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"Le Mossad est derrière le 11 septembre", écrit le professeur Zabrosky.

Démarré par JacquesL, 15 Mai 2010, 05:49:08 PM

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JacquesL

"Le Mossad est derrière le 11 septembre", écrit le professeur Zabrosky.

En français : http://www.mecanopolis.org/?p=16956.
Erreur de traduction : "bouillon de sorcière", ou "brouet de sorcière", et non "balai de sorcière".

En anglais : http://theinfounderground.com/forum/viewtopic.php?f=4&t=10233&start=30#p38783.
http://sabbah.biz/mt/archives/2010/03/10/zionism-unmasked-the-dark-face-of-jewish-nationalism/
http://theuglytruth.podbean.com/2010/03/14/the-ugly-truth-podcast-march-15-2010/
http://www.redress.cc/zionism/asabrosky20100312

CiterEn date du 12 mars 2010, par le Dr Alan Sabrosky :

Le visage sombre du nationalisme juif

« Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a dit un jour à une réunion du Likoud qu' « Israël n'est pas comme les autres pays. » Curieusement pour lui, cette fois là il disait la vérité, et ça n'est nulle part plus évident que dans l'exemple du nationalisme juif, qu'on lui attribue ou pas l'étiquette de « sioniste ».

Le nationalisme dans la plupart des pays et des cultures peut avoir des aspects positifs et négatifs, unifiant un peuple et, quelquefois, le poussant contre son voisin. L'extrémisme peut émerger, et l'a souvent fait, au moins en partie dans presque tous les mouvement nationalistes/d'indépendance dont je me souviens (par exemple, le mouvement nationaliste français avait La Terreur, le Kenya avait les Mau-Mau, etc.)

Mais alors que l'extrémisme des autres mouvements nationalistes est une aberration, l'extrémisme dans le nationalisme juif est la norme, montant les juifs sionistes (laïques ou observateurs) contre les Goyim (le reste du monde), qui sont potentiellement ou bien des prédateurs ou bien des proies certaines, sinon les deux successivement. Cela ne signifie pas, d'aucune façon, que tous les Juifs ou tous les Israéliens ressentent et agissent ainsi. Mais cela signifie qu'Israël est aujourd'hui ce qu'il ne peut éviter d'être, et ce qu'il serait sous n'importe quel gouvernement élu (un point que je vais développer dans un autre article).

Les différences entre le nationalisme juif (le sionisme) et celui d'autres pays et cultures, sont selon moi quadruples :

1. Le sionisme est un véritable brouet de sorcière de xénophobie, de racisme, d'ultra-nationalisme, de militarisme, ce qui le place en dehors d'un simple « contexte nationaliste » – par exemple, quand j'étais en Irlande (dans les deux portions), je n'ai vu aucune indication selon quoi les IRAs ou quelqu'un d'autre faisaient pression pour qu'une Irlande unie planifie d'envoyer les protestants dans des camps ou à l'extérieur du pays, bien qu'il puisse très bien y en avoir une poignée qui pense ainsi – et qui dépasserait de loin les misères infligées par les nazis ;

2. Le sionisme sape la loyauté civique de ses adhérents dans les autres pays, ce que les autres mouvements nationalistes (et même des mouvements ultra-nationalistes comme le nazisme) n'ont pas fait – par exemple, une grande majorité des Juifs américains, y compris ceux qui n'ont pas ouvertement la double citoyenneté, épousent une forme de la bigamie politique appelée « double loyauté » (à Israël et aux États-Unis) qui est tout aussi malhonnête que la bigamie matrimoniale, les tentatives de faire impasse sur la préséance qu'ils accordent à Israël par rapport aux États-Unis (beaucoup de Rahm Emanuel là-bas qui ont servi dans l'armée israélienne mais PAS dans les forces armées américaines), et n'a absolument aucun parallèle dans le sens d'une identité nationale ou culturelle adoptée par n'importe quel autre groupe ethnique ou racial définissable aux États-Unis – même le Bund nazi aux États-Unis a disparu une fois que l'Allemagne et les États-Unis sont entrés en guerre, avec la quasi-totalité de ses membres se portant volontaires dans les forces armées américaines ;

3. L'« ennemi » des mouvements nationalistes normaux est la puissance occupante et peut-être ses alliés, et une fois l'indépendance assurée, des relations normales avec la puissance occupante sont vraiment la norme, mais pour le sionisme presque tout le monde extérieur est un ennemi réel ou potentiel, ne différant qu'en terme de proximité et de position dans sa très longue liste d'ennemis (qui est maintenant la liste des cibles des États-Unis) ; et

4. Presque tous les mouvements nationalistes (y compris les irrédentistes et les variantes sécessionnistes) ont l'intention de créer un État indépendant à partir d'une population en place ou pour réunir un peuple séparé (comme les Allemands des Sudètes dans les années 1930) – il est très rare qu'il comprenne le déplacement massif d'une autre population indigène, qui est beaucoup plus commune dans les mouvements colonialistes réussis tels qu'aux États-Unis – et peut-être une raison expliquant que la plupart des Américains ne se sentent pas concernés par ce que les Israéliens font subir aux Palestiniens, même s'ils le savaient, puisque ce n'est pas tellement différent de ce que les Européens d'Amérique du Nord ont fait aux Amérindiens ici sur une plus longue période de temps et avec une technologie peu développée.

Les implications pour les perspectives de paix au Moyen-Orient, et pour d'autres pays sous l'emprise (ou pas) de leurs lobbies juifs domestiques, donnent le frisson. Le fait que le livre du Deutéronome prenne vie dans un État doté d'un arsenal nucléaire serait suffisant pour donner à réfléchir à quiconque n'est pas soumis par l'argent ou la corruption – qui de nos jours englobe le gouvernement des États-Unis, compte tenu de l'inclination d'Israël à lancer de la boue dans le visage de l'administration Obama et compte tenu de l'inclination visible Obama à accepter cela avec le sourire, l' « Oncle Tom » de Bibi Netanyahou vient à Washington.

Feu le général Moshe Dayan, qui – sionistes ou pas – fait partie de mon propre Panthéon honorifique des héros militaires, aurait apparemment fait remarquer que la sécurité d'Israël dépend du fait qu'elle soit perçu par autrui comme un chien enragé. Il avait sans doute raison. Mais il a négligé de noter que la réponse préférée de tout le monde est de tuer ce chien enragé avant qu'il puisse décider de se déchaîner et de mordre. Il s'agit d'une option à considérer. »


JacquesL

CiterLe 26/10/2010 16:35, Sagitarian a écrit :
> Bonjour,
>
> Ce que je préfère dans ce film c'est la réaction qu'il crée.
> Le nombre de guguss qui crient à l'antisémitisme, je me fais plaisir de
> leur répondre qu'ils sont racistes puisqu'ils croient en la version
> officielle.
> La version officielle accuse des arabes ET des musulmans => Aucun problème.
> Une autre version ne fait qu'étudier la piste israelienne (qui n'est pas
> une race) => Antisémitisme !
> Cherchez l'erreur...
>

La piste a souvent été discutée sur d'autres forums (avec un retour de flammes des atlantistes sionistes criant à l'antisémitsme)

L'affaire des types dansant au moment de l'écroulement des tours avait été évoqué en son temps

Les noms : Siran et Paul Kurzberg, Oded Ellner, Omer Marmari et Yaron Schumel.

Lorsque la police a arrêté leur camionnette, elle y a trouvé des habits arabes, des cutters, des liasses d'argent, une multitude de passeports et leurs visas de séjour expirés.
L'information de leur arrestation a été rapportée le lendemain par un journal local de New Jersey, The Bergen Record, mais n'a pas été reprise par les médias lourds.
Ils furent incarcérés à la prison de Brooklyn. Après dix semaines de détention durant lesquelles ils n'ont pas été interrogés, ils ont été expulsés vers Israël pour infraction de séjour illégal.

Du reste cela va plus loin que cela puisque cela a permis au FBI de débusquer quelques centaines de faux étudiants en art dont certains... habitaient sur le même palier que les terroristes qui étaient dans les avions
Accessoirement cela a permis au FBI de conclure également que tout leur système d'écoute téléphonique était piégé par des backdoors matérielles et logicielles qui permettait à son fournisseur d'écouter en temps réel tout ce qui passait par les lignes.

La Sté chargée des écoutes était "Comverse" dont Odigo était partenaire
(en 2002 Comverse a racheté Odigo)
Les deux Stés sont des stés israéliennes


Y a de ces coïncidences  tout de même :-)


Du reste l'affaire des types dansant avait déjà été évoqué en France dans une émission :

http://www.youtube.com/watch?v=yIN9WUIHm8M

(le titre doit faire partie d'un autre sujet mais c'est le début de cette vidéo qui est intéressante)


JacquesL

#3
Qui a la double nationalité américaine et israélienne ?
Le film cité ci-dessus en énumérait un certain nombre, mais hélas, le plus pratique sur le Net, ce sont des documents écrits, pas des vidéos.

http://www.recherches-sur-le-terrorisme.com/Analysesterrorisme/michel-germaneau-aqmi.html
CiterSe contentant de la bonne parole diffusée par les médias, on présume donc ce « SITE » une structure officielle, jouissant des plus sûres garanties d'impartialité. Et pourtant !

Cette appellation correspond au site en anglais « Site Intelligence Group », qui traduit les textes de l'arabe et les transmet ensuite à ses seuls abonnés. Il faut néanmoins savoir « Intelligence Group » une émanation de l'État d'Israël. La directrice s'appelle Rita Katz. Née en Irak, elle jouit de la double nationalité : américaine et israélienne. Elle a en outre obtenu ses diplômes à Tel-Aviv. Parmi ses trois conseillers mis en avant, figurent Gabriel Weimann, professeur de Communication à l'Université de Haïfa (Israël), et Bruce Hoffman, directeur de la Rand Corporation et intervenant auprès du JINSA, une institution juive pro-israélienne dont l'acronyme signifie « Jewish institute for national security affairs ».
Ce n'est pas tout. Le « SITE », pour son hébergement sur Internet, recourt aux bons offices de « Web Station One ». Et là, on sourit. Cet hébergeur accueille principalement des sites sionistes ou des structures de propagande favorables à Israël. On reconnaît, parmi les noms des bénéficiaires, celui du MEMRI, un site Internet créé par un ancien officier du Mossad, Yigal Carmon, pour diffuser la traduction de documents islamistes.

http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20081104225127AAqjkBO
CiterIsraël accordre la nationalité israelienne a tout juif qui immigre en Israël, sans que celui n'ait pour autant à renoncer à la nationalité de son pays d'origine.
Et tout enfant nés de citoyens américain a automatiquement la citoyenneté américaine, quel que soit l'endroit où il est né.

En conclusion, tous les juifs américains qui ont émigré d'Israël depuis les USA ont la double nationalité, ainsi que tous leurs enfants qui en font la demande. Et depuis 1945, ça doit faire un certain nombre.

http://identitejuive.com/deux-physiciens-israelo-americains-parmi-les-10-scientifiques-a-recevoir-la-us-national-medal-of-science/
CiterDeux physiciens Israélo-Américains parmi les 10 scientifiques à recevoir la US National Medal of Science

Il y aura deux Israélo-Américains parmi les 10 scientifiques à recevoir la US National Medal of Science des mains de Barack Obama.
...
Professeur émérite à l'université de Tel Aviv, Yakir Aharonov possède la double nationalité, israélienne et américaine.
...
Le Professeur Amnon Yariv du California Institute of Technology (CalTech), sera aussi honoré pour ses avancées dans le domaine de la photonique et de l'électronique quantique, découvertes qui ont révolutionné les communications modernes.

