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Puisque je n’ai rien à me reprocher, pourquoi voulez-vous me surveiller ?

Démarré par JacquesL, 22 Mai 2024, 06:08:55 PM

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JacquesL

Puisque je n'ai rien à me reprocher, pourquoi voulez-vous me surveiller ?



par Gilbert Guingant

C'est exactement le doigt qui montre limpidement la lune et l'échec reste de ne regarder que le doigt. Soit tout faire pour ne jamais piger que le doigt «d'insécurités» représente précisément les pouvoirs actuels qui figurent la plus grande partie des insécurités réelles. Insécurités sur la santé puisqu'ils vous forcent à l'insécurité des faux vaccins qui se voient (ensuite) retirés du marché. Pour dangerosités. Pourquoi alors ne pas les avoir retirés avant ? Fautes professionnelles graves ? Insécurité puisque tu ne sais jamais quelle vont être tes factures d'électricité. En tout cas rien à voir avec le «coût réel» de l'électricité mais tout à voir avec les escrocs du privé. Qui mettent la société en extrême insécurité. Dans tous les domaines, etc. Tant d'autres exemples brûlants dans la vie quotidienne.

Autre preuve flagrante, celle de découvrir ces pouvoirs qui «ont tout à se reprocher» puisqu'ils veulent une surveillance «sélectivement généralisée» ? Eux-mêmes fuyant en, piaillant le refus «insensé» de tout contrôle rationnel de leurs actes. Selon leur «galimatias» c'est «avoir tout à se reprocher» que ne pas se laisser surveiller. Ici, le contrôle si normal de qui veulent se monopoliser les clefs si sensibles de surveiller les autre mais sans surveillance d'eux-mêmes. C'est, pourtant un pouvoir très exorbitant : à limiter au maximum non ? Lorsqu'il s'avère que ses faux dirigeants devraient être tellement plus surveillés que les autres. Puisqu'ils fuient, en contestant un sain contrôle de leurs actes : et avouent donc «avoir tout à cacher». De la sorte, ils agissent précisément comme s'ils avaient tout à se reprocher. Rasant les murs tels des voleurs ! Ajoutez-y les reproches si fondés de plus de 80% de la population, et vous découvrez l'immensité des dangers d'insécurités qu'ils représentent pour les autres. Dangers évitables : évitons-les !

de @ MrDamienMx :
«On te dit puisque tu n'as rien à te reprocher pourquoi craindre d'être surveillé je rétorque : Puisque je n'ai rien à me reprocher, pourquoi veux- tu me surveiller ?!»

1. Comment alors se méfier de qui baratine si vous n'avez rien à vous reprocher pourquoi craindre d'être surveillé ?

Analyses tirées de la vidéo n°1 de Tocsin surveillance partout «donc» justice nulle part. Lorsque nous pouvons dérouler le fil qui les crame et les fait tomber en prison. Les raisons rationnelles d'une surveillance généralisée n'existent pas. Déjà parce que la surveillance généralisée n'est pas «généralisée». S'en extraient anormalement qui veulent imposer une surveillance généralisée non généralisée. Moins les trop passe-droits de leurs copains et coquins exemptés. De ceci découle, logiquement, que ce sont les initiateurs des surveillances les immenses fouteurs de merde. Les menteurs fomenteurs de toutes les injustices. Les vicieux inventeurs de la méfiance généralisée qui n'a pas lieu d'être. Les seuls qui attirent la... méfiance ce sont bien qui parlent sans cesse de méfiance/ surveillance pseudo généralisée. Ce sont eux les seuls fauteurs de troubles. Personne d'autre ne cherche à tuer la confiance nécessaire à la vie en société, les solidarités et les empathies nécessaires pour «réguler» la vraie économie comme la virtuelle. Trop de mensonges, et tant de fausses nouvelles (fakes news) ont confirmé les doutes à leur sujet. Pourquoi aucun contrôle sur ceux qui veulent nous surveiller ? C'est donc qu'ils ont tout et plus à se... reprocher !

2. le blues de l'insécurité

Le blues de l'insécurité élucide ce «À trop r'garder la télévision, y'en a qu'ça rend d'plus en plus cons». Voir en documents, la dernière vidéo, les paroles de «Le cha-cha de l'insécurité» de Louis Chedid («plus tu deviens con en regardant la télévision»). Exact : «en croyant ce qui n'existe pas et en ne croyant pas ce qui existe» ! Certains vont jusqu'à halluciner que des malfrats attendent tout en bas de chez eux. Parce que passe en boucle une info sur un cassage de gueule. Or c'est à 2000 km de chez eux. Dans un contexte très différent. C'est une seule fois et non 2000. Rien à voir avec ce juste martelé 2000 fois un seul et unique fait... Il n'y a pas de danger proche. Puisque très très lointain... Ce sont ces médias les fouteurs de merde, si passibles de prisons. Prisons fermes, d'ailleurs.

