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Le Tchernobyl des pétrolières.

Démarré par JacquesL, 18 Mai 2010, 09:16:29 PM

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JacquesL

Le Tchernobyl des pétrolières

http://newsoftomorrow.org/spip.php?article8142&debut_articles_rubrique=1005

Citer
Le Tchernobyl des pétrolières
mercredi, 12 mai 2010 / Jsf / Jurian Sterk, Apatura Ilia sur facebook. Actuellement à Toulouse.

(Source : transmis par Les 7 du Québec)

François Marginean



Dans le secteur pétrolier, il y a des déversements de pétrole. D'autres fois, il y a déversements catastrophiques de pétrole, comme dans le cas de l'Exxon Valdez. Finalement, dans sa nouvelle catégorie bien à part, il y a le déversement de pétrole causé par la plate-forme Deepwater Horizon, opérée par Transocean Ltd., qui exploite le gisement de Macondo situé sous le Golfe du Mexique, une propriété/location de la pétrolière British Petroleum (BP) qui en est ultimement responsable.

Pour donner une ordre de grandeur, le désastre écologique causé par l'Exxon Valdez au large de l'Alaska en 1989, fut le résultat du déversement de 11 millions de gallons de pétrole, constituant un des pires déversement en mer jusque là. C'est environ 257 000 barils de pétrole qui se sont retrouvés dans l'océan. En 1979, le pire déversement à affecter les eaux territoriales américaines s'est effectué après l'explosion à bord du Ixtoc, une plate-forme mexicaine qui a déchargé au moins 130 millions de gallons pétrole au large des côtes du Texas, un déversement qui a pris neuf mois à colmater. Au Canada, nous consommions 2.29 millions de barils de pétrole par jour en 2004. Les États-Unis affichaient une demande quotidienne de 20.52 millions de barils à pareille date. Le champ de pétrole et de gaz naturel de Macondo renferme, selon les meilleures estimations, autour de 44 millions de barils de pétrole, soit 1.8 milliards de gallons. À plus de 1.6 km sous l'eau, la pression à la sortie du trou percé par BP dans le fond du Golfe du Mexique qui atteint un total de plus de 6 km à 10 km de profondeur, selon les sources, le pétrole mélangé au gaz sort à plus de 135-165 000 PSi. C'est massif.

Le résultat est que cette tragédie entre dans une toute nouvelle catégorie qui ne constitue pas qu'un simple "déversement" de pétrole, mais bien un "volcan" sous-marin rejetant des quantités de pétrole faramineuses et dévastatrices sans arrêt.

Le 20 avril dernier, alors que Halliburton complétait une base de béton pour solidifier l'embouchure drillée par Transocean, il y aurait eu une fausse manoeuvre en retirant la tête perceuse, combiné à une base de béton défaillante et des valves de sécurité inopérantes, ce qui aurait causé la montée d'une bulle de très haute pression de long du puits de forage et l'explosion finale de la plate-forme Deepwater Horizon qui coula peu après, avec 770 000 gallons de diesel à bord et tuant 11 personnes. Le tuyau de forage long de 1.6 km s'est replié sur lui-même, entrainant trois fuites importantes de pétrole dans les bas-fonds du Golfe du Mexique. Un survivant raconte ce qui s'est passé dans cette entrevue radiophonique.

Ce volcan de pétrole à haute pression rejette présentement entre 5 000 et 25 000 barils de pétrole par jour. Mais ces estimations optimistes des premiers jours ont dû être révisées à la hausse et il est fort possible qu'il s'échappe actuellement plus de 50 000 à 100 000 barils de pétrole quotidiennement. Trois mois pourraient être nécessaires avant de pouvoir colmater adéquatement toutes les fuites. À ce rythme, il est évident que le drame écologique de l'Exxon Valdez sera rapidement surpassé, si ce n'est déjà fait.

Tandis que Sarah Palin, ancienne gouverneur de l'Alaska, faisait la promotion des forages de pétrole en haute-mer en tenait des propos tels que "drill, baby, drill", et que Barack Obama de son côté venait tout juste d'approuver une expansion de l'exploitation pétrolière dans le Golfe du Mexique, se préparait le Tchernobyl des pétrolières. Depuis le déversement, Obama, qui est le plus grand récipiendaire de l'argent électoral distribué par BP avec $77,051 récolté durant la dernière campagne électorale, a accordé 27 exemptions à des sociétés pétrolières et gazières de faire des études approfondies environnementales par rapport au danger de l'exploration et la production pétrolière dans le golfe du Mexique. De plus, le ministère de l'Intérieur a exempté la calamiteuse BP d'une analyse d'impact environnementale détaillée l'année dernière, selon des documents du gouvernement, après que trois analyses de la zone concluaient qu'une marée noire était peu probable.

Pourtant, BP est loin d'avoir un passé reluisant. En fait, BP est un grand pollueur. Au début de 2009, BP présente son plan de forage au Mineral Management Service (MMS). Le Secrétaire Salazar a permis au MMS d'approuver - sans examen environnemental - l'opération de forage BP qui a explosé le 20 avril 2010, tuant 11 travailleurs et déversant des millions de gallons de pétrole dans le golfe du Mexique, une catastrophe qui sera bientôt, si ce n'est déjà fait, la plus vaste marée noire de l'histoire américaine.

Plutôt que de soumettre le plan à un examen détaillé des impacts environnementaux avant de l'approuver, tel que requis par le National Environmental Policy Act, l'agence a déclaré que le plan soit "catégoriquement exclu" de l'analyse environnementale, car "il ne pose pratiquement aucune chance de nuire à l'environnement". Comme BP l' a elle-même souligné dans sa lettre du 9 avril 2010 au Council on Environmental Quality, les exclusions catégoriques sont à utiliser uniquement quand un projet n'aura que de « minimes ou inexistants" impacts environnementaux. Le MMS a publié sa lettre d'approbation d'une page à BP le 6 avril 2009. (Source)

L' analyste de l'industrie pétrolière, Antonia Juhasz, souligne que : "BP est l'une des sociétés les plus puissantes d'exploitation aux États-Unis. Ses revenus de 327 milliards de dollars en 2009 sont suffisants pour classer BP au troisième rang dans ce pays. BP se consacre activement à influencer la politique des États-Unis et la surveillance réglementaire. "La puissance et la richesse que BP et d'autres géants du pétrole exercent sont presque sans équivalent dans le monde, et constituent une menace pour la vie des travailleurs, à l'environnement et à nos perspectives pour la démocratie. (Source : BP : Billionaire Polluter)

