Omerta, BP, Obama, Doug McKelway interdit d'antenne...

[JacquesL]

Pas d'articles en français, une traduction anonyme. Lire les articles en anglais.
Il s'agit du financement de la campagne d'Obama, avant tout par BP...
Le résultat est que BP ressemble fort au véritable président d'Obama.

http://www.huffingtonpost.com/2010/08/10/doug-mckelway-suspended-a_n_677450.html
http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2010/09/16/AR2010091606645.html
http://newsbusters.org/blogs/tim-graham/2010/09/17/d-c-abc-reporter-doug-mckelway-fired-argument-over-anti-obama-anti-green
http://whfs.cbslocal.com/2010/08/12/wjla-suspends-doug-mckelway-for-reporting-facts-about-the-president/
http://en.wikipedia.org/wiki/Doug_McKelway
...

Le journaliste Doug McKelway a été suspendu après avoir annoncé le 20 juillet que la multinationale pétrolière BP avait été l'un des contributeurs financiers les plus zélés du candidat démocrate B. Obama
lors des dernières élections présidentielles américaines.

A l'heure actuelle il semble manifeste que le président Obama et son équipe ont accordé leurs violons avec l'establishment de BP pour poursuivre le conditionnement de l'opinion et sauver ce qui pourra l'être en vue des élections de mi-mandat, fin novembre 2010.

Ces élections interviennent à un moment où la seconde vague de crise frappe déjà les Etats-Unis.

Comme pour le drame du Golfe du Mexique, la présidence américaine fait le choix de la politique du mensonge pour durer et continuer à séduire.

Dans cette opération de séduction, il est souvent considéré que les marchés financiers traduisent l'évolution de l'économie.

D'ailleurs, A. Greenspan, l'ancien employé du cartel bancaire à la tête de la Banque centrale américaine a récemment confié à MSNBC's Meet the Press : « Je ne sais pas ce que va faire le marché boursier, mais je dirais que s'il est plus élevé ce serait le meilleur stimulateur pour l'économie ».

Quelques jours après, des journalistes expliquaient sur BFM que la forte reprise survenue le 1er septembre était le fait d'une intervention massive des banques centrales sur les marchés actions, dans un climat d'annonces macro¬économiques détestables.

Au même moment, l'amiral Mullen confiait : « La dette nationale des Etats-Unis est devenue une menace pour notre sécurité ». Les Américains paieront 600 milliards de dollars d'intérêts sur leur dette de 2012, a-t-il ajouté.

Entendons que les gouvernements ont désormais fait le choix, non pas de l'inflation mais de l'hyperinflation.

Dans les prochains mois, l'or (objectif 2 000 dollars l'once) et l'argent métal vont prendre une pente encore plus haussière et le pouvoir d'achat va décliner dans les mêmes proportions.

Ce dernier message est anonyme, et à prendre avec précautions.