Le Professeur Yariv, 80 ans, a grandi à Tel Aviv et a servi dans l'armée israélienne de 1948 à 1950, puis, il a entamé des études à l'Université du Technion. L'université de Tel Aviv lui a proposé de joindre l'institut Sackler dans les années 70.

http://www.liberation.fr/economie/0101621718-l-economie-israelienne-inspire-confiance-aux-investisseurs
CiterStanley Fischer, 66 ans, qui a la double nationalité américaine et israélienne, a été nommé à la tête de la Banque d'Israël en 2005 par le ministre des Finances de l'époque et Premier ministre actuel, Benyamin Nétanyahou. Professeur d'économie au MIT, le Massachusetts Institute of Technology, avant de devenir numéro 2 du Fonds monétaire international (FMI) de 1994 à 2001, puis vice-président de Citigroup, il plaide activement la cause d'Israël auprès de l'OCDE (l'Organisation de coopération et de développement économique) qui devrait accepter en mai la candidature de l'Etat hébreu.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Boyarin
CiterDaniel Boyarin, né en 1946, est un philosophe  et un spécialiste d'histoire des religions. Né à Asbury Park, dans le New Jersey, il a une double nationalité américaine  et israélienne. Il se définit lui-même comme un juif orthodoxe.

Depuis 1990, il enseigne la culture du Talmud au département d'études proche-orientales de l'Université de Californie (Berkeley).

http://sos-crise.over-blog.com/article-alertes-rouges-provocations-d-israel-contre-l-iran-pour-impliquer-les-usa-role-wikileaks-62090700.html
CiterComme dés le départ il s'est avéré clairement que Wikileaks est une opération des services secrets israéliens utilisant leur réseau étendu au sein du département de la défense et du département d'état dont des centaines de membres du personnel ont la double nationalité américaine et israélienne c'est vraiment le puissant lobby israélien, AIPAC, qui rend tout cela possible.

http://www.europalestine.com/spip.php?article5265
CiterLa police israélienne "des frontières", bien connue pour sa violence, avait lancé une grenade en plein visage d'Emily Henochowicz, jeune américaine étudiante à Jérusalem qui protestait contre le raid meurtrier de la Flotille de la Liberté, au check-point de Kalandia, le 31 mai dernier. Celle-ci a perdu un oeil, et le gouvernement israélien refuse de payer la note de frais de l'hôpital où elle a été prise en charge.

Un reporter du journal israélien Haaretz qui a assisté à la scène le 31 mai, lors de cette manifestation de protestation contre l'assassinat de passagers du Marmara, témoigne de la violence de la police israélienne.

Emily Henochowicz frappée en plein visage par une grenade lacrymogène a été blessée à la mâchoire et a perdu un oeil.

La jeune femme, qui a la double nationalité, américaine et israélienne, étudiait à l'académie des arts de Bezalel, à Jérusalem. Elle a été transportée à l'hôpital Hadassah de Jérusalem.

http://africa.jeuneafrique.com/israel-guerre-golfe.html
http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2519p008-009.xml7/-USA-processus-de-paix-Rahm-Emanuel-juif-quand-rahm-emanuel-inquiete-israel..html
Citer Quand Rahm Emanuel inquiète Israël

Le secrétaire général de la Maison Blanche a déclaré en substance que si Israël souhaite continuer à bénéficier de l'aide de Washington dans le dossier nucléaire iranien, il serait bien inspiré d'appuyer le processus de paix avec les Palestiniens, en acceptant le principe des deux États, en arrêtant la colonisation et en démantelant les implantations sauvages en Cisjordanie toutes positions aux antipodes des intentions affichées par le gouvernement de Benyamin Netanyahou.  [...] La déclaration est d'autant plus intéressante qu'Emanuel, qui passe pour le plus proche collaborateur de Barack Obama, possède la double nationalité israélienne et américaine et s'était engagé dans les rangs de Tsahal lors de la guerre du Golfe, au début des années 1990.

http://www.intelligenceonline.fr/evaluation-des-risques/1994/08/24/l-affaire-rami-dotan-progresse,61230-ART
Citer24 août 1994... un avocat à la double nationalité américaine et israélienne, qui a également été mêlé à l'affaire de l'espion Jonathan Jay Pollard. ...

http://arabe.over-blog.fr/article-terrorisme-d-etat-62574720.html
Très mal traduit :
Citer Comme dés le départ il s'est avéré clairement que Wikileaks est une opération des services secrets israéliens utilisant leur réseau étendu au sein du département de la défense et du département d'état dont des centaines de membres du personnel ont la double nationalité américain et israélien.

http://www.20minutes.fr/article/269798/election-usa-A-Brooklyn-la-communaute-juive-hassidique-prefere-McCain.php
Citer«J'aime vraiment Obama, c'est un type bien, précise Avraham Sachs, 20 ans, autre étudiant de la yeshivah qui a la double nationalité américaine et israélienne. Mais je ne sais pas si c'est la bonne personne pour défendre Israël. C'est pour cela que je vote McCain. Obama est pour davantage de diplomatie, alors que McCain sera plus efficace contre le terrorisme.»

http://www.mecanopolis.org/?p=3462
CiterLes étranges liens de Bernard Madoff avec les services-secrets israéliens
Mr Madoff qui possède la double nationalité nord-américaine et israélite, fut arrêté le 12 décembre dernier alors qu'il essayait de fuir des Etats Unis en sortant des milliers de millions de dollars de fonds de réserve du Mossad,
...
mais pouvons cependant signaler que, jusqu'au jour d'aujourd'hui, et a quasiment 4 ans de son arrestation, l'espion israélite du Pentagone, Franklin et ses commanditaires de l'AIPAC, ne sont toujours pas impliques dans cette affaire qui devrait être jugé par le fiscal Fitzgerald, car, peut être, la considération de dévoiler les implications du Mossad dans les affaires du peuple nord-américain serait trop catastrophique.

On ne peut pas reprocher a l'armée nord-américaine de ne pas prendre des mesures contre la pénétration du Mossad, car selon ses règles a long terme, il est interdit aux juifs nord-américains de rentrer dans les corps d'élite des officiers US et dans les services de renseignement gouvernementaux en raison de sa possible double nationalité (nord américaine et israélite).. De ce fait l'armée est considérée comme étant le « dernier protecteur » afin que son pays ne soit pas utilise uniquement pour le bénéfice d'Israël. Cette même réticence de l'armée US est maintenant utilisee par Obama pour éloigner son pays, de ce catastrophique chemin.

http://www.ladepeche.fr/article/2008/11/29/501522-Attentats-en-Inde-au-moins-30-etrangers-tues.html
CiterLes corps de huit Israéliens, dont certains "ont la double nationalité israélienne et américaine" ont été découverts dans un centre religieux juif orthodoxe,
...
des personnes ayant la double nationalité, notamment américano-israélienne, comme ce pourrait être le cas du rabbin Gavriel Holtzberg et de sa femme Rivka, qui habitaient New York.

http://www.planetenonviolence.org/Connection-Assange-Netanyahou-Le-Consulat-US-A-Jerusalem-A-Vendu-Aux-Encheres-Des-Documents-Secrets_a2329.html
CiterLe Consulat américain à Jérusalem a vendu des données secrètes aux enchères.

Fox News avait révélé le 27 Janvier 2009 un fait pour le moins surprenant témoignant d'un laxisme particulièrement suspect à son consulat à Jérusalem. Le média de Murdoch défenseur inconditionnel d'Israël avait pu consulter à l'époque des centaines de documents secrets vendus avec le meuble qui l es contenait aux enchères publiques « par erreur » par le consulat US à Jérusalem.

Des centaines de données incluant notamment des données sensibles tels les numéros de sécurité sociales de Marines US et d'employés du Département d'Etat en services en Israël, les numéros de comptes en banque et d'autres informations sensibles du gouvernement US telles celles relatives à la façon dont l'argent du gouvernement US est distribué pour financer des programmes eux aussi dits «sensibles» dans la région. Parmi les documents vendus figurent également un rapport qualifié de « secret » et ne devant absolument pas tomber entre les mains d'étrangers portant sur une rencontre entre un Marine américain et une israélienne dans un bar.

Robert Baer, un ancien agent de la CIA qui a passé des années au Moyen Orient avait qualifié ce fait de sérieuse faute en matière sécuritaire.

« C'est une brèche majeure car le gouvernement veut à tout prix préserver ses données de mains étrangères celles d'Israël ou d'un autre pays... Nous espionnons Israël ils nous espionnent. Les Marines sont particulièrement vulnérables car ils sont jeunes et inévitablement célibataires. On a là ce que l'on appelle un piège amoureux. Vous faites en sorte qu'une fille rencontre par hasard un employé. Vous faites en sorte que celui-ci tombe amoureux et puis vous obtenez d'eux qu'ils enfreignent les règles de sécurité et volent des documents ou tout autre chose ».

Le Mossad utilise souvent de jolies jeunes filles pour ses activités d'espionnage et c'est selon certains rabbins sionistes « casher » de faire la pute pour défendre les intérêts du régime sioniste incluant parfois des assassinats.

Ces documents et le meuble les contenant vendus aux enchères publiques ont été achetés par une dénommée « Paula » qui a la double nationalité américaine et israélienne et dont un fils était à l'époque soldat dans l'armée israélienne.

« Paula » avait refusé de rendre les documents aux autorités américaines. Ce n'est que sous la menace de poursuites judiciaires et après avoir auparavant autorisés Fox News à les consulter - et probablement les photocopier - qu'elle les avait remis aux Américains non sans avoir clamé haut et fort qu'elle voulait rendre tout cela public à cause de sa « loyauté envers l'état d'Israël ».

http://www.nouvelordremondial.cc/2011/02/26/ils-nosent-pas-prononcer-le-nom-le-sionisme-rothschild-22/
CiterDu temps du 9/11 le Pentagone était contrôlé par des gens comme Paul Wolfowitz (Sioniste Rothschild), le Député Secrétaire à la Défense qui est allé à la tête de la Banque Mondiale ; et Dov Zakheim (Sioniste Rothschild), un citoyen à double nationalité Israélienne/Américaine et le Pentagon Comptroller qui est arrivé à 'perdre' des trillions du budget du Pentagone – un fait qui a été annoncé le 10 Septembre 2001.

Personne ne se demande pourquoi cette annonce n'a pas été largement rapportée ? Quelque chose s'est-il passé le jour suivant donc ? Cela doit être une coïncidence, évidemment, ils n'auraient pas pu savoir ce qui allait arriver, n'est-ce pas ??

Zakheim a également mal classés les escadrons des combattants US F16 et F15 en tant que surplus militaires afin qu'ils puissent être vendus à Israël, à un prix knock-down (et acheté avec l'argent d'«aide» américaine, de toute façon). Ceci et d'autres ventes de matériel militaire (souvent des cadeaux) signifie qu'Israël, avec une population de seulement sept millions et demi, a l'une des forces aériennes les plus importantes de la planète.

*Je le répète – les Juifs ne représentent que 1.7% de la population Américaine et la majorité d'entre eux ne sont pas Sionistes Rothschild. La proportion des postes de pouvoir est tout simplement fantastique et je ne fais que souligner ce que vous pouvez appeler une 'liste des grands titres'. Tout cela va bien, bien plus loin – voyez par exemple cette liste de Sionistes Rothschild contrôlant apparemment des organisations non-Juives...


http://www.christusrex.org/www1/ofm/mag/TSmgfrB7.html
CiterLes juifs américains qui vivent aux USA maintiennent leur droit d'être détenteurs de la double nationalité, l'américaine et l'israélienne. Ainsi ceux d'entre eux qui résident à Jérusalem pour un certain temps n'éprouvent pas la crainte de perdre leur passeport américain ni leur carte d'identité israélienne. Par contre, les familles palestiniennes qui habitent Jérusalem depuis des centaines d'années sont maintenant considérées comme des hôtes du gouvernement israélien. Le simple droit de résidence pourrait leur être enlevé à n'importe quel moment. J

http://membres.multimania.fr/wotraceafg/crimes.htm
CiterRichard Perle, Président du Defense Policy Board

Pour la forme, il démissionne de ce poste au printemps 2003 sans rien perdre de son influence. Il est lui aussi titulaire de la double citoyenneté et apôtre de la double allégeance (avec un penchant très marqué pour le principe Israel first). Perle a été conseiller de Benjamin Nétanyahou, premier ministre israélien à la fin des années 1990. Il est également directeur du journal Jerusalem Post* et représentant des industries israéliennes d'armement (Soltam). Les Français sont la bête noire de Richard Perle.** Pour les punir de leur très antisémitique antiaméricanisme, l'homme de Sharon décrète que la France n'est plus l'alliée des Etats-Unis et n'hésite pas à se rendre à Berlin pour y dénoncer l'influence néfaste que Paris exercerait sur ses partenaires européens. (Qu'on imagine un instant un haut fonctionnaire français prenant la parole devant des responsables du Pentagone pour stigmatiser l'emprise sioniste sur les USA !)

