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Certaines familles ont pour but d'avarier et de rendre infirmes...

Démarré par JacquesL, 26 Février 2018, 02:09:39 PM

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JacquesL

Posté le 05/04/2005 04:22:01

Certaines familles ont pour but d'avarier et de rendre infirmes tout ou partie de leurs membres, le plus souvent les enfants. Les différents types en sont très inégalement étudiés par les cliniciens, en raison de biais sociaux, de biais politiques, de biais doctrinaires, et enfin de biais d'adressage.

Les familles à interactions schizophréniques, qui à force de brouiller et de dénier chaque position de chacun, produisent des schizophrènes, parfois dès l'enfance, mais le plus souvent à l'impossible passage au statut d'adulte, sont actuellement les plus riches en études. Un pionnier fut Theodore Lidz, qui a publié "Le schizophrène et sa famille" en 1973 (1972 en revue), Navarin Editeur. Il mit en évidence que les relations maritales sont sévèrement perturbées et en conflit camouflé, et en dégagea deux types principaux, selon le mode de conflit, et selon leurs résultats : Les familles biaisées (produisent de préférence des garçons schizophrènes), et les familles schismatiques (produisent de préférence des filles schizophrènes).

Plus tôt encore, en 1966, Murray Bowen mit en évidence une masse indifférenciée de l'Ego familial, état global de dépendance qui dénie l'individualité de chacun, les besoins particuliers et les demandes individuelles de chacun.

Dans le contexte bien particulier de l'Italie, avec un héritage de traditions rurales de familles très soudées et de traditions fermées, les "écoles" de thérapie familiale milanaises et romaines, ont mis en évidence des jeux de "pat" (aux échecs, quand le roi ne peut plus bouger sans être pris, la partie est nulle, sans vainqueur) dans les familles qui produisent un enfant ou un adolescent schizophrène : ne jamais pouvoir gagner la lutte pour le pouvoir, mais faire juste le mouvement qui annule la victoire de l'autre. Le désastre est total quand un des parents recrute un des enfants dans une coalition transgénérationnelle contre l'autre parent. Moins fréquents sont les recrutements par un grand-parent, contre un parent ou les deux parents. L'enfant s'engage dans ce pacte dans l'espoir qu'on fasse attention à lui, et est invariablement trahi : il n'était qu'un instrument dans la guerre familiale sans fin.

Très différentes, et très peu étudiées jusque récemment, sont les familles organisées pour produire des dépressifs majeurs, et moins grave, des disthymiques.
D'ailleurs l'industrie pharmaceutique est très opposée à ce qu'on mette en évidence les procédés de fabrication des dépressifs : en effet, elle fait des bénéfices fabuleux sur le marché des antidépresseurs ; ses lobbies sont assez puissants pour que la nosographie psychiatrique soit de plus en plus dominée par son marketing : reçoit telle étiquette psychiatrique qui réagit à telle molécule, qu'elle fabrique. Les carrières de beaucoup de chercheurs dépendent des financements accordés par l'industrie pharmaceutique au mieux de ses intérêts.
Les auteurs à consulter sont Campo et Linares. Selon leur description, là, le couple marital est relativement uni. Au sens de "uni contre" : il ne laisse jamais de place aux besoins affectifs de l'enfant. L'enfant est de trop, il est rejeté en marge, et est dressé à être constamment dévoué au parent le plus demandant, ou à sa fratrie. Il se dévoue sans compter, dans l'espoir que sa demande d'amour parental sera satisfaite un jour. Dans l'intervalle qui le sépare de cette lointaine et mythique résurrection des morts, il bute sur une obstruction systématique à tout ce qui est expression de ses besoins, de son ressenti, de ses perceptions. C'est donc pour le restant de ses jours une bonne poire facile à exploiter. Y compris dans son ménage... Il attend toujours que Saint-Nicolas le sorte du saloir où il est coupé en morceaux, pour la consommation.

