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#11
Le témoignage d'un des meilleurs cardiologues britanniques, au début partisan de la vaccination covid, il a pris conscience du désastre



par Patrice Gibertie

En Europe, ça bouge, nous avons évoqué la Suisse, l'Allemagne, maintenant la Finlande.

Le témoignage du Dr Aseem Malhotra a été prononcé devant le tribunal du district d'Helsinski le 12 avril 2024
• https://www.aussie17.com/p/dr-aseem-malhotras-explosive-court

Voici la première heure du témoignage.

«Je m'appelle le docteur Aseem Malhotra. Je suis cardiologue consultant. Je suis médecin diplômé depuis 2001. J'ai occupé diverses fonctions tant dans le domaine de la politique de santé universitaire. En Angleterre, au Royaume-Uni, et des différents rôles, je ne vous ennuierai pas avec tous les détails. Je pense que trois des plus pertinents et des plus marquants sont le fait que j'ai été ambassadeur de l'Academy of Medical Royal Colleges pendant six ans, qui représentait tous les médecins du Royaume-Uni. J'ai servi un mandat complet de six ans en tant qu'administrateur du fonds du roi. J'étais le plus jeune membre à être nommé à cet organisme qui conseille le gouvernement sur la politique de santé.

J'ai été membre fondateur d'Action on Sugar et premier directeur scientifique. Et grâce à ce rôle, je suis considéré comme le principal militant en faveur d'une taxe sur les boissons sucrées au Royaume-Uni. Et enfin, j'ai été pendant cinq ans professeur invité de médecine factuelle à l'École de médecine Bahiana à Salvador, au Brésil. Début 2020, au début de la pandémie, j'étais le médecin le plus bruyant du grand public, faisant très tôt le lien entre le COVID et ceux qui sont vulnérables aux complications graves du COVID.

En fait, en mars 2020, on m'a demandé d'aller sur Sky News pour expliquer les résultats de mes premières recherches sur le lien entre l'obésité et le COVID, mais aussi pour donner aux gens une opportunité et pour suggérer au gouvernement que c'était le moment idéal pour mettre en œuvre une politique de santé publique visant à aider les gens à améliorer ou à optimiser leur système immunitaire, ce qui pourrait se produire quelques semaines seulement après un changement de régime alimentaire et une optimisation de la vitamine D.

Cela a également été confirmé par des publications dans des revues médicales quelques mois plus tard. Et j'ai été le premier à mentionner au verso d'un article que j'ai publié dans le journal Daily Telegraph, qui est devenu un commentaire en première page et a été repris par BBC News et Good Morning Britain, dans lequel j'avais dit que c'était probablement notre Premier ministre, Boris Johnson, a été hospitalisé en raison de son poids.

En conséquence, le secrétaire à la Santé de l'époque, Matt Hancock, et cela a été annoncé dans les médias, m'a demandé de le conseiller sur le lien entre le COVID et l'obésité. (...) avant d'expliquer mon parcours et, à bien des égards, de faire demi-tour sur ma compréhension en termes d'avantages et d'inconvénients du vaccin COVID, mon expérience dans ce domaine au cours des deux dernières années m'a fait réaliser plus que jamais que même pour cela, les plus grands obstacles à la vérité ne sont pas les barrières factuelles ou intellectuelles, mais psychologiques.

Je pense que nous tous, en tant qu'êtres humains, sommes vulnérables à ces barrières psychologiques et que nous devrions avoir de la compassion envers nous-mêmes. Et je vais juste résumer très brièvement ces trois barrières psychologiques avant d'entrer dans mon récit détaillé de ce dans quoi j'ai été impliqué en ce qui concerne le vaccin COVID. La première barrière psychologique est celle de la peur. Et beaucoup d'entre nous, naturellement, et je m'en souviens encore au début de la pandémie, nous avions tous peur. Nous ne savions pas à quoi nous avions affaire. Le problème avec la peur est que lorsque les gens et les populations sont dans un état de peur, nous sommes moins susceptibles de nous engager dans une réflexion critique et nous sommes plus susceptibles de nous conformer.

Bien que le COVID ait été particulièrement dévastateur pour les groupes vulnérables de personnes âgées et que j'aie même eu à gérer et gère encore des personnes atteintes d'un long COVID, la peur était largement exagérée. Et un exemple de cela est que lorsque nous avions de bonnes informations sur le taux de mortalité du COVID aux États-Unis, une enquête réalisée en 2020 a révélé que 50% des Américains pensaient que s'ils attrapaient le COVID, le risque d'être hospitalisé était de 50%, alors que le chiffre réel, certainement une moyenne pour les personnes d'âge moyen, était inférieur à 1%.

Le deuxième obstacle à la vérité, qui, à mon avis, est très pertinent dans la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement, est celui qu'on appelle l'aveuglement volontaire. C'est à ce moment-là que les êtres humains, nous tous, sommes vulnérables à cela, fermons les yeux sur la vérité pour se sentir en sécurité, éviter les conflits, réduire l'anxiété et protéger notre prestige et nos egos fragiles. Quelques exemples de ceci incluent, sur le plan personnel, un aveuglement volontaire qui peut survenir lorsqu'un conjoint ferme les yeux sur la liaison de son partenaire.

Au niveau institutionnel, quelques bons exemples d'aveuglement volontaire incluent Hollywood et Harvey Weinstein, l'Église catholique et la pédophilie. Je crois que la situation actuelle dans laquelle nous nous trouvons, avec une grande partie du discours dominant, de l'establishment médical et des décideurs politiques qui ne reconnaissent pas les dommages assez horribles, graves et courants causés par ce vaccin, est un autre exemple d'aveuglement volontaire.

Et je dis cela aussi avec toute l'empathie, parce que j'ai fait partie de ces personnes qui ont été pendant très longtemps volontairement aveugles aux méfaits du vaccin COVID.

En janvier 2021, j'ai été l'une des premières personnes à prendre deux doses du vaccin à ARNm contre la COVID, car j'étais bénévole dans un centre de vaccination. Je continue de croire que les vaccins traditionnels sont parmi les plus sûrs parmi toutes les interventions pharmacologiques en médecine et je ne peux concevoir aucune possibilité que ce vaccin puisse causer des dommages. En tant que personnalité publique et médecin respecté au Royaume-Uni, j'ai noué des relations à tous les niveaux avec de nombreuses autres personnalités publiques, notamment des célébrités et des hommes politiques, qui viennent souvent me consulter pour obtenir des conseils médicaux.

L'une de ces personnes était la réalisatrice Gurinder Chadha, dont vous connaissez peut-être certains de ses travaux, notamment le film «Bend It like Beckham», qui m'avait demandé si elle devait ou non se faire vacciner et m'avait envoyé des blogs que je rejeté et considéré comme un non-sens anti-vax. On m'a alors demandé de partir bonjour, Grande-Bretagne, car Gurinder Chadha, la réalisatrice elle-même, a tweeté que je l'avais convaincue de se faire vacciner.

La principale raison de cette apparition télévisée était de contribuer à lutter contre l'hésitation à la vaccination, très répandue parmi les personnes issues de groupes ethniques minoritaires au Royaume-Uni. J'ai fait valoir dans ce programme que je comprenais d'où venait l'hésitation à la vaccination en raison de l'histoire dans laquelle j'ai participé pendant de nombreuses années à mettre en évidence les lacunes de l'influence de l'industrie pharmaceutique sur la médecine.

Et j'ai même souligné, si je me souviens bien, qu'ils ont été reconnus coupables de fraude à de nombreuses reprises, que la troisième cause de décès, prépandémique après les maladies cardiaques et le cancer, était la prescription de médicaments. J'ai cependant rassuré le public en lui disant que malgré ces chiffres, de tout ce que nous faisons en médecine, les vaccinations traditionnelles sont parmi les plus sûres. Je crois toujours que c'est le cas.

Quelques mois plus tard, en avril 2021, j'ai rencontré un de mes collègues et amis que je considère comme l'un des cardiologues les plus brillants du Royaume-Uni. J'ai été surpris lorsqu'il m'a dit qu'il n'avait pas pris le vaccin contre la COVID. Il m'a expliqué qu'il était inquiet parce qu'il avait vu dans l'annexe supplémentaire de l'essai initial de Pfizer qu'il y avait eu quatre arrêts cardiaques dans le groupe vacciné et un seul dans le groupe placebo.

Ces chiffres étaient faibles et n'atteignaient pas une signification statistique. Cela pourrait donc être un hasard, ou son inquiétude était que cela pourrait représenter un signe de problèmes à l'avenir. Et si tel était le cas, nous aurions un énorme problème. Il a dit qu'il préférait attendre de voir ce qui se passerait avant de se faire vacciner.

Le 26 juillet 2021, mon père, âgé de 73 ans, qui était un médecin très éminent et bien connu au Royaume-Uni, notamment vice-président honoraire de la British Medical Association et qui avait reçu les honneurs de la reine d'Angleterre avec un OBE, a subi un arrêt cardiaque soudain et inattendu.

J'ai été particulièrement dévasté par cet événement et j'avais également du mal à comprendre pourquoi mon père, qui était un homme en bonne santé, je connaissais ses antécédents cardiaques et son état cardiaque, subirait un arrêt cardiaque. Mais mon enquête initiale consistait également à essayer de comprendre pourquoi l'ambulance avait attendu 30 minutes pour arriver à son appartement.

Deux semaines plus tard, l'infirmière en chef adjointe du NHS England, un organisme gouvernemental de santé, m'a appelé. Elle était très bouleversée, elle connaissait très bien mon père et elle pleurait et elle m'a dit : «Aseem, il y a quelque chose que je dois te dire». Elle m'a en effet dit que dans tout le pays, au cours des deux derniers mois précédant l'arrêt cardiaque de mon père, dans la plupart des régions du Royaume-Uni, les ambulances n'arrivaient pas à temps aux patients en cas de crise cardiaque ou d'arrêt cardiaque.

Et il y a eu une tentative délibérée, et j'utiliserai ces mots parce que je l'ai mentionné, je l'ai déjà mentionné, d'une dissimulation impliquant le gouvernement et le ministère de la Santé pour cacher cette information aux médecins et au public. J'ai travaillé avec un journaliste d'investigation du journal I au Royaume-Uni pour écrire un article et un reportage qui ont fait la une de la BBC quelques mois plus tard, dévoilant ce phénomène. Juste avant d'exposer cela, j'ai envoyé un message à un professeur de cardiologie en qui j'ai confiance au Royaume-Uni. Il a un rôle de leader pour lui expliquer ce qui s'est passé et ce que j'allais faire. J'en ai la preuve par SMS. Il m'a dit de ne pas faire ça parce que cela me ferait des ennemis. Je lui ai expliqué que j'avais un devoir envers les patients et le public.

Je souligne cela comme un exemple et je vais vous donner d'autres exemples d'un problème culturel au sein de la médecine. La partie suivante de cette histoire concerne les découvertes post mortem de mon père. Ils n'avaient aucun sens pour moi. Je suis considéré comme un expert de premier plan, peut-être au monde, en matière de développement et de progression de la maladie coronarienne. Mon père avait deux graves blocages des artères coronaires. Il n'y avait aucune preuve réelle d'une crise cardiaque et il y avait probablement un trouble du rythme dû à une diminution de l'apport sanguin qui a conduit à son arrêt cardiaque.

Puis, en l'espace de quelques semaines, vers les 3 octobre et 3 novembre, différentes sources d'informations ont été portées à mon attention et m'ont fait réaliser qu'il y avait probablement un problème important avec le vaccin à ARNm contre la COVID. La première en octobre 2021. Je me souviens que je donnais des conférences à Stockholm. J'ai été contacté par un journaliste du Times qui m'a dit : Dr Malhotra, nous avons des rapports faisant état d'une augmentation inexpliquée de 25% des crises cardiaques dans les hôpitaux en Écosse et m'a demandé ce que je pensais qu'il se passait. Je lui ai expliqué qu'à ce moment-là, avec les preuves que je connaissais de ma propre expérience, j'avais dit que deux facteurs contributifs probables étaient le stress du confinement. Nous savons que lorsque les populations subissent un stress intense après la guerre, par exemple, on assiste à une augmentation des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux qui peuvent durer de nombreuses années.

Elle m'a demandé si je pensais qu'il y avait une contribution. J'ai été surpris lorsqu'elle m'a demandé si je pensais que le vaccin contre la COVID pouvait contribuer à ces crises cardiaques. Je lui ai dit qu'un bon scientifique ne devrait jamais exclure aucune possibilité. Mais je pensais à l'époque qu'il était peu probable que cela soit lié au vaccin contre la COVID. Mais nous devrions surveiller cet espace et garder les yeux ouverts. Quelques semaines plus tard, une publication parue dans le Journal Circulation, considéré comme la revue de cardiologie ayant le plus grand impact aux États-Unis, révélait un lien potentiellement très fort entre les vaccins à ARNm contre la COVID et l'accélération du risque de crise cardiaque. Plus précisément, chez plusieurs centaines de personnes d'âge moyen, il existait un mécanisme plausible, par l'utilisation de marqueurs inflammatoires dans le sang, qui augmentait le risque de base de ces personnes ayant une crise cardiaque en cinq ans, de 11% à 25%, soit seulement dans les deux mois suivant la vaccination à ARNm contre la COVID.

Bien sûr, il ne s'agit que d'une donnée, mais même si elle est partiellement vraie, cela représente une énorme augmentation du risque en très peu de temps. Et pour moi, cela m'a fait réfléchir et revenir sur la raison pour laquelle mon père a pu subir un arrêt cardiaque six mois après avoir reçu deux doses de vaccin. Je me souviens avoir pensé et parlé à un collègue que si cela était vrai, nous allions alors assister à une augmentation des arrêts cardiaques, des crises cardiaques et des décès excessifs dans les pays fortement vaccinés au cours des prochaines années.

Puis, quelques semaines plus tard, j'ai été interpellé par un lanceur d'alerte d'une institution britannique très prestigieuse. Je nommerai cette institution, ce que je n'ai jamais fait publiquement auparavant, comme l'Université d'Oxford. Ce cardiologue m'a expliqué qu'un groupe de chercheurs de son département avait accidentellement découvert, grâce à l'utilisation d'une imagerie très spécialisée du cœur, qu'il y avait un signal d'inflammation accrue des artères cardiaques, qui était présent chez les vaccinés, mais pas là chez les non vaccinés.

Le chercheur principal de ce groupe s'est assis, les juniors, et a déclaré que nous n'allions pas approfondir ces découvertes car cela pourrait affecter notre financement auprès de l'industrie pharmaceutique. À ce moment-là, avec ces trois éléments d'information, j'ai alors senti qu'il était de mon devoir éthique de m'exprimer. Et je suis allé sur GBNews pour parler de ce que j'avais découvert, de ce que j'avais entendu et j'avais demandé au Comité des vaccins du Royaume-Uni à la télévision d'enquêter sur cela, pour voir s'il y avait un réel problème avec le vaccin par rapport à problèmes cardiaques.

