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Macron : Opération exfiltration

Démarré par JacquesL, 24 Juin 2024, 09:23:14 AM

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JacquesL

Macron : Opération exfiltration



par Cincinnation

Sous l'apparence d'un «piège», par la dissolution, Macron cherche surtout le parachute pour s'éjecter avant le crash. Mais trouvera-t-il à temps le 1er ministre bouc-émissaire qui le sauverait ? Un vrai film à suspens !

Autre question qui pimente le suspens : Ses commanditaires sont-ils toujours à son chevet, ou bien Macron est-il désormais seul à la manœuvre ?

À mesure de la rédaction de cet article (les choses vont si vite), il apparaît qu'aucune des deux «oppositions» (RN ou NFP) au camp de l'extrême centre n'obtienne une majorité absolue. Ce qui obère l'éventualité de l'avènement d'un gouvernement dit «de gauche» ou dit «de droite».

Ce qui désamorce, par conséquent, le piège que Macron avait fomenté : refiler la patate chaude à un 1er ministre bouc-émissaire.

Pour autant, les rumeurs d'activation de l'Art. 16 (les pleins pouvoirs) laissent à penser qu'il ne s'est pas encore résolu à voir son plan totalement tomber à l'eau.
Même si l'option «piège» ne se réalise pas, il n'en demeure pas moins que les charges explosives ont été posées et menacent malgré tout de se déclencher.

Attentat sur les JO, cohabitation et guérilla politique, budget 2025 irréalisable, raid des marchés financiers menant à la faillite du pays et sa mise sous tutelle par la BCE, amendes et bâtons dans les roues de l'UE, entraves pour cause de guerre, chaos social... À chaque déflagration son petit scénario catastrophe. Du grand «tare».

De la duplicité présidentielle

«Je prépare ça (la dissolution) depuis des semaines, et je suis ravi. Je leur ai balancé ma grenade dégoupillée dans les jambes. Maintenant on va voir comment ils s'en sortent...». (Macron, ce 10 juin à Oradour-sur-Glane, rapporté dans un article du Monde)

L'aveu par le «président» de sa propre duplicité confirme son arrogance congénitale envers les Français et matérialise la rupture du «contrat» constitutionnel qu'il est censé avoir souscrit.

Rappelons l'Art. 5 de la Constitution :

«Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État».

Cet aveu devrait l'exposer à une procédure devant la CJR (Cour de Justice de la République) pour atteinte à la Nation et non-respect de la Constitution et devrait, a minima, «obliger» les élus à enclencher l'Art. 68 afférent à la destitution du président.



Même si une majorité de citoyens en est déjà convaincue, le divorce du «président» d'avec sa fonction est désormais consommé en pleine lumière. Après les «gens qui ne sont rien», les «illettrés», les «gaulois réfractaires», les «alcooliques», les «j'ai très envie de les emmerder», les «traverser la rue», les «costards», etc., son mépris qui, jusque-là, se cantonnait à n'insulter que partie par partie les français, fait désormais tache sur le corps entier de la Nation. L'indignité est avouée et incontestable.

À cela s'ajoute la désinvolture avec laquelle le personnage perpètre ses forfaits. En toute circonstance, il «assume» (c'est son mot chaque fois qu'il est pris en défaut) sans vergogne ou, comme lors de l'affaire des Uber Files, il répond avec raffinement : «ça m'en touche une, sans bouger l'autre».


Le Piège et le terrain miné

Macron, quoi qu'il en dise, n'envisage pas de remporter ces législatives (s'il pense le contraire, cela signifierait qu'en plus d'être arrogant, il a perdu le sens des réalités – ce qui n'est pas à exclure).

Cet échec calculé (s'il est mené à bien) l'amènera donc à nommer un nouveau 1er ministre. Lequel nommera un nouveau gouvernement.

Ce nouveau 1er ministre, en charge désormais des «affaires», devra avancer sur un terrain miné de toutes parts.


Les JO

Le nouveau 1er ministre devra prendre en charge la gestion des JO de Paris : événementiel, cérémonial, aspect budgétaire et surtout aspect sécuritaire.

Sans être grand clerc, il est probable que les JO seront un fiasco financier (seuls les JO d'Atlanta et ceux de Los Angeles ont été rentables) aggravé par de nombreuses défaillances logistiques déjà commentées dans la presse.

Quant à la menace sécuritaire (dont on nous rebat les oreilles), elle sera amplifiée par l'accroissement du nombre de «camps» ayant intérêt à un attentat sous faux-drapeau. Si les Russes et les islamistes seront les coupables tout désignés, il est clair qu'un tel attentat démontrerait, de façon éclatante (avec mauvais jeu de mot), l'incompétence sanglante des nouveaux venus au pouvoir.

