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Plan de mort et crime parfait, solitude, cancer...

Démarré par JacquesL, 21 Septembre 2020, 10:02:54 PM

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JacquesL

Plan de mort et crime parfait.

Tout comme le suicide, la zéro curiosité et la zéro créativité sont des meurtres, totaux ou partiels, manigancés par d'autres, et qui sont exécutés par les automatismes de la victime elle-même.

Tomber en dépression n'est pas un simple phénomène intrapsychique, c'est la victoire d'un plan destructeur qui nous a été imposé et implanté dans le crâne au fil des années cruciales. Ils ne sont pas si fous, ces désenvoûteurs qui vous proposent tous de placer en quelque cause extérieure tout ce qui vous déplait en votre vie... Pas si fous, juste un peu trop commerciaux pour être honnêtes.

Il faut voir comment fonctionnent les tortionnaires professionnels qu'utilisent les dictatures, pour comprendre les aspects les plus noirs et les plus inavouables du fonctionnement terroriste de certaines personnes dans certaines familles. La volonté de détruire à jamais les capacités du cerveau d'un adulte est plus simple à comprendre quand elle est à ce point professionnalisée et instruite, perfectionnée. Là au moins, on n'enfreint pas un interdit, à l'étudier. Tandis que si on étudie la volonté de détruire son enfant – ou au minimum de détruire tout son goût de vivre, toutes ses capacités de savoir et de comprendre - chez une mère ou un père, ou un grand parent, quels cris cela ne soulève-t-il pas !

Je sais de quoi je parle, je parle en suicidé qui a survécu, mais en quel état !

Je sais de quoi je parle : j'ai vu et entendu une mère articuler qu'elle préférerait voir sa fille morte que de la voir « comme ça » (le « ça » étant fort anodin). C'était ma future belle-mère, s'adressant à ma future épouse.

Je sais de quoi je parle : j'ai vu mes enfants régresser depuis une grande créativité et un grand appétit de vivre, vers la curiosité zéro, vers l'intolérance totale, vers le mépris écrasant envers quiconque n'est pas dans la secte maternelle. Et cela en échange de leur corruption.

Je sais de quoi je parle : j'ai vu le visage d'un grand ingénieur-conseil, auteur de deux livres excellents et fort innovants (L'Analyse Modulaire des Systèmes de gestion), professeur à l'Université Paris IX Dauphine, se contracter et se chiffonner sous la peur : j'abordais la question de la part inavouable des objectifs de dirigeants – et on n'avait pas le droit de traiter cette question ! Jacques Mélèse est décédé en 1994, c'était lui.

Je sais de quoi je parle : je sais mes dettes envers ceux qui m'ont appris à mettre en créativité efficace, mes frustrations, mes insatisfactions et mes colères. Cela, jamais l'Université ne me l'avait appris : elle ne m'avait appris qu'un conformisme local.

Je sais de quoi je parle : jusqu'à son décès, ma mère m'a adressé ses reproches maternels véhéments quand j'ai osé faire un travail scientifique et/ou de création sur l'une des chasses interdites.

Prenons le simple exemple des doubles contraintes qui pèsent sur un jeune enfant. Du genre « Aime-moi spontanément ! », en même temps que « Mais tu es trop bête ! Tu ne feras jamais rien de bien ! », du « Non, tu ne vas pas jouer dehors, tu vas m'aider à faire le repassage. » suivi de « Mais tu es toujours dans mes pattes ! Tu me gênes ! ». Il est où, le respect de l'entendement de l'enfant ? Où, le respect des frontières de son Moi ?

Soumettre l'autre au piège des doubles contraintes, est mettre subtilement à mort une partie de cet autre, laisser libre cours à un désir de meurtre que l'on camoufle comme on peut. Si on remonte l'analyse une génération plus haut, on s'aperçoit que cet(te) assassin(ne) sans couteau ne fait que transmettre la volonté de tuer que lui/elle même a subi tout(e) jeune de la part de la génération précédente. L'assassin transmet, car il n'a jamais pu faire la différence entre ce qui est lui-même, et ce qui est introjecté du monstre de la génération précédente. La féroce jalousie de mon père envers l'enfant du même sexe que lui, n'était que la reproduction de la même jalousie que lui-même avait subie de la part de son père. Et je ne suis pas renseigné sur les générations précédentes...

