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La construction socio-sociale du sexe ?

Démarré par JacquesL, 10 Août 2011, 12:35:31 AM

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JacquesL

Je reçois cette pétition :

Citer-------- Message original --------
Sujet:     Aidez nous à défendre les valeurs de l'école républicaine !
Date :     Sun, 7 Aug 2011 18:09:48 +0200
De :     ecole1.deboussolee@gmail.com
Répondre à :     ecole1.deboussolee@gmail.com

Madame, Monsieur,
Nous sommes professeurs de Sciences de la Vie et de la Terre en lycées publics.
Si nous vous contactons aujoud'hui, c'est pour vous alerter des nouveaux programmes et manuels de Première qu'on veut nous imposer à la rentrée et qui nous obligent à enseigner la théorie du genre (ou "gender") et demander votre soutien.

Cette théorie partisane n'a pas sa place en biologie et doit être renvoyée au débat philosophique ou en éducation civique. Intéressante en soi, nous ne pouvons lui apporter pour autant le crédit scientifique du biologiste et donc l'enseigner dans le cadre de notre discipline.
Les nouveaux programmes nous contraignent de professer que l'identité sexuelle est une construction culturelle relative au contexte du sujet. Cette théorie est américaine, provient de la sociologie.

Ainsi peut-on lire dans le manuel Hachette : « Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin.

Il nous semble impensable d'apprendre à des adolescents que leur identité sexuelle est d'abord une construction sociale et culturelle dans un cours où seules les exigences de la raison ont droit de cité.

Aidez nous à défendre la neutralité de l'école et le respect des exigences de la raison !
Voici ce qu'on pouvait découvrir au JT de France  2 du 11/07
Nous vous demandons de bien vouloir nous soutenir dans notre combat :
Merci de votre aide,
Katia Levy et Mathias Dourdessoule



Interpellez le Premier ministre contre le Gender

en collant le texte ci dessous sur le site de Matignon ou en redigeant le vôtre

 http://www.gouvernement.fr/premier-ministre/ecrire



Faites circuler ces propositions autour de vous !

Signez aussi la pétition !

http://ecole-deboussolee.org/?p=1

 

Idée de texte à coller dans le formulaire de Matignon



Monsieur le Premier ministre,

La réforme de la classe de Première conduite par Monsieur Chatel voit l'arrivée de la théorie du genre ou théorie du « gender » dans les programmes et les manuels de Sciences de la Vie et de la Terre. La théorie du genre est une théorie philosophique et sociologique mais elle n'est pas scientifique. Elle affirme que l'identité sexuelle (qui serait un concept psychologique et non biologique) est une construction culturelle relative au contexte du sujet.

Ainsi peut-on lire dans le manuel Hachette : « Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin. Cette identité sexuelle, construite tout au long de notre vie, dans une interaction constante entre le biologique et le contexte socio-culturel, est pourtant décisive dans notre positionnement par rapport à l'autre. Devenir un individu sexué fait partie intégrante de la construction identitaire. »

Ce programme et ces manuels reflètent au moins 3 entorses gravissimes aux valeurs de notre Ecole :

Entorse à sa mission :
L'école doit former l'esprit critique selon les exigences propres de la raison. Le lycée ne saurait dicter des comportements, mais bien former des intelligences. Il ne doit pas devenir une caisse de résonance des opinions ambiantes et versatiles de la société, sous peine de fragiliser les esprits.

Entorse à sa neutralité :
En feuilletant ces manuels, je n'ai pu m'empêcher de songer à la fameuse lettre de Jules Ferry aux instituteurs : « Avant de proposer à vos élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s'il se trouve, à votre connaissance, un seul ho nnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. Si oui, abstenez-vous de le dire. » Notre code de l'éducation exige d'ailleurs le « respect de la personnalité de l'enfant et de l'action éducative des familles » (art. L. 111-2). Dans ce domaine extraordinairement intime qu'est la sexualité, à un âge où les jeunes sortent tout juste de l'adolescence et se construisent, ces manuels constituent une grave intrusion dans leur vie. En tout état de cause, les élèves n'ont pas à être examinés par l'Etat en ces domaines.

Entorse à sa liberté :
On ne peut pas obliger les professeurs de SVT à relayer un discours qui sorte du cadre scientifique. Comment pourront-ils évaluer les élèves et les préparer aux épreuves du bac sur de telles options partisanes ? Il est clair, au moins, que la théorie du « gender » ne peut être présentée aux élèves que comme un choix philosophique (dont on voit mal ce qu'il vient faire dans un cours de SVT !) et non comme une réalité indiscutable.

