recherche d'un Premier ministre reprend pour Emmanuel Macron

«Cinq semaines après l'échec de son camp au second tour des élections législatives, le chef de l'État n'a toujours pas nommé de successeur à Gabriel Attal (à qui serait la faute ? bingo, aux électeurs réfractaires ! Comme d'habitude ! Alors que ces électeurs avaient «déjà» «nommé» par leurs votes ce successeur qui ne peut pas être «du choix arbitraire» et «hors votes» évoqués, ici !)). Il devrait entreprendre des consultations (sic) la semaine du 19 août.

Avec la fin de ces JO, qui ont enthousiasmé les Français et le monde entier, c'est la fin d'une parenthèse enchantée... (d'où vient ce fumeux délire supposé poétique d'un... anti-analyste au sommet ?), et donc, mécaniquement (sic), de la «trêve olympique» décrétée par le président de la République, le 23 juillet»...

Comme si une trêve-rêve «se décrétait unilatéralement» ? Fumiste propos, Il faut être au moins deux pour que vous trêvassiez. Et que ce pseudo journaliste et ce non politique viendraient donc de quitter – devant nous – tout raisonnement objectif et rationnel.

Et donc ?

2. Les médias d'argent pris au piège d'être des séditieux ?

En effet, nous les voyons sans cesse pousser à la roue des illégalités. À croire que ce seraient eux qui seraient derrière...

Supprimer désormais toutes élections et toutes fonctions des députés est bien une séditieuse et grave attaque contre la République ?

La suspicion contre leurs propos exaltés, rêveurs et déraisonnables en tout cas... très irresponsables contraint à poser de puissantes interdictions contre eux...Les médias d'argent, vraiment pris au piège d'être des déclarés séditieux ... perdraient tout droit à la fonction sacrée. Oui sacrée d'informer.

Les médias indignes seraient donc nationalisés (acte performatif) ce jour...

Macron doit-il choisir un Premier ministre du NFP, les Français savent (?) ce qu'ils ne veulent pas exclusif

Double anomalie très intense... «Plutôt Lucie Castets ? Un hypothétique Xavier Bertrand ? Entre Brégançon et Paris pour les Jeux olympiques, le président de la République Emmanuel Macron est en pleine réflexion sur le choix de «son» (sic) futur Premier ministre alors que l'échéance qu'il a évoquée à partir de la mi-août se rapproche. Et à cette équation délicate les Français peuvent (l') (resic) aider en procédant par élimination». Tout est faux dans ces... assertions forcenées. En 1 paragraphe déjà 3 TROUBLES graves de la santé mentales. Dont.

1) les Français peuvent (l') (resic) aider»... Faux et archi faux : ils ont voté TROIS FOIS en sens inverse... faut faire exprès de ne pas comprendre. Oui ils l'ont dit lors de élections : traduit en «nous ne voulons surtout pas du macronisme» !

«les Français peuvent (l') (resic) aider» Et comment ?... patronage et boys scouts, nunuches et infantilisés, des gagas mon gars !Personne n'a confiance dans les ... sondages (financés par QUI ?). Personne. Aussi ces pseudos sondages «ne représentent pas le vrai choix des Français». Sinon à dans 3 mois (4 pour faire passer le mois d'août) afin de procéder à un référendum à une seule question «voulez-vous que le macronisme puisse poursuivre ?»

2) «son» futur Premier ministre Trop grave erreur ... c'est la/le Premier ministre du Pays... résultant du vote de TOUS...

3) en aucun cas «le jouet» de quelques personnes qui blasphémeraient sur les vraies élections ! Depuis quand le soi-disant sommet n'aurait plus arrêté de... délirer ? De s'enivrer grave de ses propres absurdités : ils ne représentent plus qu'eux-mêmes en société... représentative. La Constitution dit la majorité des votes et ne s'égare pas dans un choix qui ne s'appuie sur AUCUN chiffre concret. Et ceci se passerait à la sauvette tout en crachant sur toutes les traditions.

Regardons l'évolution comme brumeuse entre le comportement normal de 7 juillet et le démesuré désastre actuel...

Emmanuel Macron prêt à nommer une insoumise à Matignon (? publicité ?)

Macron prêt à nommer une insoumise à Matignon ? Ce nom proposé par LFI

«Parmi les personnalités politiques en lice, on retrouve donc Clémence Guetté, la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot ou encore le coordinateur de l'équipe opérationnelle de La France Insoumise, Manuel Bompard. De son côté, Jean-Luc Mélenchon, triple candidat à la présidentielle, semble avoir été mis de côté. L'homme politique serait jugé trop clivant par sa famille politique».

Rappelons que «gala» (où parait ce texte) vient de l'hébreu pour nommer «l'apocalypse» et lui donne le sens de... »découvrir» . Un Gala ? Étonnant, non ?

3. La cohabitation est bien incluse dans l'article 8

Pendant ce temps, «en période de cohabitation» le président doit nommer dans la coalition qui a le plus de députés, et qui, à défaut d'une autre a obtenu la majorité «relative». Contrairement à ce mentent les médias d'argent il n'y pas tant que cela d'ambiguïtés dans la Constitution. La preuve ? Lisons ensemble :

vie-publique.fr/qui-désigne-le-premier-ministre
  • Le Premier ministre est nommé par le président de la République.
  • Il s'agit d'un pouvoir propre du président.
  • Lors des cohabitations, le président de la République a nommé un Premier ministre issu de la majorité... parlementaire»... et pas présidentielle ! Comme des médias séditieux (et si menteurs) veulent le faire croire !!!

vie-publique.fr/INFS-2201-PWDN-05-Institutions-Francaises-Premier-Ministre.jpg

... le président doit «tenir compte» de la majorité nationale et son Assemblée, dit Vie Publique. Pas que des parisianistes et leurs si mauvais médias centralisés. Le centralisme abusif décrit le dangereux extrême centre... Cet extrême centre qui, s'il n'est que CENTRAL, central et centralisme, devient le pire danger pour le pays entier...

Donc, sauf pour les soutiens tordus du macronisme, la cohabitation n'est pas... exclue de l'article 8. Mais la cohabitation «parlementaire» est bien très inclue. Et le Premier ministre «doit bien» venir de ses rangs parlementaires !

Comprendre de travers ne reste jamais longtemps en travers !

Nous venons même de traverser !!!

source : Imagiter

https://reseauinternational.net/cest-le-cote-legislatif-donc-parlementaire-de-la-constitution/