Cherche à qui le crime profite. Profite maintenant, et surtout profitait autrefois, symboliquement et à contre-sens, du reste. Questionne ceux qui ne pouvaient se passer de te dénigrer, de briser en toi toute joie de vivre, toute volonté de vivre, car elles ne connaissaient d'autres manières de vivre, sinon brimer plus faibles qu'eux.

Questionne le plan de mort de ceux qui brimaient (ton conjoint / ta conjointe), quand il/elle pesait quatre à vingt fois moins que les géants dont il/elle dépendait pour tout.

Regardez quel est l'embargo qui vous étrangle. Regardez pourquoi il/elle n'a jamais connu d'autre mode de vie que de réexporter sur plus faible, les maux reçus.

Je ne connais pas d'autre mode de sortie d'un marasme dépressif que de secouer et briser l'emprise mortifère.

Et vous ?

Mmhh... Si, un moyen intermédiaire reste la créativité. Même à son degré zéro, que reste la critique et la satire, la créativité permet d'insérer la révolte dans les interstices du dispositif mortifère.

La créativité aussi s'inscrit non seulement dans la transmission générationnelle, mais aussi – heureusement – dans la solidarité entre tous, pas seulement d'ascendants vers descendants, et même de descendants vers ascendants. Prenons l'exemple de la créativité dans le comique : on n'est plus vraiment le même après avoir rencontré Alphonse Allais, Christophe, Stephen Leacock, Saki, Francis Blanche, Raymond Devos, Sylvie Joly. Dans le domaine scientifique aussi, on monte constamment sur les épaules de géants. Et je ne suis plus le même après avoir admiré les ressources de mes enfants, quand ils étaient jeunes, quand ils avaient des ressources, toujours surprenantes, en ce temps là.

Il n'y a de psychothérapie que dans la créativité. C'est l'une des raisons pour lesquelles cette profession, la psychothérapie, est une des premières exterminées par un régime dictatorial, tel que celui des militaires argentins, ou chiliens. Pas avec la même urgence que les syndicalistes, les journalistes ou les militants politiques, mais vraiment peu après. La dictature et le totalitarisme exigent le meurtre de la pensée.

Pas seulement dans la nation, dans la famille aussi.


Dénier le plan de mort ourdi contre vous, est-ce sans danger ?

On demeure naïfs pendant longtemps. Personnellement, il m'a bien pris un an, à l'âge de 26 ans, pour me dépêtrer de l'illusion de parents "normalement aimants".

Ma mère était septuagénaire, quand elle a tenu compte de l'observation : "Oh mais votre mère, il ne fallait pas que vous la dépassiez d'une tête !". Auparavant les deux femmes étaient fusionnelles, non pas par amour réciproque, mais par utilité dans leur guerre contre les mâles à leur portée, notamment mon père.

Etudier les coalitions matriarcales en négligeant l'ambivalence des sentiments dans ces coalitions serait faire du boulot de singe. Elles sont coalisées pour rafler et exercer tous les pouvoirs, mais demeurent rivales.

Le cas tragique de déni du plan de mort, est celui dans lequel le couple de gourous si avides de rafler le maximum de pognon, j'ai nommé Arthur Janov et France Daunic, ou Institut Primal Européen, ont jeté mon épouse - laissons lui le pseudonyme de "Gazonbleu" - dans le vide, après l'avoir remise en contact avec les rares bons souvenirs, datant du temps où l'animalité d'Odette était suffisante. Or ce dont j'avais été témoin, c'est que quand les deux femmes étaient en présence, Odette et Gazonbleu, dans les dix minutes elles étaient en bagarre, pleines de rage, et que tant que Gazonbleu resta en conflit ouvert avec sa mère, sa santé mentale fut conservée pour l'essentiel. Ainsi jetée dans le vide, Gazonbleu ferma toute espèce de sentiments et de souvenirs de sentiments, s'engagea dans une allée couverte hermétique, pour éclater en paranoïa ouverte trois ans et demi plus tard. Or, dans l'intervalle, depuis la mort d'Odette, il fallait bien des porte-manteaux sur lesquels accrocher la dépouille de "mauvaise mère", contre qui il faut se venger. Les premières années, ce fut largement l'Education Nationale, l'employeur, qui en fit les frais : Gazonbleu multiplia les larcins dans les collèges où elle était ballotée de droite et de gauche. Après quoi ce fut votre serviteur qui servit de porte-manteau où accrocher toutes les rancœurs contre la "mauvaise mère", et qui fut la cible de plans de mort de plus en plus efficaces, jusqu'aux tentatives d'assassinats par sabotages de freins.