Il est indispensable que soient réaffirmées les véritables missions de l'école en dissipant les équivoques de ou liées à l'interprétation du programme, en garantissant la liberté intellectuelle des enseignants et la liberté de conscience des élèves.

Je demande avec les 35000 premiers signataires de l'appel de "l'école déboussolée" et selon le principe de la neutralité de l'école publique et de l'égalité républicaine que soit :

- Précisée la portée de la circulaire du 30 septembre 2010 et les programmes que les services de la DGESCO ont voulu définir.
- Interdit l'usage des manuels mis en cause.
- Garanti que le thème du « gender » ne sera pas à la session 2012 des épreuves anticipées du bac ni aux sessions suivantes.
- Transférée le cas échéant l'étude du « gender » dans le domaine du débat critique de l'éducation civique ou de la philosophie.

           Assuré que vous saurez vous faire l'écho de cette préoccupation persistante, je vous prie de croire, Monsieur Le Premier ministre, en l'expression de ma haute considération.

----------------

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Les perles des nouveaux manuels de SVT :
Que viennent elles faire dans un cours de SVT ?

« L'identité sexuelle se réfère au genre sous laquelle une personne est socialement reconnue »

« L'orientation sexuelle se révèle le plus souvent au moment de l'adolescence »

BORDAS

« L'identité sexuelle est la perception subjective que l'on a de son propre sexe et de son orientation sexuelle »

« Seul le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n'est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou féminin »

« L'orientation sexuelle doit être clairement distinguée du sexe biologique de la personne »

« Le mineur de 15 ans à 18 ans est libre d'entretenir des relations sexuelles à condition qu'il soit consentant et que ce ne soit pas avec une personne ayant autorité sur lui »

« Le mineur est libre de ses orientations sexuelles, c'est à dire qu'il peut avoir des relations sexuelles soit avec un homme soit avec une femme »

« Distinguez la part biologique de la part sociale de l'identité sexuelle (Exercice) »

HACHETTE

« En sociologie, l'identité sexuelle se réfère au genre par lequel une personne est socialement reconnue »

HATIER

JacquesL

Halte-là, camarades, pas d'erreur ! Vous êtes des fonctionnaires, c'est donc que vous fonctionnez.
En signant, vous avez accepté l'obligation d'être toujours d'accord avec le chef, qui a l'obligation d'être toujours d'accord avec son chef, qui a l'obligation d'être toujours d'accord avec le ministre, qui a l'obligation d'être toujours d'accord avec le roi.
Vous avez de la sorte signé l'obligation de toujours révérer bibliquement les prophéties du dernier astrologue qui a l'oreille du roi, des princes et de la Cour. L'astrologue du Prince ou de la Princesse ne peut ni se tromper, ni nous tromper, par définition même de la notion d'autorité.

Par exemple si l'astrologue de la princesse, Jean Jouzel proclame que "le climat est foutu pour les vingt ans à venir, que les étés seront de plus en plus chauds et les hivers de plus en plus doux, et qu'il y aura cinquante millions de réfugiés climatiques en 2010 (enfin bon, en 2020, puis en 2050)", hé bien vous devez l'enseigner à votre tour, sans discuter ni rechigner, avec votre enthousiasme le plus primesautier.

Discipline et Führerprinzip !

Exactement comme sous l'occupation, où les manuels d'histoire pour les enfants détaillaient :
CiterLe maréchal dit alors : "Il faut que la France soit pure !"
Et aussitôt on vit la racaille quitter la France.
A charge pour le dessinateur de préciser aux enfants ce qu'était la "racaille" chassée : juifs, gaullistes, résistants, républicains espagnols survivants, réfugiés ayant fui le nazisme...

Vous voyez, le ministre est en charge de la grandeur éternelle de la France, et vous êtes ses godillots : où il va, vous irez aussi.

Et puis en plus vous vous conduisez comme des irresponsables, là ! Si vous mettez en doute leur théorie à elles qu'elles ont de la construction socio-sociale du sexe, avec quoi le ministre va encore pouvoir acheter les votes des militantes féminazies ? Hein ? Y avez-vous seulement songé, bande d'irresponsables ?

