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Vie ou mort de notre Nation ? Voter pour quoi faire ?

Démarré par JacquesL, 05 Juin 2024, 12:08:32 PM

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JacquesL

Vie ou mort de notre Nation ? Voter pour quoi faire ?



Aujourd'hui, à quelques jours de l'élection européenne, je vous propose un court article de mon camarade et ami Henri Roure, candidat sur la liste de l'UPR. J'en approuve évidemment l'argumentation et les conclusions.

Dominique Delawarde

*
Vie ou mort de notre Nation ? Voter pour quoi faire ?

par Henri Roure

Aucun des partis sélectionnés par les propriétaires des médias grand public n'aborde la question qui pourtant devrait être le seul thème de ces élections : faut-il rester ou non dans l'Union européenne ?

Il est vrai que l'occasion est apparue trop belle pour critiquer et contester le pouvoir en place, chez nous, en France. Aborder cette question existentielle pour notre pays a donc été jugé tacitement trop sensible et vraisemblablement risqué pour le maintien de la hiérarchie actuelle des partis.

Or la France subit cette Europe qui avance vers l'absorption de ce qui reste des souverainetés nationales. La volonté de la caste dirigeant actuellement l'Occident est évidente pour qui cherche les causes de nos maux et problèmes. Mais l'interrogation fondamentale est éludée.

Nous nous apprêtons malgré tout à envoyer 81 députés au «parlement européen».

Beaucoup d'électeurs espèrent que leur vote servira à faire bouger le système et à faire appliquer des idées que ces partis autorisés à s'exprimer exposent dans les médias subordonnés. Quel leurre !

Ils se trompent ! cette élection ne changera rien dans nos rapports avec l'UE qui continuera à avancer ses tentacules. Elle n'est pas l'objet réel des programmes. En fait tous ces partis font de la politique intérieure...

Ces programmes ne sont constitués que d'accusations, de souhaits ou d'intentions. Ils demeurent irréalistes tant que la France n'a pas brisé ses chaînes. Certains d'ailleurs encensent l'Europe au nom de l'utopie fédéraliste, d'autres émettent simplement des critiques, mais aucun n'ose la mettre en cause et la combattre. Ils craignent la perte de leur statut.

Nous savons surtout que le système ne peut être modifié de l'intérieur. La règle de l'unanimité qui voudrait que 27 pays aux intérêts divergents aient la même volonté de changement fondamental des règles, rend la chose évidemment impossible ! La Grèce et la Roumanie ou Malte et quelques autres, doivent leur développement à l'UE. La France, elle, lui doit son appauvrissement, statutaire, moral linguistique, culturel et économique. Ainsi la Commission et les fonctionnaires apatrides et stipendiés continueront leur œuvre mortifère en conversant en anglo-saxon.

Nous savons que l'avenir de notre agriculture ne peut être prévu par le gouvernement français. Le président et son premier ministre peuvent faire de longs discours, ils ne disposent d'aucun moyen pour mettre en œuvre ce qu'ils promettent. Le sujet de l'immigration et celui de sa dangerosité ne peuvent recevoir le moindre début de traitement puisque Bruxelles et quelques pays considèrent que l'arrivée de travailleurs, indépendamment de leur origine et de leur capacité d'intégration, est une absolue nécessité. L'immense majorité de ces immigrés se trouve en situation régulière... Il est impossible – et ceux qui nous gouvernent et qui aspirent au pouvoir le savent – de ré-industrialiser le pays si nous ne protégeons pas nos frontières. Il est même illusoire d'envisager de lutter contre le trafic de drogue dont les sommes colossales qu'il draine, intéressent le système bancaire et financier détenant le pouvoir washingtonien et bruxellois. Il est impossible d'encourager nos exportations avec une monnaie au taux trop élevé pour nous. Elle est favorable à l'Allemagne, mais sûrement pas à la France. Quant à notre sécurité intérieure elle ne nous appartient plus. Les frontières qui en sont une condition essentielle ayant été effacées et, s'agissant de notre sécurité extérieure, elle est désormais liée à l'ensemble UE-OTAN dont les États-Unis ont fait un instrument au service de leur seule et dangereuse ambition.

En réalité nous sommes prêts à satisfaire les désirs du président actuel, de Mario Draghi et de quelques utopistes et apatrides qui imaginent la fusion des peuples du continent et l'établissement d'un État unique omnipotent.