Il y a soixante ans, BP se nommait Anglo-Iranian Oil Co. (AIOC). Le gouvernement iranien populaire, progressiste et élu démocratiquement de Mossadegh Mohammed avait demandé à l'AIOC, un monopole largement détenue par les Britanniques, de partager ses bénéfices provenant du pétrole iranien avec le peuple d'Iran. L'AIOC ayant refusé, l'Iran a nationalisé son industrie pétrolière. Cela n'a pas fait l'affaire des États-Unis, de sorte que la CIA a organisé un coup d'État contre le Premier ministre Mossadegh Mohammed. Après avoir été déposé, le AIOC, rebaptisé British Petroleum, retrouva une grande partie de son monopole sur le pétrole iranien et les Iraniens, eux, ont subi la brutale dictature du Shah d'Iran qui leur ont été imposé, ce qui a semé les graines de la révolution iranienne de 1979.

Ainsi donc, en 2000 la British Petroleum se rebaptise sous BP et entreprend une croissance dynamique et des bénéfices scandaleux malheureusement enchevêtrés d'antécédents de catastrophes liées au pétrole. En 2005, la raffinerie de BP au Texas City explose, tuant 15 personnes et en blessant 170. En 2006, un pipeline de BP en Alaska souffre d'une fuite de 200 000 gallons de pétrole brut, provoquant ce que l'Environmental Protection Agency appellera « le plus grand déversement jamais survenu sur le versant Nord de l'Alaska." BP a été condamné à une amende de $60 millions pour les deux catastrophes. Puis, en 2009, la sécurité et la santé au travail (OSHA) donne une amende à BP d'un montant additionnel de 87 millions d'euros pour l'explosion de la raffinerie. Le Secrétaire du Travail Hilda Solis a déclaré : "BP a permis à des centaines de risques potentiels de se poursuivent sans relâche. ... La sécurité au travail est plus qu'un slogan. C'est la loi." BP a répondu en contestant formellement l'ensemble des charges de l'OSHA.

BP est maintenant confrontée à une amende de £3 milliards pour la marée noire au large de la Louisiane qui risque de devenir la pire catastrophe écologique de l'histoire - et elle est maintenant accusée ne pas avoir prévenu la catastrophe. Des documents ayant émergé montrent que BP avait minimisé la possibilité d'un accident catastrophique à la plate-forme. Elle est allée jusqu'à suggérer dans son plan d'exploration de 2009 et d'analyse des impacts environnementaux que les dommages aux plages, les poissons et les animaux - étaient peu probables ou pratiquement impossibles.

BP, la société propriétaire de la plate-forme pétrolière en Louisiane qui a explosé, a passé des années à combattre les régulateurs fédéraux sur les mesures de sécurité nécessaires pour empêcher ce type d'accident en eau profonde. Un sujet de préoccupation immédiat, selon des experts de l'industrie, est le manque d'un système à distance qui aurait permis aux travailleurs de fermer la tête du puits en eau profonde de Deepwater Horizon pour éviter qu'il continue de faire jaillir du pétrole. Dans une lettre envoyée l'an dernier au ministère de l'Intérieur, BP s'est opposé à des règlements proposés pour de nouvelles règles afin de renforcer les normes de sécurité. « Nous croyons que la sécurité actuelle de l'industrie et les statistiques de l'environnement montrent que les programmes volontaires ... continuent d'être très fructueux." (Source)

Ainsi, l'agence fédérale américaine qui a pour rôle de réglementer les puits de forage en haute-mer a changé ses règlements il y a deux ans pour exempter certains projets de forage dans la région centrale du Golfe du Mexique, ce qui explique pourquoi le géant pétrochimique BP n'avait pas préparé de plan d'urgence dans le cas d'un déversement majeur de pétrole dû à une explosion dans son projet de Deepwater Horizon. (Source)

Le forage en eau profonde est un jeu aux risques très élevés. Ce n'est pas exactement un "casino", en ce sens qu'il existe un lot de science bien établie, d'ingénierie et de technologie en cause. Mais il est certain que nous allons trouver avec grande peine l'étendue des risques en jeu. Et il devient de plus en plus clair que la totalité des risques représente une cible mouvante. Il y a des risques géologiques, des risques techniques d'ingénierie et des risques pour l'environnement, pour le capital-risque et le risque de marché. À chaque puits profond que l'on perce, ces risques viennent se combiner sur une très petite surface au fond de l'océan. (Source)

Ce sont des risques inutiles. Cette catastrophe n'avait pas besoin de se produire, les dommages auraient pu être contenus lors du premier jour et la corruption du gouvernement et des médias ont rendu possible ce désastre écologique et économique. Si les responsables américains avaient effectué un suivi du plan de 1994 en matière de réponse en cas de déversements de pétrole majeurs dans la région du Golfe, il est possible que le déversement aurait pu être maintenu sous contrôle et loin des côtes américaines. Le problème : le gouvernement fédéral n'avait pas un seul dispositif de contrôle à portée de main.

Le fait que ce déversement émane du fond du gouffre (1 600 mètres de profondeur), où la température de l'eau est d'environ 1 degré centigrade (alors que le pétrole est chaud), signifie qu'au moment où le pétrole atteint la surface, il a été mélangé avec de l'eau et donc ne semble pas être du même genre de nappe macabre qui est si célèbre dans les catastrophes précédentes. C'est une aubaine de PR pour BP qu'il en soit ainsi, car cela signifie que le déversement de pétrole reste caché à la vue du public. Cela ne signifie toutefois pas qu'il n'y a pas de tragédie énorme se déroule, dévastant l'environnement. (Source)

Pour disperser et escamoter ce déversement volcanique pétrolier, BP a recours à des dispersants de dénomination commerciale "Corexit". Il est à souligner que le pétrole est toxique pour la faune, mais les dispersants chimiques le sont tout aussi et la toxicité des deux combinés est supérieure à la somme des parties. Les règles de relations publiques de BP semblent être les suivantes :

1 - sous-estimer la quantité de pétrole déversé et dommages environnementaux causés.