Et c'est irresponsable au possible de souligner que leur théorie de la construction socio-sociale du sexe est scientifiquement non prouvée ! Nous vivons sous un prince ennemi de la science, et qui déteste les savants et les intellectuels. Sans même parler de la Princesse de Clèves, cela va sans dire...

Quand le prince-qui-vous-aime donnera au Rectorat-qui-vous-aime l'ordre "Cassez-les ces pauv'cons !", et que le Rectorat-qui-vous-aime montera contre vous une affaire de moeurs, vous serez bien embêtés ! Vous vous retrouverez sous le coup d'une accusation de moeurs hétéro - avec toutes les accusations secondaires qui vont avec, accusation de beaufrerie, de violence latente, de saloperie en puissance, de viols en puissance, d'intégrisme potentiel, d'adhésion potentielle à Al Quaeda, etc. - et votre avancement rompu, voire au chômage sans indemnités. C'est vraiment irresponsable pour qui a charge de famille.

Vous êtes des fonctionnaires, c'est donc que vous fonctionnez. Sinon les représailles pleuvront.

JacquesL

#2
http://www.ndf.fr/poing-de-vue/16-06-2011/theorie-du-gender-bienvenue-dans-le-meilleur-des-mondes

CiterThéorie du gender : bienvenue dans Le Meilleur des Mondes

Par Eric Martin le 16 juin 2011

Tribune libre de Myriam Picard* pour Nouvelles de France

Le Club des Hystériques a encore frappé. Par on ne sait quelle machination bureaucratique, les idéologues du gender ont atteint la rue de Grenelle. Et nous voilà avec une magnifique nouvelle réforme de l'enseignement sur les bras.

Les chères têtes blondes ne risquent pas d'en être bien affectées, tant le décervelage accompli par l'Education Nationale, la télévision et le Club des Loisirs aura été efficace. Les petites filles étaient déjà sommées de ne pas jouer à la dînette, activité hautement sexiste et discriminatoire qui les aurait inéluctablement menées à un esclavage domestique indigne d'un XXIème siècle dont on sait combien il est « éclairé ». Les petits garçons se cachaient au fond du jardin pour se bastonner tranquillement à coup d'épée de plastique, sentant obscurément que pistolet à billes, lance-pierres et autres armements lourds appartiennent à un honteux âge de pierre, une époque sombre et indigne où l'on envoyait les jeunots se frotter à la virilité dans les casernes et où ils devaient chasser le mammouth pour la survie du foyer.



On sait ce que cela a donné. Un simple trajet en métro, à l'heure où collèges et lycées libèrent leurs « apprentis citoyens », suffit à nous montrer l'étendue des dégâts. Garçons lavettisés jusqu'au trognon, pomponnés à faire rougir d'envie une cocotte de Feydeau, la mèche délicatement lissée barrant un front vide, la ceinture de leur jean flirtant avec leurs genoux, l'épaule tombante et le bras maigrichon, chihuahuas délicats peinant à courir après leur bus, empêtrés dans leurs élégantes loques Diesel. Et l'on plaindrait presque le Che, qui souvent fleurit sur leur torse creux, de subir une telle promiscuité avec le vide et la mollesse.

Dix ans plus tard, voilà des générations d' « hommes » chez qui l'art de se faire marcher sur les pieds, intimider ou écraser est un sport quotidien. Ils mettent dix ans à proposer à leur compagne de les épouser, tremblent d'angoisse quand ces dernières évoquent le divorce devant un slip abandonné au bas du lit et acceptent passivement tout ce que leur patron, l'Etat ou leurs gamins leur imposent d'injuste, d'absurde ou d'inacceptable.

Les pauvres n'y sont pour rien. On leur a tellement expliqué qu'ils étaient d'ignobles machos obsédés par leur phallus, on les a tellement bassinés avec l'idée que le corps de la femme n'appartenait qu'à elle, mais qu'un enfant, selon les circonstances, pouvait leur passer sous le nez – via des avortements décidés en solo – ou leur être fait dans le dos, qu'ils ont oublié les temps joyeux où on leur foutait la paix et où on ne les contraignait pas à rechercher, dans le tréfonds de leur inconscient, leur envie de violence ou leur narcissisme légendaire.