En mettant les choses au pire - et on a parfois l'occasion de constater ce pire de visu - les parents de futur dépressif majeur vont chercher à l'extérieur les alliances tortionnaires dont ils ont besoin pour mieux abattre tel ou tel de leurs enfants. Enfoncer l'un des leurs les protège contre leurs propres perceptions d'humiliations passées et non digérées. C'est ainsi qu'on voit des mères recruter leur gendre pour mieux abattre leur fille, respectivement leur bru pour abattre leur fils. La tradition culturelle de la perversité se transmet ainsi vers la belle-famille, faute d'avoir réussi à s'incarner dans la descendance directe.

Une technique utilisée par ces tortionnaires dépressiogènes est commune à la fabrication des futurs schizophrènes, et fut décrite par l'équipe de fait qu'on a baptisée après coup comme Ecole de Palo Alto : La double contrainte, technique permettant de reprocher à son enfant (son frère ou son conjoint) tout et le contraire de tout simultanément, en lui donnant simultanément l'ordre et le contre-ordre. Dans le genre "Tu devrais m'aimer spontanément !", ou "Tu devrais avoir exécuté mes ordres avant que j'ai trouvé mes mots pour les énoncer !", ou la séquence répétitive : interdiction de faire, puis reproches d'avoir respecté l'interdiction de faire (et je ne vous raconte pas comment le patrimoine peut se ruiner au fil des années, tandis que la matriarque absolue répète "Ne t'occupe pas de cette terrasse ni de cette clôture ! Tout est sous contrôle ! J'ai toutes les solutions ! J'ai des alliés à mon service, qui sont très bien contrairement à toi !", qu'elle répète et interdit de faire tandis qu'elle ne fait pas, et en dilapide les moyens...).

Dans tous les cas, l'usage de la double contrainte trahit la haine à l'égard de l'existence même de son enfant (ou frère, ou conjoint, celui qui subit la double contrainte), la volonté d'annihiler son psychisme et de ruiner son appétit de vivre. Un mode courant de double contrainte consiste à obliger à croire à du discours bienveillant et apparemment irréprochable, tandis que les actes réels sont systématiquement sadiques et destructeurs.

L'épisode dépressif majeur survient quand cet enfant dressé à toujours donner sans recevoir, et sans jamais avoir le droit d'exister pour lui-même, prend conscience, non, prend pré-conscience que cet amour parental qu'il a acheté toute sa vie au prix d'un dévouement incessant, il ne l'obtiendra jamais.

Un dépressif majeur reste généralement en couple stable. Il/elle a tellement d'attentes affectives à combler, et il/elle est tellement rempli(e) d'espoirs !

Les thérapeutes qui traitent la famille entière remarquent bientôt que l'interaction maritale et familiale est sur le mode complémentaire. Le conjoint joue le rôle du personnage fort, qui "n'a pas de problèmes", et qui s'assure constamment que le dépressif reste bien tout au fond de sa position basse, si chouette à exploiter. Dès que le dépressif sort de son gouffre de désespoir au long cours, et commence à s'affirmer, à exprimer ses besoins propres, la réaction devient violente pour le disqualifier et le faire replonger... Voir par exemple les tirs d'invectives et de malédictions de Madame Mère et de Madame Soeur, quand je leur demande de mettre fin à leur complaisance envers la criminalité organisée, fil http://www.forumsospapa.org/phpBB2/viewtopic.php?t=804 (topic disparu depuis).
Nouvelle adresse : http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/Mettre_fin_complaisance_envers_criminalite_organisee.htm

J'ai énuméré là deux types de familles stables, au dysfonctionnement stable, et qui toutes deux produisent des dysfonctionnements hypofrontaux sur leur descendance. L'enfant sans espoir et sans avenir renonce à développer normalement son cortex frontal, et s'en tient à la survie à brève échéance, sans possibilité d'organiser son avenir.