À peu près au même moment, ce que j'ai trouvé très étrange, c'est que le secrétaire d'État à la Santé à l'époque, qui n'était pas Matt Hancock, mais Sajid Javid, avait annoncé au Parlement que nous allions introduire une législation pour garantir que tous les travailleurs de la santé soient mandatés à prendre le vaccin contre la COVID. Pour moi, à ce stade, cela n'avait aucune justification éthique ou scientifique, car après l'été 2021, il était devenu très évident que le vaccin à ARNm contre la COVID n'arrêtait pas l'infection et qu'il n'arrêtait certainement pas la transmission.

Il était entendu qu'environ 80 000 travailleurs du NHS avaient refusé à ce stade de se faire vacciner contre la COVID. Et maintenant, ils étaient menacés de perdre leur emploi s'ils n'étaient pas complètement vaccinés en avril de l'année suivante. Beaucoup de ces personnes étaient très inquiètes et m'ont contacté à cette époque. Je menais également de nombreuses interviews, à la fois par la BBCSky News et GBNews, sur ce qui s'était passé avec le retard de l'ambulance de mon père. Et j'ai profité de cette opportunité dans les grands médias pour appeler Sajid Javid, le secrétaire à la Santé, à faire volte-face sur l'introduction d'un mandat pour les travailleurs de la santé, sur la base du fait que je pensais que ce n'était pas scientifique et contraire à l'éthique.

J'ai également reçu ma propre réaction personnelle à la suite de ces commentaires. J'ai été contacté par le Collège royal des médecins avec lequel j'étais affilié, et ils m'ont demandé de répondre aux plaintes anonymes de médecins selon lesquelles je diffusais, entre guillemets, de la désinformation antivax.

J'ai senti, grâce à ma propre connaissance et expérience du système de santé, qu'il s'agissait d'une réponse directe probablement alimentée par une combinaison d'aveuglement volontaire et de corruption institutionnelle. Pour aller plus loin, lorsque je parle de corruption institutionnelle, je veux dire que, selon moi, les plaintes étaient probablement alimentées par des universitaires ayant des liens financiers avec l'industrie pharmaceutique. Je me sentais très préoccupé par l'introduction potentielle du vaccin, enfin, par le mandat du vaccin. Et c'est pourquoi j'ai décidé de faire deux choses. La première a été que j'ai téléphoné au président de la British Medical Association en décembre 2021.

J'avais de bonnes relations avec lui et il a respecté mon opinion. Et j'ai passé 2 heures au téléphone à lui expliquer tout ce que je savais jusque-là sur mes inquiétudes concernant le vaccin COVID à ARNm. Il m'a dit, «Il semble que personne ne semble évaluer de manière critique les preuves sur le vaccin à ARNm contre le COVID aussi bien que vous l'avez fait lors de notre conversation, a-t-il déclaré. La plupart de mes collègues obtiennent leurs informations sur les avantages et les inconvénients du vaccin auprès de la BBC».

L'ancienne présidente du CDC aux États-Unis, Rochelle Walensky, a repris cette idée en déclarant que son optimisme initial quant aux avantages du vaccin provenait d'un reportage de CNN News. Je dis cela simplement pour souligner que nous devrions tous accepter nos vulnérabilités quant à l'endroit où nous recevons des informations sur la santé. Même les médecins, les décideurs politiques, les juges et les avocats sont tous massivement influencés par les grands médias sur le public. Le président de la BMA était également d'accord avec moi. Il n'y avait aucune justification éthique ou scientifique pour rendre obligatoire le vaccin contre le COVID. Il a déclaré que la BMA ne le soutenait pas non plus. Et il a dit qu'à cause de ma conversation avec lui, il parlerait directement au secrétaire à la santé, Sajid Javid.

Un mois plus tard, fin janvier 2022, l'obligation de vacciner le personnel soignant contre la COVID-19 a été annulée. À ce stade, compte tenu du fait qu'il y avait eu des réactions négatives à mon égard, j'ai réalisé que parce qu'il s'agissait d'un problème et d'un domaine très importants, et non de mon domaine d'expertise initial, je devais mener ma propre analyse critique des vaccins à ARNm contre le COVID. J'ai passé six à neuf mois à évaluer les données de manière critique, notamment en m'adressant à deux lanceurs d'alerte de Pfizer, à trois journalistes médicaux d'investigation et à d'éminents scientifiques de l'Université d'Oxford, de Stanford et de Harvard.

L'élément le plus critique, la recherche la plus critique qui a été publiée sur cette question, et que je pense que l'ensemble du tribunal devrait reconnaître en août 2022, a été publié dans la revue Vaccine. Cette recherche a été menée par certains des plus grands universitaires indépendants et influents de l'industrie pharmaceutique au monde. Grâce à cette recherche, nous avons pu réanalyser les essais contrôlés randomisés originaux menés par Pfizer et Moderna. Ils ont pu le faire parce que de nouvelles informations ont été rendues disponibles sur le site Web de la FDA et sur celui de Santé Canada. Les conclusions de cet article étaient vraiment très inquiétantes.

Les essais initiaux qui ont conduit à l'approbation réglementaire de ces vaccins ont révélé que vous étiez plus susceptible de subir des dommages graves dus à la prise du vaccin, en particulier une hospitalisation, un événement qui change la vie ou un handicap, que d'être hospitalisé avec le COVID.

Juste pour vous donner une idée, historiquement, nous avons suspendu d'autres vaccins pour beaucoup moins. En 1976, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré parce qu'il provoquait un syndrome neurologique appelé syndrome de Guillain-Barré chez une personne sur 100 000. En 1999, le vaccin contre le rotavirus a été suspendu car il provoquait une forme d'occlusion intestinale chez les enfants, touchant 1 personne sur 10 000.

C'était 1 sur 800. À mon avis, il était très clair que, compte tenu de ces informations, publiées dans la revue sur les vaccins la plus importante au monde, examinées par des pairs et n'ayant fait l'objet d'aucune réfutation significative, que ce vaccin, à mon avis, n'aurait jamais dû être approuvé pour utilisation chez un seul être humain en premier lieu. À mon avis, cette affaire judiciaire très importante, d'une certaine manière, détourne en fait l'attention d'un problème bien plus vaste, à savoir qu'il devrait y avoir des procès partout dans le monde avec une enquête approfondie sur l'industrie pharmaceutique et une enquête sur la manière dont nous avons obtenu ce résultat.

Bien sûr, on pourrait affirmer qu'il ne s'agit là que d'une simple recherche, mais en réalité, malheureusement, il existe de très nombreux courants de recherche différents qui montrent le signe d'un préjudice grave, considérable et commun, causé par ces vaccins. À partir des données de pharmacovigilance qui rapportent ce que nous appelons les rapports de carton jaune du public. Nous avons un mécanisme biologique plausible de préjudice.

Nous avons d'autres recherches appelées données d'observation. Nous disposons également de données d'autopsie confirmant que la majorité des personnes décédées peu de temps après avoir reçu le vaccin ont été définitivement causées par le vaccin. C'est vraiment une situation très, très, très horrible dans laquelle nous nous trouvons. On pourrait espérer et s'attendre à ce que les régulateurs évaluent de manière indépendante tous les médicaments.

Mais bien sûr, les faits révèlent que c'est loin d'être vrai. Une enquête du BMJ, également publiée à l'été 2022, a révélé que la plupart des principaux régulateurs du monde prenaient l'essentiel de leur argent à l'industrie pharmaceutique. Par exemple, la MHRA au Royaume-Uni reçoit 86% de son financement de l'industrie pharmaceutique, et la FDA aux États-Unis reçoit 65% de son financement de l'industrie pharmaceutique, un fait que la plupart des médecins ne connaissent pas.

Et par conséquent, je ne m'attendrais pas non plus à ce que les membres de la Cour sachent que les recherches financées par l'industrie pharmaceutique sont très, très rarement évaluées de manière indépendante. Les données des essais cliniques peuvent souvent impliquer des milliers de pages d'informations sur des patients individuels. Les sociétés pharmaceutiques conservent ces données brutes. Ils remettent ensuite les résultats sommaires au régulateur, qui paie alors, qui est incité à approuver les médicaments, et les médicaments sont ensuite approuvés.

J'ai fait valoir ces points dans mon article évalué par des pairs et publié dans le Journal of Insulin Resistance en septembre 2022, dans lequel j'ai conclu que nous devrions faire une pause et enquêter sur la question des vaccins à ARNm contre la COVID. Depuis lors, je fais campagne et plaide pour un retour à une pratique médicale éthique et fondée sur des preuves dans le monde entier. Certaines des solutions claires à venir consisteraient à modifier la loi, nécessaire pour que les patients, les médecins et les membres du public puissent avoir une plus grande confiance dans les informations qu'ils reçoivent pour prendre des décisions concernant leur santé.

Deux solutions très claires et simples, à la fois éthiques, scientifiques et démocratiques, seraient que l'industrie pharmaceutique soit autorisée à développer des médicaments, mais qu'elle ne soit pas autorisée à les tester elle-même. Et ils ne devraient certainement pas être autorisés à concevoir leurs propres recherches et à conserver les données brutes. Leurs informations doivent être évaluées de manière indépendante. Une autre solution claire serait également que les régulateurs médicaux, là encore, ne devraient pas prendre d'argent à l'industrie, car il s'agit d'un grave conflit d'intérêts. Je tiens également à souligner que les gens comprennent la situation dans son ensemble. Avant la pandémie, j'avais réalisé qu'il y avait un gros problème avec la fiabilité de la recherche clinique, où invariablement les résultats des essais cliniques sur tous les médicaments parrainés par l'industrie pharmaceutique exagèrent grossièrement leur sécurité et leurs avantages.

J'ai porté cette information au Parlement européen, où j'ai pris la parole en 2019, et j'ai parlé à de très hauts responsables politiques du gouvernement britannique. Mais même s'ils étaient sympathiques, ils estimaient que le problème les dépassait bien en tant qu'individus et qu'il fallait donc également l'attention des médias pour sensibiliser le public à l'importance d'une telle enquête. Avant de passer à d'autres questions, comme je parle depuis assez longtemps, je vais juste terminer avec deux références juste pour que le tribunal et les juges comprennent à quel point ce problème est grave. Avant la pandémie, l'homme que j'appelle le Stephen Hawking de la médecine est le professeur John Ioannidis de l'Université de Stanford. La raison pour laquelle je l'appelle le Stephen Hawking de la médecine est qu'il est le chercheur médical le plus cité au monde et qu'il est un génie mathématique. En 2006, il a publié un article intitulé «Pourquoi la plupart des résultats de recherche publiés sont faux». Dans cet article, il souligne que plus les intérêts financiers dans un domaine donné sont importants, moins les résultats de la recherche ont de chances d'être vrais.

Je dis cela dans le contexte du vaccin à ARNm Pfizer qui a rapporté 100 milliards de dollars à l'entreprise. L'autre point qu'il soulève dans un autre article de 2017 est, encore une fois, la raison pour laquelle le système continue ainsi, car la plupart des médecins ignorent que les informations qu'ils reçoivent lorsqu'ils prennent des décisions cliniques ont été corrompues par l'influence commerciale. L'autre nom crédible que je mentionnerai est celui du rédacteur en chef du Lancet, Richard Horton, que je connais personnellement. En 2015, il a écrit un article dans le Lancet concernant une réunion secrète qui avait eu lieu avec lui-même et certains des plus grands universitaires en médecine du monde. Dans ce document, il écrit que la moitié de la littérature médicale publiée pourrait être tout simplement fausse. Et il a dit que la science s'est tournée vers l'obscurité. Mais qui va faire le premier pas pour nettoyer le système ? Je crois que dans cette affaire et devant ce tribunal aujourd'hui, cela va être un moment potentiel très crucial dans l'histoire pour cette première étape.

Tweet complet : https://twitter.com/_aussie17/status/1779536297197219845

@_aussie17
Ex-Big Pharma Exec exposing Big Pharma here http://aussie17.com christianity: http://solomonsporch.net, telegram http://t.me/aussieseventeen
@LMucchielli

La parole se libère de + en + en Allemagne. Les pompiers berlinois signalent de fortes hausses de problèmes cardiaques et d'AVC suite aux vaccinations Covid ARNm
• https://t.co/vYnuTHxyIU

source : Patrice Gibertie
#12
Asie, Pacifique / Le génocide de Gaza comme poli...
Last post by JacquesL - 17 Avril 2024, 11:35:44 AM
Le génocide de Gaza comme politique explicite : Michael Hudson donne tous les noms



par Pepe Escobar

Israël, Gaza et la Cisjordanie doivent être considérés comme le commencement de la nouvelle guerre froide.

Dans ce qui peut être considéré comme le podcast le plus crucial de 2024 jusqu'à présent, le professeur Michael Hudson – l'auteur d'œuvres phares telles que «Super-Imperialism» et le récent «The Collapse of Antiquity», entre autres – pose cliniquement le contexte essentiel pour comprendre l'impensable : un génocide du XXIe siècle diffusé en direct 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sur toute la planète.

Dans un échange de courriels, le professeur Hudson a expliqué qu'il était en train de «vendre la mèche» sur le fait qu'«il y a 50 ans, lorsque je travaillais à l'Institut Hudson avec Herman Kahn [le modèle du Dr Strangelove de Stanley Kubrick], des membres du Mossad israélien étaient formés, notamment Uzi Arad. J'ai effectué deux voyages internationaux avec lui, et il m'a décrit à peu près ce qui s'est passé aujourd'hui. Il est devenu chef du Mossad et est aujourd'hui le conseiller de Netanyahou».

Le professeur Hudson montre comment «le plan de base de Gaza est la façon dont Kahn a conçu la division en secteurs de la guerre du Vietnam, avec des canaux coupant chaque village, comme les Israéliens le font pour les Palestiniens. Déjà à l'époque, Kahn avait désigné le Baloutchistan comme la zone où se produiraient les troubles en Iran et dans le reste de la région».

Ce n'est pas un hasard si le Baloutchistan est le territoire des joyaux de la CIA depuis des décennies, et récemment avec l'incitation supplémentaire de la perturbation par tous les moyens nécessaires du Corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) – un nœud de connectivité clé de l'Initiative Ceinture et Route chinoise (BRI).

Le professeur Hudson relie ensuite les principaux points : «Si je comprends bien, ce que les États-Unis font avec Israël est une répétition générale pour passer à l'Iran et à la mer de Chine méridionale. Comme vous le savez, il n'y a pas de plan B dans la stratégie américaine pour une très bonne raison : si quelqu'un critique le plan A, il est considéré comme n'étant pas un joueur de l'équipe (ou même la marionnette de Poutine), donc les critiques doivent partir quand ils voient qu'ils ne seront pas promus. C'est pourquoi les stratèges américains ne s'arrêtent pas et ne repensent pas ce qu'ils font».