Avec l'enseignement du gender, nous allons encore plus loin. Foin des différences, foin de la sexualité inscrite au cœur de nos aisselles et de nos tripes. L'homme et la femme sont désormais des mutants comme les autres, produits lissés, aseptisés, idéal d'un monde sans frontières, sans racines, sans odeurs et, si possible, sans cerveaux. Bonjour le cortège de réformes qui suivra, et vive les mères porteuses, le « mariage » des homosexuels, les échanges de spermatozoïdes et d'ovules, le bal indifférencié des hommes et des femmes réduits à changer de sexe de temps en temps pour éprouver – enfin ! – quelque frisson...

Avec l'introduction de l'idéologie du gender dans les programmes scolaires, il y a au moins une profession qui va être contente : les psys. Voilà de quoi assurer leur subsistance pendant des siècles, plus quelques résidences secondaires et les études du fiston à HEC. Le gender, c'est perturber plus pour gagner plus : la consommation d'antidépresseurs, de thérapies et de fumette va être multipliée par mille. Bienvenue dans Le Meilleur des Mondes.

*Myriam Picard est journaliste, membre du Comité de rédaction de Riposte Laïque

Nous avions déjà évoqué les autothéories et les besoins en autothéorie dans un cadre individuel : si dans la majorité des cas, l'individu emprunte la théorie prête à porter, qui subvient à des besoins personnels non conscientisés, une minorité de créateurs élaborent une théorie originale, qui a vocation large voire universelle, mais qui au départ est surtout le déguisement de leurs propres besoins très personnels.
Notre professeur Henri Jidouard citait ainsi les exemples de Sigmund Freud, Jacob Lévy Moreno, Alfred Adler, et pour rester dans le métier de la psychologie, il aurait bien pu ajouter Wilhelm Reich (lourdement délirant en fin de vie). Les sciences dures ne sont pas non plus épargnées par les besoins en autothéories, et feu Michel Schiff avait expliqué pourquoi ; j'ai détaillé ailleurs la fameuse bataille d'autothéories, toutes deux transféro-transférentielles, entre Niels Bohr et Albert Einstein : http://deonto-famille.info/index.php?topic=22.0

Là évidemment, la théorie du "gender" socio-culturellement construit mérite un pompon d'honneur. Elle répond aux besoins d'une meute de misandres victimaires, en large majorité lesbiennes. Elles ont théorisé ce qui les arrangeait, elles, afin de mieux nier l'autre sexe :  l'existence de la masculinité les incommode, et elles trouvent la différenciation sexuelle illégitime, non autorisée par elles.

Cette théorie intéresse le chercheur, en ce sens qu'elle se caractérise comme autothéorie de meute, et non pas une élaboration individuelle. Evidemment que la personne qui adopte cette théorie y trouve des bénéfices personnels pour son individualisme forcené : "Je fais ce que je veux ! Quand je veux ! Comme je veux ! Avec qui je veux !" proclamait cette québécoise sur un site de rencontres.
Toutefois, la minute d'après, l'idéologue qui là affichait une posture dialectique et constructiviste pour dénier quelques centaines de millions d'années d'héritage génétique, redevient essentialiste pour crier que par essence les mâles sont tous des brutes, des immatures, des violeurs en puissance, des inférieurs sous-développés...

Une question-qui-tue : la violence de meute dont elles sont addictes, et dont elles ne se sépareront jamais, c'est socialement construit, ou c'est notre héritage génétique depuis au moins le Carbonifère Supérieur, depuis au moins notre ancêtre amniote Hylonomus Lyelli ? Cela relève exclusivement de l'éthologie humaine ? Ou bien plus largement de l'éthologie animale ?

On sait qu'une forme de guerre sociale est purement humaine, voire massivement féminine : la construction de rumeurs, ragots de meute, théories clivant la mauvaiseté de l'étranger de la supériorité du clan... Mais les motivations de base (territoire, nourriture, sexe) dépassent largement la seule espèce humaine, et remontent bien aux gnathostomes de l'Ordovicien.

On sait aussi, mais les misandres victimaires de nos pays gavés ne le savent pas, que la coopération entre mâles, existe pour les activités de chasse dans d'autres espèces, les loups, les coyottes, les chimpanzés de savane, par exemple, mais est spécifique à l'espèce humaine pour des activités professionnelles autres que la chasse. Elles ne savent pas, et ne veulent pas savoir que cette coopération exige un dépassement de l'agressivité héritée depuis plus de 500 000 000 ans, exige des techniques de coopération, de respect, de prise en compte de l'autre, de ses points forts et de ses points faibles, de ses idées, de ses objections. Exige aussi de faire respecter ses propres intérêts et contributions. Tout ce développement des habiletés individuelles et groupales, les misandres victimaires ne peuvent le tolérer. Ce qui les intéresse jusqu'à l'obsession est le pouvoir absolu pour elles, par la guerre civile permanente, et par la négation frénétique de leur prochain.

