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Est-ce la croyance en un dieu qui rend idiot ? Ou l'inverse ?

Démarré par JacquesL, 31 Janvier 2010, 12:04:47 PM

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JacquesL

Est-ce la croyance en un dieu qui rend idiot ? Ou l'inverse ? L'idiotie qui prédispose à des croyances injustifiables et infondées ?

L'info serait originaire de l'Université de Toronto, et parue dans le Psychological Science, mais je n'ai pas la référence directe.
Je n'ai pas non plus révisé le gyrus cingulaire antérieur, je verrai plus tard.

Liens : http://fr.news.yahoo.com/68/20100124/tsc-la-croyance-en-dieu-modifierait-une-04aaa9b.html
http://www.maxisciences.com/croyance/la-croyance-en-dieu-modifierait-une-partie-du-cerveau_art5242.html

CiterLa croyance en Dieu modifierait une partie du cerveau


Canada - Des neurologues de l'université de Toronto ont découvert que l'activité du cerveau humain était liée aux croyances religieuses des individus.

Pour démontrer cela, les scientifiques ont fait passer des tests à différentes personnes divisées en 2 catégories : les croyants et les athées. Toutes ont été placées dans des scanners afin de mesurer l'activité de leur cerveau durant les tests. L'épreuve consistait en une série de questions dont il fallait anticiper la réponse. Les candidats prenaient ensuite connaissance de cette dernière.

Les chercheurs ont remarqué que chez les athées, une zone du cerveau appelée cortex cingulaire antérieur était beaucoup plus fortement stimulée que chez les croyants. Le cortex cingulaire antérieur régule des fonctions comme la pression artérielle, le rythme cardiaque et certaines fonctions cognitives comme les émotions, la prise de décision, l'empathie mais surtout elle est la zone qui nous permet d'anticiper l'avenir.

Selon les conclusions des auteurs de l'étude, parues dans la revue Psychological Science, quand un croyant s'attendant à avoir la bonne réponse se rend compte du contraire, cette aire du cerveau s'active beaucoup moins car il réagit plus faiblement à l'imprévu que le cerveau d'une personne athée. En effet, chez les croyants, tout évènement peut être reconsidéré de manière à rendre Dieu acteur de celui-ci. S'il vous arrive quelque chose de totalement inattendu et que vous croyez en Dieu, le scénario peut-être remanié car Dieu "a voulu que cela arrive". Il n'y a alors pas de question à se poser, d'où une activation moindre de cette région du cortex.

En fait, cette stupidité, cet aveuglement aux faits, n'est pas limité aux croyants en un dieu identifié comme dieu, elle est générale à toutes les croyances sectaires. Tous les croyants sectaires reçoivent un entraînement intensif aux dénis de réalité.
Ainsi chez une magistrate d'obédience féminazie, l'administration de la preuve que Madame fraude de façon éhontée, ne provoque que l'escamotage de la pièce prouvant la fraude. La magistrate exprime son dégoût envers la preuve par la formule : "selon ce que Monsieur Lavau prétend"... Et elle ne fait partir sa sentence de correction de la pension alimentaire sur bases fraudées, que du jour où j'ai introduit le recours, alors que la preuve de la fraude (un bulletin de salaire de mon fils, arrivé par erreur dans le vrac qu'elle a fini par consentir à me restituer) indique un début de fraude largement antérieur. La juge conclut en condamnant la victime de la fraude, donnant ainsi à toutes les avocates de la même obédience qu'elle dans le Barreau de Valence, ce signal fort : "Allez-y, montez toutes les fraudes qui nous arrangent ! Je vous couvrirai, vous ne risquerez rien et vos clientes non plus."

Mais quel est le marché ? Quel est le bénéfice obtenu par le croyant ?
En adhérant à un délire prêt à porter, il est protégé contre les désillusions que la prise en compte de la réalité ne manquerait d'entraîner. Il est donc individuellement protégé contre les désespoirs et la dépression. En échange, il est dangereux pour les autres : ses décisions sont systématiquement affectées de biais et de dénis de la réalité, aux conséquences souvent désastreuses.

Parfois la réalité est plus forte que l'illusion : le mur de Berlin tombe, l'URSS tombe, et on ne compte plus les militants du Parti Communiste Français qui sombrent dans une déprime, qui dure un an ou deux, ou trois...

JacquesL

Lien indirect : http://www.sciencedaily.com/releases/2009/03/090304160400.htm
Lien direct : http://www.news.utoronto.ca/social-sciences-business-law/researchers-find-brain-differences-between-believers-and-nonbelievers-1.html

CiterResearchers find brain differences between believers and non-believers
By April Kemick, posted Wednesday, March 4, 2009

Believing in God can help block anxiety and minimize stress, according to new University of Toronto research that shows distinct brain differences between believers and non-believers.

In two studies led by Professor Michael Inzlicht of psychology, participants performed a Stroop task - a well-known test of cognitive control - while hooked up to electrodes that measured their brain activity.

Compared to non-believers, the religious participants showed significantly less activity in the anterior cingulate cortex (ACC), a portion of the brain that helps modify behaviour by signalling when attention and control are needed, usually as a result of some anxiety-producing event like making a mistake. The stronger their religious zeal and the more they believed in God, the less their ACC fired in response to their own errors and the fewer errors they made.

"You could think of this part of the brain like a cortical alarm bell that rings when an individual has just made a mistake or experiences uncertainty," said lead author Inzlicht, who teaches and conducts research at the University of Toronto Scarborough. "We found that religious people or even people who simply believe in the existence of God show significantly less brain activity in relation to their own errors. They're much less anxious and feel less stressed when they have made an error."

These correlations remained strong even after controlling for personality and cognitive ability, said Inzlicht, who also found that religious participants made fewer errors on the Stroop task than their non-believing counterparts.

Their findings show religious belief has a calming effect on its devotees, which makes them less likely to feel anxious about making errors or facing the unknown. But Inzlicht cautioned that anxiety is a "double-edged sword" that is at times necessary and helpful.

"Obviously, anxiety can be negative because if you have too much, you're paralyzed with fear," he said. "However, it also serves a very useful function in that it alerts us when we're making mistakes. If you don't experience anxiety when you make an error, what impetus do you have to change or improve your behaviour so you don't make the same mistakes again and again?"

The paper, appearing online in Psychological Science, was co-authored by Professor Ian McGregor at York University and by Jacob Hirsh and Kyle Nash, doctoral candidates at the University of Toronto and York University, respectively.