* Il suffit d'un claquement de doigts de Richard Perle pour que ce journal et les 378 autres du groupe Hollinger dont Perle est le patron, déclenchent n'importe quelle campagne aussitôt reprise dans le monde entier, par exemple la diffamation du député britannique George Galloway, opposé à l'agression contre l'Irak.

...
John Ashcroft, Ministre de la "Justice" (surnom: Ayatollah Asscraft)

Antécédents: raciste notoire, proche du Ku-Klux-Klan, a fait l'apologie de la Confédération esclavagiste et sécessionniste des Etats du Sud. Cet illuminé d'un autre âge croit que l'Amérique tient son pouvoir de Jésus et organise dans son ministère des séances de prière collective et d'étude de la Bible. Il représente au sein du gouvernement les groupes sionistes chrétiens qui prennent l'Ancien Testament au pied de la lettre et considèrent qu'un soutien sans faille à Israël est le meilleur garant de la reconstruction prochaine du Temple de Jérusalem - reconstruction qui permettra le retour du Christ et l'avènement du Royaume de Dieu, amen... Dans un pays fortement influencé par l'intégrisme et les sectes, ces adeptes du prédicateur Jerry Falwell sont légion. En janvier 2002, incroyable mais vrai, le puritain Ashcroft fait accrocher des rideaux dans le grand hall du son ministère, afin de dissimuler à la vue du public deux statues de "femmes dénudées", représentations allégoriques de l'Esprit des Lois et de la Majesté de la Justice. Coût de l'opération : 8000 dollars.

Ashcroft, défenseur fanatique des lois d'exception et liquidateur des libertés constitutionnelles américaines, a fait arrêter et mettre au secret sans motif des milliers de citoyens US musulmans ou d'origine arabe. Il encourage et couvre la délation, la chasse au faciès et les crimes racistes sur le territoire des Etats-Unis. A l'initiative d'Ashcroft, les personnes soupçonnées de terrorisme seront jugées à huis clos par des tribunaux militaires qui pourront les condamner à mort sans preuves, sans défense et sans appel, après avoir utilisé des aveux obtenus sous la torture. En revanche, les suspects israéliens arrêtés par le FBI après le 11 septembre ont tous été remis en liberté sur intervention d'Ashcroft. Comme il se doit, ce belliciste est aussi un chicken hawk pur sang.

En novembre 2004, Ashcroft cède la place à Alberto Gonzales, jusqu'alors conseiller à la Maison Blanche. (Gonzales est l'auteur d'une note de service soulignant que l'administration n'est pas tenue de se soumettre à la Convention de Genève pour ce qui est du traitement des prisonniers capturés en Afghanistan, en Irak ou ailleurs dans le cadre de la "guerre contre terrorisme".) En septembre 2007, Gonzales est remplacé par Michael Mukasey, un sioniste pur-sang. Comme la plupart des néo-cons, Mukasey a la double nationalité Israël-USA (par ordre d'importance).
...
les innombrables conseillers juifs sionistes d'Obama, qu'on ne peut mentionner qu'à titre collectif car il est impossible de les énumérer tous - ils figurent dans cette interminable liste. Pour résumer : rien ne se fait sans eux, ni à la Maison Blanche de Barack Obama, ni au Pentagone de Robert Gates, ni au State Department de Madame Clinton, ni à plus forte raison à l'OTAN, à l'UE et dans les diverses colonies de l'Empire. Comme il est difficile, dans ce groupe, de distinguer les Américains des Israéliens - ils ont la plupart du temps la double nationalité -

http://membres.multimania.fr/wotraceafg/synthese_2.htm
CiterLe nouveau Congrès des Etats-Unis compte 45 membres juifs (sur 538 = 8 %), un record absolu. Parmi eux se trouvent 32 représentants (sur 438 = 7 %) et 13 sénateurs (sur 100 = 13 %). Le pourcentage d'Américains juifs dans la vie réelle est inférieur à 2 %. C'est le site sioniste JPost.com qui annonce fièrement ces chiffres disproportionnés. Il oublie seulement de signaler que les 93 et 87 % d'élus non élus obéissent au doigt et à l'oeil aux élus élus.

Mieux encore, à la Knesset américaine les présidents de toutes les commissions importantes sont juifs - pas de danger que quelque chose leur échappe : The Best Congress Jewish Money Can Buy.

Pour bien montrer sa docilité vis-à-vis du sionisme, Obama nomme, dès le 5 novembre 2008, l'Israélo-Américain Rahm Israel Emanuel au poste de secrétaire général de la Maison Blanche (Chief of Staff). Rahm Israel est un "ami personnel" d'Obama ; il l'a aidé à rédiger son discours d'allégeance prononcé en juin 2008 devant l'AIPAC, point de passage obligé pour tout candidat "sérieux".

A Chicago, Rahm est connu pour sa délicatesse et ses bonnes manières qui lui ont valu le surnom de Rahmbo. Ce fervent patriote américain a été soldat dans l'armée israélienne. Son père, lui, s'est distingué dans les rangs de l'organisation terroriste juive Irgoun. En 2008, Rahmbo le Tsaholo veut augmenter de 100.000 hommes les effectifs militaires US. Comme il n'y a pas suffisamment de volontaires désireux de mourir pour Israël, il faudra bien tôt ou tard rétablir le service militaire obligatoire.

Rahm Israel Emanuel a plus d'une corde à son arc. Dans les années 1990, avant de se faire élire député, il a "travaillé" pour la banque d'affaires (juive) Wassertein, qui fut ensuite reprise par la Dresdner Bank, puis par l'assureur Allianz. En deux ans, ses activités lui ont rapporté 18 millions de dollars. En 2001, il a été membre du Board of Directors de la société de crédit immobilier Freddie Mac et a touché à ce titre 260.000 dollars. Comme le signale Wikipédia : "During the time Emanuel spent on the board, Freddie Mac was plagued with scandals involving campaign contributions and accounting irregularities" - autrement dit : détournement de fonds, financements illégaux, escroquerie et corruption.

Le 6 novembre 2008, Benjamin Emanuel (le terroriste de l'Irgoun, père de Rahmbo) déclare dans une interview au journal israélien Ma'ariv : "Cette nomination est une excellente chose pour Israël...  Bien sûr que mon fils va influencer le président. Qu'est-ce que vous croyez ?  Qu'il est là-bas pour cirer les parquets de la Maison Blanche ?  C'est pas un Arabe, quand même..."
...
Soit dit en passant, la section Moyen-Orient du ministère des Affaires étrangères est exclusivement composée de juifs sionistes israéliens : un témoignage vidéo (interview de Kay Griggs, ex-épouse d'un colonel de marines).

http://fr.rian.ru/society/20110214/188623229.html
CiterMOSCOU, 14 février - RIA Novosti

Les douaniers de l'aéroport moscovite de Domodedovo ont découvert un magasin de cartouches de fusil dans les bagages d'une passagère en partance pour l'étranger, rapporte lundi le service de presse du Service fédéral russe des douanes (FTS).

"Les munitions se trouvaient dans le sac de voyage d'une femme possédant la double nationalité israélienne et américaine et qui se rendait de Tel-Aviv à New York via Moscou", lit-on dans le communiqué.


JacquesL

Suite :

http://pekeles.over-blog.com/article-haim-saban---un-ultra-sioniste-sur-le-point-de-racheter-al-jazeera---37204099.html
CiterHAIM SABAN : UN ULTRA-SIONISTE SUR LE POINT DE RACHETER AL JAZEERA !

Selon le journal égyptien El Mesryoon, Haim Saban serait en négociation avec le gouvernement du Qatar, via un intermédiaire égyptien, pour racheter 50% du capital de la chaîne Al Jazeera.

La chaîne d'information serait en mauvaise santé financière.

Selon le journal, c'est la 2ème fois que des négociations ont lieu directement entre Haim Saban et l'émir du Qatar. M. Saban serait allé au Qatar avec Bill Clinton en 2003 lors d'une conférence organisée par le Cheikh pour faire avancer le processus de paix au Moyen Orient.

Les négociations de rachat auraient été prises au sérieux, des études sur l'évaluation du prix de vente auraient été engagées puis Haim Saban se serait retiré des négociations sans donner d'explications. Une nouvelle offre aurait été lancée récemment par les dirigeants du Qatar, via un homme d'affaires égyptien.

Haim Saban est un homme d'affaire et un compositeur. Il a la double nationalité américaine et israélienne. Il est né en 1944 en Égypte, à Alexandrie, et a émigré en Israël en 1956.

Haim Saban dirige la société Saban Capital Group, Inc. ("SCG"). Il a un siege au conseil d'administration de TF1 et dans DirecTV, le bouquet satellite de Rupert Murdoch.

http://novusordoseclorum.discutforum.com/t2554-11-septembre-le-role-central-des-services-secrets-israeliens
Citer11. Le plan des attaques du 11 septembre a été mise sur papier par des sionistes néoconservateurs, dont plusieurs sont Juifs et/ou de double nationalité israélo-américaine: Paul Wolfowitz, Richard Perle, Douglas Feith, Elliot Abrams, Donald Kagan, Richard Haas, Kenneth Adelman, Edward Luttwak, Robert Satloff, David Frum, David Wurmser, Steve Goldsmith, Marc Grossman (signataires du PNAC et de "Rebuilding America's Defense, 'Catastrophic Terrorism' in Foreign Affairs")
...
Ainsi donc, les auteurs du 11 septembre étaient une combinaison de psychopathes (le "travail de l'extérieur" -"outside job"- sioniste) travaillant avec des sociopathes (le "travail intérieur" -"Inside Job"- par exemple Giuliani, Cheney et Rumsfeld). Et la plupart des sionistes ont la double citoyenneté, alors cela pourait donc être considéré comme interne et externe. Par conséquent, les deux descriptions "inside job" et "outside job" sont valables. Mais ils n'auraient pas été en mesure de s'en tirer avec un crime aussi grave que le 11 septembre même pour plus de 5 ou 6 ans, si ce n'était du fait que le contrôle des médias de masse constitue la pierre angulaire de leur programme.

http://www.france-israel.org/articles.ahd?idart=1671
Citeré au Salvador, Moshe Kotel, 47 ans, possède la double nationalité israélienne et américaine.

http://www.planetenonviolence.org/Turquie-base-de-prochaines-attaques-aeriennes-americaines-contre-l-Iran-cooperation-militaire-renforcee-avec-Israel_a402.html
Citer

Turquie et Israel une coopération militaire rapprochée qui pourrait servir dans le cadre d'une attaque contre l'Iran
Le chef de l'état major de l'armée israélienne Dan Halutz s'est rendu récemment en Turquie où il a été reçu avec tous les honneurs, quelques jours apres la visite du chef de l'armée de l'air turc Faruk Comerts à Tel Aviv. Le chef de la marine turque doit lui aussi se rendre en Israel d'ici peu.