Mais, on est bien d'accord, tout cela n'est que de la politique fiction et n'est mentionné que pour l'exhaustivité des hypothèses.


Cohabitation et guérilla politique

Même doté d'une majorité absolue, un gouvernement ne peut sereinement exercer le pouvoir sans un minimum de fluidité dans ses relations avec les autres instances de l'édifice républicain.

Or tout gouvernement doit pouvoir composer avec le Sénat, le Conseil constitutionnel, le Conseil d'État, le corps de la magistrature et l'armée mexicaine des Hauts Fonctionnaires disséminée à travers le maillage complexe des agences gouvernementales, des préfectures, des collectivités locales (régions, départements, communes) et des entreprises nationales.

Aucun Pouvoir exécutif ne peut s'exercer sans un certain degré de collaboration, or aucune de ces strates ne lui sera acquise.

De plus, on peut faire confiance à Macron pour actionner toutes les ficelles et les chausse-trappes dont il a la maîtrise par la soumission, la corruption ou l'adhésion intéressée des opérateurs.

Au niveau politique, avec l'appui des médias, Macron pourra rendre cette cohabitation des plus détestables en laissant libre-cours à toute la perversion qu'on lui connaît : ne pas signer les ordonnances ou les décrets, inventer des états d'urgence, tirer parti d'une opportune pandémie, déclencher des guerres, miner les perspectives économiques par des communications alarmistes....


Le Projet de loi de finance

Juillet est le mois où un gouvernement rédige et consolide ses options budgétaires pour le vote du budget à l'automne. C'est l'exercice le plus ardu et le plus déterminant pour tout camp politique. Or, décider d'un budget au débotté dans l'état des finances laissées par Bruno Le Maire est une gageure digne du nettoyage des écuries d'Augias.

Au vu de l'état critique des finances françaises, aucun nouveau gouvernement ne sera en mesure d'équilibrer un quelconque budget... à moins de mentir comme l'a fait Nono, le «sauveur de l'économie française» lors du dernier exercice. En effet, à l'automne 2022, le déficit prévisionnel 2023 était estimé à 4,9% (la bagatelle de 122 Mrds d'€). Mais il s'est soldé, après réalisation, par un déficit de 5,5% (soit 15 Mrds d'€ supplémentaires).

Il est d'ailleurs rapporté que cette seule perspective de devoir présenter le prochain budget aurait été le principal motif qui aurait poussé Macron à dissoudre. En terme d'art équestre, on parlerait de refus d'obstacle.

Si on ajoute que, pour réaliser la ventilation et l'exécution d'un budget, il faut un certain niveau de collaboration et de bienveillance des fonctionnaires de Bercy, la tache devient très périlleuse pour un 1er ministre «politiquement moins correct». De plus, beaucoup de circuits de commande de l'économie ont été débranchés de Bercy pour être pilotés directement depuis le secrétariat général de l'Élysée, via Alexis Kohler. Ainsi l'Élysée, bien que privé d'un gouvernement à sa botte, sera en mesure d'actionner certains leviers.

Précisons qu'un Exécutif sans majorité absolue ne peut passer son Projet de Loi de Finance (PLF) qu'à coup de 49,3 et, dans les configurations qui se profilent, s'exposera inévitablement à la censure de son gouvernement. Ce qui nous amènera à une instabilité parlementaire dont la résolution conduira sans aucun doute à une valse des gouvernements avant que la question de la présidence ne finisse par se poser.


Raid de la finance

Fin mai, Standard & Poor's abaissait la note de la France, et début juin, Larry Fink, CIO de BlackRock, était à Paris et au G7. Le récent décrochage (mi-juin 2024) du CAC 40 est un signe avant-coureur de la fébrilité des marchés. À noter que même si Christine Lagarde (BCE) amorce une baisse des taux européens, les taux français ne suivent pas la même courbe. L'écart des taux de financement entre la France et l'Allemagne ne cesse de croître au profit de l'Allemagne, ce qui déstabilise la monnaie européenne.

La question est donc de savoir si BlackRock et consorts vont revendre leurs OAT (obligations à terme) françaises et continuer de financer l'État français en achetant de nouvelles obligations. Très rapidement la trésorerie France perdrait entre 200 et 400 Mrds (coupons à payer et tarissement des ressources). La France serait, de fait, déclarée en faillite et mise sous tutelle de... la BCE. Elle est pas belle la vie ?

Mais il serait dommage que le poulain de la haute finance, Macron, visse sous son règne les finances françaises subir un raid de la part de ses «amis» agents économiques. Malgré cette indulgence, les intérêts de ces derniers ne se conjugueront pas longtemps avec ceux, politiques, du Mozart sus-cité. Il y a des limites.

La solution ? Pour ménager la chèvre et le chou, le raid aura bien lieu (les marchés ne font jamais de concessions) mais ! sans que Macron soit aux manettes. Ainsi Macron doit être momentanément exfiltré avant que ça se gâte.