Dans la littérature psychiatrique et encore plus dans la littérature de neurosciences, neuro-endocrinologie et psychopharmacologie, ces deux groupes d'affections hypofrontales sont colossalement sur-représentées. En effet, ce sont des gens très faciles à capturer, à enfermer, et à passer dans le scanner. Enfin, du moins tant qu'il n'ont encore réussi encore aucun suicide, car ils fournissent le gros du contingent des suicides.

Avec des parents chaotiques, le développement du bébé est perturbé beaucoup plus tôt, et le produit est généralement des personnalités "borderline", ou en français "état-limite" (pas vraiment psychotique). Plusieurs cas de ce genre ont été décrits au fil des mois sur ces deux forums (Paternet et SOS_Papa_et_maman), par exemple par "Musique" au fil http://www.forumsospapa.org/phpBB2/viewtopic.php?t=786 (topic disparu depuis). Les études cliniques sont de volume modeste. La littérature neurologique brille par son absence. Mais des borderline, les éducateurs spécialisés en ont beaucoup sur les bras... Ce sont des gens dont les bases mêmes du psychisme humain, n'ont jamais pu s'établir. Ils sont astables. Leur vie sexuelle est un vagabondage, et comme parents, ils sont chaotiques à leur tour, irresponsables et infantiles à vie.

Donnent aussi lieu à des divorces fort pénibles, et interminablement conflictuels - pour le plus grand profit de l'Honorable Monopole d'avocats, qui pousse au crime -  les personnalités hystériques, ou plus généralement dit, histrioniques. L'hystérique est perpétuellement en insécurité envers son identité sexuée, et sous la pression "il faut que je sois hyperséduisante pour garder papa sous mon charme, et le garder pour moi toute seule". La variante masculine existe aussi, moins fréquente, et moins fréquemment dans la variante d'hypersexualité extériorisée, plus souvent dans la variante de séduction par le sadisme, c'est à dire la variante de l'histrionique pervers. L'hystérique cherche constamment à vous réduire à votre seul sexe, et ne sait rien d'autre de vous. Statistiquement, ce sont de grandes pourvoyeuses du syndrome d'aliénation parentale : ne pouvant plus vous tenir par les couilles, il faut qu'elles se saisissent des enfants, pour avoir encore et toujours quelqu'un à instrumentaliser. Elles changent donc de variante stratégique, versant du côté sadisme et perversité. La variante masculine était très présente à l'émission "Ça se discute" du 25 mai 2005, par ses effets : l'aliénation parentale des enfants.
L'hystérie est généralement considérée comme une névrose, et non comme une psychose. Là encore, désertion des neurosciences, absentes de leur poste.
Par ailleurs, l'hystérie, l'histrionisme en général, appartient au groupe de psychopathologies dont les symptômes sont extrêmement sociaux et culturels, constamment calculés et négociés avec les partenaires, intervenants, psychiatres, copines, presse, idéologies du jour, religions, etc.

Nous constatons ainsi qu'aussi bien le dépressif que l'histrionique, aussi bien sous la variante hystérique que sous la variante perverse sont tous trois façonnés par un racket parental :
- le futur histrionique pervers est pris dans le racket parental "Si tu ne m'aides pas à maltraiter l'autre, je te maltraiterai à ton tour !".
- La future hystérique est prise dans le racket parental "Prouve-moi que je demeure sexuellement hyperséduisant, en cherchant constamment à me séduire !".
- Le futur dépressif majeur est pris sous le racket parental "Sois constamment à mon service et attentif à mes besoins, renonce à tous tes besoins, renonce à développer une personnalité complète, et peut-être un jour je ferai attention à toi !".

La gravité du marché de dupes imposé à l'enfant peut se mesurer aux taux de suicides. Le taux de suicides imposé aux dépressifs majeurs est comparable aux taux observés chez les schizophrènes, et chez les transsexuels.