Solitude, cancer...

Imposer la pire solitude est une arme efficace pour liquider un bouc émissaire à abattre, par exemple parce que c'est un témoin gênant, ou un ayant-droit de trop...
Habilement "drivée" - c'est le terme qu'emploient des truands et leurs avocats, au sens que "bien drivée", la contrefaçon rapporte toujours, ou que "bien drivée" une prostituée rapporte gros à son souteneur - la solitude est une arme assez efficace pour un meurtre parfait, qui ne vous conduira pas en cour d'assises.
Par exemple, vous pouvez, sous couleur d'exploiter tout le charme du dynamique dernier né, faire la tournée des voisins et les menacer : "Ne fréquentez en aucun cas mon mari - resp. mon père - : c'est un ours qui déteste les gens et se dispute avec tout le monde, qui bat et viole les enfants, qui jette les bébés par terre, etc. Du reste bientôt un suicide malheureux ou un accident accidentel nous en débarrassera à jamais. Et si vous nous désobéissez, on saura vous en faire repentir !".
Plus couramment, on recrute les enfants dans une mission parricide, dont les complices jurent sur tous les media que ce crime n'existe pas, et que ça n'a aucune existence scientifique ni judiciaire, et que c'est juste de l'imaginature misogyne :

Exemples de ces fanatiques complices :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0
https://www.agoravox.fr/actualites/citoyennete/article/scandale-le-syndrome-d-alienation-200329
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-syndrome-d-alienation-parentale-196073
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/le-tres-controverse-syndrome-d-59616
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/de-la-residence-alternee-141947
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/justice-familiale-et-alienation-114571

Quand les tentatives d'assassinat directes ont échoué, et même aussi les nombreuses ruses pour obtenir (ou simuler) un suicide, il reste un allié de poids, mais hélas pas si rapide : le cancer du poumon.
Il fut radical sur mon papa : détecté et opéré bien trop tard en 1988, à la prise de retraite, il l'exécuta définitivement en 1990.


Pour la plus grande jouissance de la veuve joyeuse.

Mon cancer a été détecté et opéré à temps, lui. Du coup, ma compagne fidèle a été couverte d'insultes et d'accusations par ma sœur, furieuse que la proie à dépecer - votre serviteur - lui échappe vivante.
Lors de la soirée d'astronomie du 14 septembre, une des participantes a décidé que j'éprouvais une passion pour l'astronomie amateur. Bah non, rien de semblable. C'est juste que se tourner la tête vers le ciel a été une réaction certes névrotique mais point si folle - voire sage ? - quand ma mère et ma sœur ont explosé de joie et de triomphe à l'annonce que j'avais tout perdu dans le jugement de répudiation. Les mêmes hurlements de triomphe que les faux témoins et harceleurs nolisés par ma très charmante ex-épouse :
http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles/recits-d-horreurs/45-faux-temoins/109-quand-jean-paul-se-vante-dtre-du-complot
Si toute place sur Terre m'est furieusement refusée, alors regarder les étoiles ?

On peut faire des tas de choses dans la solitude, mais pas l'amour.

Une autre puissante arme pour enfermer un mâle dans la pire solitude, est de le piller de tout, et confisquer tous ses biens propres, y compris son maigre salaire ou sa maigre retraite. Héhé ! Les autres bourgeoises aussi sont vénales, et avides d'augmenter leur statut social...
L'injuge-et-partie est avide de protéger la fraudeuse et condamner le fraudé :
http://debats.caton-censeur.org/index.php/tous-les-articles/recits-d-horreurs/47-denis-de-justice/149-2015-11-17-19-46-21
Dame ! Guerre sexiste oblige ! Les copines protègent les coquines et réciproquement.

Et la guerre sexiste est subventionnée, car elle est une des guerres civiles utilisées avec succès par l'oligarchie bancaire mondialiste, pour détruire notre peuple, et détruire toutes ses capacités de solidarité et de résistance. Exemple :
Gloria Steinem, le féminisme, Rockefeller et la CIA


Hyargh ! Hyargh ! Hyargh ! Hyargh ! Hyargh ! Hyargh !