Les isoler dans des hameaux stratégiques, puis les tuer

Dans notre échange de courriels, le professeur Hudson a fait remarquer que «c'est en gros ce que j'ai dit» en référence au podcast avec Ania K, en s'appuyant sur ses notes (voici la transcription complète et révisée). Attachez vos ceintures : la vérité sans fard est plus mortelle qu'un tir de missile hypersonique.

Sur la stratégie militaire sioniste à Gaza :

«Dans les années 1970, j'ai travaillé à l'Institut Hudson avec Uzi Arad et d'autres stagiaires du Mossad. Mon domaine était le BoP, mais j'ai assisté à de nombreuses réunions sur la stratégie militaire, et j'ai pris deux fois l'avion pour l'Asie avec Uzi et j'ai appris à le connaître.

La stratégie américano-israélienne à Gaza repose à bien des égards sur le plan d'Herman Kahn, mis en œuvre au Vietnam dans les années 1960.

Herman se concentrait sur l'analyse des systèmes. Commencer par définir l'objectif global, puis comment l'atteindre ?

D'abord, les isoler dans des hameaux stratégiques. Gaza a été découpée en districts, nécessitant des laissez-passer électroniques pour passer d'un secteur à l'autre, ou pour entrer en Israël juif afin d'y travailler.

Première chose : les tuer. Idéalement par des bombardements, car cela minimise les pertes domestiques pour votre armée.

Le génocide auquel nous assistons aujourd'hui est la politique explicite des fondateurs d'Israël : l'idée d'une «terre sans peuple» signifie une terre sans peuple non juif. Ils devaient être chassés, et ce dès avant la fondation officielle d'Israël, lors de la première Nakba, l'holocauste arabe.

Deux Premiers ministres israéliens étaient membres de la bande de terroristes Stern. Ils se sont évadés de leur prison britannique et ont participé à la fondation d'Israël.

Ce que nous voyons aujourd'hui est la solution finale de ce plan. Il s'inscrit également dans la volonté des États-Unis de contrôler le Moyen-Orient et ses réserves de pétrole. Pour la diplomatie américaine, le Moyen-Orient EST (en majuscules) le pétrole. Et ISIS fait partie de la légion étrangère des États-Unis depuis qu'il a été organisé pour la première fois en Afghanistan pour combattre les Russes.

C'est pourquoi la politique israélienne a été coordonnée avec celle des États-Unis. Israël est la principale oligarchie cliente des États-Unis au Moyen-Orient. Le Mossad s'occupe principalement d'ISIS en Syrie et en Irak, et partout où les États-Unis peuvent envoyer des terroristes d'ISIS. Le terrorisme et même le génocide actuel sont au cœur de la géopolitique américaine.

Mais comme les États-Unis l'ont appris lors de la guerre du Vietnam, les populations protestent et votent contre le président qui supervise cette guerre. Lyndon Johnson ne pouvait pas faire d'apparition publique sans que les foules ne chantent. Il devait se faufiler par l'entrée latérale des hôtels où il prenait la parole.

Pour éviter un embarras tel que celui de Seymour Hersh décrivant le massacre de My Lai, vous empêchez les journalistes d'accéder au champ de bataille. S'ils sont là, vous les tuez. L'équipe Biden-Netanyahou a ciblé les journalistes en particulier.

L'idéal est donc de tuer la population passivement, de minimiser les bombardements visibles. Et la ligne de moindre résistance consiste à affamer la population. C'est la politique israélienne depuis 2008».

Et n'oubliez pas de les affamer

Le professeur Hudson fait directement référence à un article de Sara Roy dans la New York Review of Books, citant un câble de l'ambassade américaine à Tel-Aviv au secrétaire d'État le 3 novembre 2008. Ce câble indique que «dans le cadre de leur plan global d'embargo contre Gaza, les responsables israéliens ont confirmé aux [responsables de l'ambassade] à de multiples occasions qu'ils avaient l'intention de maintenir l'économie gazaouie au bord de l'effondrement sans la pousser tout à fait dans le précipice».

Selon le professeur Hudson, cela a conduit Israël à «détruire les bateaux de pêche et les serres de Gaza pour l'empêcher de se nourrir».

Ensuite, il s'est associé aux États-Unis pour bloquer l'aide alimentaire des Nations unies et celle d'autres pays. Les États-Unis se sont rapidement retirés de l'agence de secours de l'ONU dès le début des hostilités, et ce immédiatement après que la CIJ a conclu à un génocide plausible. Ils étaient le principal bailleur de fonds de cette agence. On espérait ainsi freiner ses activités.

Israël a tout simplement cessé de laisser entrer l'aide alimentaire. Il a mis en place de longues files d'inspection, c'est-à-dire une excuse pour ralentir les camions à seulement 20% de leur rythme d'avant le 7 octobre – d'un rythme normal de 500 par jour à seulement 112. En plus de bloquer les camions, Israël a pris pour cible les travailleurs humanitaires – environ un par jour.

Les États-Unis ont cherché à éviter d'être condamnés en prétendant construire un quai pour décharger la nourriture par voie maritime. L'intention était qu'au moment où le quai serait construit, la population de Gaza serait affamée».

Biden et Netanyahou, criminels de guerre

Le professeur Hudson établit succinctement le lien essentiel de toute cette tragédie : «Les États-Unis tentent de rejeter la faute sur une seule personne, Netanyahou. Mais c'est la politique israélienne depuis 1947. Et c'est aussi la politique des États-Unis. Tout ce qui s'est passé depuis le 2 octobre, lorsque la mosquée Al-Aqsa a été attaquée par des colons israéliens, ce qui a conduit à la riposte du Hamas le 7 octobre, a été étroitement coordonné avec l'administration de Biden. Toutes les bombes qui ont été larguées, mois après mois, ainsi que le blocage de l'aide des Nations unies.

L'objectif des États-Unis est d'empêcher Gaza d'obtenir les droits d'exploitation du gaz offshore qui l'aideraient à financer sa propre prospérité et celle d'autres groupes islamiques que les États-Unis considèrent comme des ennemis. Et de montrer aux pays voisins ce qui leur sera fait, tout comme les États-Unis l'ont fait pour la Libye juste avant Gaza. En définitive, Biden et ses conseillers sont tout autant des criminels de guerre que Netanyahou».

Le professeur Hudson souligne comment «l'ambassadeur américain à l'ONU, Blinken et d'autres responsables américains ont déclaré que l'arrêt de la Cour internationale de justice (CIJ) sur le génocide et appelant à y mettre fin n'était pas contraignant. Blinken vient donc de déclarer qu'il n'y a pas de génocide.

L'objectif des États-Unis est de mettre fin à la règle du droit international telle qu'elle est représentée par l'ONU. Il doit être remplacé par l'«ordre fondé sur des règles» des États-Unis, sans qu'aucune règle ne soit publiée.

L'objectif est de mettre les États-Unis à l'abri de toute opposition à leurs politiques fondées sur les principes juridiques du droit international ou des lois locales. Une liberté totale – le chaos.

Les diplomates américains ont regardé vers l'avant et ont vu que le reste du monde allait se retirer de l'orbite américaine et européenne de l'OTAN.

Pour faire face à ce mouvement irréversible, les États-Unis tentent de le désamorcer en effaçant toute trace des règles internationales qui ont présidé à la création de l'ONU, et même du principe westphalien de non-ingérence dans les affaires des autres pays, datant de 1648.

L'effet réel, comme d'habitude, est exactement le contraire de ce que les États-Unis voulaient. Le reste du monde est contraint de créer sa propre nouvelle ONU, ainsi qu'un nouveau FMI, une nouvelle Banque mondiale, une nouvelle Cour internationale de La Haye et d'autres organisations contrôlées par les États-Unis.

Ainsi, la protestation du monde contre le génocide israélien à Gaza et en Cisjordanie – n'oubliez pas la Cisjordanie – est le catalyseur émotionnel et moral de la création d'un nouvel ordre géopolitique multipolaire pour la Majorité mondiale».

Disparaître ou mourir

La question clé demeure : qu'adviendra-t-il de Gaza et des Palestiniens ? Le jugement du professeur Hudson est d'un réalisme inquiétant : «Comme l'a expliqué Alastair Crooke, il ne peut désormais y avoir de solution à deux États en Israël. Il doit s'agir soit d'un État israélien, soit d'un État palestinien. Et la situation actuelle est entièrement israélienne – le rêve de 1947 d'une terre sans peuple non juif.

Gaza sera toujours là géographiquement, avec ses droits sur le gaz en Méditerranée. Mais elle sera vidée et occupée par les Israéliens».

Quant à savoir qui «aiderait» à reconstruire Gaza, il y a déjà quelques preneurs solides : «Les entreprises de construction turques, l'Arabie saoudite qui finance les développements, les Émirats arabes unis, les investisseurs américains – peut-être Blackstone. Il s'agira d'investissements étrangers. Si l'on considère que les investisseurs étrangers de tous ces pays cherchent ce qu'ils peuvent tirer du génocide contre les Palestiniens, on comprend pourquoi il n'y a pas d'opposition au génocide».

Le verdict final du professeur Hudson sur «le grand bénéfice pour les États-Unis» est qu'«aucune plainte ne peut être déposée contre les États-Unis – et contre toute guerre et tout changement de régime qu'ils planifient pour l'Iran, la Chine, la Russie et pour ce qui a été fait en Afrique et en Amérique latine.

Israël, Gaza et la Cisjordanie doivent être considérés comme l'ouverture de la nouvelle guerre froide. Un plan sur la manière de financiariser le génocide et la destruction. Les Palestiniens émigreront ou seront tués. C'est la politique annoncée depuis plus d'une décennie».

Pepe Escobar

source : Strategic Culture Foundation

https://reseauinternational.net/le-genocide-de-gaza-comme-politique-explicite-michael-hudson-donne-tous-les-noms/
#13
Europe / Ukraine SitRep. La guerre des ...
Last post by JacquesL - 17 Avril 2024, 10:09:30 AM
Ukraine SitRep. La guerre des centrales électriques – Les pertes idéologiques – De nouveaux signes de corruption

Publié le avril 17, 2024 par Wayan



Par Moon of Alabama – Le 16 avril 2024

Le président ukrainien Vladimir Zelenski fait pression sur le Congrès par l'intermédiaire des médias américains pour obtenir davantage d'armes et de soutien financier. Pour ce faire, il doit finalement décrire la situation comme étant désastreuse :

CiterS'exprimant lors de l'émission PBS news hour du mardi 16 avril, Zelensky a souligné l'état critique des défenses aériennes de l'Ukraine.

"Je vais vous donner un exemple très simple", a-t-il déclaré.

"Onze missiles ont été lancés en direction de la centrale thermique de Trypillya, dont dépend l'approvisionnement en électricité de la région de Kiev. Nous avons réussi à intercepter les sept premiers, mais les quatre autres ont touché Trypillya. Pourquoi ? Parce qu'il ne nous restait plus aucun missile. Nous avons épuisé tous les missiles qui défendaient Trypillya", a ajouté le président.
...

En réponse au ciblage d'infrastructures critiques, Zelensky a utilisé cet exemple pour appeler une fois de plus les alliés de l'Ukraine à fournir d'urgence les armes dont Kiev a besoin, en particulier des lanceurs de défense aérienne et des missiles.

"Franchement, sans cette aide, nous avons peu de chances de remporter la victoire, car nous devons être beaucoup plus forts que nos adversaires. Le ratio actuel des obus d'artillerie est de 1 pour 10. Pouvons-nous tenir encore longtemps ? Non", a déclaré Zelensky.

Il est bon de voir que Zelenski prend enfin conscience de la situation dans laquelle se trouve l'Ukraine.

L'infrastructure électrique est en effet un point critique. John Helmer, via Naked Capitalism, suggère que la Russie utilise la destruction des centrales électriques ukrainiennes pour faire pression en faveur de sa reddition inconditionnelle.

Helmer cite le site du blog du Colonel Cassad :

CiterBoris Rozhin, dont le blog militaire Colonel Cassad représente largement la pensée de l'état-major général, fait état de la percée opérationnelle démontrée le 11 avril et explique ce que les cartes de ciblage actuel laissent présager pour la prochaine série de frappes, et les suivantes. Rozhin republie son analyse sur RT, l'organe de presse de l'État.


"Dans la soirée du 11 avril, des sources ukrainiennes ont signalé que des missiles X-69 lancés par avion pourraient être utilisés pour frapper la centrale thermique de Tripolskaya. Jusqu'à présent, ces informations n'ont pas été confirmées, mais il convient d'étudier ces missiles plus en détail. Leur portée est presque 20 fois inférieure à celle des missiles X-101 [équivalent à environ 250-500 kilomètres], dont les porteurs sont des avions stratégiques des forces aérospatiales [Tu-95]. Dans leur fonction [X-69], ils sont plus proches des missiles étrangers [anglo-français] Storm Shadow/SCALP, qui sont utilisés pour les frappes sur le pont de Crimée. La longue portée de 300 km du [X-69] pourrait être suffisante si les tirs de missiles étaient effectués depuis le territoire de la région de Briansk. Si l'utilisation de missiles est confirmée à l'avenir, cela signifiera qu'aucune installation énergétique ukrainienne sur le fleuve Dniepr ne pourra fonctionner en toute sécurité, et que les capacités de frappe des forces aérospatiales se seront multipliées." https://t.me/rt_russian/197065

L'absence d'alimentation électrique n'est pas le seul problème insoluble auquel est confronté Zelenski.

La situation sur la ligne de front se détériore. L'un des secteurs critiques est aujourd'hui Chasiv Yar, à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Bakhmut, où les forces russes ont récemment réussi à faire des progrès décisifs.

Chasiv Yar – 1er avril 2024
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Chasiv Yar – 16 avril 2024
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Le terrain qui avait été tenu par des éléments de la 67e brigade mécanisée séparée a été abandonné très rapidement.

Le commandement ukrainien a enquêté et a trouvé la cause première dans le cadre idéologique de la brigade "nationaliste" :

CiterAprès avoir perdu certaines positions sur le front de Chasiv Yar dans l'oblast de Donetsk, où de violents combats se déroulent depuis le début de l'année 2024, la 67e brigade mécanisée séparée du Corps des volontaires ukrainiens de Secteur droit fait l'objet d'une enquête et les militaires qui constituaient l'épine dorsale de la brigade sont transférés vers d'autres unités.
...

L'un des facteurs révélés par l'audit était les problèmes au sein de la brigade. Les dirigeants auraient séparé les soldats de Secteur droit et ceux qui ont été transférés d'autres unités lors de la récente reconstitution des effectifs (ils ont été appelés "pixels", en référence au motif de l'uniforme militaire ukrainien). L'attitude à l'égard des "pixels" était encore pire : ils étaient les premiers à être envoyés au combat, et leur manque d'expérience leur a fait perdre des territoires.