Puisque ?

Une déontologie des stats devrait préciser que, chaque fois, qu'est asséné un 0,01% a commis ci, l'obligation de formuler que 99,99% se comportent, eux, très bien. C'est un fait infiniment minime.

Et que, par contre, les stats des médias d'argent sont, elles, très truquées : seuls les faux dirigeants, seuls les gouvernements corrompus, seuls les trop riches nous causent de la vraie insécurité. La police devrait ls surveiller, voire les arrêter vite, eux. C'est prouvé et c'est chiffré... Inutile de vous méfier des voisins qui subissent pareil que vous et sont manipulés à l'identique. Ne vous divisez jamais, restez unis sans faille afin de les faire partir.

De cesser tous leurs feux !

Réponses déjà : oui très bien ressenti... À ajouter comment y voir comme la juxtaposition ahurissante de tant d'opinions qui vont dans tous les sens envers les Palestiniens. Certaines fondées sur de la vraie information. D'autres l'inverse. Cet inverse qui se trouve dans le mot de Michel Foucault «la classe la plus aliénée de la société est celle qui se croit dominante». Oui ces faux dirigeants quasiment jamais dans les réalités. Parlant sans savoir, condamnant sans vérifier. Se privant stupidement à 99% des socialités loyales, etc. Et entre ces deux opinions toute une gamme incroyable d'intensités différentes.

La déchirure va les atteindre (les aliénés ; les faux dirigeants) plus fort que tous les autres participants de la société. N'est-ce pas déjà commencé ? Avec «le regard froid» auscultez donc les médias très malades !

3. Ainsi : la guerre psychologique trop délaissée ?

Pas chez les pouvoirs illégaux en tout cas. Ce pourquoi il reste si sain de piétiner leurs plates... bandes. Fait !!!

Comment dire ? Si vous n'essayez pas de changer le monde, ce monde va vous changer au point que vous ne pourrez plus essayer ce qui vous tient à cœur. Oui cela a «déjà» commencé à changer ? Donc va continuer tout simplement.

Que veulent-ils des populations ? Qu'elles deviennent aussi corrompues qu'eux. Qu'elles «n'aiment» que les très mauvais citoyens. Et les antisociaux. Que tout le monde y aide leurs pires ennemis. En desservant leurs propres intérêts. Ce pourquoi tout commence par détruire l'esprit critique. Tel être bien dans sa vie à niquer leurs immondes propagandes. Dans la guerre psychologique pénétrée, tout reste martelé afin de démoraliser, décourager, dissuader. Sauf que deux points forts des résistances sont omis. – 1) Que les pouvoirs fuient, épouvantés, tous les débats «à armes égales». Ce qui dénude à vif qu'ils ont déjà... perdu la guerre. Oui... perdue ! En effet, ils n'ont pas un argument massif pour investir tous les terrains ! Que du piteux monologue et de la simplette censure. Autant dire du... vent ! 2) que leur moteur unique c'est de... culpabiliser, faire tomber dans la perte d'estime de soi, etc. Or impossible de culpabiliser les non culpabilisables. Non. Puisque ? Parce qu'ils ont déjà «internalisé toutes les vraies valeurs». Et n'ont donc pas besoin de la police «pour leur dire la loi». Qui ne sont pas culpabilisables échappent aisément aux génocidaires sans issues... C'est là justement que peuvent pénétrer le déformuler les formulations des propagandes. Propagandes qui dissolvent les liens sociaux.

Le niquer les blablas des génocideurs sans issue ? Pour le moment, c'est plutôt la tâche ingrate des ingratitudes. Pourquoi ? Comme les pouvoirs mentent sur tout et trichent sur le reste, il ne s'agit pas d'amplifier leurs com'. Mais bien de la mettre en morceau. Dont, entre autres, déformuler leurs formules. Comme ils s'en foutent inhumainement du futur de l'humanité, il s'agit de garder sa santé morale face à ces pourris, et d'admettre que le seul passage «obligé» de ces dépravés sont les circuits argumentaires. Et que les textes qui ridiculisent leurs formulations venimeuses protègent vraiment la santé mentale de tous.

Vu de l'intérieur, vous pigez à quel point ces textes leur font peur. Ils les minimisent, ne parlent jamais des contenus, rôdent dans les apparences et les styles, diffament les auteurs, voire tentent de les dissuader, de faire pression. Bref, leur pourrissent la vie. But : faire perdre le moral. Résultats : sacrément raté ! Et les lunatiques trolls d'y ajouter leurs piteuses nuisances (vous vous rendez compte, madame, ils tirent contre leur camp !). Aller où est la guerre psychologique des ennemis ! Oui ? La bande passante raconte «leurs» craintes nues. Ces textes, délaissés par les petites têtes sans cœur, sont au top de leur trouilles. Ouais. Pas des textes trop lisses qui «ne les atteignent que peu» ! Ce sont des faits nus non des souhaits. Soit pas vraiment ce que nous voulons ! Mais faut faire «avec»...