Avec son génie publicitaire des slogans simplistes pour grand public, le gourou Arthur Janov avait écrit que pour produire un paranoïaque, il faut et il suffit de le persécuter durant l'enfance. Etant été marié pendant trente-quatre ans et demi à une paranoïaque, j'ai dû en apprendre bien davantage, et que ce n'est pas si simple... Les détails sur mon site. Les paranoïaques et les pervers narcissiques - ces experts du harcèlement moral décrit par Marie-France Irigoyen - sont des psychotiques hyperfrontaux, qui ne décompensent presque jamais avant l'approche de la mort. Ils se maintiennent en hypervigilance, toujours à combiner des plans pour nuire, pour accaparer encore plus de biens, encore plus de pouvoir. Ils ne se laissent pratiquement jamais capturer. Par conséquent, le DSM ne consacre que 4 pages à la paranoïa, et ne soupçonne absolument rien des pervers narcissiques, ni des avaricieux. Zéro études de neurosciences sur ces psychotiques-là. Zéro ! Les pervers narcissiques sont toujours d'excellents tacticiens du pouvoir.

Ceux-là commencent l'aliénation parentale de vos enfants plusieurs années avant la séparation du couple. Ils ont besoin des enfants comme engins pour vous nuire, du début à la fin de l'année.

Là encore, le plus gros des dégâts de ce conflit conjugal permanent (jusqu'à destruction ou élimination du bouc émissaire), est produit sur les enfants, dont le psychisme est sévèrement endommagé. Hélène Palma (cliquez dessus et vous accéderez à tous les écrits publics et fanatiques de l'assaillante en question) et Martin Dufresne, deux idéologues particulièrement fanatiques de la guerre sexiste dont vous verrez des écrits publics à l'adresse http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0, sont des exemples publics particulièrement éloquents, de ces endommagements psychiques. Dans ce genre de paranoïa par délégation, l'enfant apprend à s'identifier constamment à l'agresseur, et à agresser préventivement, de peur de se trouver dans la situation du parent vaincu.

L'enfant ainsi recruté comme maltraiteur du parent le moins dangereux, le plus inoffensif - par exemple parce qu'il est dans un schéma de vie de dépressif - récolte les bénéfices suivants :
- il reçoit des récompenses matérielles, des parts de butin,
- il bénéficie de coalitions du parent aliéneur contre ses camarades et contre ses professeurs.
- il prend l'habitude d'être en position haute, et de vaincre facilement son prochain,
- il apprend à reconnaître les boucs émissaires faciles, sur qui il pourra à son tour pratiquer les pires harcèlements.
En contrepartie, il paie le prix suivant :
- Il ne peut compter sur personne, ni sur le parent chef de harcèlement, dont il connaît la fourberie et le narcissisme égocentrique, ni sur le parent harcelé, dont il redoute des représailles bien méritées.
- Il ignore tout de la "position dépressive" (au sens de Winnicott : reconnaître qu'on n'est pas tout-puissant), que l'on ferait mieux de rebaptiser en "phase de désillusion", et ne dispose d'aucune de ses ressources ; sa créativité en est amputée d'autant. Il demeure sinon à vie, du moins au long cours, dans l'illusion infantile de toute-puissance.
- Puisque ce sont ses enseignants qui ont tous les torts et tous les défauts, pas de raison de s'amender, il suffit d'accuser, puis de frauder... Il s'entraîne à vivre dans la supercherie, puis dans l'anxiété d'être démasqué.
- Sa représentation des sentiments et du psychisme de l'autre est calquée sur celle du parent harceleur, donc inapte à toutes autres interactions humaines. Notamment inapte à fonder plus tard une famille épanouie, totalement inapte à rendre un conjoint heureux et épanoui.