Vous me demandez comment je le sais ? Né dans le sérail, j'en connais les turpitudes.

JacquesL

C'est la seconde fraude caractérisée qui entre en force dans les manuels scolaires, sous le règne de Nicolas le Hutin, le prince ennemi de la science et des scientifiques, et qui "déteste les intellectuels"
(NKM dixit : http://www.bakchich.info/NKM-taille-la-plume-de-son-mari,09664.html).

La première fraude caractérisée est celle du RCA (réchauffement climatique anthropique), dont le dioxyde de carbone est chargé de fournir le moyen obligeant.
La réalité est que le dioxyde de carbone n'est pas du tout digne de confiance pour produire un réchauffement climatique, qui voudrait bien être anthropique : il ne tiendra pas les promesses politiques que les politiques ont exigé de lui.

Nulles en sciences, les ministres font totale confiance à leur astrologue Jean Jouzel, qui prophétise que "Le climat est foutu pour les vingt ans à venir... Le réchauffement climatique est là, chacun le sent bien : nous allons avoir des hivers de plus en plus doux et des étés de plus en plus chauds."

Guère mieux que le gouvernement, la majorité des profs est bien incapable de réunir en chaque tête une culture scientifique assez large notamment en géosciences et physique, pour dépister les arnaques et les fraudes sur les données, et résister à l'effet de mode. En suivant la vogue (et les ordres du ministre), ils pensent se donner l'air d'être des gens éclairés, progressistes et responsables. Et que je te ressasse de l'empreinte carbone, et que je te vends des rêves de mouvements perpétuels sous prétexte qu'ils consommeraient zéro carbone...

Et que le lobby des droits-carbone s'en fourre plein les poches...

On fait croire au public que dans son état actuel, ce que fait l'IPCC (francisé en "GIEC") serait de la science climatique, alors qu'il n'en est encore rien pour plusieurs dizaines d'années encore : jusqu'à présent ce n'est rien de plus qu'une pseudo-science, vendue au pouvoir politique, et partageant les mensonges du pouvoir politique. Dans quarante ans, peut-être ? Quand les fraudeurs actuels auront tous pris leur retraite, et que les 50 millions de réfugiés climatiques prévus pour 2010 continueront de ne pas exister.

Là c'est par obéissance à un autre lobby qu'il trouve à la mode, que ce gouvernement installe dans les manuels scolaires de Sciences de la vie et de la Terre les autothéories dites "gender", élaborées à leur convenance par les "Women's Lib" américaines : en écrasante majorité homosexuelles, et en guerre privée perpétuelle contre tous les mâles et tous les hétérosexuels, elles avaient besoin de théoriser leurs travers de telle façon qu'elles paraissent "normales", juste une avant-garde éclairée...

En un sens, cette nouvelle rédaction des manuels scolaires de SVT réalise un vieux rêve de la Science-Fiction : désormais vous calculez librement vos coordonnées dans l'hyper-espace sexuel... Vous n'avez plus de comptes à rendre ni à votre propre biologie, ni celle de vos partenaires, ni à vos responsabilités sociales. La totale illusion de la totale liberté livrée à votre fantaisie.
Comme le criait une québécoise : "Je fais ce que je veux ! Comme je veux ! Avec qui je veux ! ..."

Toutefois, le même lobby des misandres victimaires qui nous gouvernent au gouvernement (on dit aussi familièrement "féminazies") fait afficher dans tous les commissariats de police de France la chanson exactement opposée, avec retour intégral au bon vieil essentialisme :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=101&Itemid=57



http://www.solidarite.gouv.fr/spip.php?page=recherche&recherche=violences+femmes&x=0&y=0 :
Citer Votre recherche sur le mot "violences femmes" a donné 500 résultats.

Affichage de la page 1/25:


Cette fois, pour le grand public de base, la propagande gouvernementale proclame que par essence les mâles sont méchants, brutaux, batteurs de femme, que par essence les femmes sont des victimes, que par essence la violence est pratiquée par les mâles, par essence contre les femelles, par essence l'homme est heureux parce que "il a une femme battue".
Rhéteuses exercées, elles n'ont pas écrit explicitement le quantificateur universel "Tous les hommes sont des batteurs de femme", non, elles ont juste agencé leur propagande de façon à ce que les incultes l'extrapolent facilement.