La question qui devrait être débattue est donc évidente : voulons-nous continuer dans cette voie ?

S'il y a un lieu où elle devrait être posée et la réponse criée à tue-tête c'est bien cependant dans cette assemblée !

Si elle n'a pas de réel pouvoir, elle s'avère une plateforme, une caisse de résonance, un haut-parleur. Contester l'UE de l'intérieur est un formidable moyen de développer l'idée du FREXIT.
Croyez-vous que les partis adoubés le feront ? Leurs représentants précédemment élus ne la fréquentaient pas.

Il nous faut reprendre notre indépendance et l'exiger par tous les moyens. Hurler si nécessaire dans ce parlement que les Français ne veulent plus lui envoyer des députés ! Ils veulent rester une Nation libre !

Ce pourquoi il faut œuvrer pour retrouver la maîtrise de notre destin tient à trois combats.

Il s'agit de sortir de l'euro, monnaie trop forte pour la France mais favorable aux exportations allemandes. Quelle concurrence déloyale !

Il faut simultanément mettre un terme à notre appartenance à l'UE. Cette organisation, non seulement entrave toutes nos libertés, nous soumet à un droit qui ne correspond pas à notre culture ni à nos besoins et intérêts, mais nous coûte des sommes énormes. Elles seraient de toute évidence mieux utilisées par notre État. Ainsi, étant le second contributeur de cette union, nous abondons son budget de 24 milliards, auxquels il faut ajouter 12 milliards versés à l'Ukraine, pays parmi les plus corrompus du monde. En retour nous recevons 17 milliards de subventions. C'est-à-dire que l'UE aura coûté à notre pays 19 milliards d'euros nets. J'ajoute que la France n'est pas maîtresse de l'application des subventions. L'UE dans ce domaine, comme dans tant d'autres, fait ce qu'elle veut quand elle veut et où elle veut...

Il faut aussi sortir de l'OTAN cette organisation militaire agressive qui a transformé les armées des pays membres en unités de supplétifs de l'armée étatsunienne. Elle les fait approuver et participer à la volonté hégémonique de Washington. Elle écrase notre puissance et avec l'UE éteint lentement notre influence dans le monde. Elle nous fait contester là où nous avons encore une présence et des intérêts.

En redevenant pleinement souverains nous pourrons, d'une part nous développer comme tous les pays libres de leur destin, ce qui est le cas pour la majorité des 166 pays représentés aux Nations-unies et n'appartenant pas à l'UE. À titre d'exemple le Royaume-Uni qui a su sortir de ce piège vient de nous dépasser dans la plupart des indicateurs économiques.
Il faut donc voter en ayant à l'esprit cette question vitale. Ne pas le faire c'est approuver le système et se désintéresser du destin de la France. C'est laisser la dérive intégrationniste se poursuivre vers notre disparition.

Le destin de chacun est dans le destin de la France.

Henri Roure, 3ème sur la liste Asselineau-Frexit
*
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, voici le lien d'une émission produite par le site Géopolitique Profonde avec la participation du général Henri Roure.


Je partage les préoccupations et les convictions du général Henri Roure, de Patrice Magneron, de François Martin, de Lara Stam et de Mike Borowski. C'est la raison pour laquelle je voterai pour l'UPR sans hésitation et sans état d'âme, d'autant que les LR sont devenus, hélas, des supplétifs de la Macronie.

• https://www.tiktok.com/@dupontaignannicolas/video

Général Dominique Delawarde

https://reseauinternational.net/vie-ou-mort-de-notre-nation-voter-pour-quoi-faire/


JacquesL

Le 9 juin 2024, l'heure de vérité ?



par le général (2s) Antoine Martinez

En 2021, en pleine crise du Covid-19, un analyste politique reconnu et incontesté affirmait : «Le président Macron est un homme seul qui devient une partie du problème politique français et non plus un élément de la solution». Son propos témoignait déjà d'un comportement peu conforme avec celui communément attendu d'un président de la République car il ne cesse de diviser et de dresser les Français les uns contre les autres, de leur mentir, de radicaliser son discours à l'égard des voix discordantes, de provoquer, de défendre des intérêts contraires aux aspirations de la majorité du peuple français. Ce propos n'a rien perdu de sa pertinence, il faut bien l'admettre, au regard, d'une part de son bilan sur les plans économique, régalien, sociétal, européen, international, et d'autre part de sa conception de l'exercice du pouvoir qui plongent le pays dans la souffrance, la colère, la peur et la désespérance. L'échéance de ce second quinquennat reste politiquement encore éloignée et chacun peut légitimement émettre des craintes pour les trois années qui viennent en raison de la situation devenue plus que critique sur les plans intérieur et extérieur. C'est pourquoi les élections européennes du 9 juin 2024 doivent représenter un moment propice pour provoquer un point de rupture ou de bascule favorable à un sursaut nécessaire.