2 - surestimer l'efficacité de la réponse de la compagnie pétrolière.

3 - Essayez d'acheter les locaux pour une bouchée de pain en échange à une renonciation de poursuite en justice contre BP.

4 - Obtenir le silence du plus de gens que possible.

En effet, BP a offert des sommes allant jusqu'à $5000 aux résidents et pêcheurs de la côte américaine en Louisiane en échange de leur abandon de poursuites judiciaires.

Un individu travaillant pour BP a déclaré qu'il "est tout à fait possible que la région du Golfe du Mexique jusqu'en Floride devienne une zone morte, sans aucune vie aquatique que ce soit". La marrée noire est visible par les satellites de la NASA. Elle semble être de cinq à douze fois pire que ce qu'on pouvait anticiper ou laissé croire. Cette marée se déploie très rapidement et pourrait atteindre bientôt les côtes de la Louisiane. "Je commence à me rendre compte de l'énormité de cette marée », déclare Wathen, "Il semble qu'elle s'est répandue sur toute l'étendue du Golfe du Mexique".

Certains commencent à suggérer que cette catastrophe record risque de tuer les océans de la planète, alors que le pétrole giclant à grande pression du "volcan" sous-marin pourrait bien dériver le long de la côte Est et jusqu'en Europe avec les courants marins. Cela nous démontrera le vrai coût de l'ère du pétrole alors que 50% des fruits de mer que les Américains consomment proviennent du Golfe du Mexique. Cette région est littéralement la toilette des États-Unis qui y rejettent quantités de produits chimiques, contaminant la chaîne alimentaire au mercure et autres déchets industriels. Le Golfe du Mexique porte l'une des plus grandes "zone morte" de la planète, soit de 15 500 km2 d'eau où rien ne vit. Et ça, c'était avant le déversement du Deepwater Horizon.

Le président de BP a déclaré que ce n'était pas leur accident, mais qu'il nettoierait la marée noire, essayant de la sorte de se déculpabiliser. Le truc, c'est qu'en vertu de la loi établissant la réserve de fonds nommée Oil Spill Liability Trust Fund, la responsabilité civile de BP se limiterait à $75 millions, après quoi c'est les taxes sur l'essence payées par les Américains qui débourseront les frais, selon le New York Times. Ce désastre écologique pourrait entrainer l'effondrement économique des États-Unis, s'il était pour s'étendre jusque dans l'océan Atlantique et au-delà. Les coût seront simplement astronomiques. Mais le malheur des uns fait le bonheur des autres, comme le dit le dicton. Cela, Goldman Sachs le sait très bien et des allégations apparemment vérifiées pointeraient vers le fait que GS ait spéculé et misé sur la baisse des actions de Transocean quelques jours avant le début du tragique évènement.

En conclusion, à la lumière de toutes ces informations, il apparait sage de planifier un passage rapide à d'autres sources d'énergie plus propres, abondantes et libres. L'ère du pétrole doit se terminer rapidement, car il pourrait déjà être trop tard pour éviter une des pires catastrophes écologiques de l'histoire, causée par une substance et des cartels qu'on aurait dû quitter il y a belle lurette.


JacquesL

Vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xds0ws_maree-noire-golfe-du-mexique-bp-cac_news

Un contrôle sur l'information, et un blackout, comparable à ce qui se fait en Chine.

Article : http://oilprice.com/Environment/Oil-Spills/Alabama-State-Troopers-Moonlighting-as-BP-Security-Guards.html

CiterLes sources de Wayne Madsen Report signalent que, sur la côte du Golfe, le personnel de sécurité de BP est complété par la police montée de l'État d'Alabama en dehors de ses heures de service et par les gardes d'une société de sécurité privée, G4S Wackenhut. Le personnel de sécurité de BP veille à ce qu'aucun observateur ne soit présent sur les plages de la côte pendant la nuit, au moment où les prestataires de BP nettoient les plages, ramassent et se débarrassent secrètement des dauphins morts, tortues, oiseaux, et des autres animaux marins qui se lavent à terre couverts de pétrole provenant du désastre de Deepwater Horizon.
[Ndt : BP massacre les animaux qui tentent de nettoyer le pétrole qui les englue ! Les dirigeants de British Petroleum ont fait preuve de prescience en changeant le nom de leur compagnie par Beyond Petroleum : Au-delà du Pétrole... l'enfer !]

      BP élimine secrètement les cadavres d'animaux afin d'éviter de payer des amendes et des réparations pour le massacre d'espèces en voie de disparition et protégées, comme les tortues, les dauphins et les pélicans bruns. La forte baisse de la teneur en oxygène dans le Golfe contraint de nombreux animaux marins à aller dans les eaux peu profondes pour respirer, mais ces proies plus faciles sont aussi suivies par les requins dans les rivières côtières et les anses.

      Le personnel de sécurité de BP se remarque à ses uniformes gris. Une autre entreprise, Talon Security, a été spécialement engagée par BP pour maintenir les médias curieux loin des plages et des eaux du Golfe, et pour intimider les employés de nettoyage pour qu'ils ne parlent pas à la presse.

      Le personnel médical de BP, qui s'occupe des plaintes de santé des résidents touchés de la région du Golfe, signale également une forte augmentation des maladies respiratoires et même des cas de pneumonie chimique de ceux qui sont touchés par les vapeurs de benzène de pétrole dans le Golfe et ses estuaires. Les habitants de la côte du Golfe sont affectés d'emphysèmes et de bronchites dues au taux dangereusement élevé de benzène.

      Par-dessus le marché, le fond d'indemnisation de BP, dirigé par la caisse de compensation des victimes du 11/9 et le cadre supérieur du sauvetage de Wall Street, Kenneth Feinberg, donne la priorité aux copropriétaires absents, vivant pour la plupart à Atlanta et New York, pour le dédommagement de l'annulation du contrat de location d'été de leurs propriétés en bord de plage. Selon nos sources dans l'immobilier du Golfe, les propriétaires absents passent avant tous les travailleurs dans le marasme, pêcheurs, crabiers, crevettiers et de l'industrie touristique, en bénéficiant d'une réparation.