Malheur à celui ou celle qui héritera des fruits pourris du désastre !


L'UE

Bien évidemment chacun de ces scénarii ne se conçoit, dans les plans de Macron, que s'il s'est débarrassé des rênes de l'Exécutif. Mais le compte à rebours semble courir plus vite que prévu, d'où l'intenable suspens.

Ce 19 juin (... après la dissolution), la Commission européenne a annoncé ouvrir une procédure de sanction pour déficit public excessif à l'encontre de la France. Le pourcentage de PIB retenu pour cette sanction est de 0,1%, soit 2,5 Mrds d'€... par an.

Voilà donc que l'élève zélé de Bruxelles pourrait se retrouver au coin, coiffé d'un bonnet d'âne.

Macron ne pourrait supporter une telle humiliation. Une raison de plus de passer la main (momentanément) et de refiler la patate chaude au suivant. «C'est pas moi, c'est lui !»
Cerise sur le gâteau : cette amende plombera plus encore le budget à venir ; ce qui est toujours bon à prendre.

Enfin, on peut évidemment compter sur toute sorte de peaux de banane jetées par Bruxelles au successeur du «bon élève» de Bruxelles.

Même si le suspens monte, Macron peut se rassurer. Il ne s'agit là pour l'instant que de l'ouverture d'une procédure de sanction. La sanction tombera une fois Macron sorti d'affaire.


La guerre

Chef des armées, Macron restera Maître de l'emphase guerrière à défaut d'être Maître de guerre.

D'autant plus que ses «oppositions» le confortent dans ses options bellicistes.

Nul impétrant premier-ministrable ne conteste l'adhésion à l'OTAN, l'alignement atlantiste ou l'hystérie anti-russe du nouveau Petit Caporal français.

Au nouveau 1er ministre, les affres de l'impasse budgétaire, du chaos économique, des désordres sociaux ; à Macron, la Gloire des champs de bataille.

Enfin, il pourra s'autoriser toute sorte de mobilisation financière, économique ou en contingent de chair et d'os comme l'a permise la Loi de Programmation Militaire (LPM) opportunément votée en 2023 :

«En cas de menace, actuelle ou prévisible, pesant sur les activités essentielles à la vie de la Nation, à la protection de la population, à l'intégrité du territoire ou à la permanence des institutions de la République ou de nature à justifier la mise en œuvre des engagements internationaux de l'État en matière de défense, la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres».

Le sel de l'article se trouve notamment dans menace prévisible. De quoi écorner à l'envie le cours normal d'une politique nationale quelle qu'elle soit.


Le chaos social

Ces mines passées en revue peuvent tout aussi bien exploser dans les pattes de l'opposition de droite comme dans celles de l'opposition de gauche.

Mais pour la droite (forcément extrême), il y aura un petit bonus ! : Le chaos social.

En effet, Macron peut compter sur les gens de gauche qui, forts de leur sens aiguë de la démocratie, ne se feront pas prier longtemps avant de se laisser aller aux réactions épidermiques les plus outrancières contre la menace brune.

Syndicats, étudiants, artistes, sportifs, associations, journalistes... Tous comme un seul homme s'estimeront légitimes à résister au fascisme nauséabond démocratiquement élu. Soudain la France se lèvera, peuplée de Jean Moulin, bien calés dans leur salon ou arpentant tranquillement les boulevards, prétendant braver qui la mitraille, qui la torture, qui les camps..., sans scrupule ni respect pour le combat autrement plus sanglant de leurs aïeux.

L'allergie se propagera partout, tel un prurit infantile doublé de la terreur jubilatoire du monstre sous le lit. Fais-moi peur !

Ceux-là scanderont Liberté (la leur uniquement), et proclameront d'un cri unanime, comme Brasillach et ses compagnons en leur temps : «Je suis partout» sans réaliser un instant que le totalitarisme est au pouvoir depuis longtemps déjà.

Dans ces conditions, facile, hyper facile pour Macron de jeter dans la mêlée quelques black blocs comme on jette de l'huile sur le feu. Facile... il l'a déjà fait avec une brutalité inouïe contre les Gilets jaunes.


Le joker : les pleins pouvoirs

C'est alors que le piège devrait (devait ?) se refermer.

Attentat sur les JO, motion de censure pour budget impossible, raid de la finance, faillite et mise sous tutelle du pays, amendes et bâtons dans les roues de l'UE, entraves pour cause de guerre, chaos social... Ce sera au choix.

La panoplie du parfait dynamiteur est en place, nanti de plusieurs armes qu'il peut saisir à l'envie au gré du jeu vidéo dans lequel il a pour mission de dézinguer tout ce qui l'empêche aujourd'hui et à l'avenir.