Selon une source de l'Ukrainska Pravda, ce n'était pas la seule raison des lacunes de la brigade en matière de capacité de combat, comme l'a révélé l'audit.

Selon un ancien combattant du Corps des volontaires ukrainiens qui a servi dans l'unité pendant l'opération antiterroriste de 2014-2018 dans l'est de l'Ukraine et pendant la première année de l'invasion totale, le problème actuel découle de l'incapacité à reformer l'ancienne unité de volontaires en une brigade régulière des forces armées.


Après le reformatage du Corps des volontaires ukrainiens en 67e brigade, les volontaires ont été contraints de vivre "selon les principes militaires", tels que déterminés par le nouveau commandement de l'armée. Les anciens dirigeants du corps des volontaires ukrainiens n'avaient pas l'expérience militaire nécessaire pour occuper des postes élevés.

Les gangs de rue et les hooligans du groupe fasciste Secteur droit, qui ont joué un rôle majeur pendant la révolution dite de Maïdan, ne veulent pas être de vrais soldats. Ils ont placé les hommes mobilisés les moins expérimentés en première ligne et ont gardé leurs frères idéologiques à l'arrière.

Ce comportement était acceptable sous l'ancien commandant en chef, le général Zaluzhni, dont les affinités avec les unités "nationalistes" de la droite dure sont bien connues. Mais le nouveau commandant en chef, le général Syrski, a besoin de vrais soldats, pas de terroristes amateurs :

CiterPendant le mandat de l'ancien commandant en chef Valerii Zaluzhnyi, l'épine dorsale du corps des volontaires ukrainiens, en particulier Andrii Stempitskyi, a pu conserver une certaine autonomie au sein de la brigade tout en recevant l'aide de l'état-major général.


Citation : "Lorsque Sirskyi a été nommé, ils ont été confrontés au fait qu'ils ne devaient mener que des activités correspondant à leur position officielle. Ils y ont vu une persécution politique. Pour les combattants très idéologiques du Corps des volontaires ukrainiens, cela semble être la fin d'un mouvement, mais c'est en fait le système qui met ses unités de combat aux normes."

Strana ajoute un peu d'histoire (traduction automatique) :

CiterRappelons que le "Corps des volontaires ukrainiens" (DUK) a été formé en 2014 par le "Secteur droit" lors de l'opération antiterroriste. Après cela, pendant longtemps, il n'a été membre d'aucun des organismes officiels d'application de la loi de l'Ukraine, ce qui a soulevé des questions sur l'ambiguïté de son statut juridique. Cette situation a perduré jusqu'en 2018, date à laquelle la plupart des membres du DUK ont rejoint les forces armées ukrainiennes.

À l'instar d'autres groupements fascistes en Ukraine, comme Azov, le DUK ou "Secteur droit" s'est multiplié pendant la guerre. Il a infiltré davantage d'unités :

CiterEn 2023, le Corps des volontaires ukrainiens a été scindé en deux parties : l'une a rejoint les Forces d'opérations spéciales et l'autre a formé la 67e Brigade mécanisée séparée. En février 2024, une partie de l'unité Da Vinci Wolves a été transférée de la 67e brigade à la 59e brigade d'infanterie motorisée séparée.

Réformer les brigades "nationalistes" ne sera pas une mince affaire pour le nouveau commandement de Syrski. Comme il est né en Russie, ils risquent de le considérer comme leur ennemi ultime.

Un autre problème dont Zelenski devrait s'occuper, mais ne le fera pas, est celui des signes de corruption qui, en raison de la guerre, n'ont fait qu'augmenter :


CiterEn vertu de la loi, les fonctionnaires ukrainiens tels que les législateurs, les procureurs et les juges doivent déclarer leurs biens à l'Agence nationale pour la prévention de la corruption (NACP).

L'ANPC a reçu quelque 664 000 documents au 31 mars, date limite de soumission pour 2023, a rapporté l'Economic Pravda.

Le site d'information a rapporté mercredi qu'il avait sélectionné au hasard les déclarations de 2 200 fonctionnaires pour voir comment leur fortune avait évolué entre 2022 et 2023.

Il a constaté qu'un fonctionnaire sur six avait acheté un appartement ou une maison, et un fonctionnaire sur trois une voiture. Ils ont acheté 721 voitures, 268 appartements et 90 nouvelles maisons.

Dans le même temps, malgré l'achat de nouveaux biens, l'épargne des fonctionnaires a augmenté.


L'Economic Pravda a constaté que les liquidités et les dépôts bancaires des déclarants ont augmenté d'environ un quart au cours des deux années de l'invasion totale de l'Ukraine par la Russie.

La situation économique désastreuse de l'Ukraine ne permet pas d'autre explication que la corruption (traduction automatique) :

CiterEn Ukraine, des ventes record de voitures étrangères de luxe ont été enregistrées l'année dernière. Certaines marques haut de gamme ont été incluses dans le top 10 des voitures les plus vendues, ce qui n'était même pas le cas en temps de paix. Et le nombre de voitures Tesla en Ukraine a été multiplié par près de 10 par rapport à 2021.

Un tel boom de la demande de voitures coûteuses dans un pays en guerre semble, à première vue, pour le moins étrange. Mais il y a des explications à cela.

Les Teslas d'occasion sont devenues un peu moins chères en Ukraine. Mais la principale raison de l'essor des ventes de voitures de luxe en Ukraine est la suivante :

CiterTroisièmement (et c'est là l'essentiel), il existe une catégorie de nouveaux demandeurs de voitures de luxe – des personnes dont le bien-être s'est considérablement accru depuis le début de la guerre.

"Avant la guerre, un homme conduisait une modeste Volkswagen. Puis il s'est assis sur le ruisseau, a obtenu de l'argent, a décidé d'améliorer sa voiture et a acheté une Range Rover. Et il y en a beaucoup", nous a confié l'un des concessionnaires automobiles de Kiev.

Selon les employés du salon, ce sont surtout les forces de sécurité qui améliorent massivement leurs voitures pour les rendre "plus décentes".

En outre, toute une couche de personnes devenues très riches pendant la guerre est apparue dans le pays. Ils se sont notamment enrichis grâce à des systèmes de corruption pour approvisionner l'armée. Ils constituent également une catégorie importante d'acheteurs de voitures de luxe. Oui, et d'autres choses coûteuses. Par exemple, l'un des vendeurs de montres de luxe a déclaré à Strana qu'au cours de l'année écoulée, ses ventes ont battu les records depuis l'existence de l'entreprise.

Alors que Zelenski supplie le Congrès, il devrait considérer que quelqu'un devra payer pour ceux qui "s'assoient sur le ruisseau" et en tirent profit.

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.


#14
Il ne s'agit pas d'un poisson d'avril

Publié le avril 16, 2024 par hervek
 


"Je suis désolé pour la dureté du message, mais quelqu'un doit dire la vérité", a déclaré le Dr Geert Vanden Bossche, virologue.



Par James Howard Kunstler – Le 1er avril 2024 – Source Clusterfuck Nation


Geert Vanden Bossche

Avez-vous passé une fabuleuse journée de la visibilité des transsexuels, exempte de toute allusion à un certain Jésus-Christ et à ses péripéties dans le Levant romain il y a quelque 2000 ans ? Le lapin de Pâques s'est abstenu de twerker sur la pelouse de la Maison Blanche cette fois-ci, mais le Parti du chaos a tout de même obtenu le vote des 0,000429 % de la population qui s'identifient comme étant à l'opposé de l'erreur cléricale commise lors de leur assignation sexuelle à la naissance. En définitive, il s'agit peut-être de la dernière frivolité grotesque à laquelle la classe politique se livrera avant longtemps, et je vais vous dire pourquoi.

J'ai eu l'honneur d'interviewer le virologue belge Geert Vanden Bossche vendredi pour mon podcast, et son message donne à réfléchir. "Ce que je prédis", a-t-il déclaré, "c'est un tsunami massif de maladies et de décès parmi les populations fortement vaccinées dont le système immunitaire est déréglé".

"Vous commettez des erreurs ou même des crimes à très petite échelle, vous pouvez les cacher", a-t-il déclaré (vers 47:00 minutes de la discussion d'une heure). "J'ai vu cela se produire avec la vaccination contre Ebola en Afrique il y a quelques années. . . Cependant, si vous le faites à très grande échelle, comme ce qui s'est passé avec cette campagne de vaccination de masse [Covid], la vérité fera surface. Et ceux qui ont commis ces crimes, qui ont menti à la population, qui n'ont pas pris soin de la santé et de la sécurité de la population, seront sévèrement, sévèrement punis. . . . Si ces gens sortent maintenant et disent : "Oui, attendez une minute, nous avons fait des erreurs, ce n'était pas bien, nous devons les corriger, nous devons réviser notre opinion", ces gens seront lapidés dans les rues. ... . . Ils ne peuvent qu'espérer que quelque chose se produira pour détourner l'attention de ce problème, mais ce ne sera pas le cas. . . La vérité éclatera au grand jour : il s'agit d'une expérience à grande échelle de gain de fonction sur la population humaine. C'est quelque chose qui sera rapporté dans l'histoire pour de nombreuses générations à venir".

Un peu plus loin (vers 55:20 minutes), il déclare : "Vous verrez ce qui se passera, par exemple, dans les prochaines semaines... de plus en plus de cas de Covid plus graves et plus longs. Ils commenceront à remplacer la vague de cancers. Nous avons maintenant une phase plus chronique. Elle se terminera par une phase hyper-aiguë, une énorme, énorme vague... . Cela fait maintenant quatre ans que j'étudie la question. Je sais de quoi je parle. Je suis probablement la seule personne, en toute modestie, à comprendre l'immunologie sous-jacente. . ." . (À 1:00:12) "Ce que je veux que votre auditoire comprenne, ce à quoi nous serons confrontés dans la crise hyper-aiguë de Covid qui est imminente, c'est que nous devrons construire un monde complètement nouveau. ... Il est très clair que lorsque cela commencera, nos hôpitaux s'effondreront. Cela signifie que le chaos sera total à tous les niveaux de la société – financier, économique, social, etc. C'est ce que je prédis très clairement. ... C'est très étrange pour moi de faire de telles déclarations, mais je ne le cache pas parce que je suis convaincu à deux cents pour cent que cela se produira."

Maintenant que vous avez pris une douche glacée, réfléchissez à d'autres implications de ce scénario. Tout d'abord, le gouvernement et ses responsables de la santé publique pourraient tenter d'attribuer la responsabilité de cette situation à l'histoire de la "maladie X" qu'ils colportent depuis environ un an, la "prochaine pandémie", quelque chose d'entièrement nouveau. Ce ne sera pas le cas. Ils essaieront de se couvrir. Ce prochain épisode sera plutôt le résultat des bévues épiques qu'ils ont déjà commises, à partir de 2020, avec l'émergence de la Covid-19. Le variant qui provoquera la crise hyper-aiguë à venir sera très différent de la souche originale "Wuhan", mais il en sera un descendant direct, ayant muté dans les corps des vaccinés. Après tout, c'est le Dr Vanden Bossche qui a déclaré, au début du mélodrame Covid en 2021, que vacciner pendant une pandémie en cours était absolument la mauvaise stratégie d'un point de vue immunologique, et qu'elle ne manquerait pas d'avoir des conséquences désastreuses.

Que pouvez-vous faire, le cas échéant, pour vous préparer à cette éventualité ? Le Dr Vanden Bossche est également très clair : "Ce que je peux conseiller à toutes ces personnes vaccinées : elles doivent éviter la réinfection. C'est la réinfection des personnes vaccinées qui est responsable de cette situation. ... Eh bien, la seule chose qu'ils peuvent faire – c'est très simple – c'est de prendre des antiviraux, bien sûr. La seule différence, c'est qu'on ne pourra pas attendre d'avoir des symptômes pour prendre des antiviraux. ... Dès que les gens verront que dans l'un des autres pays, ou l'un des autres États des États-Unis, les hospitalisations commencent à augmenter très rapidement, ils devront prendre des antiviraux à titre prophylactique, sans attendre d'avoir des symptômes. Je suis en Belgique. Si la maladie se déclare aux États-Unis, en Israël ou au Royaume-Uni, je vous parie qu'en quelques jours, vous verrez le même scénario dans de nombreux pays fortement vaccinés".

Par "antiviraux", le Dr Vanden Bossche entend en particulier l'ivermectine, le médicament lauréat du prix Nobel que la FDA et le CDC ont brutalement diabolisé afin d'empêcher le public de savoir qu'il existait un traitement sûr et efficace contre la Covid-19. Reconnaître cela aurait annulé l'autorisation d'utilisation d'urgence de Pfizer et de Moderna, qui leur a permis de gagner des dizaines de milliards de dollars sur un produit pharmaceutique très mal testé tout en bénéficiant d'une protection générale contre les poursuites judiciaires.

"J'ai prédit il y a déjà six mois que les autorités de santé publique allaient enfin imposer l'utilisation de l'ivermectine", a déclaré le Dr Vanden Bossche. "Les résultats obtenus avec l'ivermectine sont fabuleux. Elle est très sûre. C'est le seul antiviral qui soit rentable, largement disponible et qui puisse être administré en quantités suffisantes. ... Il n'y a tout simplement pas d'alternative".

Il est à noter que la semaine dernière, à la suite d'un procès intenté devant le tribunal fédéral du district sud du Texas, la FDA a finalement accepté de retirer les messages qu'elle avait publiés sur les médias sociaux pour bloquer illégalement l'utilisation de l'ivermectine. Rappelez-vous le tweet moqueur : "Vous n'êtes pas un cheval, vous n'êtes pas une vache, allons !". La vérité est que la FDA n'a pas le pouvoir de dire aux médecins comment pratiquer la médecine, ni de bloquer des médicaments approuvés par la FDA (y compris l'ivermectine), même pour des traitements non indiqués sur l'étiquette. Les traitements non indiqués sur l'étiquette avec des médicaments approuvés sont monnaie courante en médecine. Au lieu de l'ivermectine, les responsables américains de la santé publique ont encouragé l'utilisation du remdesivir dangereux avec intubation, ce qui a entraîné des milliers de décès qui auraient pu être évités. Ce n'est que l'un des crimes dont ils devront répondre.

Si le scénario du Dr Vanden Bossche se réalise, la "crise Covid hyper-aiguë" se croisera avec les élections de 2024, et pas seulement aux États-Unis. On peut naturellement s'attendre à des hystéries despotiques extrêmes de la part du gouvernement de "Joe Biden". Ils essaieront certainement de mettre en place leur ruse de la "maladie X". Mais ils ont déjà perdu la confiance des gens contre lesquels ils ont fait la guerre dans leur propre pays. Dans ce cas, il faut s'attendre à une résistance de la part des personnes non malades. Plus aucune histoire ne nous sera imposé.