      BP accorde également des contrats à des sociétés écrans du Massachusetts qui sont liées à la mafia russo-israélienne, pour traiter de l'extérieur un grand nombre de marchés de nettoyage des plages de la côte du Golfe et d'autres services découlant du désastre pétrolier.

      Le service de sécurité de BP continue de harceler les journalistes et les photojournalistes qui tentent de couvrir dans son intégralité l'étendue des dégâts dans le Golfe. L'un de nos collègues photojournaliste a été informé par la sécurité de BP que, sur le domaine public d'Alabama, il ne pouvait pas photographier les efforts de nettoyage des plages des prestataires de BP.

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

JacquesL

#3
Nombreuses autres vidéos disponibles, hélas pas toujours bien précises :
http://www.dailymotion.com/video/xduzjh_maree-noire-ce-que-bp-cache_news
http://www.dailymotion.com/video/xduywr_lindsey-williams-decrit-l-accident_news
http://www.dailymotion.com/video/xduz9v_lindsey-williams-le-danger-vient-de_news
http://www.dailymotion.com/video/xdu8xo_temoignage-citoyen-maree-noire-bp-1_news
...

BP a envahi toute la politique et les garde-côtes et gardes locales du Golfe du Mexique, et dirige toutes les opérations de dissimulation. Les malades et les morts par empoisonnements s'accumulent.

JacquesL

Goldman Sachs, BP, Bilderberg et Cie, beaucoup de coïncidences...
Auteur : Roland
http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=13914

CiterGoldman Sachs, BP, Bilderberg et Cie, beaucoup de coïncidences...
Auteur : Roland

J'étais en train de chercher des renseignement sur BP, suite à la catastrophe dans le golfe du Mexique. J'ai découvert que le Président de BP s'appelait Peter Sutherland et j'ai voulu en savoir plus.

Peter Sutherland en voilà un drôle de personnage... Wikipédia nous dit :

   Peter Sutherland (né le 25 avril 1946) est un ancien homme politique irlandais.

   Il est président de l'European Policy Centre, de Goldman Sachs International, de BP (British Petroleum), et aussi de la section Europe de la Commission Trilatérale. Il est également membre du comité de direction du groupe Bilderberg. Il est aussi directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland.

   De 1985 à 1989, il a été en poste à Bruxelles en tant que commissaire responsable de la politique de concurrence. Entre 1989 et 1993, Peter Sutherland a été président de Allied Irish Banks. Il fut directeur général du GATT et de l'OMC de 1993 à 1995.

   Il fut membre du directoire d'Investor AB jusqu'au 11 avril 2005, et de celui d'Ericsson (dont il fut directeur en 1996) jusqu'au 4 mars 2004. Il a aussi été administrateur de alibaba.com, société qu'il dirigea en 2000.

   Peter Sutherland est aussi le patron européen du Transatlantic Policy Network, un institut euro-américain ultra-puissant dont le but est de faire émerger un bloc euro-atlantique unifié dans tous les domaines d'ici 2015 d'après les textes officiels.

Ce monsieur est président de de Goldman Sachs International  et de BP soit des 2 multinationales qui, pour parler français, sont en train de foutre le monde dans une merde noire. Accessoirement il est membre du comité directeur du groupe Bilderberg et président de la section Europe de la Trilatérale.

Accessoirement aussi au 31 Mars 2010, soit 20 jours avant l'explosion de la plateforme Deepwater Horizon, Goldman Sachs vendait a peu près 4,5 millions d'actions BP sur un total de 10,5 millions, soit environ 44% de leur portefeuille d'actions BP, ce qui est pour le moins curieux puisque les 2 entreprises ont le même président:  Peter Sutherland.

Ca fait beaucoup de coïncidences. Sans devenir un illuminé complotiste, il y a des questions à se poser, non ? D'autant plus que la presse ne parle pas du tout de ce monsieur, pourtant très connu en tant qu'ancien commissaire européen, et ancien directeur de l'OMC.
Auteur : Roland

CiterIl a aussi été administrateur de alibaba.com, société qu'il dirigea en 2000.

Alibaba.com est un site web de commerce électronique d'origine chinoise ????. Il est le plus important site de vente en ligne à destination des entreprises au niveau mondial.

Comment Peter Sutherland savait-il vingt jours à l'avance, que la plate-forme de BP allait exploser ? ou quelque autre emmerdement majeur ?
Ah oui, il dirige aussi BP...

http://rawstory.com/rs/2010/0602/month-oil-spill-goldman-sachs-sold-250-million-bp-stock/

JacquesL

#5
http://www.centpapiers.com/deepwater-le-pire-avenir/18243/

CiterDeepwater: le pire avenir?

Voila maintenant  plus de 2 mois que le pétrole fuit à gros bouillon à 1600 mètres de profondeur, dans le Golfe du Mexique.

Il reste beaucoup d'inconnues, mais nous avons aussi des certitudes.

Il semble bien que le pire soit à venir.

L'action BP a perdu 50 % de sa valeur, et l'entreprise n'est pas à l'abri d'une faillite, laquelle aurait, on s'en doute, des conséquences sur l'économie de la Grande Bretagne.

De plus, une tempête tropicale s'annonce. lien

Elle pourrait compliquer encore un peu plus le travail des ingénieurs qui tentent de colmater la fuite.

On sait aussi que la cause de la catastrophe vient de la volonté d'avoir voulu creuser trop profondément, à plus de 9000 mètres à une profondeur de 1600 mètres par rapport à la surface de l'océan.

BP savait le danger que représentait ce forage, en zone sismique instable, avec la présence d'énormes poches de gaz méthane.

Les géologues avaient prévenu Transocean du risque pris, plus d'une année avant le début du forage.

Ils avaient clairement expliqué que ces poches de gaz étaient sous une énorme pression (entre 135 000 et 165 000  psi), alors que les vannes d'arrêt et les mesures de sécurité ne pouvaient contenir une pression au delà de 1000 psi. lien

Aujourd'hui, ces géologues constatent de nouvelles fissures au fond de l'océan, à proximité du forage.

BP est accusé d'avoir déclenché un volcan de pétrole de grande profondeur, qui ne pourrait être arrêté en août, comme annoncé, et qui est susceptible de jaillir encore pendant des années.

lien

Pour l'expert Matthew Simmons, la fuite pourrait même durer 24 ans. lien

Certains plus optimistes évoquent la fin de la fuite en décembre prochain.