Et comme dans les jeux vidéo, il détient un joker : les pleins pouvoirs.

Pour cela, l'article 16 de la Constitution énonce qu'il suffit au président de consulter (et non d'obtenir l'aval) le 1er ministre, le président du Sénat, le président de l'Assemblée nationale, le Conseil constitutionnel et enfin, Abracadabra, d'informer la Nation.

Ajoutons qu'il n'y a pas de durée maximale à cette prise de pouvoir. On trouve bien dans l'article quelques jalons (qui ne limitent rien) comme par exemple que le président doit «consulter» au bout de 30 jours le parlement, ou encore des consultations du Conseil constitutionnel qui sont prévues dans les 60 jours pour vérification. Mais ni le parlement ni le Conseil ne peuvent s'opposer ou le démettre.

À aucun endroit du texte de l'article 16, il n'est indiqué de procédure d'annulation de ces pleins pouvoirs. Légalement Macron peut garder les pleins pouvoir tant qu'il le veut.


Moi ou le Chaos

Certes, nous sommes assez proches du moment où «la Bête de l'évènement arrive» (pour faire référence aux paroles nébuleuses et inquiétantes du personnage en avril 2020 faisant allusion sans le dire aux desseins de contrôle totalitaire de la sphère mondialiste), mais on a vu qu'à ce stade, sa préoccupation la plus plausible est de ne pas être aux manettes lorsque le pays implosera.

Il a tout fait pour, mais dans l'immédiat, il cherche le parachute pour s'éjecter avant le crash.

Il avait espéré catapulter Bardella à Matignon mais celui-ci s'est judicieusement «bordé» en refusant ce poste si le RN n'obtient pas la majorité absolue à l'Assemblée.

À gauche, il semble que les atermoiements du Nouveau Front populaire (NPF) sur leur premier-ministrable aboutiront aussi à un score qui ne permettra pas à la gauche d'accéder à Matignon.

À propos de ce dernier point, il est possible que Macron n'ait pas prévu que la gauche puisse garder la tête hors de l'eau à la faveur des alliances improbables auxquelles on assiste ces dernières semaines.

Paradoxalement, c'est cette «résistance» de la gauche qui va faire capoter son plan car sans le NPF, le RN aurait peut-être pu atteindre la majorité absolue. D'une certaine façon, le NPF aura sauvé le RN du piège macronien et d'une explosion en vol.

Paradoxalement, Macron est, à ce stade, le garant, sinon l'otage, qui pourrait retarder encore quelques temps la catastrophe annoncée. Alors, puisque la catastrophe est inéluctable, autant que le responsable soit sur le pont au moment du naufrage. C'est la moindre des choses.

Affaiblir l'incendiaire, oui ; mais le garder au centre du brasier dont il est l'auteur.

Quoi qu'il en soit, et en toute connaissance du piège tendu, même si une majorité absolue émergeait à l'Assemblée nationale, il est vital que personne ne vienne remplacer, et potentiellement dédouaner un gouvernement macroniste.

En l'état, si les Français réduisent drastiquement la place de l'extrême-centre dans la future assemblée, et si ni la gauche ni la droite ne tombent dans le piège de prendre le pouvoir exécutif, c'est l'extrême-centre qui devra affronter l'explosion des mines semées par Macron, c'est l'extrême-centre qui devra payer les pots cassés, c'est Macron qui recueillera les fruits pourris qu'il a lui-même semés.


Un capitaine, aussi inconséquent soit-il, doit rester sur le pont jusqu'au naufrage final, surtout s'il en est le principal responsable.


Le (dernier) coup d'après

Macron, mis en échec, sera acculé et ne supportera pas de sauter sur les mines qu'il a lui-même amorcées. Ce sera la surenchère, la fuite en avant.

Il prendra les pleins pouvoirs, imposera un budget à la grecque, la société se brisera sous les mesures d'austérité, il déclarera la guerre...

La France touchera le fond... Du sang et des larmes.

Il faudra en arriver là pour qu'enfin, la vraie et seule question qui vaille soit sur la table : la Souveraineté Nationale.

Enfin, l'évidence sera révélée. Enfin l'UE apparaîtra sous son vrai jour, et on reparlera alors de Nation et de Peuple.


Un dernier mot à ceux qui jugeront les ressorts de cet article par trop pessimistes.

La dette est le meilleur moyen d'aliéner quelqu'un ou un pays. Un pays endetté est redevable à ses créanciers et n'est donc plus libre, d'où notamment la désindustrialisation intentionnelle et méthodique du pays.


Macron n'a jamais eu l'intention de réduire la dette. Aucun des inféodés à l'UE ou à Washington n'a eu le début d'une intention d'émanciper la France. La dette est un outil de domination. Macron est un Mozart de la finance, effectivement. Un Mozart POUR la finance, assurément.

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