Au cours de cette visite d'une journée en Turquie Dan Halutz a aussi rencontré son homologue turc le général Hilmi Ozkok, avec lequel il s'est entretenu de l'Iran notamment. Au cours de cette visite, les israéliens et turcs ont réaffirmé leurs intention de continuer leurs exercices militaires communs, et d'utiliser les satellites espions israéliens de façon plus efficaces contre l'islamisme radical dans la région ( sous entendu l'Iran). L'armée israélienne va fournir du matériel de surveillance high tech aux turcs pour sa frontière avec l'Irak afin de détecter toute infiltration des séparatistes du PKK réfugiés au nord de l'Irak. La Turquie a aussi autorisé les israéliens à construire une station radar sur son territoire pour surveiller la Syrie. Le gouvernement turc s'est bien sûr empressé de démentir l'information mais qui le croira ?

Les deux pays ont signé deux accords de coopération militaires en 1996, et Israel participe actuellement à la modernisation de 170 tanks turcs M-60, 54 avions de combat F-4, et 48 avions de combats F-5s qui lui rapporte quelques milliers de millions de dollars. D'autres activités militaires telles que les échanges de pilotes et dans ce cadre là l'utilisation de l'espace aérien turc pour que les pilotes israéliens puissent s'entraîner sur des vols longue distance ce qu'ils ne peuvent faire dans l'espace aérien israélien trop étroit, mais aussi des manœuvres conjointes de différents corps d'armée, et des visites réciproques font également partie de cette coopération militaire rapprochée.

Source presse israélienne

Note

   * Si les israéliens veulent lancer une attaque aérienne contre l'Iran la seule possibilité qu'ils ont ( voir la carte) c'est de survoler l'espace aérien turc, les syriens et les jordaniens n'étant certainement pas enclin à accepter un survol israélien de leur pays.


   * Certains israéliens ont la double nationalité américaine et israélienne et peuvent servir à la fois dans l'armée de l'air américaine et israélienne. Ainsi donc un pilote américano israélien pourrait mener une mission de bombardement en Iran pour le compte de l' US Air Force ou pour l'armée de l'air israélienne selon ce qui peut être politiquement le plus arrangeant.

http://www.renenaba.com/le-tribunal-special-sur-le-liban-a-l%E2%80%99epreuve-de-la-guerre-de-l%E2%80%99ombre%C2%A0-part-23/
CiterSous couvert de double nationalité, des Israéliens sont présents sous uniforme de l'armée américaine, depuis 2003, comme spécialistes de la guérilla urbaine à Fort Bragg. C'est dans ce centre des forces spéciales américaines, en Caroline du Nord, que fut mise sur pied la fameuse Task Force 121 qui, avec des peshmergas de l'UPK du président irakien Jalal Talabani, procéda à l'arrestation de l'ancien président irakien Saddam Hussein. La coopération israélo américaine se développa en outre sur le terrain extrajudiciaire avec la liquidation de 310 scientifiques irakiens entre avril 2003 et octobre 2004. Des hommes d'affaires israéliens interviennent en outre comme sous-traitants de sociétés jordaniennes ou turques sur le marché irakien. En 2008, le site Internet Roads to Iraq décomptait 210 entreprises israéliennes intervenant masquées sur le marché irakien, véritable aubaine pour les agents recruteurs du Mossad. Le Roi Hussein de Jordanie passe pour avoir été un «indic» de la CIA et la dynastie marocaine bride mal son tropisme israélien exacerbé, comme en témoignent le concours du Mossad à l'élimination du chef de l'opposition marocaine Mehdi Ben Barka et le déploiement de l'Institut Amadeus, sous traitant officieux de la diplomatie marocaine. Sans compter l'Arabie saoudite, principal bénéficiaire des coups de butoir d'Israël contre le noyau dur du Monde arabe.

http://pascasher.blogspot.com/2010/06/11-septembre-et-tout-le-reste-cetait.html
CiterLes croyants à la théorie du complot musulman doivent prétendre que c'était juste une coïncidence si le  Rabbin Dov Zakheim a eu accès aux Boeings et aux mêmes  "Système de Terminaison de Vol" incorporant un  "Transmetteur de Commande" capable de détourner électroniquement un avion pour le crasher dans un bâtiment, sans qu'aucun pilote suicide ou pilotes de Cessna recalés ne soit nécessaire. Les islamophobes paranoïaques doivent toujours être aveugles au fait que Zakheim, de double nationalité israélo-américaine et sioniste enragé, était le co-auteur de "Reconstruire la défense de l'Amérique" (Rebuilding America's Defense), un document de position écrit par le Projet pour le Nouveau Siècle Américain (PNAC) en 2000, qui a appelé à un type d'incident tel un nouveau "Pearl Harbor" qui servira de prétexte à l'armée américaine afin de renforcer son hégémonie mondiale, avec les signataires au bas du document incluant clairement Dov Zakheim (de) "System Planning Corporation", la compagnie dont l'entreprise  "Radar Physics Group" fabrique le "Système de Terminaison de Vol" et un "Système de Transmission de Commande", et avec d'autres signataires du document, incluant les néo-cons Lewis "Scooter" Libby, Paul Wolfowitz, et William Kristol. Les fous à lier doivent maintenir qu'il s'agit seulement d'une coïncidence si le  rabbin Dov Zakheim était le  Comptroller du Pentagone lorsque Rumsfeld a annoncé le 10 Septembre 2001 que plus de 2 billions de dollars (en anglais: trillions) de transaction du Pentagone ne pouvait pas être retracées, et que Zakheim a livré une dvar Torah au  rassemblement de 2002 des Chabad Lubavitch sur la pelouse du Pentagone pour commémorer le centenaire de l'anniversaire de naissance du Rebbe Menachem Schneerson, dont il est dit que "Le Rebbe n'a pas laissé un héritage. Il a laissé des ordres de marche."  Des ordres tels que:

    1. Quelle est la principale mission que notre génération doit accomplir?


    Le principal avodah de cette génération est de nous mener à la dernière guerre de golus, de conquérir et purifier tous les pays non-juifs (de sorte que "toute royauté sera celle de Hashem [le Nom, c-à-d Dieu]", Ovadiah 1:21).


    - Shabbos Parshas VaYelech, 5746.


Les dupes et les groupies des médias doivent proclamer qu'il ne s'agit que d'une autre étrange coïncidence si un réseau massif d'espions israélien a été débusqué à l'époque des attaques du 11 septembre, et que cinq "Israéliens dansants" ont été pris en train de célébrer et de filmer l'incendie des tours jumelles, en possession de passeports étrangers, de cutters, de 4700 $ en argent caché dans une chaussette, et une camionnette testée positive pour la présence d'explosifs, et que la Commission d'enquête du 11 septembre a été dirigée par Philip Zelikow, un écrivain juif américain et professeur d'histoire qui, en 1998, écrivait à propos d'un "événement transformateur" comme un nouveau "Pearl Harbor", qui "diviserait notre passé et notre avenir en un avant et un après».

Il est parfois amusant de voir les cercles enchevêtrés au travers desquels le Likoud cherche à sauter, en faisant valoir que son seul désir est la paix, mais que celle-ci est est toujours contrecarrée par les "terroristes" Palestiniens, "les régimes dictatoriaux Arabes", le "fondamentalisme musulman et le nazisme", etc. Lorsqu'ils citent la compilation d'éléments de preuve du Tehran Times "(2002) démontrant qu'Israël a fait le 11 septembre, les Likudniks font effectivement un très bon travail à prouver que les Iraniens sont très en contact avec la réalité. Comme Benjamin Netanyahu l'a écrit dans son livre "Terrorism: How the West Can Win" ("Terrorisme: Comment l'Occident peut vaincre"): "le terrorisme est tout simplement une trop tentante pour être abandonnée". Cela s'applique également à ceux qui veulent faire partie d'une "guerre contre le terrorisme".

Ceux qui ont perdu des êtres chers dans les attentats essaient de croire en la version de la réalité concoctée par les sionistes, mais  ont manifestement du mal à imaginer comment des terroristes pourraient être aussi chanceux et le gouvernement aussi incompétent. (...)


...

JacquesL

Info sous toutes réserves : 11/9 : Le Mossad surveillait depuis longtemps les pirates qui ont détourné les avions.
http://www.legrandsoir.info/11-9-Le-Mossad-surveillait-depuis.html
http://cryptome.org/dea-il-spy.htm

Citer13 février 2006
11/9 : Le Mossad surveillait depuis longtemps les pirates qui ont détourné les avions.
Wayne MADSEN

Wayne Madsen Report, 8 février 2006.


Wayne Madsen Report (WMR) a déjà publié des informations concernant les activités d'environ 120 « étudiants en art » israéliens qui se trouvaient aux États-Unis avant les attentats du 11 Septembre.

Au moins un an avant les attentats, les étudiants avaient attiré l'attention d'agents de la brigade américaine des stupéfiants (DEA), qui avaient rédigé un long rapport sur leurs activités en juin 2001. Le rapport de la DEA contenait explicitement cette conclusion : il était possible que ces Israéliens aient eu des liens avec « un groupe islamique extrémiste. ». Ce groupe se trouva être al-Quaïda. Vinrent s'y ajouter des rapports complémentaires émanant du Marshal's Service, de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) et de divers services de police.

L'article de WMR sur les activités suspectes de ces étudiants en art et ces déménageurs israéliens arrive à la conclusion que ces individus menaient une opération de surveillance des pirates du 11 Septembre dans des villes comme Hollywood et Venice en Floride, Dallas-Fort Worth au Texas, Laurel dans le Maryland, San Diego en Californie ainsi que Jersey City et Paterson dans le New Jersey.

Un vétéran des services secrets israéliens confirme que les étudiants en art qui suivaient les pirates qui ont détourné les avions du 11 Septembre faisaient partie d'une importante opération de renseignement du Mossad.



WMR peut désormais révéler qu'un vétéran du Mossad, les services secrets israéliens, confirme que les étudiants en art israéliens faisaient en réalité partie d'une importante opération israélienne de renseignement et qu'ils étaient chargés de surveiller les faits et gestes des individus qui ont détourné les avions le 11 Septembre. Ils travaillaient également avec les employés de la société israélienne Urban Moving System dans le New Jersey que l'on a aperçus, à au moins deux endroits de New Jersey City, — Le parc Liberty State et l'immeuble d'habitation The Doric — en train de se réjouir lorsque le premier avion s'était jeté sur le WTC.

Les Israéliens dans le parc Liberty State étaient vêtus à la mode arabe lorsqu'on les a vus célébrer le premier attentat. Par la suite, la FBI a confisqué une vidéo de cet événement qu'ils avaient enregistrée. Les étudiants en art et les déménageurs qui avaient été arrêtés ou placés en garde à vue ont tous été libérés et autorisés à retourner à Israël. Les déménageurs israéliens du New Jersey ont été libérés après que l'ancien maire de New-York, Rudolf Giuliani, ait fait pression sur l'administration Bush.

Après la diffusion de la nouvelle concernant les étudiants et leur réseau d'espionnage dans les médias, dont l'AP et Fox News, l'Ambassade israélienne de Washington et le Washington Post ont dit qu'il s'agissait d'une « légende » . Il est intéressant de souligner que John Miller, le journaliste d'ABC News qui avait fait un reportage sur les déménageurs dans le cadre de l'émission 20/20, concluant que les déménageurs n'étaient pas impliqués dans les attentats, occupe désormais le poste de porte-parole du FBI.

WMR est également en mesure de révéler que plusieurs agents du FBI, des vétérans de la Brigade antiterroriste de New-York et du New Jersey réunis (New York-New Jersey Joint Terrorism Task Force) sont au courant du rôle joué par les Israéliens dans la surveillance des détourneurs d'avions du 11 Septembre, mais ont été « bâillonnés » par leurs supérieurs et ne peuvent pas révéler ce qu'ils savent.

Wayne Madsen


Wayne Madsen est journaliste d'investigation, auteur d'éditoriaux, d'articles et de livres publiés aux États-Unis.
Depuis 1994 il enquête sur des sujets tels la politique de Washington, la sécurité nationale, et le monde du renseignement. Il a écrit pour The Village Voice, The Progressive, CAQ, Counterpunch, et pour l'Intelligence Newsletter (basée à Paris).