A ce jour, 3,6 millions de barils de pétrole ont été déversé dans le Golfe du Mexique.  lien

Les experts constatent qu'au lieu de s'affaiblir, la pression, bien au contraire a augmenté.

Ils pensent que le risque aujourd'hui est bien plus grand maintenant,

Ils ont découvert une énorme bulle de gaz, si importante qu'elle pourrait provoquer une explosion de gaz sous marine aussi importante que celle du volcan Ste Hélène.

La libération de ces gaz enverrait un nuage toxique sur les régions peuplées de Louisiane et provoquerait un tsunami qui menacerait la Floride en se déplaçant à 600 miles à l'heure. (Plus de 1000 km/h)

On voit bien que la promesse de BP de donner 20 milliards de dollars pour réparer les dommages, et 100 millions de dollars pour dédommager le personnel mis au chômage pendant au moins 6 mois, suite à la catastrophe, risquent d'être largement insuffisants. lien

Cette catastrophe pourrait donc tuer des millions de personnes, et malgré le plan d'évacuation qui aurait été pris, la vitesse à laquelle cette nouvelle catastrophe se produirait ne permettrait pas d'épargner la vie des personnes menacées.  (lien)

Sur ce lien, d'autres articles parus récemment aux USA, évoquent les inquiétudes des américains.

Dans un article paru le 23 juin dernier dans le « Washington Post » Joël Achenbach envisage maintenant le pire.

Pour lui, à l'évidence, ce forage intempestif, lequel à déclenché la catastrophe, à bouleversé la géologie souterraine.

Ce sont des petits robots envoyés sur le fond marin qui ont pu prendre des images des fissures qui sont en train de se créer tout autour du site du forage.

Le débit de sortie du pétrole continue d'augmenter, augmentant chaque jour un peu plus le danger, et l'évacuation de 20 millions de personnes parait très complexe.

Alors qu'au début, BP affirmait que la fuite était de 1000 barils par jour, ils ont revu à la hausse cette quantité en évoquant 5000 barils, mais aujourd'hui, d'après Edward J.Markey, l'un des experts en la matière, la fuite serait de l'ordre de 100 000 barils par jour. (Soit 4,2 millions de gallons).

Un sénateur, Charles E.Grassley a récemment communiqué un document non daté, estimant la quantité de pétrole  fuyant au fond de l'océan à 162 000 barils par jour.

L'estimation du gouvernement, basée sur les photos satellites, et les vidéo sous marines, se limite à une fourchette entre 35 000 et 60 000 barils par jour, en ce qui concerne le pétrole stagnant en surface. lien

Sur ce lien, on peut constater, par image satellite l'étendue de la nappe de pétrole.

Au sujet de la controverse du pétrole abiotique, un article paru dans agoravox est à découvrir sur ce lien.

Qu'il soit abiotique ou pas ne modifie en rien la situation de millions d'américains qui sont aujourd'hui sous la menace d'une catastrophe majeure.

Le pire est peut-être à venir, car comme disait mon vieil ami africain :

« Quand les éléphants se battent, c'est toujours l'herbe qui est écrasée ».

Photos à voir : http://refreshingnews9.blogspot.com/2010/05/gulf-of-mexico-oil-spill-begins-to-wash.html

JacquesL

Triomphe de la corruption : 40 000 $ d'amende, et poursuites pour "felony" à qui s'approchera des opérations de nettoyage des côtes du Golfe du Mexique, prendra des photos, ou même en parlera. BP contrôle jusqu'à l'Etat fédéral, qui vient de suspendre le premier amendement de la Constitution.
http://blog.alexanderhiggins.com/2010/07/04/1st-amendment-supsended-bp-gulf-oil-spill-coverup-now-violates-us-constitution-and-bill-of-rights/

C'est du jamais vu.

Citer    Under threat of a federal felony, National Incident Commander Thad Allen HAS BANNED ALL MEDIA ACCESS  to boom operation sites and clean up sites. Allen's orders effectively bans all media – print, television, radio and Internet bloggers from talking to to any clean-up worker or to even come close to take pictures or videos of booms, clean-up workers, oil soaked birds, dead dolphins, dead marine life, burned and dead endangered sea turtles.

    Allen has issued a blanket order that bans anyone from getting close to any spill clean up site, boom site, areas where there are clean up workers or any other oil disaster related area or persons effectively shutting down the first amendment rights of the media. The zone of exclusion is 65 feet. There was rumor that Coast Guard bosses wanted to impose a 300 feet exclusion zone but later relented to a 65 feet no trespass and exclusion zone.

http://www.youtube.com/watch?v=uXsmLMV1CrM

Or notre forum est hébergé aux Etats.
Cela signifie qu'en raison des risques que BP fait peser sur le droit à l'information des citoyens, je vais devoir remonter d'urgence en Europe des miroirs de tous les sites présentement hébergés aux Etats...

JacquesL

CiterNouvelle de dernière heure : Des militaires déplacent leur propre famille en ce moment!

Des chasse-neige sont prêts à retirer des véhicules abandonnés sur les autoroutes dès que les évacuations se produiront




Greg Evenson

Je vous suggère tous de bien porter attention : ce reportage s'aligne sur le rapport ALTA [1] de Clif High du 26 juin. Si vous attendez que CNN ou Fox vous donnent une idée sur quelque prétendue vérité à propos de la situation dans le Golf [du Mexique], alors vous feriez mieux de vous pelotonner, car vous allez devoir attendre très, très longtemps.

Cela fait environ trois semaines depuis que Greg Evenson, autrefois policier d'État et personne nommée au Service secret, est passé à la radio dans l'émission The Waterman Files pour parler de ce que ses pourvoyeurs d'informations de première main lui divulguent à propos de la situation au Golf du Mexique et dans ses alentours. Aujourd'hui, M. Evenson a parlé et a mis la situation à jour avec Dr John Waterman [2].