Quiconque connaît les féministes victimaires qui nous entourent et qui nous accablent de leurs calomnies industrialisées, peut constater qu'elles appartiennent le plus souvent à ce groupe d'ex-enfants aliénés parentaux, qui ont appris à être malfaiteurs à vie, incapables d'accéder à résipiscence. On n'y rencontre qu'une minorité ténue d'authentiques maltraitées, qui aient des justifications authentiques à leur paranoïa collectivisée en Sororité.
Ces psychotiques en collectivité adaptent constamment leurs symptômes en fonction des retours sociaux. Celui qui miserait sur l'industrie pharmaceutique pour apporter la moindre solution, et négligerait l'investigation psychosociale, et les moyens d'interventions politiques et juridiques serait condamné à l'impuissance totale. C'est d'abord la guerre sexiste qu'il faut mettre hors la loi, et faire appliquer les lois. Actuellement, la puissance politique et économique de ce parti de la guerre sexiste repose largement sur les corruptions en sa faveur, qui rendent nulles de nombreuses parties du Nouveau Code Pénal, assurent l'impunité de ses campagnes de calomnies de l'autre sexe. Par exemple l'article 441-7 et l'article 227-5 NCP sont lettres mortes. Les pervers narcissiques et de nombreux paranoïaques sont d'excellents tacticiens du pouvoir.

L'amok a régressé sensiblement en Malaisie, à partir du moment où les britanniques ont pendu sans circonstances atténuantes, les meurtriers qui se justifiaient d'une crise d'amok. Quand la guerre sexiste sera hors la loi et réprimée, et non plus encouragée, ses crimes régresseront enfin. Pour le moment, cette criminalité organisée détient une large part de l'appareil judiciaire, qui est sa forteresse, pour longtemps encore.


Il manque à ce panorama des familles en maladie mentale familiale, les familles d'anorexiques. Et pourtant cette aliénation est parentale aussi, mais elle n'est pas dirigée contre l'autre parent, uniquement contre l'épanouissement du corps sexué de la jeune fille (très rarement du jeune homme). Comme dans la dépression, l'enfant se fait l'instrument de la sentence de mort partielle qui pèse sur lui, de la part de la parenté. Le pourcentage d'issues fatales dans l'anorexie mentale reste élevé. L'entourage et les professeurs du lycée ou du collège, n'ont rien vu venir, éblouis par la perfection scolaire fanatique de l'anorexique.


Conclusion :
En l'absence de toute déontologie en matière familiale, et en l'absence de tout recours accessibles aux enfants maltraités, et parfois sous couvert d'idéologies sadiques, ont pu prospérer plusieurs façons d'avarier et de mutiler ses propres enfants, et/ou d'autres membres de sa propre famille.
Ces façons de racketter ses propres enfants au profit de son propre aveuglement à sa propre biographie peuvent être classées ainsi :

L'exploiter comme engin de guerre contre un de ses parents, voire contre les deux.
L'enfoncer pour se prouver qu'on le domine et qu'on triomphe.
Lui imposer une hypersexualisation précoce, pour se prouver qu'on est hyperséduisant sexuellement.
L'utiliser comme aide-bourreau, lui enseigner à se conduire en truand et sadique en toutes circonstances.
Lui interdire toute progression dans sa maturation sexuelle et territoriale, afin de se prouver qu'on reste le seul adulte sexuellement capable et territorial.
L'étrangler sous des doubles contraintes, afin de pouvoir lui reprocher simultanément tout et le contraire de tout. Notamment l'obliger à croire à du discours bienveillant et apparemment irréprochable, tandis que les actes sont systématiquement sadiques et destructeurs.
Lui interdire tout épanouissement corporel lors de l'adolescence, l'obliger à demeurer physiquement sous-sexué ou nihil-sexué (mode de genèse des anorexiques, et des puceaux à vie).
Le mode de maltraitance d'enfants qui semble le plus grave parmi ceux qui sont courants, semble être d'être chaotique, de faire vivre le bébé puis l'enfant dans un chaos incompréhensible, où toute structuration et toute maturation sont impossibles.

L'environnement social se révèle terriblement carencé et négligent pour protéger les enfants des carences et des rackets de leurs parents.
On peut même avancer qu'il se montre complice des tortionnaires quand il redouble d'accusations et de disqualifications contre les victimes qui osent ouvrir la bouche et témoigner.