Madsen est l'auteur de Genocide and Covert Operations in Africa 1993-1999 (« Génocide et opérations secrètes en Afrique de 1993 à 1999 »), co-auteur de America's Nightmare : The Presidency of George Bush II ( « Le cauchemar de l'Amérique : La présidence de George Bush II ») et de Jaded Tasks : Big Oil, Black Ops & Brass Plates (« La routine : pétrole à gogo, opérations clandestines et plaques commémoratives », à paraître). Madsen est également l'auteur de The Handbook of Personal Data Protection (London : Macmillan, 1992) (« Manuel de protection des données personnelles »), un livre qui traite de la législation internationale sur la protection des données et qui a remporté un vif succès.

Madsen, ancien officier de la Marine américaine, avait été affecté à la NSA (National Security Agency, « agence de sécurité nationale ») sous la présidence de Reagan. Il a aussi 20 ans d'expérience en matière de sécurité informatique et de protection des données. En outre, il a travaillé pour le NAVDAC (Naval Data Automation Command), le Départment d'État, RCA Corporation, et CSC (Computer Sciences Corporation).

JacquesL

11 septembre 2001 : La théorie du « complot piraté »

par Laurent Guyénot

Le 11 septembre pour les nuls

Est-il vrai que 9/11 was an inside job ? Oui, dans la mesure où Israël est « à l'intérieur » des États-Unis. Mais pour les 9/11 truthers qui ont identifié Israël comme le principal responsable, 9/11 was an inside job est au mieux une demi-vérité, et au pire une partie intégrante de l'opération sioniste, un peu comme un drapeau secondaire cousu en doublure sous le faux drapeau de l'islamisme. Victor Thorn (1963-2017) a écrit dans son livre « 9/11 made in Israel : The Plot Against America » (2011) : « Fondamentalement, le « mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre » a été créé avant le 11 septembre 2001 comme un moyen de supprimer les informations relatives à la complicité israélienne. [...] Le slogan 9/11 was an inside job est très probablement le meilleur exemple de propagande israélienne jamais conçu ». En termes plus doux, il s'agit d'une « opposition contrôlée ».

Un authentique mouvement pour la vérité aurait désigné Israël comme le principal suspect dès le départ. En effet, dès le premier jour, il était évident qu'Israël était le principal bénéficiaire. Le jour même des attentats à 13 heures, heure de New York, George Friedman (« né à Budapest, en Hongrie, de parents juifs qui ont survécu à l'Holocauste », nous informe Wikipédia) se réjouissait sur son site géopolitique STRATFOR :

« Le grand gagnant aujourd'hui, intentionnellement ou non, est l'État d'Israël. Israël est assiégé par des kamikazes depuis plus d'un an. Elle a répondu en menant une guerre systématique contre les structures de commandement palestiniennes. La communauté internationale, en particulier les États-Unis, a exercé de fortes pressions sur Israël pour qu'elle cesse ses opérations. L'argument a été avancé que la menace d'attentats-suicides, bien que réelle, ne constitue pas en elle-même une véritable menace pour la sécurité nationale israélienne et ne devrait pas déclencher le type de réponse qu'Israël apporte. Les événements d'aujourd'hui changent tout cela. Premièrement, les États-Unis ne peuvent plus prétendre qu'Israël devrait endurer les bombardements. À l'avenir, l'humeur politique intérieure américaine ne tolérera tout simplement pas une telle position. Deuxièmement, Israël redevient maintenant un allié indispensable des États-Unis. Les États-Unis vont évidemment lancer une guerre massive, à la fois secrète et ouverte, contre le mouvement islamiste radical international qui est supposé être à l'origine de cette attaque. Non seulement cela aligne les intérêts américains et israéliens, mais cela rend également les États-Unis dépendants des Israéliens – dont les capacités de renseignement dans ce domaine ainsi que les capacités opérationnelles secrètes vont clairement devenir indispensables. Il ne fait donc aucun doute que les dirigeants israéliens se sentent soulagés. »

C'est assez simple : le 11 septembre peut être compris comme un cas de « triangulation », dans lequel deux parties sont amenées à entrer en conflit l'une avec l'autre par la main invisible d'un tiers. Dans ce cas, le « choc de civilisation » souhaité entre l'Occident et le monde musulman a été déclenché par Israël, le 11 septembre n'étant que l'opération la plus spectaculaire dans cette stratégie de longue haleine. La triangulation est la tactique préférée du Mossad, décrite par la U.S. Army School for Advanced Military Studies, à la veille des événements du 11 septembre 2001, comme ayant « la capacité de cibler les forces américaines en faisant ressembler cela à un acte palestinien/arabe »1. La triangulation, comme l'explique bien Lucien Cerise, est également utilisée pour créer des conflits au sein d'une nation (des chocs de civilisation interne, pour ainsi dire). Dans la plupart des cas, la main d'Israël n'est invisible que dans la mesure de l'aveuglement volontaire des autorités et du peuple (le proverbial éléphant dans la pièce).

Si, au lieu de comparer le 11 septembre à l'Opération Northwoods qui n'a jamais eu lieu, le film complotiste le plus regardé après le 11 septembre (Loose Change) avait rappelé aux Américains l'attaque contre le USS Liberty, le mouvement 9/11 Truth aurait évolué dans une direction totalement différente de celle qu'il a prise sous la houlette d'Alex Jones. Personne ne songerait à qualifier l'attaque du USS Liberty de inside job ou de « blessure auto-infligée », même si Johnson autorisa secrètement l'opération. Il s'agit d'une tentative par l'armée israélienne de couler un navire américain non armé avec tout son équipage pour accuser les Égyptiens de ce crime et entraîner les États-Unis dans une guerre mondiale.

Il suffisait de compléter l'arrière-plan avec d'autres opérations sous fausse bannière israéliennes documentées (le bombardement de l'hôtel King David en 1946, l'affaire Lavon en 1954, Israël bombardant ses propres ambassades en Argentine en 1992 et à Londres en 1994, etc.) pour transformer un tel mouvement en tsunami. La théorie de l'« opération interne » (inside job), en revanche, ne peut jamais atteindre une masse critique, pour une raison simple : l'idée que le gouvernement américain, de sa propre initiative, trompe et terrorise ses propres citoyens en tuant des milliers d'entre eux pour justifier des guerres au Moyen-Orient qui ne sont même pas dans l'intérêt de la nation, cela est tout simplement trop difficile à croire pour la grande majorité des Américains – plus difficile à croire que le récit officiel avec ses impossibilités matérielles. En comparaison, l'idée qu'Israël attaque l'Amérique sous le faux drapeau de terroristes islamiques pour gagner le soutien américain contre ses ennemis arabes, est immédiatement compréhensible par toute personne de bon sens. Ce n'est qu'avec le pouvoir hypnotique des médias de grand-chemin contrôlés par des sayanim et avec la complicité d'une « opposition contrôlée » bien organisée, qu'une idée aussi naturelle a été supprimée de l'esprit des Américains moyens. Néanmoins, la croyance selon laquelle « le 11 septembre était une opération israélienne » gagne du terrain partout dans le monde. Tôt ou tard, le tsunami viendra. J'espère que mon film, « Le 11 septembre et le grand jeu israélien », réalisé par ERTV maintenant traduit en anglais, y contribuera. Faites-le circuler si vous le jugez utile.

Ce film, malheureusement, a été banni de tous les festivals 9/11 Truth cette année aux États-Unis. On m'a rapporté que les organisateurs « avaient décidé de ne pas troubler les eaux (muddy the waters) avec un film sur l'implication d'Israël dans le 11 septembre ». Cela doit être ironique, car les preuves de l'implication d'Israël apportent de la clarté, alors que des eaux troubles sont ce dont Israël a besoin. Cependant, le film sera diffusé sur noliesradio.org le dimanche 9 octobre, suivi d'un débat entre Alan Sabrosky, Kevin Barrett et moi-même.

Dans le film, j'introduis le scénario hypothétique du « double complot » ou du « complot piraté » (ou encore des « complots imbriqués »), qui est une tentative de distinguer le rôle joué par l'armée américaine et le rôle joué par Israël. Dans cet article, je vais développer cette théorie en soutenant que l'attaque contre le Pentagone et les attaques contre les Tours jumelles ont été préparées par deux groupes distincts, avec deux objectifs distincts : une changement de régime en Afghanistan d'une part, une guerre totale contre les ennemis d'Israël de l'autre. L'attaque du Pentagone était une opération interne de type Northwoods, mais la démolition des Tours jumelles – l'événement qui définit le 11 septembre dans la conscience mondiale – était une opération israélienne dans le même esprit que l'attaque du USS Liberty, mais d'une envergure mille fois plus grande (Israël avait appris du fiasco du USS Liberty qu'il n'y aurait aucun prix à payer en cas d'échec, alors pourquoi ne pas voir grand). Je suggère qu'un groupe de sayanim haut placés à Washington et à New York a doublé les stratèges américains et a transformé leur opération plutôt modeste en une opération « cataclysmique », ne leur laissant d'autre choix que de dissimuler le tout, car exposer l'opération d'Israël exposerait inévitablement la leur.

Dans le scénario que je propose, l'affirmation selon laquelle une entité gouvernementale américaine a commis les attentats du 11 septembre possède une part de vérité, mais cela reste un mensonge par omission s'il n'est pas mis dans la perspective plus large de la prise de contrôle de l'opération par les Israéliens. Ce demi-mensonge n'a pas seulement détourné les chercheurs de vérité des preuves incriminant Israël. Il a aussi servi à mettre la pression sur les services américains impliqués, les forçant à tout mettre sur le compte de Ben Laden, malgré l'invraisemblance de l'accusation, de peur que le voile ne soit levé sur leur propre implication. Le 11 septembre illustre donc comment Israël chevauche les mensonges de l'Empire. C'est aussi le point culminant du détournement par Israël de la politique étrangère et militaire de l'Empire.



Deux événements

L'attaque contre le Pentagone et les attaques contre les Tours jumelles étaient différentes à bien des égards. Une différence cruciale a été soulignée par Barbara Honegger dans sa conférence de 3 heures sur l'attaque du Pentagone : les Tours jumelles sont une cible civile, tandis que le Pentagone est une cible militaire. Les crashs d'avions commerciaux contre les Tours jumelles étaient des actes de terrorisme, pas différents dans le principe de l'attentat à la bombe de 1993 contre les mêmes Tours jumelles, qui n'a conduit à rien d'autre qu'à l'inculpation de 8 personnes pour « complot, destruction explosive de biens et transport interétatique d'explosifs », malgré les tentatives des néoconservateurs d'inculper Saddam Hussein. Seule l'attaque contre le Pentagone, insiste Honegger, pouvait être considérée comme un « acte de guerre » au sens juridique, comparable à Pearl Harbor, et pouvait justifier auprès des membres du Congrès, des chefs d'armée et de l'opinion publique, l'invasion d'un pays souverain. Le centre de commandement militaire américain avait été touché ; c'était un casus belli suffisant pour une guerre limitée – et, semblait-il, impossible à perdre – même contre un État qui niait toute responsabilité et proposait de livrer Ben Laden à un tribunal international.

Il y a aussi une nette différence d'échelle entre les deux événements. L'événement du Pentagone était, selon le récit officiel, une attaque unique par un seul avion détourné. Les dégâts étaient assez faibles, relativement à la taille du Pentagone, et ont été facilement réparés ; exactement ce qu'on peut attendre d'une blessure auto-infligée. Le nombre officiel de morts est de 125 personnes. En revanche, l'événement du WTC est censé avoir impliqué deux avions et causé la destruction complète de trois gratte-ciel et la destruction partielle de beaucoup d'autres, avec des milliers de morts. La méthode de destruction des Tours jumelles reste partiellement mystérieuse, mais il est certain qu'elle a demandé des mois, et possiblement des années de préparation, tandis que l'attaque sur le Pentagone a pu être préparée en quelques semaines.