« Un pessimisme et un désespoir s'accroissent parmi les gens dans l'armée à qui j'ai parlé et qui ont vraiment un sentiment de catastrophe imminente et, jusqu'à présent, je n'ai jamais rien vu de tel. J'ai parlé aux militaires, et ils ne planifient que leur propre bien-être en ce moment en essayant d'évacuer leur famille. Planifiez-le parce que quand ça partira, ce sera, aux sens littéral et figuré, comme un raz-de-marée catastrophique là-bas. Une fois qu'il aura commencé, on ne pourra l'éviter d'aucune façon. » Je crois que les premières annonces faites concernant tout genre d'évacuation impliquant les personnes âgées, les personnes qui doivent partir en premier si possible, précipitera sans tarder une seconde vague de gens qui auront tergiversé, puis qui diront soudainement : "c'est le temps de bouger". Cela dégringolera rapidement, mais les gens qui vont composer avec cette situation disent en ce moment tout bêtement : « Nous manquons de ressources, nous n'avons pas ce qu'il faut pour y arriver ».

Greg Evenson a affirmé que les chercheurs de l'Université du Texas lui ont soufflé que, il y a cinq semaines (quelque chose qu'il a décrit dans une radio-diffusion du 27 mai), le U.S. Geological Service (service géologique
étasunien) signalait qu'on avait précipité un tremblement de terre à presque 18 km sous le fond océanique après avoir effectué un forage allant jusqu'à environ 9 km dans le site de Deepwater Horizon. Ce n'est pas le puits le plus profond sur la terre, mais c'est le puits qu'on a foré le plus profondément, perçant une telle réserve de gisement de [ce genre de] pétrole. C'est pourquoi il est rouge et radioactif en remontant à la surface.
Les rapports de l'U.S Geoligical Survey indiquent que ce tremblement de terre a peut-être occasionné une fracture du fond océanique, ce qui expliquerait les fuites de pétrole se produisant en large de 11 km à environ 45 km , fuites qui ne proviennent pas du tout des sites forés mais des fissures dans le fond océanique, provoquées par cette opération et par ce gisement géant.

Après avoir défini la situation dans les régions touchées et parlé de ce problème en séparant la fiction de la réalité, M. Evenson a affirmé que « nous avons vraiment besoin d'ôter du débat toute absurdité... et des affirmations ahurissantes sans fond... parce que nous perdons du temps, nous prenons du recul à chaque instant. C'est peut-être [divertissant] pour certains mais pour d'autres, c'est quelque chose d'extrêmement sérieux, et ce l'est... »

On suggère que les plates-formes – toutes celles opérant dans le Golf du Mexique – cesseront leurs activités. Une vidéo de Pensacola, en Floride, commence à se répandre sur Internet, montrant du méthane qui sort de l'eau en bouillonnant. On dit qu'il en sort un million de fois de plus dans certaines régions et cent mille fois de plus dans d'autres, ce qui est loin d'être normal. La quantité de méthane relâché équivaut à vingt fois celle du dioxide de carbone habituellement relâché dans l'atmosphère par les voitures, etc.

Plusieurs scientifiques ont postulé que le relâchement inéluctable et énorme de produits toxiques occasionnera un phénomène gigantesque, voire planétaire, incluant d'importantes fluctuations dans le climat, responsables d'énormes tempêtes similaires à celles qu'on a vues dans les films hollywoodiens comme Le Jour d'après; elles seront époustouflantes. Quant à ce scénario, M. Evenson a répondu : « C'est exactement ça, et ajoutez-y le désastre absolu qui se déroule sous nos yeux à cause de cette vaporisation excessive, cette vaporisation extraordinaire de Corexit qui cause un dégât.
J'ai vu des photos qu'on m'a fournies... de cultures, d'arbres et d'autres choses qui dépérissent par cette pollution continuelle. Comme si la création de ce problème n'était pas suffisante pour BP, l'entreprise en a engendré un deuxième, puis un troisième en affaiblissant l'infrastructure, les cultures et ainsi de suite, à cause de la vaporisaton de cet horrible Corexit.»

« On commence à préparer des chasse-neige pour qu'ils aillent le long des autoroutes inter-états au milieu de l'été afin de retirer des véhicules abandonnés dès que les évacuation se produiront. » M. Evenson a supplié les gens de ne pas paniquer, de se péparer tout simplement en avance afin qu'ils puissent s'écarter du danger avant qu'une évacuation en bousculade ne commence ». - Greg Evenson 

http://thejohnchronicles.wordpress.com/

On signale qu'il y a une énorme quantité de méthane relâché dans le golf, ce qui expliquerait la raison pour laquelle l'eau dans ladite vidéo semble bouillir.

http://www.youtube.com/watch?v=a52k2DOE7Wk&feature=player_embedded

Texte traduit par L'Éclair pour le site:
www.consciencedupeuple.com

Blog de L'Éclair:
[http://soulreflexion.wordpress.com]url: http://soulreflexion.wordpress.com

Notes :

[1] Le rapport ALTA est un bilan que le Webbot, un bot informatique, fait en scannant la toile et en extrayant des mots-clés pour, ainsi dire, prédire les tendances futures. Clif High en est le créateur, et lui et son associé George Ure, se nomment « Les Moines du temps ». 

Pour de plus amples informations sur le bot informatique, allez sur http://fr.wikipedia.org/wiki/Bot_informatique

[2] Dr John Waterman est un activiste pseudonyme, détenteur d'un cerificat de spécialiste en naturopathie, remis par la American Naturopathic Medical Certification and Accreditation Board. Il a poursuivi son post-doctorat en biologie médicale (programme européen et dans certaines régions africaine s) à la Marion Foundation en Suisse. Ancien professeur d'anatomie au Michigan, il est devenu plus récemment membre-directeur de sa faculté d'une nouvelle université à Colorado. Il a passé des années à enseigner, aux étudiants en médecine et aux infirmières, l'anatomie, la biologie médicale et des méthodes qui ne vont pas l'encontre de l'organisme, comparativement à la médecine classique. Il a acquis beaucoup d'expérience dans la guérison quantique et s'est formé au U.S. Army Medical Command (MEDCOM) pour étudier les réactions des personnes exposées aux guerres biologiques. Ancien animateur de l'émission de radio To Heal the nation, il en anime aujourd'hui une nouvelle, The Waterman Files, sur la station hollandaise Argusoogradio
(http://www.argusoogradio.org) où il parle de géopolitique, d'économie, de santé, de médecine et de PAN.