Et que doivent faire les policiers dociles dans les cas où la violence féminine s'éclate dans un couple lesbien ? Où la violence féminine s'éclate contre tel ou tel enfant ? Où un couple mère-fille s'éclate contre leur mari-gendre, puis contre le fils né d'une telle mésalliance ? Pensez-donc ! Une union hétérosexuelle ! Quelle déchéance ! voilà qui justifie toutes les vengeances et tous les sadismes !

Ah oui, c'est vrai, les couples mère-fille partagent avec les couples lesbiens la disgrâce d'être stériles... Mais qu'à cela ne tienne, il leur reste la ressource de voler l'enfant d'un couple hétérosexuel, afin d'être quand même propriétaires d'un cheptel d'enfants à commander. Manoeuvre classique : une fois l'enfant prouvé viable, en bonne santé et satisfaisant, répudier le père en l'accusant de violence conjugale, demander à tout l'entourage des faux témoignages en ce sens. Le plus souvent, les magistrates sont très protectrices et complices envers ce genre de fraudes. Mais quand ça rate ? Quand la magistrate réclame des preuves solides avant de condamner aveuglément le père ?
Fureur de la fraudeuse, redoublement d'activité militante, industrialisation de la calomnie genrée. Ça donne ça :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=25.0
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=57

Il faut voir aussi les fraudes universitaires que ces féminazies pratiquent. Ici c'est Louise Langevin qui réclame que les lois canadiennes criminalisent toute critique envers leurs fraudes et leur violence. Elle explique qu'elle tient secret son éventuel corpus d'études, prétendument fondé sur des documents publics :
http://deonto-famille.info/index.php?topic=209.0

Curieux, j'ai été confronté professionnellement à d'autres fraudeurs et escrocs, ils exigeaient eux aussi de conserver le secret des sources de leurs documents falsifiés, mais prétendus d'origine officielle. Un exemple :
http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/board,26.0.html

En ne citant que les "Women's lib" je n'ai décrit qu'une partie du lobby qui tient le gouvernement par le cou, l'autre partie ce sont les "gays", homosexuels mâles. Regardez ceux-ci, qui se proclament révolutionnaires, mais qui faute d'avoir la moindre action sur les capitalistes de Chine ou de Thaïlande, s'en prennent aux ennemis intérieurs à leur portée, si faciles à insulter, à traiter de "masculinistes" :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=70&Itemid=57

Ce sont les mêmes qui se déchaînent contre l'opposition à l'entrée de la théorie "gender" dans les manuels scolaires :
http://forummarxiste.forum-actif.net/t155p210-homophobie

Comme d'habitude chez les militants, dont l'esprit de la meute a remplacé le cerveau, ils raisonnent par insultes. Voilà ce qui va désormais régner dans les manuels scolaires, sous ce prince ennemi de la science, qui déteste les scientifiques et les intellectuels.

Je ne doute pas que Leonard Bernstein était un excellent musicien et un pédagogue de grande classe. De là à ce que tous les homosexuels soient de la classe de Leonard Bernstein, que ce soit sur un plan technique ou sur un plan moral...
Voici un homme qui a réalisé une forte mainmise du lobby homosexuel sur l'association SOS PAPA, dont il fut président. Il tient énormément à se faire une image de sage, tout cauteleux. Avec une division du travail bien organisée, Jean-Louis Touchot protège ceux qui se conduisent en ordures, privilège du chef et de ceux qui couchent avec lui :
http://www.p-a-p-a.org/html//modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=56&forum=5&post_id=281#forumpost281
Lien mort (ou accès privé) sur la langue de bois de Touchot à :
http://www.p-a-p-a.org/html/modules/newbb/viewtopic.php?viewmode=flat&topic_id=16&forum=4
Mais il reste le titre public à
http://www.p-a-p-a.org/html/modules/newbb/viewforum.php?sortname=p.post_time&sortorder=DESC&since=0&forum=4&refresh=Ok
Résumé à :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=111&Itemid=59

Donc voilà, depuis ce genre d'expériences, je serais un grave infirme cérébral si je croyais que ce genre d'homosexuels soient des références morales ou scientifiques.