James Howard Kunstler

Pour lui, les choses sont claires, le monde actuel se termine et un nouveau arrive. Il ne dépend que de nous de le construire ou de le subir mais il faut d'abord faire notre deuil de ces pensées magiques qui font monter les statistiques jusqu'au ciel.

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

https://lesakerfrancophone.fr/il-ne-sagit-pas-dun-poisson-davril
#15
Citoyenneté / Le Traité sur les pandémies : ...
Last post by JacquesL - 16 Avril 2024, 04:03:27 PM
Le Traité sur les pandémies : Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps



J'ai fait part à maintes reprises des dangers du Traité de l'OMS sur les pandémies et ceci dès le 7 octobre 2021, alors que je partageais l'article du Dr Urmie Ray. J'ai continué ces avertissements à quelques reprises, soit le 30 mai 2022, le 26 mai 2023, le 9 juillet 2023, le 19 janvier 2024, le 8 février 2024 et le 7 avril 2024. Il ne faut pas oublier non plus que plusieurs projets de loi à travers le monde s'alignent parfaitement avec ce Traité sur les pandémies de l'OMS, dont le Projet de loi nº50 du gouvernement Legault qui constitue un réel danger pour l'ensemble des Québécois. Par ce traité, les chefs d'État s'apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d'un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l'injection de vaccins ou d'autres produits pharmaceutiques). Je partage maintenant avec vous une vidéo et un texte du réseau Kla.TV. Comme l'écrit si bien cette plateforme : «Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l'OMS ! Comme avec un scalpel, l'OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L'appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant !»

Kla.TV lance donc un Appel au réveil international !
Vidéo : https://www.kla.tv/index.php?a=showembed&vidid=28740&lang=fr

L'OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !

Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l'OMS ! Comme avec un scalpel, l'OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L'appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !

Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres

«Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, (...) doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l'accord». (RSI, art. 42)

Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l'OMS !

Le «modèle commercial» de l'OMS



Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de «Big Pharma» et d'investisseurs privés.

C'est ici que l'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l'ombre, un «coup d'État» dans 194 pays !

Lors de l'assemblée générale de l'OMS qui se tiendra à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres devront se prononcer sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Etant donné qu'ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l'OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l'assemblée. Dans l'article 55 du RSI, Tedros s'engage à transmettre à tous les Etats membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.

Le mot anglais «shall» doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n'a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n'est donc pas digne de confiance !

La recherche Kla.tv d'aujourd'hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu'examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l'objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d'œil à l'Allemagne – l'un des 194 États membres :
Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s'intitule : «Pour des négociations transparentes sur l'accord de l'OMS sur la pandémie – contre la désinformation et les théories du complot».

La CDU/CSU est le plus grand groupe d'opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l'OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d'une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière – quasiment noir sur blanc – ce que l'OMS négocie actuellement à huis clos.

Vérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres

Exigence de la CDU/CSU : «En outre, il faut s'assurer que la mise en œuvre de l'accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés».

Fait 1 : Le passage «en tenant compte des vues de l'État Partie concerné» est supprimé à l'article 10.4 du nouveau RSI !

Fait 2 : Le terme «non contraignant» est supprimé à plusieurs reprises dans l'article 1.1 du nouveau RSI !

Texte de l'actuel projet de l'OMS : «Les États Parties reconnaissent l'OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l'action internationale en matière de santé publique en cas d'urgence de santé publique de portée internationale et s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS dans leur action internationale en matière de santé publique». (RSI, 13A-1)

Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s'engagent à suivre les recommandations de l'OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l'OMS ! L'OMS n'est pas une organisation digne de confiance – même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !

Analyse : Comme avec un scalpel, l'OMS «castre» les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s'habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu'à présent deviennent ainsi des directives d'action obligatoires en droit international !

Vérification de faits n°2 : La déclaration de l'état de pandémie

Demande de la CDU/CSU :

«Il n'est pas non plus précisé si le directeur général de l'OMS pourra à l'avenir déclarer des pandémies, alors qu'il ne peut actuellement que déclarer une «urgence de santé publique de portée internationale», soumise à des critères stricts».

«En outre, l'accord doit notamment définir les critères qui permettent de déclarer une pandémie, (...)»

Texte de l'actuel projet de l'OMS :

Tedros peut justifier un état d'urgence sanitaire mondial avec, par exemple :

«une grippe humaine basée sur un nouveau sous-type» (RSI, ANNEXE2) ou

«des infections dont la transmission interhumaine ne peut être exclue» (RSI, ANNEXE2) ou «même d'origine environnementale» :

«Les Parties reconnaissent que des facteurs environnementaux, climatiques, socio-économiques et anthropiques augmentent le risque de pandémie (...)» (Accord sur la pandémie 4-5)

Fait 1 : Ni l'accord sur les pandémies ni le RSI ne fixent de normes claires et précises pour la déclaration d'une pandémie, qui pourraient mettre un terme à l'arbitraire.

«Le directeur général détermine également si une urgence sanitaire d'intérêt international constitue aussi une urgence pandémique». (RSI, art. 12-5)

Fait 2 : Le directeur général Tedros peut même déclarer des pandémies à l'avenir selon le nouvel article 12, paragraphe 5 ou également paragraphe 1 du RSI !

Analyse : La modification du RSI et le traité sur les pandémies donnent carte blanche au secrétaire général pour déclarer une pandémie, qui n'est liée à aucun critère mesurable !

Vérification de faits n°3 : Les pouvoirs de l'OMS en cas de pandémie

Exigence de la CDU/CSU :

«L'OMS doit être rendue plus efficace grâce à un accord sur les pandémies, dans lequel ses pouvoirs sont clairement délimités et que le rôle central des États membres et les droits des citoyens sont bien entendu préservés».

Texte de l'actuel projet de l'OMS :

«Lorsqu'il a été établi, conformément à l'article 12, qu'il existe une urgence de santé publique de portée internationale (...), le directeur général fait des recommandations temporaires». (RSI, art. 15.1)

«Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, (...) doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties». (RSI, art. 42)

Fait 1 : En déclarant une pandémie, le secrétaire général de l'OMS s'habilite lui-même. Il obtient ainsi des «pouvoirs d'urgence». Il peut émettre des «recommandations temporaires» qui, selon l'article 42, DOIVENT être appliquées «immédiatement» par tous les États membres !
«Le directeur général institue un comité d'urgence, (...) Le directeur général choisit les membres du comité d'urgence (...) Le directeur général fixe la durée de la participation». (...) (RSI, art. 48, 1+2)

Fait 2 : Il n'y a pas d'instances de contrôle supérieures et indépendantes, pas de séparation des pouvoirs.

«Les recommandations adressées par l'OMS aux États Parties dans le traitement des personnes peuvent inclure les conseils suivants :

  • vérifier la preuve d'une vaccination ou d'une autre prophylaxie ;
  • exiger la vaccination ou une autre prophylaxie ;
  • placer les personnes suspectes sous surveillance de la santé publique ;
  • appliquer des mesures de quarantaine ou d'autres mesures sanitaires aux personnes suspectes ;
  • si nécessaire, isoler et traiter les personnes concernées ;
  • procéder au traçage des contacts des personnes suspectes ou affectées». (RSI, art. 18.1)

Fait 3 : Ces «recommandations» de l'OMS, qui peuvent être exigées en vertu de l'article 13A-1 et de l'article 42 du RSI, peuvent totalement annihiler la liberté médicale et personnelle des personnes et ouvrent la voie à une surveillance sans faille des contacts !

Analyse : En cas de pandémie, les deux accords de l'OMS ne prévoient pas de délimitation claire des pouvoirs du directeur général Tedros !
Jamais un homme ne doit avoir un tel pouvoir sur la vie et l'intégrité physique de milliards de personnes dans les 194 pays membres de l'OMS !

Vérification de faits n°4 : Nécessité d'un large débat public

Demande de la CDU/CSU :

«Les auteurs de la proposition soulignent la nécessité d'un large débat public sur les objectifs et le contenu d'un traité sur les pandémies, avec la participation des milieux scientifiques et économiques, de la société civile et des parlements».

Texte de l'actuel projet de l'OMS : «Au niveau mondial, l'OMS doit renforcer sa capacité à lutter contre la désinformation (NOUVEAU : RSI, art. 7e), dans le but de «contrecarrer et de combattre les informations fausses, trompeuses, erronées ou désinformatrices (...)» (Traité sur les pandémies. 18.1)

Fait 1 : Le «large débat public» demandé peut être empêché par l'OMS en réprimant la prétendue désinformation. La «lutte» contre la prétendue désinformation donne à l'OMS un prétexte pour étouffer les voix d'experts malvenues et pour censurer les voix critiques à l'égard de l'OMS sur les réseaux sociaux. Pour ce faire, l'OMS a déjà conclu d'innombrables contrats avec des réseaux sociaux tels que Google, Facebook ou Tiktok, dans le but d'utiliser seulement le «langage contrôlé» de l'OMS.

«a. Les décisions de l'Assemblée de la Santé à prendre sur des questions importantes sont acquises à la majorité des deux tiers des États Membres présents et votants. Ces questions comprennent : l'adoption de conventions ou d'accords (...)»«b. Les décisions sur d'autres questions, (...) sont prises à la simple majorité des États Membres présents et votants». (Constitution de l'OMS, article 60)

«Le délai (...) prévu pour le rejet ou la réserve d'un amendement au présent règlement intérieur est de dix mois». (RSI, art. 59.1)

Fait 2 : Le traité sur les pandémies ne peut entrer en vigueur que si une majorité des deux tiers des délégués de l'Assemblée générale de l'OMS l'approuve. Ensuite, les 194 parlements des États membres doivent délibérer et approuver le traité sur les pandémies à la majorité. En revanche, les modifications importantes du RSI sont déjà considérées comme acceptées si une simple majorité des délégués les approuve. L'approbation par les parlements nationaux n'est pas nécessaire ici, selon l'article 55.3 du RSI. Seule une opposition explicite dans les dix mois suivant le vote est encore possible. À ce stade, la démocratie parlementaire des États membres est mise à mal. L'implication des parlements ou de la société civile, réclamée par la CDU/CSU, n'est pas prévue par l'OMS lors de la modification du RSI !

Analyse :

L'OMS ne doit jamais se voir accorder le «monopole de l'information et de la vérité» sur la prétendue désinformation, car c'est là que s'arrête le «débat public» revendiqué et donc notre démocratie ! La vérification des faits met en lumière que les plus graves «auto-autorisations de l'OMS» sont cachées dans les adaptations du RSI. C'est ce que critiquent également de nombreuses initiatives qui agissent contre l'extension du pouvoir de l'OMS. Il est donc évident que l'OMS et son directeur général Tedros souhaitent étendre massivement leurs pouvoirs en contournant la démocratie parlementaire.

Conclusion générale de la vérification des faits :

La CDU/CSU ou tous les partis démocratiques de tous les États membres ne pourront jamais approuver ce projet en raison de ces exigences non satisfaites ! La vérification des faits confirme que les inquiétudes des citoyens ne sont pas des théories complotistes.

Étant donné que le texte des deux traités serait valable pour les 194 États membres de l'OMS, les résultats de cette vérification des faits fondée qui utilise l'exemple de l'Allemagne peuvent très bien être appliqués à tous les pays. Il existe toutefois d'autres aspects internationaux qui doivent être examinés de plus près. Les partisans de ces deux documents de l'OMS affirment qu'il s'agit exclusivement du bien-être et de la santé de tous les êtres humains. Mais en y regardant de plus près, on découvre un gigantesque modèle commercial.

Le «modèle commercial» de l'OMS

L'OMS n'est financée qu'à hauteur de 20% maximum par les contributions des États membres. Plus de 80% des recettes de l'OMS proviennent de dons spécifiques de tiers. Bill Gates, en particulier, a soutenu l'OMS via sa fondation Bill & Melinda Gates ou son alliance de vaccination Gavi avec plus de 1,3 milliard de dollars (situation en mars 2024). Le fait que Gates ait empoché plusieurs centaines de millions de dollars de bénéfices pendant la période du Covid en achetant des actions BioNtech en août 2019 montre que ce n'est pas par pure philanthropie. C'est pourquoi, pour Gates, le soutien à l'OMS est certainement aussi un «modèle commercial», car selon lui, c'est en investissant dans les vaccins qu'on obtiendrait les meilleurs rendements !

Un autre aspect révélateur de ce «modèle commercial» apparaît dans le RSI à l'annexe 1

«Les États Parties qui sont des pays développés doivent fournir une assistance financière et technologique aux États Parties qui sont des pays en développement pour garantir dans ces pays en développement des installations à la pointe de la technologie». (RSI, ANNEXE 1.1). Le fait que l'OMS souhaite augmenter son budget, qui passerait d'environ 3,5 milliards de dollars par an actuellement à au moins 31 milliards de dollars, et obtenir une enveloppe financière de 100 milliards de dollars de la part des nations les plus riches pour les situations d'urgence en cas de pandémie montre la nouvelle dimension du «modèle commercial de l'OMS». Des transactions financières gigantesques, qui doivent être payées par les contribuables, affluent ainsi vers des pays plus pauvres et atterrissent finalement dans les poches de «Big Pharma» et d'investisseurs privés.

Le passé criminel du secrétaire général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus

Tedros a utilisé l'organisation terroriste TPLF (Front de libération du peuple du Tigré) comme étrier pour son ascension politique jusqu'au poste de ministre des Affaires étrangères d'Éthiopie. Les rapports annuels officiels d'Amnesty International et de Human Rights Watch, des organisations de défense des droits de l'homme renommées, sur la période de gouvernement de Tedros entre 2005 et 2016 montrent que les plus graves violations des droits de l'homme ont été commises durant cette période, comme par exemple l'arrestation et l'exécution d'opposants, l'expulsion violente de tribus ethniques, les tortures les plus graves, etc. De plus amples révélations sur le passé criminel de Tedros sont dévoilées dans le documentaire «Le dossier Tedros». Le fait que, lors des négociations sur l'adaptation du RSI, il ait même été question de supprimer la mention «dans le plein respect de la dignité, des droits de l'homme et des libertés fondamentales des personnes» de l'article 3.1 du RSI est un scandale ! Cela confirme que Tedros a perdu tout sens du respect des droits de l'homme en raison de son passé criminel.

En résumé

La vérification des faits en Allemagne a mis en lumière un écart dramatique entre les exigences des politiciens et les textes des accords prévus. Le traité sur les pandémies semble n'être qu'un «écran de fumée» destiné à détourner l'attention des clauses anticonstitutionnelles subtilement cachées du RSI. C'est là qu'on découvre avec quelle perfidie l'OMS et ses puissants bénéficiaires ont fomenté en coulisses un «coup d'État» dans 194 pays ! Par ce procédé sournois, nos élus sont trompés, car on ne leur demande pas leur accord sur les clauses du RSI et ils sont ainsi privés de leurs voix ! C'est pourquoi nos élus, en grande partie inconscients, ont maintenant besoin de l'aide du peuple. Ils sont presque tous loin d'avoir pris conscience des dangers qui se cachent notamment dans les textes du RSI.