Source : http://projectcamelot.org et
http://www.godlikeproductions.com/forum1/message896996/pg1

Lundi 5 Juillet 2010

http://www.alterinfo.net/Nouvelle-de-derniere-heure-Des-militaires-deplacent-leur-propre-famille-en-ce-moment_a47887.html
http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/

http://consciencedupeuple2007.blog.mongenie.com/index.php?idblogp=943614

Gaz toxiques :
CiterEst-ce un canular? Ne comptez pas sur cela, puisque la FEMA a effectivement des plans pour des évacuations massives des régions côtières en cas d'urgence. Vous devez également savoir que les prophéties des Amérindiens Hopi déclarent que « le septième signe est une immense nappe d'hydrocarbures qui fait que la mer devient toute noire, et qui tue de nombreux êtres vivants ». Le livre de l'Apocalypse déclare également que la mer devient du sang (et le sang commence par être « rouge » pour ensuite devenir noir), et tue un tiers de toutes les créatures de la mer !


Les plans sont en place pour une évacuation de la population du Golfe



Steve Quayle mentionne : Nous avons eu de multiples confirmations d'officiels de l'application de la loi que les plans sont en cours de préparation pour l'évacuation de dizaines de millions de personnes du Golfe et des côtes est.



Le Benzène, le tueur! Les plans pour évacuer la population du Golfe


Les plans d'évacuation du Golfe commencent à tourner autour du Net. Le benzène, des quantités incroyables de benzène sont libérées dans l'atmosphère et il est un danger clair et présent, non seulement pour les personnes âgées et les personnes souffrant de problèmes respiratoires, mais pour la population en général du Golfe dans son ensemble.


L'Agence International de Recherche sur le Cancer a déterminé que le benzène est cancérigène pour l'homme et peut causer diverses formes de cancer après une exposition prolongée. Des expositions à des niveaux élevés de benzène montrent une association avec la leucémie, y compris la leucémie myéloïde aiguë, la leucémie lymphoïde aiguë et la leucémie myéloïde chronique. Les leucémies reliées au benzène ont été signalées pour se développer dans une période aussi courte que neuf mois. C'est beaucoup plus sérieux qu'ils le laissent entendre, d'autant plus qu'une des options est de brûler le pétrole qui s'échappe!



Les plans d'évacuation de Tampa Bay



Les plans d'évacuation de la région de Tampa Bay devraient être annoncés dans les prochains jours pendant que la FEMA se prépare pour ce qui est maintenant appelé la pire catastrophe de pétrole dans l'histoire de l'humanité. Evacuer la Floride! Seigneur Dieu! Qu'est-ce que ces monstres nous ont fait!



J'écoutais l'émission radiophonique de « The Micro Effect » et il y avait un scientifique sur l'émission qui a dit qu'ils avaient des plans de secours pour évacuer la Floride et, éventuellement, la Côte Est, maintenant que le pétrole était entré dans les courants marins du Golfe. La nappe libère maintenant d'énormes quantités de benzène. Le benzène est un agent qui tue! N'y allez pas, éloignez-vous!



Le benzène et la santé humaine



Le benzène est un liquide aromatique clair, incolore et très inflammable qui s'évapore rapidement dans l'air et peut se dissoudre dans l'eau. Il se forme soit à partir d'un processus naturel où par les activités humaines ; les sources naturelles de benzène sont les volcans et les incendies de forêt.



Le benzène est présent dans le pétrole brut, l'essence et la fumée de cigarette. Il est industriellement utilisé comme solvant dans les peintures et d'autres produits chimiques comme les colorants, les détergents, le nylon, les plastiques, les médicaments et les pesticides. Le benzène est largement utilisé aux États-Unis ; il se classe parmi les vingt premiers produits chimiques pour le volume de production et représente environ un pour cent de chaque gallon d'essence.



Y a-t-il un danger pour la santé à l'exposition au benzène, à savoir le benzène peut-il causer le cancer?



L'Agence Internationale de Recherche sur le Cancer (CIRC) a déterminé que le benzène était cancérigène pour l'homme et pouvait causer diverses formes de cancer après une exposition prolongée. Selon le CIRC, le benzène est souvent considéré comme « la mère de tous les agents cancérigènes », puisqu'un grand nombre de substances cancérigènes ont des structures qui comprennent du benzène. Des études professionnelles des travailleurs exposés à des niveaux élevés de benzène démontrent une association avec la leucémie, y compris la leucémie myéloïde aiguë, la leucémie lymphoïde aiguë et la leucémie myéloïde chronique. Les leucémies reliées au benzène ont été signalées pour se développer dans une période aussi courte que neuf mois, et peuvent rester dormantes pendant aussi longtemps que 25 ans après l'exposition initiale.



Même une petite exposition au benzène peut provoquer des troubles temporaires du système nerveux, une dépression du système immunitaire et une anémie. Les effets à court terme incluent des irritations de la peau, des yeux et des voies respiratoires, des maux de tête, de l'irritation de l'estomac, de la somnolence et des vertiges. Des niveaux élevés d'expositions peuvent entraîner une accélération du rythme cardiaque, des saignements excessifs, des tremblements, des vomissements, l'inconscience et la mort. Le benzène peut avoir des effets nocifs sur la moelle osseuse, et peut causer une diminution des globules rouges entraînant une myélofibrose et le syndrome myélodysplasique.



Comment puis-je être exposé au benzène? Qui est le plus susceptible d'être à risque?



Sans aucun doute que les plus grands risques d'exposition de hauts niveaux au benzène sont dans les lieux de travail. Les expositions professionnelles au benzène sont susceptibles de se produire dans l'industrie du caoutchouc, les raffineries de pétrole, les usines chimiques et dans l'industrie de fabrication de chaussures, ainsi que dans le stockage, l'expédition et les stations service de l'essence. Cependant, la plupart des individus sont exposés au benzène par la fumée de tabac, les gaz d'échappement et d'autres sources environnementales telles que les stations service d'essence, les émissions industrielles et les produits alimentaires qui contiennent du benzène naturellement. Les expositions à l'intérieur peuvent provenir des colles, des peintures, des cires à meubles, des adhésifs et des détergents.

En outre, certaines industries peuvent rejeter du benzène dans l'air environnant. Il s'agit notamment du benzène éthylique et des installations de productions de styrène, les raffineries de pétrole, les usines de produits chimiques et les installations de récupération des sous-produits venant des fours à coke. Les fuites des réservoirs de stockages souterrains ou des sites de déchets dangereux contenant du benzène peuvent également entraîner une contamination de l'eau des puits.