La différence d'échelle entre ces événements est amplifiée par la différence dans la quantité d'images et les degrés auxquels les Américains y ont été exposés. Les images du crash du Pentagone sont quasi inexistantes, alors que les films du crash des Twin Towers, de leur effondrement et de leur transformation en immenses nuages de poussière brulante sont nombreux et ont tourné en boucle sur les écrans de télévisions. « Cataclysmique », « traumatique », « catalysant », sont des adjectifs appropriés pour les attaques du WTC, pas pour l'attaque du Pentagone. Seuls les premiers peuvent être qualifiés de « terrorisme catastrophique », le domaine d'expertise du crypto-sioniste Philip Zelikow.

Dans l'hypothèse selon laquelle les deux événements étaient des attaques sous fausse bannière mises en scène par deux groupes distincts, leur différence de nature et d'amplitude devient significative. Le scénario du Pentagone était en quelque sorte raisonnable : un avion commercial a été détourné et s'est écrasé sur le Pentagone. Les dégâts étaient proportionnels à leur cause alléguée. De plus, le travail de simulation était minime, car aucun avion n'a été filmé, et seuls des morceaux de fuselage ridiculement petits ont été photographiés sur les lieux. Mais cela avait probablement été jugé suffisant pour convaincre les Américains que le régime taliban, de toute manière détesté de tous, devait être renversé.

Les attaques des Tours jumelles sont d'une autre ampleur. Elles ont été écrites par des scénaristes plus imaginatifs, et produits avec des moyens beaucoup plus considérables : ce n'est pas le travail d'une petite équipe, mais d'un réseau étendu. L'impact visuel et émotionnel était incomparablement plus fort et plus durable. Plus important encore, cette attaque à grand spectacle n'était pas conçu pour convaincre les gens par un prétexte rationnel, mais pour les plonger dans une transe traumatique qui court-circuiterait leur capacité à raisonner. Que des terroristes islamiques puissent détourner un avion et l'écraser sur le Pentagone est une chose raisonnablement crédible, si vous n'y regardez pas de trop près. Mais, comme l'écrit Nick Kollerstrom dans Who Did 9/11 ? : « L'idée que quelqu'un dans les montagnes reculées d'Afghanistan puisse provoquer la désintégration des prestigieux gratte-ciel du World Trade Center à New York est totalement insensée »2. Faire croire cela aux masses a nécessité un pouvoir et une expertise considérables dans l'art du contrôle mental collectif, et une confiance absolue dans ce pouvoir et cette expertise. C'était une opération psychologique d'une ampleur sans précédent, bien au-delà de tout ce que la CIA avait jamais rêvé de faire.

Passons maintenant à la différence la plus importante : alors que l'attaque du Pentagone ne peut avoir été mise en scène que depuis l'intérieur du Pentagone lui-même, les attaques du WTC portent la signature indubitable d'Israël.



Deux signatures

Ceux qui avaient les moyens de faire tomber les Tours jumelles et la Tour 7 étaient ceux qui possédaient ces tours et en contrôlaient l'accès. Ils avaient presque tous la double nationalité et une forte loyauté parfaitement documentée envers Israël, ainsi que des liens intimes avec les chefs d'État israéliens. Pour commencer, les trois tours effondrées appartenaient à Larry Silverstein, dont la complicité est si bien établie que je n'ai pas besoin de la démontrer à nouveau. Cette complicité pointe-t-elle vers un inside job ? Silverstein était-il un ami de George W. Bush et l'appelait-il tous les dimanches au téléphone ? Non. Le journal israélien Haaretz a rapporté le 21 novembre 2001 que Silverstein, qui, six semaines avant le 11 septembre, avait réalisé « la plus grande transaction immobilière de l'histoire de New York » – « le point culminant de sa vie » – avait « des liens étroits avec Netanyahou » et que : « Tous deux sont en bons termes depuis le passage de Netanyahou en tant qu'ambassadeur d'Israël aux Nations unies. Pendant des années, ils sont restés en contact étroit. Chaque dimanche après-midi, heure de New York, Netanyahou appelait Silverstein. [...] Leurs liens se sont poursuivis après que Netanyahou est devenu Premier ministre ». Parmi les autres amis de Silverstein sont mentionnés Yitzhak Rabin, Ariel Sharon et « Ehud Barak, à qui Silverstein dans le passé a offert un poste de représentant en Israël »3.

Silverstein est Israeli job, pas inside job. Il appartient à l'échelon supérieur des 15 000 sayanim mobilisables par le Mossad aux États-Unis – selon l'estimation de Gordon Thomas dans son Histoire secrète du Mossad (Gideon's Spies, 2007). Il en va de même pour son partenaire Frank Lowy, ami de Ehud Olmert, de Ariel Sharon, de Benyamin Netanyahou et de Ehud Barak, et fondateur de l'Institut israélien pour la stratégie et la politique nationales. Il en va de même pour Ronald Lauder, qui, en sa qualité de président de la New York State Privatization Commission – ou était-ce en tant que président du Congrès juif mondial – a accordé le bail à Silverstein et Lowy.

Dans le même gang new-yorkais de super-sayanim, il faut compter le milliardaire sioniste Maurice « Hank » Greenberg, l'assureur des Tours jumelles qui avait pris la précaution de réassurer le contrat avec des concurrents. En 1993, Greenberg avait pris le contrôle de Kroll Incorporated, qui organisait la sécurité dans tout le complexe du World Trade Center. En 1999, son fils Jeffrey Greenberg est devenu PDG de Marsh & McLennan, qui occupait les étages 93 à 100 de la tour nord, précisément les étages où un Boeing d'American Airlines s'est écrasé – du moins sur le film capturé miraculeusement par la caméra des mystérieux et très récompensés frères Naudet.

Pas étonnant que Netanyahou ait pu prévoir, dès 1995, que « si l'Occident ne prend pas conscience de la nature suicidaire de l'islam militant, la prochaine chose que vous verrez, c'est que l'islam militant fera tomber le World Trade Center », comme il s'en est vanté sur CNN le 23 novembre 20064. Les « Israéliens dansants » avaient également une connaissance préalable des attentats contre les Tours jumelles. C'est aussi le cas de ceux qui ont envoyé des messages par le système de messagerie israélien Odigo deux heures avant le crash, ou encore des dirigeants de Zim Israel Navigational qui ont déménagé leurs 200 employés du WTC une semaine avant les attentats – « comme par un acte de Dieu », a commenté le PDG Shaul Cohen-Mintz5, confondant « le dieu d'Israël », avec le Père céleste. Il n'y avait pas d'Israéliens dansant au Pentagone, et on ne connaît aucune prophétie israélienne d'une attaque contre le Pentagone. Dire que la main d'Israël n'y était pas serait exagéré et insultant pour Paul Wolfowitz, Douglas Feith, Dov Zakheim et bien d'autres. Mais il est difficile de contester que l'opération du Pentagone est organisée au sein de l'administration américaine. Parmi les participants à la tromperie, notons celle du Procureur général (Solicitor General) Ted Olson, dont la femme aurait péri dans le le vol AA77, après l'avoir appelé par deux fois au téléphone pour l'informer de la prise de contrôle de l'avion par des terroristes armés de cutters (il s'agit du plus célèbre des appels téléphoniques impossibles passés par les passagers des avions détournés)6. Je mentionne ici la participation de Ted Olson comme un indice que le détournement du vol AA77 était organisé par des éléments de l'administration Bush, possiblement même avec l'accord du Président Bush. Cette attaque sous faux drapeau était destinée à justifier l'invasion de l'Afghanistan, déjà en préparation. En revanche, les attaques contre les Tours jumelles étaient un travail israélien, presque avec ostentation. Elles n'étaient pas faites pour justifier l'invasion de l'Afghanistan – l'attaque du Pentagone y a suffi. Elles étaient destinées à amplifier l'opération du Pentagone en un événement dévastateur, cataclysmique et catalyseur qui pourrait déclencher une guerre contre les proverbiales « sept nations » ennemies d'Israël (Deutéronome 7, Josiah 24, Wesley Clark). Voici maintenant un indice – on pourrait même dire une preuve – que les attaques du Pentagone et du World Trade Center ont été planifiées par deux groupes distincts. Au cours de l'été 2001, la Drug Enforcement Agency a publié un rapport qui a été révélé au public par le magazine Intelligence Online en mars 20027. Selon ce rapport, 140 espions israéliens, âgés de 20 à 30 ans, avaient été arrêtés entre mars 2001 et le 11 septembre 2001. Le rapport précise que « la région d'Hollywood, en Floride, semble être un point central pour ces personnes ». Plus de 30 des 140 espions israéliens identifiés avant le 11 septembre résidaient dans un rayon de trente kilomètres autour de la ville d'Hollywood en Floride (à ne pas confondre avec Hollywood en Californie). Par une incroyable coïncidence, cette zone géographique est également celle où 14 des 19 pirates de l'air islamistes présumés résidaient. Ce fait troublant a été souligné pour la première fois par Justin Raimondo dans The Terror Enigma: 9/11 and the Israel Connection (2003)8. Les noms des pirates de l'air et leur résidence à l'époque peuvent être vérifiés sur cette page du FBI. Mais voici une coïncidence plus révélatrice encore : il s'avère que les seuls pirates de l'air qui ne faisaient pas partie de ceux résidant à proximité d'Hollywood étaient ceux du vol AA77, l'avion du Pentagone. C'est une indication aussi claire que possible que la liste complète des pirates de l'air est constitué de la réunion de deux listes : les identités des 14 pirates de l'air des vols AA11, UA175 et UA93 ont été réunies par les Israéliens vivant dans la région d'Hollywood (d'une façon qui reste à préciser). Ces 14 noms ont été ajoutés à une liste déjà préparée par les conspirateurs du Pentagone, qui ne comprenait que les 5 pirates de l'air du vol AA77, parce que leur projet ne comportait que cet avion. Voici encore un indice supplémentaire. Il est hautement probable qu'aucun des jets commerciaux prétendument détourné n'a vraiment volé ce jour-là, mais il a fallu néanmoins donner le change par de fausse traces de leurs décollages et de leurs passagers. Le vol AA77 a décollé de Washington (aéroport de Dulles) avant de s'écraser dans le Pentagone voisin. Il a facilement pu être injecté virtuellement dans les exercices menés le jour même par le North-East Air Defense Sector (NEADS) du North American Aerospace Defense Command (NORAD), qui comportait des détournements d'avions virtuels. Les vols AA11 et UA175 prétendument écrasés sur les Tours jumelles ont également pu être injectés virtuellement dans les mêmes war games, mais dans ces deux cas, il se trouve que l'aéroport Logan de Boston où ces avions sont censés avoir décoller sous-traitait sa sécurité et sa gestion des passagers à Huntleigh USA Corporation, rachetée en 1999 par International Consultants on Targeted Security (ICTS), une firme israélienne dirigée par d'anciens officiers militaires israéliens et vétérans des agences de renseignement israéliennes, parmi lesquels Menahem Atzmon, trésorier du Likoud et ami proche du futur Premier ministre Ehud Olmert (2006-2009). Par conséquent, on peut dire que les empreintes ADN d'Israël se trouvent non seulement sur les tours du WTC pulvérisées ce jour-là, mais également sur les avions qui sont réputés s'y être écrasés, et encore sur la liste des prétendus pirates de l'air de des avions. Pour rester simple, je n'ai pas inclus dans l'équation le vol UA93 qui s'est écrasé à Shanksville, mais on remarque, d'une part, que ses pirates de l'air font partie des 14 de la liste israélienne d'Hollywood, d'autre part, que l'aéroport dont il aurait décollé, à savoir l'aéroport de Newark dans le New Jersey, sous-traitait également sa sécurité à Huntleigh. Il faut donc considérer que ce vol faisait partie du complot israélien, ce qui permet d'avancer une hypothèse sur ce qui s'est passé à Shanksville.