Ce documentaire a pour but de vous aider à mettre en garde vos représentants dans votre pays contre ce détournement de la démocratie parlementaire.

Appel au réveil international à 194 nations !

Chers téléspectateurs,

La liberté des citoyens de 194 États membres est en grand danger ! C'est pourquoi nous lançons aujourd'hui un appel au réveil international dans de nombreuses langues.

Soyez actifs et éveillez VOUS-MÊMES les responsables de votre pays, en particulier ceux qui représentent votre région et vous représentent donc personnellement au Parlement ! Informez-les du texte exact du traité. Nous mettons à votre disposition le texte de l'émission sur notre site original www.kla.tv, en dessous de cette émission. Vous y trouverez les textes exacts dont nous avons parlé dans cette émission. Attirez également l'attention de vos politiciens sur le passé criminel du directeur général Tedros !

Les médias publics ne parlent guère du danger sérieux que représentent ces traités sur les pandémies. Les informations critiques sur l'OMS sont censurées en masse sur les réseaux sociaux sous prétexte de prétendue «désinformation». C'est pourquoi cette émission n'est pas seulement un appel au réveil, mais aussi un appel à la diffusion.

Ainsi, dans chacun des 194 pays membres, un incendie généralisé peut se déclencher et mettre bientôt à mal les plans de l'OMS. Diffusez donc ce cri d'alarme international dans le plus grand nombre de langues possible et même dans les pays lointains où vous connaissez des personnes !

Soutenez notre appel au réveil en transmettant MAINTENANT cette émission au plus grand nombre possible de vos amis et connaissances via le lien qui s'affiche ! Vous trouverez également ce documentaire bouleversant sur nos canaux sociaux pour le diffuser. Vous contribuerez ainsi activement à mettre fin à toute suppression d'informations vitales. Utilisez également WhatsApp à cet effet ! Postez notre appel au réveil sur les réseaux sociaux, comme par exemple Facebook ou TikTok !

Tous les hommes de ces 194 nations forment une grande famille humaine. La volonté commune de liberté de ces personnes l'emportera sur toute tentative d'oppression ! Merci pour votre contribion !



Le 13 avril 2024, une grande marche contre le Traité de l'Organisation mondiale
de la santé sur les pandémies se rassemblait à Tokyo, au Japon. Le cri de
ralliement : «PLUS JAMAIS D'INJECTIONS DE GÉNOCIDE !».

source : Profession Gendarme

https://reseauinternational.net/le-traite-sur-les-pandemies-des-documents-de-loms-qui-ont-fuite-revelent-le-plus-grand-coup-de-tous-les-temps/
#16
Asie, Pacifique / L’axe de la résistance a pénét...
Last post by JacquesL - 16 Avril 2024, 02:41:58 PM
L'axe de la résistance a pénétré l'écran de sécurité sioniste



par Moon of Alabama

Le 7 octobre 2023, le Hamas a franchi la clôture autour de Gaza. Il a infiltré des installations militaires et des kibboutz dans le but de prendre autant d'otages que possible. Ceux-ci devaient être emmenés à Gaza en vue de futurs échanges de prisonniers.

Malgré les avertissements locaux, les dirigeants de l'entité sioniste ont été surpris par cette action. Sa réaction excessive et la directive Hannibal ont entraîné la mort de nombreux otages.

L'événement a choqué l'opinion publique israélienne. Elle se sentait en sécurité. Le 7 octobre et les six mois de combats à Gaza et à la frontière nord ont changé la donne.

Mais jusqu'à présent, le danger ne provenait que de simples milices, le Hezbollah et le Hamas. Bien qu'ils soient capables, ils n'ont pas les instruments d'un État-nation à part entière.

Toujours trop confiants dans leurs propres capacités, les dirigeants de l'entité sioniste ont commis une deuxième erreur. Ils avaient déjà attaqué les envoyés iraniens en Syrie et au Liban. Ils ont ensuite attaqué l'ambassade iranienne en Syrie. Ils ne s'attendaient pas à ce que l'Iran réagisse.

Mais poussé par sa propre population, l'Iran se devait de réagir. Il devait le faire d'une manière convaincante, mais qui n'entraînerait pas d'autres escalades. Un équilibre très difficile à atteindre.

Son attaque contre les bases aériennes israéliennes dans le Néguev et contre une base du Mossad sur le plateau du Golan a été couronnée de succès en dépit du fait qu'Israël et tous les autres pays avaient été prévenus de l'attaque :

  • Israël et tous les autres pays avaient été prévenus de l'attaque
  • plusieurs alliés d'Israël – les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Jordanie – ont ajouté leurs moyens importants pour aider les défenses aériennes israéliennes
  • les cibles étaient parmi les plus difficiles à atteindre.

Comme le souligne Scott Ritter :

«Les États-Unis disposent d'un radar avancé AN/TPY-2 en bande X stationné à Har Qeren, dans le désert du Néguev. Sa mission est de détecter les tirs de missiles iraniens et de transmettre les données de ciblage aux batteries israéliennes Arrow et David's Sling et aux batteries américaines THAAD ABM déployées pour protéger les sites israéliens sensibles, notamment Dimona et les bases aériennes de Nevatim et Ramon.

Des missiles iraniens ont frappé les bases aériennes de Nevatim et de Ramon. Les meilleurs radars de surveillance du monde, associés aux défenses antimissiles les plus sophistiquées du monde, ont été impuissants face à l'attaque iranienne».

Je dirais que le «meilleur radar de surveillance du monde» et les «défenses antimissiles les plus sophistiquées du monde» sont probablement ceux dont disposent les Russes.

Mais peu importe.

L'attaque a franchi toutes les défenses et a atteint les cibles assignées. (On ne saura pas avant longtemps avec quelle précision elle l'a fait).

Il s'agit d'une opération techniquement impressionnante et d'une réussite retentissante.

Israël s'abstiendra probablement de riposter. Tout simplement parce qu'il ne dispose d'aucune défense efficace contre une frappe similaire et qu'il n'a certainement pas assez de moyens pour parer à une série de frappes de ce type.

Il suffit de se poser la question. Que se passerait-il :

Si l'Iran frappait sans avertissement ?

Si les alliés d'Israël n'étaient pas préparés ou ne voulaient pas contrer une attaque ?

Si l'Iran frappait des cibles industrielles plus précieuses et/ou non militaires ?

Une telle attaque pourrait être catastrophique pour Israël.

La sécurité de sa population juive est la raison d'être de l'État sioniste. C'est l'argument qu'Israël a avancé pour favoriser l'immigration.

Israël n'est plus en sécurité. Il ne peut plus faire ce qu'il veut sans avoir à en craindre les conséquences.

Il faudra un certain temps pour que ce fait s'impose à l'esprit des sionistes.

Mais cela viendra.

En conséquence du 7 octobre et du 14 avril, la population sioniste d'Israël pourrait bien diminuer.

source : Moon of Alabama

https://reseauinternational.net/laxe-de-la-resistance-a-penetre-lecran-de-securite-sioniste/
#17
Asie, Pacifique / Où la «patience stratégique» d...
Last post by JacquesL - 16 Avril 2024, 02:09:00 PM
Où la «patience stratégique» de l'Iran fait place à une sérieuse dissuasion



La dissuasion de l'Iran a été saluée par toutes les terres d'Islam, notamment la rue arabe asservie par les monarchies qui font encore affaire avec Israël sur les cadavres des Palestiniens de Gaza.

par Pepe Escobar

Les frappes de représailles de l'Iran contre Israël n'ont pas été menées en solo. Les partenaires stratégiques que sont la Russie et la Chine soutiennent Téhéran, et leur rôle dans le conflit en Asie occidentale ne fera que s'accroître si les États-Unis ne tiennent pas Israël à distance.

Un peu plus de 48 heures avant le message envoyé par l'Iran à Israël à travers le ciel de l'Asie occidentale, le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov a confirmé, officiellement, ce qui, jusqu'à présent, n'avait été, au mieux, que des propos diplomatiques feutrés :

«La Russie reste en contact avec ses partenaires iraniens sur la situation au Moyen-Orient après l'attaque israélienne contre le consulat iranien en Syrie».

Ryabkov a ajouté : «Nous sommes en contact permanent [avec l'Iran]. De nouvelles discussions approfondies sur l'ensemble des questions liées au Moyen-Orient sont également attendues dans un avenir proche au sein des BRICS».

Il a ensuite brossé un tableau général de la situation :

«La complaisance, au cœur de la politique de Washington, avec les actions israéliennes au Moyen-Orient, devient à bien des égards la cause première de nouvelles tragédies».

En résumé, le principal coordinateur diplomatique de la Russie auprès des BRICS – au cours de l'année de présidence russe de l'organisation multipolaire – a indirectement fait savoir que la Russie soutenait l'Iran. Pour rappel, l'Iran est devenu un membre à part entière des BRICS+ en janvier dernier.

Le message atmosphérique de l'Iran ce week-end l'a confirmé dans la pratique : ses systèmes de guidage de missiles ont utilisé le système chinois de navigation par satellite Beidou ainsi que le système russe GLONASS.

Il s'agit d'un système de renseignement russo-chinois piloté depuis les coulisses, et d'un exemple concret des BRICS+ en marche.

Le «Nous sommes en contact permanent» de Ryabkov et les renseignements sur la navigation par satellite confirment la coopération très étroite du partenariat stratégique entre la Russie et la Chine et de leur partenaire stratégique mutuel, l'Iran. Forte de sa longue expérience de l'Ukraine, Moscou savait que l'entité génocidaire psychopathe biblique continuerait à s'intensifier si l'Iran continuait à faire preuve de «patience stratégique».

Le passage de la «patience stratégique» à un nouvel équilibre stratégique a pris un certain temps – et notamment les échanges au plus haut niveau avec la Fédération de Russie. Après tout, le risque demeure que l'attaque israélienne contre la résidence du consulat/ambassadeur iranien à Damas s'avère n'être qu'un remix 2024 de l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand.

Sans oublier le détroit d'Ormuz

Téhéran a réussi à déjouer les vastes opérations psychologiques occidentales destinées à le pousser au faux pas stratégique.

L'Iran a commencé par un coup de maître en termes de diversion. Alors que la peur américano-israélienne prenait des proportions démesurées, alimentée par des «renseignements» occidentaux douteux, le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) s'est emparé d'un porte-conteneurs appartenant à Israël, près du détroit d'Ormuz, dans le cadre d'une manœuvre secondaire et rapide.

Ce fut une manœuvre éminemment raffinée – rappelant à l'Occident collectif la mainmise de Téhéran sur le détroit d'Ormuz, un fait immensément plus dangereux pour l'ensemble du château de cartes économique occidental que n'importe quelle frappe ponctuelle sur leur «porte-avions» en Asie de l'Ouest. C'est ce qui s'est produit en fin de compte.

Là encore, avec une certaine classe. Contrairement à cette armée «morale» spécialisée dans le meurtre de femmes, d'enfants et de personnes âgées et le bombardement d'hôpitaux, de mosquées, d'écoles, d'universités et de convois humanitaires, l'attaque iranienne a visé des sites militaires israéliens clés tels que les bases aériennes de Nevatim et de Ramon dans le Néguev, ainsi qu'un centre de collecte de renseignements sur le plateau du Golan occupé – les trois sites utilisés par Tel-Aviv pour frapper le consulat iranien de Damas.

Ce fut un spectacle parfaitement chorégraphié. De nombreux signes avant-coureurs ont donné à Tel-Aviv tout le temps nécessaire pour profiter des renseignements américains, et évacuer les avions de combat et le personnel, dûment relayés par une pléthore de radars militaires américains coordonnant la stratégie de défense.

C'est la puissance de feu américaine qui a écrasé le gros du nuage de 185 drones Shahed-136, au moyen de toutes sortes de dispositifs allant de la défense aérienne embarquée aux avions de chasse. Le reste a été abattu au-dessus de la Jordanie par l'armée du petit roi – la rue arabe n'oubliera jamais sa trahison – puis par des dizaines de jets israéliens.

Les défenses d'Israël ont été de facto saturées par le combo drone-suicide-missile balistique. Concernant ces derniers, plusieurs d'entre eux ont percé le dense labyrinthe de la défense aérienne israélienne, Israël revendiquant officiellement neuf frappes réussies – ce qui est intéressant, c'est qu'elles ont toutes atteint des cibles militaires très pertinentes.

L'ensemble du spectacle disposait d'un budget digne d'une méga superproduction. Pour Israël – sans même compter le prix des jets américains, britanniques et israéliens – le seul système d'interception multicouche a coûté au moins 1,35 milliard de dollars, selon un responsable israélien. Les sources militaires iraniennes évaluent le coût de leurs salves de drones et de missiles à seulement 35 millions de dollars, soit 2,5% des dépenses de Tel-Aviv, et ce grâce à une technologie exclusivement locale.

Le nouvel échiquier d'Asie occidentale

Il n'a fallu que quelques heures à l'Iran pour transformer sa patience stratégique en une dissuasion sérieuse, envoyant ainsi un message extrêmement percutant et à plusieurs niveaux à ses adversaires, changeant magistralement la donne sur l'ensemble de l'échiquier ouest-asiatique.

Si les psychopathes bibliques venaient à s'engager dans une véritable guerre ouverte contre l'Iran, Tel-Aviv n'aurait aucune chance d'intercepter des centaines de missiles iraniens – dont des missiles de pointe exclus du récent scénario – sans un mécanisme d'alerte précoce échelonné sur plusieurs jours. Sans le bouclier militaire et financier du Pentagone, la défense israélienne n'est pas viable.

On attend avec impatience de voir quelles leçons Moscou tirera de cette profusion de lumières dans le ciel de l'Asie occidentale, ses yeux perspicaces observant la frénésie de la scène politique et militaire israélienne, alors que la température continue de monter sur la grenouille qui cuit à petit feu – et pousse maintenant des hurlements.

Quant aux États-Unis, une guerre en Asie occidentale – qu'ils n'ont pas déclenchée eux-mêmes – ne correspond pas et de loin à leurs préoccupations, comme l'a confirmé par courriel un vieux briscard de l'État profond :

«Cette guerre pourrait définitivement compromettre la production de pétrole dans la région et faire grimper son prix à des niveaux faramineux qui entraîneraient l'effondrement de la structure financière mondiale. Il est possible que le système bancaire des États-Unis s'effondre lui aussi si le prix du pétrole atteint 900 dollars le baril en cas de blocage ou de neutralisation de la production pétrolière au Moyen-Orient».