Conclusion de la conclusion :
C'est en présence de ces modes de maltraitance des descendants, et des complicités que ces maltraitances ont généralement trouvé à travers les instances théoriquement chargées de la santé publique, que nous avons été contraints d'élaborer un code déontologie familiale :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=7.0
http://caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=9

JacquesL

Application : la fabrication de gibier d'élevage, offert aux harceleurs et pervers pour leurs assassinats parfaits.

Je n'ai pas en mains le livre de Heinz Leymann : Mobbing (traduction au Seuil). Il regorgeait d'exemples de gens détruits pour des années, par la combinaison de harcèlements en meute, contre lesquels ils ne disposaient pas d'armes défensives, ni de contre-attaques. Par exemple le cas de ce jeune médecin qui soudain harcelé par le personnel féminin du service et privé de tout recours, dut démissionner et resta plusieurs mois prostré, toujours sans secours de nulle part.

Leymann avait donné l'ébauche d'une statistique suédoise des suicides obtenus par harcèlement, au moins en milieu hospitalier.

Souvenir personnel : une institutrice de maternelle au dévouement exquis, qui a vu successivement nos trois enfants, et dont le visage était toujours demeuré enfantin.
Toute sa vie elle avait été exploitée comme bâton de vieillesse par ses parents jusqu'à leurs morts. L'année où une collègue de la même maternelle décida d'avoir sa peau, la pauvre n'eût plus d'autre moyen que de demander sa mutation. C'était se jeter là, où dans le canal. J'ignore la suite.

Bernard Shaw aimait bien provoquer. On lui doit cette définition de l'opéra italien : "C'est une histoire où le baryton fait tout ce qu'il peut pour empêcher le ténor de coucher avec la soprano". Exception toutefois : dans Don Carlos de Verdi, Philippe II, à qui est mariée Elisabeth de Valois pour raison d'Etat, est une voix de basse.
De Bernard Shaw aussi : "Il me suffirait d'assassiner cinq ou six personnes pour laisser Londres sans un seul instrumentiste de premier plan".

Ah ! Quel poète chantera la technique des assassinats ciblés parfaits !
Il a suffi à Niels Bohr de deux assassinats scientifiques bien ciblés, voici nonante et nonante et ans, pour laisser la physique théorique dévorée par son petit gang Göttingen-København. Et cela fait nonante ans que ça dure comme cela. Erwin Schrödinger était vulnérable à cette minutieuse entreprise de démoralisation. La comparaison des deux conférences Nobel 1933 de Dirac et de Schrödinger est éloquente de cette démolition : Dans les deux dernières pages Schrödinger biffe et annule tout ce qu'il venait d'établir sur les dix pages précédentes. Tandis qu'au détour d'une phrase Dirac donne la seule expression publique d'une autre découverte majeure de Schrödinger : que seule l'équidistance de la Zitterbewegung découverte en 1930 par Schrödinger, rend compte de la dispersion Compton d'un photon X par un électron libre, par la loi de Bragg sur la fugitive onde stationnaire de l'électron renvoyé. Quant à Louis de Broglie, lui aussi couvert de violences au congrès Solvay de 1927, et déjà persécuté de l'intérieur par son immense politesse, il ne s'en est jamais remis, stérilisé à jamais.

Entre pères aussi, nous connaissons bien des cas, comme Stéphane Lafargue ou Bernard Perrin, des assassinés parfaits, par des complots d'assassinatrices, notamment en toge noire et jabot blanc.

Et moi ? Ah moi ça ne compte pas, j'ai survécu aux assassinats les mieux combinés. Jusqu'à présent.


Né dans le sérail misandre victimaire, j'en connais les turpitudes.
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent. Et cela, les imposteurs et les tortionnaires ne me le pardonneront jamais. Les imposteuses tortionnaires notamment.