Récapitulons : l'événement du Pentagone a été circonscrit à la région de Washington, aéroport compris. C'était un travail interne à l'administration, ne nécessitant techniquement qu'un très petit nombre de personnes. Le but de cette mascarade était de créer un prétexte pour l'invasion de l'Afghanistan, qui avait été planifiée à l'avance par les stratèges du Pentagone et les agents de l'État profond. Ceux qui ont simulé l'attaque du Pentagone n'ont pas pris la peine de fournir des images vidéo crédibles d'un crash ; ils étaient convaincus que les Américains feraient confiance à ce que les autorités leur diraient, car ils savaient que le renversement des Talibans détestés ne soulèverait aucune protestation.

En revanche, l'événement du WTC a été entièrement mis en scène, depuis l'aéroport de décollage jusqu'au site du crash, sous le contrôle des services israéliens, avec la coopération d'un vaste réseau de sayanim à des postes très élevés, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de l'administration. Il visait à plonger le peuple américain dans une rage suffisante pour lui faire soutenir – voire exiger – une guerre totale contre tout pays que les néoconservateurs désigneraient comme abritant des terroristes. L'objectif était, comme l'ont tout simplement déclaré Eliot Cohen et Norman Podhoretz, la Quatrième Guerre Mondiale, c'est-à-dire la quatrième étape vers la transformation du Grand Israël en puissance impériale. Dans l'art de fabriquer le consentement à la guerre, ces opérateurs dévoués à Israël se situent dans une ligue supérieur à ceux qui ont organisé l'attaque du Pentagone. Avec tous les grands médias d'entreprise détenus par des sionistes, ils avaient confiance en leur pouvoir de créer, sélectionner et contrôler les images que les Américains voient, et en leur capacité à mettre les Américains en transe hypnotique par une opération psychologique d'une ampleur sans précédent.

Si notre hypothèse est correcte, nous devrions voir, juste après les attentats du 11 septembre, un conflit entre deux groupes au sein de l'administration Bush : un groupe de stratèges impériaux classiques prônant l'invasion punitive de l'Afghanistan et rien d'autre, et un autre groupe dominé par les sionistes appelant à des guerres préventives contre l'Irak, l'Iran, la Syrie et tous les régimes hostiles à Israël. C'est précisément ce dont nous avons été témoins. Mais avant de résumer la manière dont les crypto-sionistes ont réussi à entraîner les États-Unis dans la destruction de l'Irak, une brève présentation des deux groupes concurrents s'impose.



Anatomie de l'État profond
Ce qu'on appelle communément l'État profond a sans doute toujours existé aux États-Unis, mais il est devenu une réalité plus dominante depuis le National Security Act signé par Truman en 1947, incluant la création du National Security Council, de la CIA et d'autres institutions. On peut dire en première approximation que l'État profond est le gouvernement non élu et semi-secret de l'Empire, placé sous le contrôle d'intérêts mondialistes. Il a sa propre idéologie, que nous pouvons appeler l'impérialisme américain, enracinée dans un vieux sens de la « Destinée manifeste » de l'Amérique.
L'une des institutions les plus anciennes, les plus emblématiques et les plus influentes qui pilote la politique impérialiste des États-Unis est le Council on Foreign Relations. Les membres du CFR sont des internationalistes qui travaillent à travers des institutions financières et politiques. Ils représentent les intérêts des banquiers et investisseurs internationaux, qui ont fondé le CFR. Bien qu'il n'y ait pas d'uniformité stricte d'opinion parmi les membres du CFR, on peut dire que le CFR n'est pas, historiquement, pro-israélien. Encore aujourd'hui, la violation par Israël des lois internationales fait l'objet de critiques dans de nombreux articles publiés dans le magazine du CFR, Foreign Affairs. Le maintien des liens amicaux avec la dynastie saoudienne est aussi, à ce jour, la politique privilégiée du CFR, comme l'illustre ce rapport récent, « The Case for a New U.S.-Saudi Strategic Compact ».

Un membre éminent du CFR au cours des dernières décennies a été Zbigniew Brzezinski. Comme l'indique le titre de son best-seller « Le Grand Échiquier », Brzezinski est un stratège dans la vieille tradition britannique du Grand Jeu, qui vise à empêcher l'unification de l'Eurasie sous direction russe. En tant que conseiller à la sécurité nationale de Carter, Brzezinski a incité à la déstabilisation du régime afghan laïc et pro-soviétique en finançant et en armant les moudjahidines. En 2001, il avait intérêt à nettoyer le gâchis qu'il y avait créé. Signalons ici que Brzezinski avait, dès 1997, en référence à la nécessité d'un soutien public dans les guerres impérialistes, souligné l'importance de « l'effet de choc de l'attaque japonaise sur Pearl Harbor » dans le passé9. C'était trois ans avant que le PNAC n'exprime le besoin d'« un événement catastrophique et catalyseur – comme un nouveau Pearl Harbor » dans son rapport Rebuilding America's Defenses. C'est un détail significatif à l'appui de l'hypothèse selon laquelle les PNACers ont essentiellement saisi et détourné la rhétorique et le plan des Brezinskiens.

L'un des enjeux en Afghanistan était le projet d'un oléoduc financé par UNOCAL (Union Oil of California). Comme l'ont documenté Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié dans Ben Laden : « La Vérité interdite » (2002), dans les premiers mois de 2001, l'administration Bush négociait encore avec Kaboul, mais en juillet, les négociateurs ont perdu confiance dans la capacité des Taliban à stabiliser le pays. Leur renversement fut planifié, ainsi que le prétexte pour cela, accompagné de dessins fantaisistes de la grotte de Ben Laden à Tora Bora10. Le fait que l'opération soit déclenchée moins d'un mois après les attentats du 11 septembre prouve qu'elle était planifiée à l'avance. Il y avait, bien sûr, d'autres éléments criminels poussant à la restauration du commerce de l'opium en Afghanistan, ce qu'ils ont obtenu.

Outre le renversement des Taliban, les impérialistes américains partageaient avec leurs amis saoudiens un intérêt à se débarrasser d'Oussama ben Laden, dont l'objectif déclaré était de libérer l'Arabie saoudite des bases et de la tutelle américaines et de mettre fin à la monarchie saoudienne corrompue (comme indiqué en 1996 dans sa Déclaration de guerre contre les Américains occupant la Terre des Deux Lieux Saints). George H. W. Bush, un directeur très honoré du CFR, était un ami d'affaires notoire des affairistes saoudiens. En tant que chef de la CIA sous Ford, il avait privilégié les liens avec les services saoudiens plutôt qu'avec le Mossad, et en tant que président, avec son secrétaire d'État James Baker, il a forcé Israël à la conférence de Madrid en novembre 1991.

Israël est, bien sûr, le grand rival de l'Arabie saoudite pour la position de meilleur ami des États-Unis. Les sionistes américains ont travaillé dur pour saper les relations américano-saoudiennes. De plus, contrairement aux théoriciens impérialistes du Grand Jeu comme Brzezinsky, ils ne sont pas intéressés par la conquête de l'Afghanistan – même s'ils savent profiter de n'importe quelle guerre. Ce qu'ils veulent, c'est entraîner les États-Unis dans des guerres par procuration contre leurs ennemis. Leur première priorité est le renversement de Saddam Hussein et la destruction de l'État irakien.

Afin de prendre progressivement le contrôle de la politique étrangère et militaire des États-Unis, les néoconservateurs ont poursuivi deux stratégies : ils ont cherché à imposer leur voix sur toutes les institutions juives américaines, avec des groupes de réflexion comme le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA ) ; et ils ont cherché à dicter la stratégie militaire impériale américaine, avec des groupes de réflexion comme le Project for a New American Century (PNAC), se faisant passer pour de fervents croyants dans la mission universelle de l'Amérique pour sauver le monde.

Cette stratégie de mimétisme est bien illustrée par l'exploitation que font les néoconservateurs du concept de « Choc des civilisations », proposé en 1993 par Samuel Huntington dans un article de la revue du CFR, Foreign Affairs, puis trois ans plus tard dans un livre. Les néoconservateurs vont largement contribuer au succès mondial de ce livre, mais pour focaliser l'attention du public sur le conflit du Moyen Orient, qui n'occupe pas la place centrale dans la thèse de Huntington. Ce dernier s'inscrit dans la perspective civilisationnelle d'Arnold Toynbee – même si leurs visions des États-Unis divergent radicalement -, et est proche de Brzezinski, avec qui il a coécrit un livre en 1963. La stratégie néoconservatrice a si bien réussi que Brzezinski et  Huntington sont souvent décrits comme des néoconservateurs, nonobstant leurs protestations.

Tandis que les impérialistes du CFR préfèrent travailler par le biais d'institutions internationales telles que les Nations unies, les crypto-sionistes du PNAC ont promu une approche unilatérale, ciblant spécialement les ennemis d'Israël. Bien qu'ils n'aient pas réussi à forcer le président Bush senior à prendre le contrôle de l'Irak en 1991, ils ont continué à faire pression pour cela (David Wurmser, Tyranny's Ally : America's Failure to Defeat Saddam Hussein, 1999).

Progressivement, en imitant et même exaltant l'impérialisme américain sous l'étiquette trompeuse de « néoconservateurs », et grâce à leurs relais médiatiques, les sionistes ont réussi à s'imposer dans le parti Républicain, et à acquérir une influence dominante sur la politique étrangère américaine, au point qu'aujourd'hui, 21 ans après le 11 septembre, on peut presque dire qu'Israël est l'État profond américain.

Il convient de rappeler le rôle clé joué dans cette stratégie d'entrisme par deux aventuriers ambitieux et peu scrupuleux, qui se mirent au service des néoconservateurs depuis les années 70 : Rumsfeld et Cheney. Rumsfeld est l'aîné des deux, de neuf ans plus âgé que Cheney. Il est intéressant de noter que Rumsfeld est au service d'Israël depuis au moins 1963, comme en atteste une lettre datée du 15 juillet 1963 que, tout jeune sénateur, il écrit au ministre de la Justice Robert Kennedy pour protester contre sa volonté de faire enregistrer l'American Zionist Council (dont l'AIPAC est alors une branche) comme un « agent du gouvernement israélien », ce qui risquerait d'« offenser l'opinion juive dans les États-Unis ». C'est Rumsfeld et Cheney qui, en 1974, ouvrent à Paul Wolfowitz et Richard Pipes, deux protégés de Richard Perle, une porte de service dans l'administration de Gerald Ford. Depuis cette date, ils jouent ce rôle d'entremetteur pour les néoconservateurs, qu'ils introduisent systématiquement dans leurs cabinets. En 2001, Cheney, après avoir dirigé la campagne de Bush Jr., contrôla la formation de son gouvernement, nomma Rumsfeld à la Défense, et introduisit une vingtaine de néoconservateurs. « Dick Cheney exerce tous les pouvoirs de la présidence. Cela n'était encore jamais arrivé. Jamais », écrivent Lou Dubose et Jake Bernstein dans « Vice : Dick Cheney and the Hijacking of the American Presidency » (2006). Dans l'hypothèse du complot à deux niveaux, Cheney et Rumsfeld sont les chevilles ouvrières qui relient les deux niveaux.



Deux projets

Après le 11 septembre, Colin Powell, membre du Council on Foreign Relations pendant trente-cinq ans (et membre de son conseil d'administration de 2006 à 2016), a annoncé une opération limitée en Afghanistan. Brzezinski était dans la même ligne de pensée. Tout comme le clan Bush. Mais Bush Jr. ne compte pas dans l'équation ; il était sous le charme de ceux que son père appelait the crazies. Pendant qu'il lisait My Pet Goat, son vice-président dirigeait les opérations depuis le bunker de la Maison Blanche (le PEOC), sous les conseils de son assistant crypto-sioniste Lewis « Scooter » Libby.