Rien d'étonnant à ce que la bande à Biden, quelques jours avant la réponse iranienne, ait activement supplié Pékin, Riyad et Ankara, entre autres, pour dissuader Téhéran. Les Iraniens auraient même pu accepter – si le Conseil de sécurité des Nations unies avait imposé un cessez-le-feu permanent à Gaza pour calmer la tourmente régionale. Mais Washington est resté muet.

La question est maintenant de savoir s'il va le rester. Mohammad Bagheri, chef de l'état-major général des forces armées iraniennes, est allé droit au but :

«Nous avons transmis un message à l'Amérique par l'intermédiaire de l'ambassade de Suisse : les bases américaines deviendront une cible militaire si elles sont utilisées dans de futures actions belliqueuses du régime sioniste. Nous les considérerons comme une agression et agirons en conséquence».

Le dilemme américain est confirmé par l'ancien analyste du Pentagone Michael Maloof :

«Nous avons quelque 35 bases autour de l'Iran, et elles sont par conséquent devenues vulnérables. Elles étaient censées jouer un rôle dissuasif. Il est clair que la dissuasion n'est plus à l'ordre du jour. Elles deviennent le «talon d'Achille» des Américains en raison de leur vulnérabilité aux attaques».

Tout laisse à penser que le tandem États-Unis-Israël s'adaptera à la nouvelle réalité de la dissuasion élaborée par l'Iran. En cet instant historique, le spectacle aérien, lourd de sens, de l'Iran musulman déchaînant à lui seul des centaines de drones et de missiles sur Israël, un exploit salué dans toutes les terres d'Islam, reste d'actualité. Et notamment par la rue arabe malmenée, asservie par des monarchies décrépites qui continuent de faire affaire avec Israël sur les cadavres des Palestiniens de Gaza.

Pepe Escobar

source : The Cradle via Spirit of Free Speech

https://reseauinternational.net/ou-la-patience-strategique-de-liran-fait-place-a-une-serieuse-dissuasion/
#18
Médecine physique et hygiène / Médecine du genre : un rapport...
Last post by JacquesL - 14 Avril 2024, 06:52:34 PM
Médecine du genre : un rapport révèle de graves irrégularités



par CovidHub

WPATH Files ou la fuite de données embarrassantes et choquantes de la plus ancienne association transsexuelle au monde.

L'ONG écologiste pro-nucléaire Environmental Progress a publié au début du mois de mars un rapport de 241 pages au sujet des pratiques de la WPATH (World Professional Association for Transgender Health), la plus ancienne association professionnelle au monde dédiée aux interventions médicales sur les personnes souffrant de «dysphorie de genre».

Ce rapport contient des données fuitées de l'association dont des emails, des documents, et une vidéo de 82 minutes, révélant «des irrégularités médicales graves sur les enfants et les adultes vulnérables».


Aveux à huis clos

Selon Michael Shellenberger, fondateur et président de Environmental Progress, le dossier WPATH «montre que ce que l'on appelle la «médecine du genre» n'est ni de la science ni de la médecine», et que «leurs expériences ne sont ni randomisées, ni en double aveugle, ni contrôlées. Ce n'est pas de la médecine puisque la première règle est de ne pas nuire. Et cela nécessite un consentement éclairé».

Les révélations contiennent des «aveux choquants» de la part de médecins et autres professionnels de la santés affiliés à la WPATH, qui admettent en secret qu'ils ne cherchent pas à obtenir un consentement éclairé de la part des parents et des enfants avant de mettre en œuvre des traitements ou des opérations chirurgicales de «changement de genre».

Des emails fuités de la WPATH et inclus dans le rapport contiennent aussi des aveux de médecins qui établissent un lien entre leurs traitements hormonaux et la survenance de cancers, et sur le fait que les patients ne sont pas correctement informés de ce risque.


«Acte important de journalisme»

Mme Dhillon, fondatrice et directrice générale du Center for American Liberty, qui représente plusieurs femmes qui auraient subi des préjudices et des dommages irréversibles à la suite des recommandations chirurgicales de la WPATH destinées à des enfants et adolescents, ces révélations représentent un «acte important de journalisme». Elle déclare :

«Ces dossiers divulgués montrent qu'à huis clos, les membres de la WPATH admettent qu'ils n'obtiennent pas le consentement éclairé des jeunes patients pour les interventions hormonales et chirurgicales, ce qui est le principe même de notre action en justice pour les jeunes femmes qui ont été mutilées par ces médecins lorsqu'elles étaient enfants».

Selon le rapport, la WPATH plaide pour que les enfants aient accès aux bloqueurs de puberté, aux hormones du sexe opposé et aux interventions chirurgicales visant à modifier leur corps en fonction de leur «identité de genre». Le rapport écrit :

«Alors que la WPATH soutient publiquement le consentement des mineurs et de leur famille à ces traitements hormonaux et chirurgicaux fondés sur un sentiment intérieur nébuleux, en privé, certains membres admettent que le consentement n'est pas possible (...). Secrètement, les professionnels de santé affiliés à la WPATH avouent que leurs pratiques sont basées sur l'improvisation, que les enfants ne peuvent pas les comprendre et que le processus de consentement n'est pas éthique».


Les enfants et les jeunes ne comprennent pas vraiment...

Dans une vidéo divulguée en même temps que le rapport, présentant un groupe de discussion interne de la WPATH, on entend notamment Dianne Berg, psychologue pour enfants, admettre que leurs experts ne s'attendent pas à ce que les enfants et les jeunes comprennent pleinement les effets des procédures transgenres, car il est «hors de leur développement de comprendre l'ampleur de l'impact de certaines de ces interventions médicales sur eux».

Cette même psychologue ajoute ensuite :

«ce qui me dérange vraiment, c'est que les parents ne peuvent pas me dire ce qu'ils ont besoin de savoir sur une intervention médicale qu'ils ont apparemment approuvée».

Elle suggère ensuite d'encourager les patients à poser des questions, et d'offrir un «véritable processus de consentement éclairé» plutôt que ce qui se passe actuellement, qui «n'est pas ce que nous devons faire d'un point de vue éthique».
Nous republions ci-dessous la vidéo dans son intégralité (archive ici). La transcription complète ainsi que certaines citations ont également été rendues disponibles par Environmental Progress.

Video : https://mega.nz/file/MWsVEbCB#85u5eeIgs55RZWPJYkXOTt5jDJzKbbE5Xy5EC3U0XEc

L'Europe commence à faire marche arrière

Moins d'une semaine après la publication du dossier WPATH, le service national de santé britannique a interrompu l'utilisation de bloqueurs de puberté chez les enfants, et a déclaré :

«Nous avons conclu qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves de l'innocuité ou de l'efficacité clinique des hormones de suppression de la puberté pour que le traitement soit disponible en routine à l'heure actuelle».

En même temps, d'autres pays européens, tels que la Suède, la Finlande, la Norvège et la France, se montrent de plus en plus sceptiques à l'égard de ce que les partisans appellent le «modèle d'affirmation du genre».

En France, un rapport sénatorial a récemment été remis par la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio (LR), qui appelle à remettre en question le droit de «transitionner» avant 25 ans. Si cette proposition était adoptée, la France deviendrait le pays européen le plus restrictif sur le sujet.


Pas de remise en question en Suisse pour l'instant

En Suisse, le nombre d'interventions chirurgicales d'«affirmation de genre» est en augmentation : de 248 interventions en 2019, le chiffre est passé à 525 en 2022, soit une augmentation de 115%.

Cela concerne aussi les enfants et adolescents : entre 2018 et 2021, 10 enfants âgés de 10 à 14 ans et 58 adolescentes âgées de 14 à 18 ans ont subi une «torsoplastie», un néologisme signifiant une double masectomie visant à créer un torse «masculin».









source : CovidHub

https://reseauinternational.net/medecine-du-genre-un-rapport-revele-de-graves-irregularites/
#19
Questions mondiales. / Ces sociétés proches des Biden...
Last post by JacquesL - 14 Avril 2024, 02:16:38 PM
Ces sociétés proches des Biden liées au financement des crimes de l'Ukraine



par Christelle Néant

Qu'est-ce que les sociétés Burisma Holdings, Rosemont Seneca, et BlackRock ont en commun ? Toutes ces sociétés sont liées à la famille Biden et aux autorités américaines, et toutes sont impliquées dans le financement des crimes de l'Ukraine, qu'il s'agisse de financement d'actes terroristes, de crimes de guerres ou de laboratoires biologiques menant des expériences illégales.

Le 9 avril 2024, le comité d'enquête russe annonce publiquement, qu'après une investigation menée à la demande de plusieurs députés russes, «il a été établi que les fonds reçus par l'intermédiaire d'organisations commerciales, en particulier la société pétrolière et gazière Burisma Holdings, opérant en Ukraine, ont été utilisés ces dernières années pour commettre des actes terroristes en Fédération de Russie ainsi qu'à l'étranger afin d'éliminer des personnalités politiques et publiques de premier plan et de causer des dommages économiques».

En clair, le comité d'enquête russe accuse Burisma Holdings de rien de moins que de financement du terrorisme !

«L'enquête, en collaboration avec d'autres services de renseignement et de renseignement financier, vérifie les sources de revenus et les mouvements ultérieurs de fonds d'un montant de plusieurs millions de dollars américains, l'implication d'individus spécifiques parmi les responsables gouvernementaux, les organisations publiques et commerciales des pays occidentaux. En outre, grâce à des moyens d'enquête et opérationnels, les liens entre les auteurs directs d'actes terroristes et les conservateurs, organisateurs et sponsors étrangers sont explorés», peut-on lire dans le communiqué.

Ce communiqué du comité d'enquête russe est très succinct et a de quoi laisser sur sa faim. Mais si on remonte à la demande d'investigation envoyée par un groupe de députés de la Douma russe (version traduite en anglais ici), on en apprend plus.

Burisma Holdings finance des attentats terroristes menés par l'Ukraine

Ces députés ont fouillé les données d'enquêtes menées en Ukraine contre le propriétaire de la société Burisma Holdings, une société de gaz ukrainienne, au conseil d'administration de laquelle a siégé Hunter Biden, le fils de Joe Biden. Cette société a été mêlée à un énorme scandale de corruption concernant Joe Biden, qui n'a pas hésité, alors qu'il était vice-président, à faire pression sur Petro Porochenko pour qu'il renvoie le procureur Viktor Chokine qui enquêtait sur les malversations de Burisma Holdings en lien avec la société Rosemont Seneca Bohai LLC, qui appartient en partie à Hunter Biden.

Si les autorités judiciaires ukrainiennes ont ensuite soigneusement évité tout ce qui pouvait impliquer de près ou de loin Hunter Biden et sa société Rosemont Seneca, l'enquête contre le propriétaire de Burisma Holdings, Nikolaï Zlotchevski s'est poursuivie en Ukraine. Son avocat, qui est aussi le directeur des affaires légales de Burisma Holdings, Andreï Kitcha s'est retrouvé impliqué dans l'affaire de son patron, après avoir tenté de soudoyer des membres hauts placés des organes judiciaires ukrainiens pour qu'ils stoppent l'affaire contre Zlotchevski, en échange de près de 6 millions de dollars en liquide. L'avocat s'est fait attraper en flagrant délit et a été poursuivi pour tentative de corruption.

Et c'est là dans ce processus qui, au vu des preuves évidentes, auraient dû aboutir à une condamnation bien méritée, que quelque chose d'étrange s'est produit. Les députés russes ont en effet découvert que lors d'audiences à huis clos, la Haute Cour Anti-Corruption d'Ukraine a validé le fait de transférer tout d'abord les cautions de Kitcha (plus de 31 millions de hryvnias, soit plus de 730 000 euros) au budget de l'armée ukrainienne (audiences du 4 mars 2022 et 20 mars 2022), puis les presque 6 millions de dollars qu'il avait tenté de verser en pot-de-vin, ont été envoyés à une unité de la direction principale du renseignement de l'armée ukrainienne (audience du 19 avril 2022), et enfin 100 millions de hryvnias (2,3 millions d'euros) ont été payés fin mars 2023, au titre d'un accord avec le procureur anti-corruption ukrainien pour clore le dossier, sur le compte spécial du fond «United 24» des Forces Armées Ukrainiennes destiné à «l'armée de drone», qui est un projet de Zelensky. En plaidant coupable et en payant cette forte somme, Kitcha s'en est sorti avec un an de probation au lieu des cinq ans de prison fermes auxquels la cour l'avait condamné, et est sorti libre du tribunal.



Vous pourriez penser que cet homme s'en est juste sorti en sortant le chéquier pour échapper à la prison et vous dire ce que ça a à voir avec le financement des crimes de l'Ukraine. J'y viens. Des journalistes indépendants ukrainiens et des médias étrangers ont pointé le fait que Kitcha ne disposait pas d'une telle somme, contrairement à son patron, Zlotchevski. Patron à cause de qui Kitcha s'est retrouvé dans ce bourbier. Les journalistes ont donc conclu que c'était Zlotchevski, et donc Burisma Holdings qui a financé ce pot-de-vin géant.

Surtout que Zlotchevski lui-même a échappé aux poursuites le concernant de la même manière, en versant plus de 18 millions de dollars (plus de 660 millions de hryvnias) à ce même compte spécial des Forces Armées Ukrainiennes destiné à «l'armée de drones».

Et ces millions de dollars sont allés où ? À une unité de la direction principale du renseignement de l'armée ukrainienne, et à un projet de financement de drones. Or, la direction principale du renseignement de l'armée ukrainienne a commis de nombreux attentats terroristes sur le territoire russe (l'assassinat de Daria Douguina et l'attentat du pont de Crimée entre autre). Son chef, Kirill Boudanov, est poursuivi en Russie pour plus d'une centaine d'attentats terroristes, y compris de nombreuses attaques de drones ukrainiens sur des zones résidentielles en Russie !

Des attaques, rendues possibles grâce au fameux compte spécial de l'armée ukrainienne dédié à «l'armée de drones». En versant leur pot-de-vin pour mettre fin aux poursuites judiciaires, Kitcha et Zlotchevski, et donc en réalité Burisma Holdings, ont financé des attentats terroristes commis par l'Ukraine ! Et au vu du communiqué du comité d'enquête russe, ces liens financiers entre la société de gaz liée au clan Biden et les structures en Ukraine organisant des attentats terroristes en Russie sont confirmés. Ce qui veut dire qu'en plus d'être mêlés via Burisma Holdings à des histoires de corruption sordides entre les États-Unis et l'Ukraine, les Biden père et fils sont liés à une affaire de financement du terrorisme. Et ce n'est pas tout.