Le benzène est-il réglementé par le gouvernement des États-Unis?



Oui. En raison des effets dangereux pour la santé qui sont bien connus pour les expositions au benzène, l'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis réglemente maintenant le benzène dans l'air et dans l'eau, ainsi que les émissions industrielles. L'Agence de Protection de l'Environnement a adopté des lois pour limiter l'utilisation et les rejets de benzène pour maintenir les niveaux le plus bas possible. Les règlements établis par l'Administration de la Sécurité Occupationnelle et de la Santé, en liaison avec l'Agence de Protection de l'Environnement, limitent l'exposition en milieu de travail à un maximum d'une partie par million de benzène dans l'air pièces (ppm), en moyenne pour une journée de travail de huit heures.



En outre, le Congrès a adopté l'Acte de l'Eau Potable Sécuritaire en 1974, exigeant ainsi que l'Agence de Protection de l'Environnement détermine les niveaux sécuritaires des substances chimiques dans l'eau potable. Par la suite, le niveau de benzène a été mis à zéro.



Existe-t-il des droits légaux si j'ai été professionnellement exposé au benzène?



Oui. Malgré le fait que le benzène ait été interdit en tant que solvant aux États-Unis depuis plus de vingt ans, et la diminution du benzène dans les autres produits manufacturés, les travailleurs continuent d'être exposés à des sources directes et indirectes de cette substance chimique. La première chose à faire si vous soupçonnez avoir été exposé à du benzène est de rapporter l'exposition à votre employeur, et de rechercher une assistance médicale immédiate. Si vous croyez avoir été lésé par une exposition au benzène, vous pouvez contacter un avocat pour prendre connaissance de vos droits et pour déposer une action en justice pour les blessures subies. Les participants peuvent déposer une plainte dans les deux années de la découverte d'une maladie reliée au benzène, sans égard à la dernière fois de l'exposition. Les indemnisations peuvent couvrir des facteurs tels que la perte de revenus, les frais médicaux, la douleur et la souffrance, et dans le cas des dossiers de morts suspectes, la perte de la vie.



Un avocat qualifié pour le benzène peut fournir des outils et le soutien nécessaire pour constituer un dossier solide pour une maladie reliée au benzène.



Pour plus d'informations, consultez le site suivant : http://gazbom.blogspot.com/2010/05/benzene-killer-plans-in-place-to.html#ixzz0oUofM0QI



Traduit par Oscar Blais

pour le site www.pleinsfeux.com


JacquesL

L'omerta BP sur le Golfe du Mexique est confirmée :

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2010/07/16/omerta-comment-bp-tente-dempecher-les-medias-de-parler-de-la-maree-noire/#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20100716-[zonea]

Citer16 juillet 2010
OMERTA - Comment BP tente d'empêcher les médias de parler de la marée noire



C'est seulement le 12 juillet que les garde-côtes, qui travaillent en lien étroit avec BP, ont assoupli les règles d'accès aux zones touchées par la marée noire pour les journalistes (comme l'explique une dépêche de l'agence AP). Mais ils peuvent toujours être tenus à l'écart pour des raisons de sécurité, une excuse évoquée parfois de manière fallacieuse. Ainsi Mac McCleland de Mother Jones explique qu'on lui a interdit de se rendre dans un réserve naturelle car la route n'était pas en assez bon état.

Depuis le début de la marée noire, l'entreprise est sous le feu de plusieurs médias, en particulier du magazine Mother Jones et du site Huffington Post, qui dénoncent les restrictions imposées à leur travail. Ils révèlent que malgré les injonctions des dirigeants de la FEMA depuis Washington, les responsables sur place font tout pour empêcher les journalistes d'approcher des sites sinistrés. Ainsi les garde-côte ont-ils menacé de 40 000 dollars d'amende et d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à 5 ans, les reporters tentant de s'approcher de trop près de la nappe de pétrole.

BP menace de licencier ceux qui parlent

Mercredi 14 juillet, Mother Jones a révélé le témoignage clé d'un cadre renvoyé de BP qui travaillait justement à éloigner les journalistes. Allan Dillon, révèle que sous un discours officiel prêchant l'accès des médias à toutes les informations, BP a mis en place tout un système visant à l'omerta sur la marée noire. "Il y a tout un tas de choses qu'ils veulent cacher aux médias", explique-t-il. Selon lui, les zones hors d'accès des journalistes sont justement celles qui sont couvertes de pétrole brut. "Les médias ne pouvaient accéder qu'à des zones particulièrement banales."

Il confirme que les sous-traitants de BP ont interdit formellement aux travailleurs nettoyant les côtes de parler aux journalistes. "Il y a des gens sur ces plages qui donneraient beaucoup pour parler aux reporters, ne serait-ce que parce qu'ils ont des problèmes de salaire (...). A huis clos on leur fait comprendre que s'ils parlent aux médias ils seront renvoyés", révèle-t-il.

Pour faire respecter ces règles, explique Allan Dillon, BP a recruté des spécialistes de la sécurité, comme lui et d'ancien militaires. "C'est une violation du premier amendement", dit-il à Mother Jones. "Vous ne pouvez pas interdire l'accès des médias à une plage publique, la loi martiale n'a pas été déclarée."

Dans une interview qu'il a accordée à une chaîne de télévision, il explique que la priorité de BP semble ne pas être de nettoyer les plages. "Ce que fait cette entreprise à notre pays est mal", assène-t-il.
http://www.youtube.com/watch?v=GrK2GCnyPe0

En savoir plus :

-  BP a envoyé ses "propres journalistes" pour parler de la réhabilitation des côtes, en réalité bien sûr des professionels de la communication, raconte le Huffington Post.

- Sur son blog "Unreported", la journaliste Alison Kilkenny raconte comment certains intérimaires travaillant au nettoyage, outrés de ce qu'ils voient, reçoivent l'interdiction de parler ou de prendre en photo les animaux morts.

JacquesL

Les images sont rares. Profitons de celle-ci :


JacquesL

#11
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article8812
Violente toxicité sur les populations de Louisiane.
Mais je voudrais bien un recoupement des infos.