De son côté, à peine cinq heures après les attentats, Rumsfeld demandait à son équipe du Centre de commandement militaire national de fournir « toutes les informations » reliant les attentats à l'Irak : « Les meilleures infos au plus vite. Voyez si elles sont assez bonnes pour frapper Saddam Hussein en même temps ... pas seulement Oussama ben Laden. Ratissez large, balayez tout... que ce soit lié ou non » (selon des notes obtenues par David Martin, correspondant au Conseil de sécurité nationale pour CBS News)11.

Les 19 et 20 septembre, le Defense Policy Board de Richard Perle rencontra Paul Wolfowitz et Bernard Lewis12, mais sans Colin Powell et Condoleezza Rice. Ils préparèrent une lettre au président, à en-tête du PNAC, pour lui rappeler sa mission historique : « même si les preuves ne relient pas directement l'Irak à l'attentat, toute stratégie visant à éradiquer le terrorisme et ses commanditaires doit inclure un effort déterminé pour chasser Saddam Hussein du pouvoir en Irak. L'échec à entreprendre un tel effort constituera une reddition rapide et peut-être décisive dans la guerre contre le terrorisme international »13. Perle persista à affirmer péremptoirement que Mohamed Atta, le meneur présumé des terroristes du 11 septembre, « a rencontré Saddam Hussein à Bagdad avant le 11 septembre. Nous en avons des preuves »14.

Les rumeurs d'un lien entre Saddam et Al-Qaïda ont finalement été abandonnées au profit de la menace non moins fictive que représentaient les « armes de destruction massive » de Saddam, en mettant l'accent sur les armes biologiques. Une semaine seulement après le 11 septembre, Richard Perle a déclaré à CNN que la prochaine attaque terroriste impliquerait probablement « des armes chimiques ou biologiques ». Et ce fut le cas : les 18 septembre et 9 octobre, quatre lettres contaminées à l'anthrax sont envoyées à des journalistes et sénateurs, faisant 22 morts. Les lettres identifiaient clairement l'auteur comme musulman fanatique : « Vous ne pouvez pas nous arrêter. Nous avons cet anthrax. Tu meurs maintenant. Tu as peur ? Mort à l'Amérique. Mort à Israel. Allah est grand ». Quelques jours avant, le FBI avait reçu une lettre anonyme accusant le professeur Ayaad Assaad, un américain d'origine égyptienne, d'être un bio-terroriste. Il fut déterminé que les souches d'anthrax provenaient du laboratoire militaire de l'Utah où travaillait Assaad. Le FBI innocenta rapidement Assad, mais il fut révélé plus tard dans le Hartford Courant qu'en 1992, des caméras de surveillance avaient capturé un certain Philip Zack entrant illégalement dans le lieu de stockage du laboratoire et que, dans le même temps, des agents pathogènes avaient disparu du centre. Zack avait été renvoyé du laboratoire après une plainte d'Assad pour avoir reçu une lettre raciste co-signée par Zack15. Le FBI ne prêta aucune attention à cette révélation, ayant probablement été averti par leur patron Michael Chertoff de laisser les sayanim tranquilles.

Les attaques à l'anthrax furent très utiles pour donner un semblant de crédibilité à la menace des armes de destruction massives de Saddam. Cheney et Rumsfeld contournèrent le directeur de la CIA George Tenet, qui savait que Saddam n'était plus en possession de telles armes, et renouvelèrent leur stratégie gagnante de « l'Équipe B » (Team B) des années 70, court-circuitant la CIA avec une structure parallèle mise en place pour produire le rapport alarmiste il leur fallait : l'Office of Special Plans. Surnommé « la Cabale », l'OSP était contrôlé par les néoconservateurs William Luti, Abram Shulsky, Douglas Feith et Paul Wolfowitz.

En septembre 2002, la marionnette Bush Jr. signa un rapport sur la stratégie de sécurité nationale (NSS 2002), qui définissait ce qu'on appellerait la « doctrine Bush » – bien qu'il s'agissait d'une mise à jour de la « doctrine Wolfowitz » de 1992 sur les guerres préventives. Le 7 octobre, il lut sur son téléprompteur que « Saddam Hussein est un dictateur meurtrier accro aux armes de destruction massive », qui pourrait à tout moment « fournir une arme biologique ou chimique à un groupe terroriste ou à des terroristes individuels »16.

Au département d'État, beaucoup résistait à la pression (lire par exemple le témoignage de Richard Haass, Director of Policy Planning jusqu'en 2003, date à laquelle il prendra la présidence du CFR). Mais Colin Powell finit par céder à ceux qu'il appelait le « petit gouvernement séparé » composé de « Wolfowitz, Libby, Feith et le « bureau de la Gestapo » de Feith »17. Le 5 février 2003, il déclara devant l'Assemblée générale des Nations unies : « Il ne fait aucun doute que Saddam Hussein possède des armes biologiques et la capacité d'en produire rapidement plus, beaucoup plus. Et il a la capacité de disperser ces poisons et maladies mortels d'une manière qui peut causer des morts et des destructions massives ». En quittant son poste en 2004, Powell qualifiera ce discours de « tache sur ma carrière » (a blot on my record), ajoutant : « et je ne peux rien faire pour changer cette tache »18. Je trouve ces mots révélateurs. On s'attendrait à ce qu'il pense d'abord aux souffrances indicibles infligées au peuple irakien à cause de lui, mais ce qui le préoccupe, c'est que ce mensonge auquel il s'est prêté fait tache dans sa biographie officielle. Un tel homme est facile à acheter ou à faire chanter. Son passé au Vietnam est de toute façon entre les mains des médias, qui, du jour au lendemain, peuvent transformer son image publique de héros de guerre en criminel de guerre.

On ne débat plus du fait que la guerre en Irak était principalement une volonté sioniste, an Israeli job (lire John Mearsheimer et Stephen Walt, Le Lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, 2007). Le CFR (que je mentionne ici en tant que représentant de l'école impérialiste américaine) est toujours resté extrêmement critique à l'égard de cette guerre, exprimant par la suite le vœux que les idées des néocons « restent enfouies dans le sable de l'Irak » pour toujours. Mais les impérialistes traditionnels avaient perdu le contrôle de la politique étrangère américaine et ne l'ont pas retrouvé depuis. Quant à Brzezinski, il dénonça devant le Sénat « une calamité historique, stratégique et morale [...] mue par des pulsions manichéennes et un orgueil impérial » (février 2007). Mais son précédent soutien à l'invasion de l'Afghanistan rendait vaines ses protestations.

Nulle part la divergence d'objectifs entre les impérialistes du CFR et les crypto-sionistes du PNAC n'est plus évidente que dans leur approche de l'Arabie saoudite, l'allié stratégique de l'Amérique au Moyen-Orient depuis Roosevelt. Quelques semaines après les attentats du 11 septembre, David Wurmser, à la fois membre du PNAC et co-auteur du rapport Clean Break adressé à Netanyahou en 1996, ouvrit les hostilités dans le Weekly Standard avec un article intitulé « The Saudi Connection », affirmant que la famille royale saoudienne était à l'origine de l'attaque19. Puis, en décembre 2002, les médias commencèrent à mentionner les 28 pages expurgées de l'« Enquête conjointe sur les activités de la communauté du renseignement avant et après les attentats terroristes du 11 septembre 2001 » menée par les commissions spéciales du Sénat et de la Chambre sur le renseignement. Ces pages, finalement divulguées en 2016, sont censées démontrer que certains des pirates de l'air, dont 15 citoyens saoudiens, ont reçu un soutien financier et logistique d'individus liés au gouvernement saoudien. Inutile de dire que, puisque aucun Saoudien n'a réellement détourné d'avions le 11 septembre 2001, ce rapport est aussi bidon que l'ensemble du rapport de la Commission sur le 11 septembre. Mais sur cette base fabriquée, Richard Perle et David Frum ont soutenu dans leur livre « An End to Evil : How to Win the War on Terror » (2003), que « les Saoudiens se qualifient pour leur propre appartenance à l'axe du mal », et implorent le président Bush de « dire la vérité sur l'Arabie saoudite », à savoir que les princes saoudiens financent Al-Qaïda20. Le sénateur Bob Graham fut le plus actif sur les chaînes de télévision à accuser Bush d'avoir couvert l'implication saoudienne dans le 11 septembre en raison de « l'amitié entre la famille royale [saoudienne] et les plus hauts niveaux de notre gouvernement national [sous-entendu, le président] »21. Dans cette ligne d'argumentation, vous avez maintenant des livres comme « The Stealth Saudi Arabian Takeover of America » (« La prise de contrôle furtive de l'Amérique par l'Arabie saoudite »).



Conclusion : L'effondrement des mensonges jumeaux

Ma tentative de distinguer clairement entre deux opérations le 11 septembre 2001 est réductrice, j'en conviens, d'autant que le Pentagone était fortement infiltré par les sionistes secrets les plus ardents. Pourtant, je pense qu'elle a sa valeur, ne serait-ce que parce qu'elle comble le fossé entre les tenants de la thèse inside-job et les tenants de la thèse Israeli-job. L'attaque du Pentagone semble avoir été planifiée à Washington, tandis que les attaques du WTC étaient planifiées à Tel-Aviv et à New York. La fausse attaque sur le Pentagone était un inside job mais celle sur les Twin Towers était un Israeli job. Puisque l'attaque contre les Tours jumelles, par son ampleur, définit le 11 septembre dans la mémoire collective, nous pouvons dire qu'Israël a commis le 11 septembre, mais nous devons garder à l'esprit que les services israéliens et leurs agents infiltrés n'ont pu le faire en toute impunité qu'en se connectant à une opération du Pentagone de moindre envergure. Le gouvernement américain est responsable d'une partie du 11 septembre, mais c'était la plus petite partie – juste suffisante pour être mis sous le coup d'un chantage et se soumettre à l'agenda d'Israël.

Il est sans doute de bonne guerre pour les pays ennemis de l'empire américain de commencer à qualifier le 11 septembre de inside job dans leur guerre de l'information, comme le feront de plus en plus la Russie, la Chine, l'Iran et d'autres. Il y a un an, par exemple, l'agence de presse russe RIA Novosti a publié une analyse du 11 septembre par sa journaliste vedette Viktoria Nikiforova, intitulée « Les États-Unis refusent de révéler le secret du 11 septembre » (traduction anglaise ici), incluant ce qui suit : « Des experts de l'Université d'Alaska à Fairbanks ont calculé que l'incendie n'aurait pas pu entraîner l'effondrement du troisième gratte-ciel, ce qui est rarement mentionné par les médias grand public ». Nous pouvons nous attendre à d'autres choses de ce genre ce mois-ci. Mais les Américains sont dans une position totalement différente. Tant que les militants pour la vérité sur le 11 septembre (9/11 truthers) continuent à scander 9/11 was an inside job et à parler de l'Opération Northwood plutôt que de l'attaque du USS Liberty, ils trompent fondamentalement les Américains et fournissent une couverture pour les crimes d'Israël.

Je laisse le dernier mot à celui qui, le premier, a su que la thèse officielle était un mensonge :

« J'ai déjà dit que je n'étais pas impliqué dans les attentats du 11 septembre aux États-Unis. [...] Je n'avais aucune connaissance des attaques, et je ne considère pas non plus le meurtre de femmes, d'enfants et d'autres êtres humains innocents comme un acte louable. [...] Les États-Unis devraient chercher les auteurs de ces attentats en eux-mêmes ; [...] parmi les gens qui veulent faire du siècle actuel un siècle de conflit entre l'Islam et le Christianisme. Le système américain est entièrement sous le contrôle des juifs américains, dont la première priorité est Israël et non les États-Unis. Le peuple américain est lui-même l'esclave des juifs. [...] C'est pourquoi la punition devrait être dirigée contre Israël »22.