Ce sont, en conséquence, ces textes «qui sortent du cadre» qui se trouvent en première ligne. Là où ça fait mal. Vu les comportements iniques subis par leurs auteurs. On ne peut pas dire que les volontaires pullulent. Alors que, sur le fond, ce sont les plus marrants ! Vu le sort injuste de leurs prédécesseurs pilonnés de... partout. La feignasserie mentale n'aime pas être dé-rangée, plus rangée en ordre quoi. Or une simple synthèse-c'est-la-santé dit : il y a tellement de textes qui nous assènent l'existant. Mais c'est du descriptif, des analyses comme toujours, pas des interrupteurs efficaces de routines. Ces bons textes majoritaires (qui doivent demeurer tels qu'ils le font) doivent juste augmenter, déployer leurs ailes latérales. Soit laisser passer le si peu de textes qui attaquent les blablas des pouvoirs aux racines. C'est ainsi. Jamais des sur-autoritarismes, dans l'Histoire, n'ont tant reposé sur le langage (pour rédiger des avalanches de «règles» destinées à désorienter et... culpabilise à fond les populations – encore afin de semer, avec des mots, sans sens, des flots d'irrationalités balancées n'importe comment – le but reste de... bloquer la société d'empêcher son fonctionnement normal, etc.). Le vecteur de ce chaos reste le langage déréglé. Mais cette concentration, jamais vue, sur cette seule «com' verbale» devient leur point de plus extrême fragilité. De leur faute, les pouvoirs sont à la merci de n'importe quel mot, mot formulé dans n'importe quel contexte qu'ils ne peuvent plus contrôler. Donc qu'ils ne peuvent plus... manipuler. Le langage signe leur fin, il suffit d'apprendre comment. Et il se trouve que des auteurs ont appris. Nous sommes bien face à de fauves de... papier qui avaient «oublié» qu'il est impossible de communiquer socialement sans les paroles ! Essayez par soi-même c'est adopter le bon sens : oui le «dernier mot» sera le premier pas de l'Humanité vers son émancipation et sa libération ...

À noter qu'il reste, après des années d'essais-erreurs-réussites, que cela va toujours plus vite de ressentir cette plus grande facilité à dénouer et annuler leurs manipulations, aux faux maitres de ce monde. Nous nous sommes habitués à manier leurs détraquements. Au point de les envelopper déjà tous. Oui nous les «contrôlons» (bien au sens positif du mot – pas au sens répressif, mais au sens... médical !). L'insécurité majeure qu'ils sont se désenfle, se dégonfle, se délite, se fissure. Ils toooommbeeennntttt déjà.

Ainsi de «la privatisation des bénéfices et de la socialisation des Risques» du scandale immense des faux vaccins – toujours plus perçoivent que c'est, là, le début de «leur» fin, aux pouvoirs ! Chut éééécooouuutez...

... AstraZeneca, ce faux vaccin est, en fait,... interdit ! Prohibé, oui il est.

Les cascades des conséquences à venir vont transformer toutes les données : les faux vaccins sont «déclassé» dans la catégorie drogues et les politiciens traitres dans celle des... dealers dangereux.

Le pass' vaccinal devient donc est «un flagrant délit qui incite à user de produits «interdits». Pour empêcher la saine et bonne médecine existante qui a tout ce qu'il faut afin de «soigner les malades sans leur... nuire». La dictature covid ressemble foutrement bien à une mise en danger de la vie d'autrui, flirtant même avec un pré-crime contre l'humanité. Et, pour cela même, doit être inflexiblement contrée avec effets rétroactifs à la clé ! Tant de «preuves et de faits nouveaux» contraignent à refaire à fond le procès du pass' !

Dans le cadre de la salubrité et moralité publique, comment dresser la cartographie des circuits de corruptions afin de les... abolir ? Tant de bons motifs existent : disons pour «conduites hyper sectaires». Ainsi l'anti-justice «contaminée» par le prohibé, finit par couvrir tout ce qui est interdit, par fuir désastreusement les résultats des comportements délictueux des sommets, par perdre tout contrôle serein, etc.

Nous venons de commencer par inventorier les séquences des conséquences infinies...

Poursuivez donc :

source : Imagiter



https://reseauinternational.net/puisque-je-nai-rien-a-me-reprocher-pourquoi-voulez-vous-me-surveiller/