Ces élections doivent, en effet, mobiliser les citoyens pour que, nationalement, les Français réussissent, par leur vote, à imposer un renversement du rapport de force avec le président qui, à l'évidence, n'aime pas la France ni son peuple historique et conduit ce dernier, à marche forcée, là où il ne veut pas aller. Car quel président de la République française aurait osé faire, à l'étranger, des déclarations transpirant la haine de la France et la condamnant sans équivoque ? Comment comprendre qu'un président français (quelques mois avant son élection) accuse la France de crime contre l'humanité, lors d'un déplacement en Algérie, en occultant d'ailleurs les raisons du débarquement des troupes françaises à Alger en 1830 ? Comment oser affirmer lors de l'assemblée générale de l'ONU en 2018 : «Parce que je viens d'un pays qui a fait beaucoup d'erreurs, beaucoup de mauvaises choses» ? Imagine-t-on le général de Gaulle tenir de tels propos ? Ces déclarations impardonnables ont contribué et contribuent largement à provoquer gravement la perte d'influence et de crédibilité de notre pays et à alimenter la violence et la haine exercées sur les Français sur leur propre sol. Par ailleurs, sa conception autocratique de l'exercice du pouvoir le pousse à refuser de se plier aux réalités lorsqu'elles contrarient ses projets, l'empêchant ainsi de percevoir l'essentiel de sa fonction, à savoir la légitimité qui implique ou qui découle de la confiance accordée par le peuple et qui ne se décrète pas mais se mérite. Mais cette confiance n'existe pas aujourd'hui. Le président le sait mais il est prêt à forcer le destin quoi qu'il en coûte en se servant des institutions de façon immorale, voire en ne les respectant pas.
C'est ainsi, par exemple, que selon l'article 5 de notre Constitution le président est le garant de l'indépendance nationale et de l'intégrité du territoire. Or, s'agissant de l'indépendance nationale, il ne parle plus que de souveraineté européenne ce qui est un non-sens car la souveraineté ne se partage pas, elle est par essence nationale. Quant à l'intégrité du territoire, elle est tout simplement bafouée par le renoncement à faire appliquer la loi en laissant entrer impunément sur notre territoire des vagues ininterrompues de clandestins. Il a pourtant été élu pour défendre ces deux principes. Que dire, par ailleurs, des décisions – résultant plus d'interprétations d'ordre politique que d'application stricte du droit – du Conseil constitutionnel après le recours introduit par le président sur la loi sur l'immigration ? La contestation de ces interprétations émise récemment par un ancien Premier ministre n'est-elle pas révélatrice de la prise de conscience d'une dérive dans l'utilisation des institutions pour étouffer la souveraineté populaire ? Car la préférence nationale serait contraire à la Constitution ! Mais alors sur quoi est fondée la nation si ce n'est sur la préférence des siens ? Les institutions sont-elles au service de la démocratie ou servent-elles à empêcher son expression ? En réalité, la nation constitue dorénavant un obstacle au projet du président de transformer l'Union européenne (UE) en un Etat fédéral avec l'abandon du vote à l'unanimité et il faut donc la faire disparaître, éliminant ainsi la souveraineté nationale. Mais l'Europe ce n'est pas les États-Unis. Il n'y a pas un peuple européen, mais des peuples européens avec leur propre histoire. Cette évolution qui se traduirait par une dépossession des dirigeants français et donc du peuple français de la maîtrise de son destin ne peut pas être décidée par le seul fait du prince. Il n'a pas été élu pour cela. C'est au peuple français d'en décider par référendum car il n'y a pas de démocratie, de pouvoir du peuple par le peuple sans souveraineté nationale. L'article 3 de notre Constitution ne peut pas être ignoré. Par ailleurs, cette transformation de l'UE en Etat fédéral ne serait pas sans conséquences graves pour la France qui perdrait son siège de membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU au profit d'une instance supranationale, sans parler de la dissuasion nucléaire qui ne peut être que nationale. C'est inacceptable.