Hunter Biden et les laboratoires biologiques en Ukraine

Car les financements d'opérations douteuses, voire criminelles en Ukraine, par des sociétés liées au clan Biden ne s'arrêtent pas là. Dans l'affaire Burisma, une autre société, appartenant en partie à Hunter Biden, apparaît : Rosemont Seneca. Or la fondation rattachée à cette société, Rosemont Seneca Foundation est apparue dans un autre dossier ukrainien : celui des laboratoires biologiques.

En décembre 2022, le ministère russe de la Défense publie un rapport indiquant que Rosemont Seneca Foundation finance la société Metabiota depuis 2014. Or cette société est l'un des principaux contractants du Pentagone pour la construction et la fourniture d'équipement pour les laboratoires de recherche biologique américaines à travers le monde. Y compris en Ukraine, où cette société a travaillé avec Big Pharma (Pfizer, Moderna, Gilead, etc) en tant que sous-traitant pour Black & Veatch (un autre contractant du Pentagone) pour mener des recherches des plus sombres.



Ainsi, grâce à la prise de contrôle d'un certain nombre de régions et de villes où de tels laboratoires biologiques étaient installés, la Russie a pu accéder à un grand nombre de documents et de témoins, permettant de découvrir ce que faisaient réellement ces laboratoires en Ukraine. Et ce que ces données indiquent c'est que le Pentagone avait pour objectif de créer des éléments d'une arme biologique et de la tester sur la population de l'Ukraine et d'autres pays situés le long des frontières russes.

Le tout en passant par des sous-traitants comme Metabiota et Black & Veatch, et en délocalisant les laboratoires dans des pays tiers, afin d'éviter que les États-Unis ne soient accusés de violer la convention sur l'interdiction des armes biologiques. Mais les documents retrouvés par la Russie, entre autre les contrats de travail, les cartes d'enregistrement approuvées et les documents de déclaration des contractants du Pentagone – Black & Veatch, Metabiota, et CH2M-HILL montrent que les agents pathogènes étudiés dans le cadre des projets ukrainiens UP et TAP n'ont rien à voir avec les problèmes de santé publique en Ukraine.

Ces recherchent mettent en effet l'accent sur l'étude d'infections naturellement transmissibles et particulièrement dangereuses, qui sont considérées comme des agents d'armes biologiques potentiels. Par exemple, l'objectif du projet TAP-2 était d'étudier l'actinobacillus mallei (agent pathogène de la «morve», une maladie infectieuse grave des chevaux transmissible à l'homme), dont aucun cas n'a jamais été enregistré en Ukraine.

De plus, des essais d'agents infectieux et de médicaments toxiques contrôlés par le ministère américain de la défense ont été menés en Ukraine sur des soldats et des malades mentaux. Dès le printemps 2022, l'armée russe avait découvert qu'entre 2019 et 2021, des scientifiques américains d'un laboratoire de la ville de Merefa (région de Kharkov) ont testé des médicaments potentiellement dangereux sur des patients de l'hôpital psychiatrique clinique régional n°3 de la ville de Kharkov.

Les personnes atteintes de troubles mentaux ont été sélectionnées pour des expériences et les résultats de la surveillance de l'état des patients étaient inscrits sur des formulaires spéciaux. Aucune information n'a été saisie dans la base de données de l'hôpital, et le personnel de l'établissement médical a signé un accord de non-divulgation. En janvier 2022 (soit un mois avant le lancement de l'opération militaire spéciale), les activités du laboratoire de Merefa ont été arrêtées, et tous les équipements et médicaments ont été transportés vers l'ouest de l'Ukraine.

Les patients de l'hôpital psychiatrique n°1 du village de Streletchié, en région de Kharkov, ont eux aussi été soumis à des expérimentations médicales pour le compte de Washington. La principale catégorie de sujets expérimentaux était un groupe de patients de sexe masculin âgés de 40 à 60 ans présentant un stade élevé d'épuisement physique. Et là aussi, en janvier 2022, les citoyens étrangers ayant mené des expériences ont été évacués d'urgence et le matériel et les médicaments qu'ils utilisaient ont été transportés vers les régions occidentales de l'Ukraine.

Parfois ces expérimentations dangereuses étaient même menées «à ciel ouvert . Ainsi, en 2020, des tracts sous formes de faux billets ont été infectés avec un agent pathogène de la tuberculose multirésistant, et distribués aux enfants de Stepovoye, dans la partie de la RPL alors très proche de la ligne de front. Ceux qui ont organisé ce crime ont tenu compte du fait que les enfants portent tout à la bouche, et mangent souvent sans s'être lavé les mains.

Les résultats des études bactériologiques menées par les autorités sanitaires de la RPL ont confirmé la résistance des bactéries trouvées sur les tracts aux médicaments antituberculeux de première et de deuxième intention, c'est-à-dire que la tuberculose qu'ils provoquent est beaucoup plus difficile à traiter et que le coût du traitement est beaucoup plus élevé.

La conclusion des autorités sanitaires de Lougansk, est que «les billets ont très probablement été infectés artificiellement, car le matériel contient des souches extrêmement dangereuses de l'agent pathogène à une concentration capable d'assurer l'infection et le développement du processus tuberculeux». En clair, des personnes ont cherché à provoquer une épidémie de tuberculose extrêmement résistante en RPL.

Et il n'y a pas qu'à Kharkov ou en région de Lougansk que des preuves ont été trouvées. Marioupol, en RPD a aussi été un important centre de recherche biologique pour les Américains jusqu'au lancement de l'opération militaire spéciale. Ainsi, les documents qui n'ont pas été détruits en urgence suite à l'avancée des forces armées russes et de la milice populaire de la RPD dans deux laboratoires biologiques de Marioupol, montrent que la ville était devenue depuis 2014 un centre régional pour la collecte et la certification de l'agent causal du choléra. Les souches sélectionnées étaient envoyées au Centre de santé publique de Kiev, qui les transmettait aux États-Unis. L'armée russe a aussi obtenu des preuves que des documents confirmant la collaboration de ces laboratoires biologiques de Marioupol avec le département américain de la Défense ont été détruits en urgence en 2022.

Ont aussi été détruit en urgence le 25 février 2022 une collection de micro-organismes pathogènes au laboratoire sanitaire et épidémiologique. L'acte de destruction indique que des travaux y ont été effectués avec les agents responsables du choléra, de la tularémie et du charbon.

Mais une partie de la collection de pathogènes du laboratoire vétérinaire de Marioupol n'a pas été détruite. Les spécialistes russes ont récupéré 124 souches et les ont étudiées. Ils ont alors découvert parmi ces souches des agents pathogènes de maladies atypiques pour de la médecine vétérinaire – fièvre typhoïde, fièvre paratyphoïde, gangrène gazeuse, ce qui est inquiétant, car cela peut indiquer que le laboratoire a été utilisé à d'autres fins que celles officiellement annoncées et participait à un programme biologique militaire.

Et il y a à peine deux mois, a été révélé que des enfants, y compris des bébés, ont été utilisés dans des expériences menées dans le service psychiatrique de l'hôpital n°7 de Marioupol pour de grandes sociétés pharmaceutiques occidentales ! Les documents ont été découverts dans le sous-sol de l'hôpital par des employés d'une société de construction chargée de restaurer le bâtiment. La liste des patients ayant reçu l'un des médicaments contre l'arthrite comprenait des nourrissons de moins d'un an, et des enfants âgés de un à 11 ans ! Les sociétés impliquées incluent Pfizer, GSK, Samsung, Labcorp Drug Development (anciennement Covance, dont on voit le nom sur un bordereau d'envoi) et bien d'autres.

Video : https://rutube.ru/video/71eb867dfa60df9049e9e6ca390539bc/?r=plemwd

Or l'un des médicaments testés inhibe l'action du facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-α), une cytokine (protéine) qui joue un rôle important dans le système immunitaire pour lutter contre la cancérogénèse. Prendre ce médicament peut donc augmenter la probabilité de développer diverses formes de cancer, notamment des systèmes lymphatique et hématopoïétique, ainsi que de la peau. Or je doute qu'un nouveau né, un enfant de 11 ans, ou une personne internée dans un hôpital psychiatrique puisse donner en toute conscience son consentement pour tester un médicament dont les effets secondaires peuvent être aussi graves que celui de finir avec un cancer !

En clair l'Ukraine s'est transformé en terrain de recherche biologique à ciel ouvert pour le bénéfice des États-Unis, avec l'aide de sociétés comme Black & Veatch et Metabiota, qui font sur le terrain le sale travail pour le Pentagone. Donc en plus d'être lié au financement d'actes terroristes commis par l'Ukraine, le clan Biden (ainsi que la direction du parti Démocrate) est aussi lié au financement de recherches biologiques, qui au mieux sont illégales, voire visent à créer des armes biologiques interdites par les conventions internationales !

Biden, BlackRock et les crimes de guerre de l'Ukraine

Et après le financement d'attentats terroristes et d'armes biologiques il est temps de se pencher sur une autre société très proche de Joe Biden et des dirigeants du parti Démocrate et qui est liée à la guerre en Ukraine : BlackRock.

En effet, si on se penche sur l'administration du président américain actuel, on découvre que trois anciens cadres supérieurs de BlackRock en font partie. Et le dernier arrivé, Eric Van Nostrand, ancien directeur général de BlackRock est, depuis août 2022, conseiller en questions économiques concernant la Russie et l'Ukraine au sein du département du Trésor américain. Tout cela est souligné par la presse américaine comme la preuve de liens très forts et directs entre Joe Biden et cette société.

Et quand on regarde de plus près on se rend compte que cet échange de «personnel» entre la Maison-Blanche et BlackRock ne fonctionne pas que dans un sens. En effet, Thomas Donilon, par exemple, président du BlackRock Investment Institute, est un ancien conseiller du président Barack Obama en matière de sécurité nationale. Et il n'a pas travaillé avec un, ni deux mais avec trois présidents américains depuis son premier poste à la Maison Blanche en 1977 auprès du président Jimmy Carter. Car en plus d'avoir travaillé pour Carter et Obama, il a été secrétaire d'État adjoint et chef de cabinet au département d'État sous Bill Clinton. Soit trois présidents issus du parti démocrate.

Il est intéressant de se pencher sur les dossiers sur lesquels a travaillé Thomas Donilon. En effet, il a entre autre été responsable de l'élaboration et de la mise en œuvre de l'expansion de l'OTAN (c'est-à-dire la violation des accords donnés à la Russie qui a amené à la situation catastrophique actuelle en rapprochant l'alliance des frontières russes).

Et si maintenant je vous dis que BlackRock possède, avec une autre compagnie d'investissement américaine nommée The Vanguard Group, plus de 39 millions d'actions (soit 14%) du géant américain Lockheed Martin, ainsi que des parts importantes de Boeing, Northrop Grumman, et Raytheon. Vous me direz que cela vous fait une belle jambe.

Si j'ajoute que ces sociétés forment le complexe militaro-industriel américain, et fournissent à l'armée ukrainienne des drones, des obus de mortier et d'artillerie, des missiles, des radars, des systèmes de défense anti-aérienne, des roquettes, des MANPADs, etc. Des armes avec lesquelles l'armée ukrainienne commet des crimes de guerre contre la population russe.

Ces sociétés, et donc par extension, celles qui investissent dans ces sociétés, comme BlackRock, s'enrichissent donc à chaque nouveau crime de guerre de l'armée ukrainienne. Le tout payé avec l'argent du contribuable américain. Mais qui prend la décision d'utiliser ainsi l'argent public pour enrichir ces sociétés ? Joe Bien, ou ses conseillers issus de la société BlackRock, qui renvoient ainsi l'ascenseur à la société d'où ils viennent ?

Il faut ajouter que BlackRock a obtenu le marché juteux du fonds de reconstruction de l'Ukraine qui lui permettra d'engranger des milliards sans rien faire, juste en gérant les fonds collectés pour reconstruire le pays. Plus le pays sera détruit, plus il faudra d'argent pour le reconstruire, plus BlackRock s'enrichira.

Lorsqu'on ajoute à cela le fait que BlackRock a des entrées directes à la Maison-Blanche grâce à ses anciens directeurs qui y travaillent, ou à ses nouveaux directeurs qui en viennent, on comprend mieux pourquoi l'administration américaine veut à tout prix éviter la victoire écrasante de la Russie et prolonger le plus longtemps possible le conflit. Il faut que l'Ukraine soit la plus détruite possible, mais qu'elle existe encore à la fin du conflit pour que BlackRock, et les Démocrates (dont Biden) puissent toucher des milliards.

Au final que ce soit les sociétés qui financent les attentats terroristes menés par Kiev, celles qui financent les laboratoires biologiques en Ukraine, ou celles qui s'enrichissent sur la destruction du pays, tout en aidant à financer les crimes de guerre de l'armée ukrainienne, toutes ont en commun d'être proches de la famille Biden et du parti démocrate. Et toutes se nourrissent du sang des Russes et des Ukrainiens versé lors de ce conflit fratricide, telles des vampires. Mais comme l'a si bien dit récemment le président russe, Vladimir Poutine : «Durant des siècles elles [lesélites occidentales] se sont habituées à se remplir la panse de chair humaine et les poches d'argent. Mais elles doivent se rendre compte que ce bal des vampires touche à sa fin».

Christelle Néant

source : International Reporters

#20
Citoyenneté économique / Malgré les sanctions la Russie...
Last post by JacquesL - 14 Avril 2024, 01:57:33 PM
Malgré les sanctions la Russie rembourse sa dette



par Dominique Delawarde

Alors que le trio Macron-Attal-Lemaire cherche désespérément quelques dizaines de milliards d'euros pour boucler leur budget 2024, année où le record historique absolu du déficit budgétaire français pourrait bien être battu, l'exécutif russe, lui, malgré les sanctions qui lui sont appliquées, rembourse sa dette, et a trouvé 54 milliards de $ d'excédent budgétaire au cours des douze derniers mois pour le faire.

Résumons : la dette française est aujourd'hui de 3200 milliards d'euros, soit 3425 milliards de $.

Certaines sources parlent même de 3690 milliards de $ ...1

La dette russe n'était que de 358 milliards de $ au 1er avril 2023. Un an de guerre après, au 1er avril 2024, cette dette russe a été réduite à 304 milliards de $.2

La Russie a donc encore une capacité d'endettement que n'a plus notre pays, au bord de l'effondrement et de la faillite.

Pour les Mozarts français de la politique et de la finance qui prétendaient effondrer l'économie russe (Lemaire) ou la mettre en état de cessation de paiement (Macron), la gifle est gigantesque et l'on attend avec impatience le verdict du FMI et celui des agences de notation qui devraient tomber dans quelques jours. Mais pas de panique, les médias grand public sont là pour occulter le problème et calmer nos douleurs par anesthésie avant les élections européennes, afin de limiter la casse électorale. Ils nous parleront JO Paris 2024, inondations, dérèglement climatique et le moins possible d'économie...

Dominique Delawarde


https://reseauinternational.net/malgre-les-sanctions-la-russie-rembourse-sa-dette/