Je ne crois pas non plus qu'habiller son fils en rose et lui donner des jouets de fille soit le bien traiter. La théorie "queer" est comme celle du dahut : à ces gens de travers, il faut que tout le monde soit de travers pour qu'ils tiennent encore debout.

Car en SVT, il y a largement de quoi enseigner sur notre animalité en sexualité, et les quelques particularités de la sexualité humaine, et qui soit bien des sciences, bien de la biologie :

Dans les espèces qui n'ont d'oestrus qu'une fois par an, par exemple les chamois ou les cerfs, on a noté les énormes variations du comportement selon la phase du cycle ovarien, et de même la saisonnalité du comportement des mâles en âge d'être reproducteurs.

Dans l'espèce humaine, l'oestrus est caché, et les variations des préférences sexuelles des femmes selon l'âge de leur cycle ovarien se reproduisent une douzaine de fois par an. C'est dans le champ de la biologie, cela, et ça a été publié dans des revues scientifiques à comité de lecture. Elles sont où, les publis scientifiques sur les théories "queer" et "gender" ?
Pas grave, elles remplacent cela par l'intimidation et le chantage :
"Si vous ne nous obéissez pas, on donnera des consignes de vote qui ne vous sont pas favorables, et vous n'êtes pas en état de pouvoir vous passer de nous, sur le plan électoral". Ce gouvernement n'est pas en état de résister à des lobbies ni des charlatans.

"Vous trouvez que l'éducation coûte cher ? Essayez l'ignorance !" remarquait Benjamin Franklin.
Nous expérimentons l'ignorance au gouvernement.
Pour ceux qui en auraient oublié les preuves, voici les liens :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/06/06/echec-scolaire-difficile-evaluation-de-cm2-pour-luc-chatel/

http://www.dailymotion.com/embed/video/xj4oco_luc-chatel-seche-sur-un-exercice-de-cm2_news

JacquesL

Le voilà le nouveau programme SVT :
http://www.snes.edu/IMG/pdf/joe_20100828_0022.pdf

Je suis alarmé aussi par le caractère extrêmement superficiel, voire fallacieux du chapitre à prétentions agricoles : "Nourrir l'humanité".

Au bout de ce chapitre, les élèves ne soupçonnent même pas qu'il existe une microbiologie du sol, des mycorhizes indispensables, une énorme biomasse dans un sol riche et profond - record probable pour les tchérnozioms -, que la plante a besoin de beaucoup d'oligo-éléments qui ne font pas partie des engrais commerciaux ordinaires, et également de dissoudre de la silice pour ses phytolites (remplacée en partie par l'alumine pour les résineux). Les intellectuels des villes n'ont aucune fiabilité pour enseigner qu'il existe une pédologie, une science des sols. Et les programmes sont faits par des citadins en costard, qui ne touchent pas le sol.

Pour retour à la sexualité humaine, ce qui a alarmé nos collègues, la conceptualisation qui a été phagocytée par les lobbies homosexuels et féminazis, était pourtant d'une simplicité lumineuse. En psychologie des handicaps, on sait étudier depuis longtemps les habiletés vicariantes qu'un handicapé ou accidenté peut et doit développer pour surmonter en partie le handicap et retrouver une vie digne et intéressante.

Pour un biologiste (que je ne suis pas, mais je m'en soigne), il est  évident de partout que la seule sexualité normale est celle dont nous descendons, depuis plus d'un demi-milliard d'années. Mais en espèce humaine, certains handicapés psychiques peuvent développer une sexualité vicariante, homosexuelle voire transexuelle. Mais leurs infirmités psychiques continuent de se voir comme le nez au milieu de la figure, et de produire des dégâts dans leur entourage.

L'escroquerie est de placer les sexualités vicariantes sur le même plan moral et le même plan social que la vraie. Les sexualités vicariantes permettent de remédier à la carence en intimité, en affection et en plaisirs orgastiques, mais sont limitées à cela. Elles ne mettent pas leurs adeptes en face des différents âges de notre vie, ne leur permettent pas d'effectuer chacune des transitions de la maturité ; ils s'installent dans des dénis de réalité permanents, dans une immaturité prolongée.

Typique de cette immaturité prolongée, les insultes condescendantes du pseudo "Callixto", pilier des .HyènesdeGuerre et du Klub S°S à Michèle Dayras, envers l'avocate Géraldine : "Vous êtes illogique comme toutes les femmes mariées... C'est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi confuse ?".