+On retrouve, d'ailleurs, sur des sujets majeurs concernant l'avenir même du peuple français ces dérives d'autoritarisme conjuguées à une gestion des affaires établie sur une stratégie de la peur – comme cela a été fait avec la gestion du Covid-19 – afin de soumettre les citoyens et empêcher leur expression ainsi que toute contestation.

C'est notamment le cas du conflit Ukraine/Russie qui n'aurait jamais dû avoir lieu. Avoir suivi aveuglément les États-Unis et l'OTAN qui ont empêché la signature d'un accord au tout début du conflit, entraînant ainsi le sacrifice inutile de soldats ukrainiens et russes, n'aura servi qu'à entraîner l'Ukraine dans une guerre qu'elle perdra fatalement avec des conséquences terribles pour sa survie, alors que la Russie ne menaçait personne. Comment comprendre autrement, d'ailleurs, les propos du président de la République, lui-même, exprimés en 2019 : «Je suis convaincu que l'avenir de la Russie est pleinement européen. Nous croyons dans cette Europe qui va de Lisbonne à Vladivostok» ? Quel gâchis et quelle imprudence de couper la Russie de l'Europe et la pousser dans les bras de la Chine ! Aujourd'hui, le président veut faire peur aux Français en envisageant de déployer des troupes en Ukraine pour faire la guerre, prêtant à la Russie la volonté d'attaquer l'Europe. Mais l'article 35 de la Constitution doit être respecté et la déclaration de guerre doit être autorisée par le Parlement. De plus, fournir à l'un des belligérants de l'armement prélevé sur nos propres armées est un abus de pouvoir et une démarche illégale passible de trente ans de détention criminelle et 450 000 € d'amende car elle viole l'article 411-3 du code pénal. Les parlementaires et les médias sont là bien silencieux !

Cela dit, notre ennemi n'est pas à l'extérieur mais à l'intérieur ! En effet, l'actualité nous le démontre chaque jour davantage avec le nombre d'agressions violentes et de victimes innocentes en augmentation constante et un climat délétère et mortifère qui plonge le pays dans le chaos. C'est le fruit d'une politique d'immigration totalement délirante et débridée caractérisée par une passivité consternante de nos dirigeants à l'égard d'une culture importée, dont sont originaires ces populations, absolument incompatible avec nos valeurs et de surcroît hostile à la nôtre, mettant ainsi en grand danger le peuple français. Mais, en réalité, comme évoqué plus haut, la nation doit disparaître car elle représente un obstacle pour la transformation de l'UE en État fédéral. Cette submersion migratoire sert donc objectivement ce projet en favorisant, avec le nombre, la déstabilisation, la déstructuration, la division puis l'éclatement de la nation dont la disparition est annoncée. D'ailleurs, le gouvernement des juges ne participe-t-il pas à ce démantèlement de la nation française ? En effet, en instaurant l'aide juridictionnelle pour les étrangers en situation irrégulière, dérive inquiétante de sa jurisprudence, le Conseil d'État n'abolit-il pas dorénavant toute possibilité d'expulsion ? Par ailleurs, ne participe-t-il pas au financement de cette immigration en autorisant la ville de Paris à accorder une subvention à «SOS Méditerranée», association qui soutient l'immigration irrégulière ? Quant au Conseil constitutionnel, en censurant la loi sur l'immigration et en rejetant la proposition de loi référendaire sur l'immigration, il refuse au peuple français de se prononcer sur son propre avenir. C'est bien de la confiscation de son droit à sa continuité historique qu'il s'agit. L'État trahit donc la nation. La Patrie est trahie par la République, dirait Jean Raspail. C'est impensable et indéfendable en démocratie et cela doit impérativement changer.

Devant un tel constat, ces élections européennes du 9 juin 2024 doivent être le moment de lancer un avertissement à nos dirigeants et de créer un moment de bascule pour inverser le rapport de force avec le président de la République qui oublie qu'il est au service d'un souverain qui s'appelle le peuple. Les citoyens français doivent donc se mobiliser massivement pour permettre le sursaut salutaire et nécessaire car il faut refuser énergiquement cet État européen fédéral fantasmé, destructeur de la nation, rejeter fermement cette guerre qui n'est pas la nôtre et s'élever résolument contre l'islamisation de la France, terre chrétienne. Alors, aux urnes citoyens !

https://reseauinternational.net/le-9-juin-2024-lheure-de-verite/