J'ai relu mes sauvegardes et les pages encore lisibles du faux sage à la langue de bois, qui tient http://www.p-a-p-a.org :
Langue de bois, lâcheté, jalousie, protection des truands, cautèle, défiance pathologique...
Il lui manque beaucoup d'habiletés de base et de droiture pour faire un vrai adulte. Et il a tout verrouillé afin de ne les apprendre jamais.

Dans l'espèce humaine, nous avons quelques besoins en plus, du fait de notre énorme cerveau si coûteux en énergie, et si lent dans sa maturation : nous avons de gros besoins en loyauté de la part de notre entourage, et nous avons un cortex frontal qui tient à notre insu un Grand Livre des loyautés données et des loyautés reçues. Ça n'existe pas chez les chimpanzés ni les orang-outans, bien que leur psychisme soit pourtant si proche du nôtre. Elever avec déloyauté produit des endommagements à long terme sur les futurs adultes.

La publicité faite par l'alliance du lobby féminazi et du lobby homosexuel et qu'on trouve à présent dans les manuels scolaires à la mode, préconise justement la totale irresponsabilité envers son prochain et surtout envers les enfants, au profit de la seule fantaisie-sexuelle-à-moi-que-j'ai.

Bien d'autres particularités anatomiques et physiologiques nous séparent des autres grands singes, et leur réalité dérange énormément les tenantes de l'homosexualité pour toutes, celles qui ont dicté au ministère de l'Education Nationale la théorie à enseigner désormais.
La station et la locomotion strictement bipèdes, suivies de l'encéphalisation énorme de l'espèce ont imposé aux individus féminins d'importantes modifications du phénotype. L'encéphale énorme des bébés humains a imposé un fort élargissement du bassin féminin humain, et de là un fort renforcement de la musculature du col de l'utérus. L'utérus humain est le seul sac qui se porte avec l'ouverture en bas.

Cette encéphalisation croissante de l'espèce a entraîné des parturitions de plus en plus dangereuses et éprouvantes. Ont survécu les groupes où la préférence sexuelle des mâles pour les femelles à large bassin a correctement accompagné cette évolution du crâne des bébés.
La gestation humaine est la plus longue des grands singes :

Gorille : 250 à 270 jours (à préciser, plus probablement sous les 260 jours).
Chimpanzé : 230 à 240 jours.
Orang-outan : 245 jours.
Homme : 270 à 280 jours.

Mais l'écart se creuse dramatiquement avec la période d'extrême dépendance et d'impotence des bébés. Nos bébés naissent prématurés moteurs, vus par les autres singes. A sept ans un chimpanzé est adulte, il faut le triple pour un humain ; la maturation humaine est particulièrement lente.

Outre la spécialisation squelettique par le bassin, la femelle humaine présente une étonnante spécialisation physiologique : elle résiste bien mieux que le mâle aux disettes et famines, son métabolisme peut se ralentir à l'extrême de l'économie, ce qui du reste peut en faire facilement une obèse si la nourriture ne manque pas. Cette caractéristique là n'a pu se développer que dans des populations où la division sexuelle du travail était prononcée. Nous n'avons aucun renseignement sur l'éthologie des deux espèces qui nous ont précédées, Homo Habilis et Homo Erectus, mais nous pouvons du moins observer les moeurs des quelques peuples chasseurs-cueilleurs encore subsistants : les femelles prennent en charge les tâches proches du campement ou de l'habitat saisonnier ou permanent. Les mâles parcourent du terrain pour chasser la gazelle, ou chasser des prédateurs dangereux.

Ah certes, depuis que la vapeur puis le pétrole et l'électricité ont mis à notre disposition nombre d'esclaves mécaniques, le doigt d'une femme est aussi fort que le doigt d'un mâle pour appuyer sur un bouton. Et ça va durer combien de temps encore comme cela ? Il reste 45 ans de pétrole.

JacquesL

#5

JacquesL

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Citation de: Mateo le 31 Août 2011, 01:13:23 PM
Une interview de Bruno Julliard par Pascale Clarke sur France-Inter, en vidéo :
http://www.franceinter.fr/emission-5-mn-avec-bruno-julliard

Conflit d'intérêts, besoins personnels en autothéorie, tout ça... Théorisation de ce qui l'intéresse, lui.